Marche : interview de Pierre Cassen dans …"La voix de la Russie"

Il semble bien qu’il n’y ait plus de vrais journalistes en France. Heureusement que certains, comme Olivier Renaud, à l’étranger et /ou pour l’étranger font leur travail :

Première marche contre le fascisme islamiste, silence radio dans les médias

 

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Photo : EPA

Partie 1 : entretien avec Pierre Cassen, fondateur du site Riposte laïque http://ripostelaique.com/

Dans quel contexte a-t-elle eu lieu la marche du 10 novembre ?

« C’est la première marche en France contre le fascisme islamiste. Elle a eu lieu dans un contexte particulier. Il y a trois semaines, 73 jeunes identitaires sont allés sur le toit de la mosquée à Poitiers pour dire ça suffit ! Il y a un mois et demi, on a eu le film l’Innocence des Musulmans et une manifestation interdite tenue par 200 salafistes qui ont prié aux pieds des Gendarmes sur les Champs-Élysées ».

Avez-vous eu beaucoup de journalistes ?

« Une première marche contre le fascisme aurait pu intéresser des journalistes professionnels soucieux de ce qui se passe de nouveau dans le pays. Cela fut un silence total. Jusqu’à vendredi en fin d’après-midi, nous n’avions pas reçu un appel de la presse. A 16 heures une jeune journaliste indépendante a téléphoné pour faire une interview. I-Télé a diffusé l’interview à 14 heures le samedi alors que nous commencions à 14 h 30. Et la journaliste s’est permise de nous amalgamer à l’extrême droite à la fin de son reportage. Devait-elle le faire pour conserver son poste de journaliste pigiste ? De plus I-Télé a introduit ce reportage en parlant d’une manifestation de l’extrême droite à Paris. Évidemment, nos lecteurs sont furieux ».

Pourquoi la presse ne dit rien sur votre manifestation ?

« La censure sur notre manifestation me fait penser au système soviétique. Depuis samedi soir et dimanche pas un mot. Jusqu’à maintenant pas un seul journaliste a évoqué la manifestation ! L’AFP a dit que nous étions plusieurs centaines. On a eu 2 500 manifestants. L’AFP http://www.lalsace.fr/actualite/2012/11/10/plusieurs-centaines-de-personnes-manifestent-contre-le-fascisme-islamiste a retenu le fait que, moi-même et Pascal Hilout, nous avions été condamnés par la 17ème Chambre correctionnelle de Paris pour incitation à la haine des musulmans. Un procès qui fut un véritable procès en sorcellerie. Quand vous écrivez que l’islam est une religion guerrière, vous devez savoir que vous faites un délit d’intention car vous montrez une haine. Pascal Hilout a renié l’islam car il ne veut pas que ses filles soient obligées de porter le voile. Et lors du procès, on lui a expliqué qu’il faisait du racisme contre lui-même… Pour les procureurs à l’idéologie bobo gaucho, l’autre n’est que paix, amour et tolérance. Les méchants sont les patriotes qui osent s’interroger sur la pertinence de l’immigration et qui osent ouvrir les yeux à leurs compatriotes ».

Vous parlez de matraquage, d’enfumage et de désinformation !

« Il est interdit de dire qu’on aime son pays. Seul le Front national le revendique. Si vous le faites, vous êtes raciste et ce n’est pas bien. Ils disent, la France est finie. On est dans le libre-échange. On est dans la société multiculturelle. Vous n’aimez pas les autres et c’est ce qui est moderne. C’est presque la préférence immigrée. Les gens finissent par rentrer les épaules. Richard Millet, par exemple, avait dit lors d’une émission télévisée qu’il était le seul Blanc sur le quai du métro et qu’il ne supporte plus les constructions de mosquées en France et de voir sa civilisation disparaître. Alors les bien-pensants lui rétorquent « Comment osez-vous dire que vous êtes le seul Blanc puisque les Arabes sont des Blancs. On assiste à un déni de réalité, à de l’enfumage. Même des copains qui ont eu une panne de moto et qui durent prendre le RER pour aller à Paris, on dit la même chose que l’écrivain Richard Millet ».

Quels dénis de réalité voyez-vous ?

« J’étais ouvrier du livre, ancien typographe, délégué syndicaliste, d’orientation communiste, à la Tribune. Ces engagés politiques depuis des années ne veulent pas reconnaître leurs erreurs. C’est la même chose avec les journalistes qui écrivent depuis des décennies sur les vertus de l’Union européenne qui va sauver les peuples par le plus d’Europe. Ce sont les mêmes qui écrivent sur le bonheur de l’immigration en disant que c’est une chance pour la France avec l’islam comme religion de paix. Rien de ces trois trucs là n’est vrai. On a des zèbres qui continuent de dire que l’islam est perverti par quelques extrémistes. Mais on un Robert Ménard qui a changé de direction. Maintenant, on a l’impression qu’il va dépasser Risposte Laïque. M’enfin un grand respect pour ceux qui changent. A quand une autocritique de Mélenchon, de Caroline Fourest et de tous ces journalistes qui nous enfument. Il faudra combien de Mehra en France avant ? La sœur de Mehra vient de dire qu’elle est très fière de son frère. En plus on voit des graffitis en France à la gloire de Mehra ».

C’est une manifestation de l’extrême droite ?

« On a fait une manifestation qui appelle à lutter contre le sexisme, le racisme, le fascisme, contre la charia, pour des valeurs démocratiques, des valeurs égalitaires, accompagnée de la Marseillaise, du chant des partisans, en montrant l’amour du pays, l’amour du drapeau bleu, blanc, rouge. Notre manifestation a seulement été appelée par Résistance Républicaine ! Le Front National, le Bloc Identitaire ne nous soutenaient pas. Les journaleux dans un réflexe pavlovien nous amalgament tout le temps avec l’extrême droite, c’est tellement confortable ».

Êtes-vous de l’extrême droite ?

« Cela nous rappelle les années 30 avec le Goulag soviétique où ceux qui parlaient des hôpitaux psychiatriques étaient traités de fascistes et d’extrême droite. Le parti d’extrême droite, c’est le totalitarisme comme la Grèce des Colonels. C’est tout ce qui annule la démocratie, l’égalité entre les hommes et les femmes. Vous retirez le mot stalinisme par l’islam vous avez la tendance actuelle. Tout ce qui annule toute vie démocratique, je le combats. Tout ce qui incarne la prégnance d’une religion sur les gens, tout ce qui incarne la violence physique contre l’opposition et c’est ce qui se passe dans les pays musulmans. Si il y une extrême droite qui monte, c’est l’islam ».

Votre expérience de syndicaliste est utile ?

« Je sais ce que c’est d’organiser une manifestation. Résistance Républicaine est une toute petite PME. Nous n’avons pas les moyens des associations antiracistes. On ne veut pas de subventions. C’est à nous d’avoir des sympathisants. Nous ne supportons pas ce réflexe de se faire assister par l’État français car c’est une dérive allant à la fonctionnarisation des militants. Qui tient les Conseils régionaux ? L’État français ? Qui va nous subventionner ? Nous sommes les premiers à pointer du doigt le fait que la presse écrite est sous perfusion avec 20 % par l’État qui l’aide à ne pas mettre la clef sous la porte. On ne peut pas dénoncer et en profiter. Il faut une cohérence. Je ne serais pas à l’aise si un Conseil général voudrait nous aider ».

Qu’est-ce que la véritable égalité ?

« La véritable égalité est que l’État arrête de donner de l’argent à la Licra, au MRAP, à la LDH, à SOS Racisme, au CCIF par le truchement de réductions d’impôts à une structure communautariste qui en plus détricote la République. Il faut rompre avec cette politique clientéliste».

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=aHEKIn32A5I

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9 Commentaires

  1. UN AUTRE SITE PATRIOTE ANGLO-SAXON ( GATES OF VIENNA ) PARLE 2 FOIS DE VOTRE MARCHE :
    The Resistance Has Started
    As we mentioned a few days ago, last weekend there was a historic demonstration and march in Paris against sharia and Islamic fascism. The event broke new ground for Europe: it was the first instance that I am aware of in which the police did their job, allowing the lawful demonstration to proceed with molestation from the “anti-fascists”.
    Dale Hurd filed a report for CBN on last Saturday’s march in Paris. You’ll notice among the people he interviewed was Alain Wagner of the International Civil Liberties Alliance (ICLA). Alain participated in the Brussels Conference on July 9, 2012, and was pivotal in the writing of the Brussels Declaration.
    Many thanks to Vlad Tepes for augmenting and uploading this video:
    http://gatesofvienna.blogspot.fr/2012/11/the-resistance-has-started.html
    2ème ARTICLE :
    Sunday, November 11, 2012
    From Poitiers to Paris
    2,500 French people demonstrated in Paris yesterday against Islamic fascism, Salafism, and sharia. The march remained peaceful, thanks to the French police, who did their job and protected the authorized demonstration.
    Many thanks to Michael Laudahn for the translation, and to Vlad Tepes for the subtitling:
    Article and more videos at F. Desouche (in French).
    http://gatesofvienna.blogspot.fr/2012/11/from-poitiers-to-paris.html
    ILS EN AURAIENT SUREMENT FAIT LA PUB S ILS AVAIENT SU A TEMPS, JE CROIS QU IL SERAIT INTERESSANT LA PROCHAINE FOIS DE TRADUIRE LE TEXTE D APPEL A LA MANIF EN ANGLAIS, beaucoup de Français sont anglophones mais peu d’anglo-saxons sont francophones

  2. Bonjour Christine. Si vous pouviez également intégrer la vidéo pour qu’elle s’affiche sans avoir à cliquer dessus. Une chanson russe de 1840 magnifique et forte. Impensable en France. Et de beaux visages plus agréables à regarder que les bâchées de chez nous.
    Démocratie, monde libre : le monde à l’envers.
    La France est une démocratie, et pour nous en convaincre, on nous le serine à longueur de journée : un camp de rééducation ne ferait pas mieux. La France fait également partie du monde libre, terme un peu vieillot, très prisé il y a encore peu.
    La Russie de Poutine, pouah, n’est pas une démocratie, c’est l’ONU qui le dit. Elle ne fait pas partie non plus du monde libre. Dans la Russie de Staline, on effaçait également des livres d’histoire les faits qui déplaisaient au régime.
    Mais voilà que c’est en France qu’on efface des livres d’histoire le fait d’avoir chassé le Maure à Poitiers.
    Mais voilà que c’est dans la Russie de Poutine qu’on chante un poème de 1840 appelant à chasser l’Ottoman
    http://www.youtube.com/watch?v=Alm3ROJtlGE#t=1m40s

      • J’aime beaucoup les métaphores, qu’on peut transposer à la France. Notamment,
        « à nos têtes, des corbeaux noirs ». Il ne s’agit pas seulement de la tête de la meule, mais aussi de personnalités corrompues, notables, chefs de village ou de région, qui ont pactisé avec l’ennemi, probablement convertis à l’islam. On n’en est pas loin.
        « une volée de choucas font leur nids immondes » C’est la démographie galopante des envahisseurs en vue du remplacement de population.

  3. Bonjour Christine. Si vous pouviez intégrer la vidéo ci-dessous pour qu’elle s’a
    Démocratie, monde libre : le monde à l’envers.
    La France est une démocratie, et pour nous en convaincre, on nous le serine à longueur de journée : un camp de rééducation ne ferait pas mieux. La France fait également partie du monde libre, terme un peu vieillot, très prisé il y a encore peu.
    La Russie de Poutine, pouah, n’est pas une démocratie, c’est l’ONU qui le dit. Elle ne fait pas partie non plus du monde libre. Dans la Russie de Staline, on effaçait également des livres d’histoire les faits qui déplaisaient au régime.
    Mais voilà que c’est en France qu’on efface des livres d’histoire le fait d’avoir chassé le Maure à Poitiers.
    Mais voilà que c’est dans la Russie de Poutine qu’on chante un poème de 1840 appelant à chasser l’Ottoman
    http://www.youtube.com/watch?v=Alm3ROJtlGE#t=1m40s

  4. Bertrand Delanoé s’est permis de dire le 7 novembre : MON PARTI C’EST LE PEUPLE TUNISIEN
    FRANCE – TUNISIE
    Bertrand Delanoë : “Mon parti, c’est le peuple tunisien”
    07/11/2012 à 16h:26 Par Frida Dahmani, à Tunis
    Bertrand Delanoë, maire de la ville de Paris. © AFP
    Tunisien de cœur, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, est le premier responsable politique français à effectuer une visite officielle au pays du Jasmin depuis la victoire socialiste à la présidentielle française, en mai dernier. Lors de sa présence dans le pays, du 5 au 8 novembre, il a rencontré les dirigeants de la troïka gouvernementale, des représentants de l’opposition et de la société civile et participé, en tant que Maire de Paris, aux Assises de coopération décentralisée tuniso-française, à Monastir, où “Jeune Afrique” l’a rencontré. Interview.
    Jeune Afrique : Que représentent ces assises de coopération décentralisée tuniso-française à Monastir ?
    Bertrand Delanoë : L’enjeu est d’imaginer un avenir favorable au renforcement des relations d’amitié entre nos deux pays et à l’engagement de nouvelles actions de coopération décentralisée entre les collectivités locales françaises et tunisiennes. Certains blocages ayant été levés, l’objectif est que nos actions bénéficient aux populations. L’une d’entre elles consiste, pour la mairie de Paris, à faire don de véhicules pour la collecte des poubelles mais aussi d’accompagner la formation en matière de gestion des déchets.
    Quelle est la coopération entre Tunis et Paris ?
    Sur proposition du maire de Tunis, Seifallah Lasram, la coopération se met en place. Il a suggéré de mener sur la capitale une action que j’avais lancée à Bizerte. Il s’agit, pour la mairie de Paris, de participer à la rénovation de trois cimetières, un musulman, un juif et un chrétien. Entre nos deux villes, il s’agit d’abord d’une histoire d’amitié et d’estime. D’ailleurs, Paris va rendre hommage au grand militant syndicaliste, Farhat Hached en donnant son nom à un espace public.
    Vous venez souvent en Tunisie, que retenez-vous des transformations que vit le pays ?
    Mon approche n’engage pas la France. La Tunisie est en train de bâtir quelque chose de nouveau, la révolution est passée par là. Tout n’est pas simple en démocratie, mais elle vaut bien mieux qu’une dictature. Les Tunisiens avancent ; la recherche de compromis est nécessaire autour de la Constitution, mais la discussion parlementaire sur la mise en place de l’Instance supérieure indépendante des élections (Isie) montre aussi que le dispositif implique des convergences. Il est certain que des décisions concertées importantes seront prises en matière de constitution et d’Isie.
    Les Tunisiens n’ont pas envie que la France marque une distance.
    Il est également très net que tout le monde est préoccupé par les violences politiques qui ne font pas avancer la démocratie. L’initiative de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) est positive même si tout le monde n’y a pas adhéré. C’est le débat. Je sens bien qu’elle va continuer à être l’une des forces qui apporte quelque chose au pays. Depuis la lutte nationale, l’UGTT est représentative d’une partie du peuple et cela peut avoir des conséquences en ce moment historique. Il faut aussi souligner l’action de la Ligue tunisienne des droits de l’homme et celle de l’association des femmes démocrates.
    Quelle est votre appréciation des relations tuniso-françaises ?
    Il faut être aux côtés du peuple tunisien, la France doit manifester sa solidarité, son attention et son affection à la Tunisie, mais elle est évidement libre de ses choix. Il faut qu’on entre dans une relation simple, amicale et transparente ; les Tunisiens n’ont pas envie que la France marque une distance. Je sais que François Hollande aime beaucoup la Tunisie ; il avait été heureux et impressionné lors de sa visite en 2011, elle lui a permis de mieux comprendre les Tunisiens.
    Certains ont critiqué vos rapports avec le régime de Ben Ali…
    Je n’ai pas vu Ben Ali depuis 2001. En 2004, il avait conditionné un entretien au fait que je ne rencontre pas Mokhtar Trifi et Mohamed Charfi, avec lesquels j’ai des liens d’amitiés. Je les ai vus, et pour cette raison, Ben Ali a annulé le rendez-vous.
    Quelle est votre perception de la vie politique tunisienne ?
    Les Tunisiens n’ont pas besoin de moi pour avoir un avis. La vie de toute formation politique passe par des moments différents, l’histoire n’est jamais immobile, la Constitution apportera les réponses mais je ne me risque pas à porter des jugements et ne prends pas de position dans les débats politiques tunisiens. Je regarde, j’écoute et ne suis jamais loin. Mon parti c’est le peuple tunisien.
    ___
    http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20121107155242/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Actualite_Afrique_Du_Nord+%28Jeune+Afrique%3A+Actualit%C3%A9+Maghreb+%26+Moyen-Orient%29
    Propos recueillus par Frida Dahmani, à Tunis
    TOUS DES TRAITRES A LA NATION A GAUCHE !!! JE SUIS REVOLTEE !!!

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