Fume, c'est du Peillon…

On ne peut que se délecter de la volée de bois vert que reçoit Peillon, qui a osé, lui qui est sinistre de l’Education nationale dire qu’il était pour la dépénalisation du cannabis pour la plus grande joie des jeunes collés pour consommation illicite dans les établissements scolaires…

Alors, on se gargrisera de ces quelques délicieux papiers, Fume, c’est du Peillon, de Philippe Randa, ou bien  Gauche caviar, Gauche pétard, Peillon assassin, Peillon démission de Caroline Corbières.

 On en assez de ces gauchistes qui encouragent par l’exemple nos jeunes à être à côté de leurs pompes au lieu d’être bien dans leurs baskets. On en a ssez de ces irresponsables qui concourent à faire disparaître les gens sains de notre société. On en a assez de ces traîtres qui, comme le député maire PS le Guen osent même réclamer des salles de shoot, avant, sans doute, de réclamer les infirmières et les médecins présents 24h sur 24 et puis les éducateurs, et puis les assistantes sociales, tout ça au frais de la princesse !

 O tempora, ô mores, disait Cicéron…

Christine Tasin

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13 Commentaires

  1. À travers les assauts répétés de Duflot et de Peillon pour la légalisation de cette merde, il est plus que clair que le but de cette Caste est de tout mettre en oeuvre pour nous anéantir : leur but étant de faire place nette des “rebelles” pour installer une gouvernance mondiale (http://youtu.be/9s7Aujm7v_U).
    Dans leur plan, il faut éviter à tout prix d’avoir une génération de “Jocelyn” qui ouvriraient subitement les yeux, à quelques mètres à peine de la mise en place de leur Nouvel Ordre Mondial (http://youtu.be/u2CsEm2jIOY)
    Ainsi il leur faut anéantir toute forme de velléité de rébellion potentielle chez les ados, et jeunes adultes, en légalisant les drogues pour les transformer en zombies toxico-dépendants au cerveau ramolli; de même qu’il faut réussir à noyer sous la propagande les plus anciens, se servir des médias pour les anesthésier voire les lobotomiser, il faut ré-écrire l’Histoire pour les plus jeunes en leur donnant l’illusion d’une forme d’instruction.
    Ce n’est qu’une partie de leur plan d’ensemble de contrôle des masses : la Caste a réussi à faire mettre en place un président nul, lequel essaye vaguement de donner l’impression de “diriger” une équipe (de branques).
    Ainsi quand il n’y a pas de (vrai) pilote dans l’avion, il est bien plus facile d’envahir le poste de pilotage pour piquer les commandes.
    La preuve : le transfert de pouvoir a commencé de manière silencieuse, mais inexorable, avec le vote favorable au Traité Européen de Stabilité : ainsi après deux siècles de démocratie, les députés viennent donc de transférer le pouvoir d’établir le budget de la nation à des dirigeants non élus à Bruxelles.
    Et ce n’est que le début !
    Ils ont une stratégie, mais ils semblent oublier un paramètre essentiel: notre détermination à ne pas leur servir ce qui reste de notre Patrie sur un plateau.
    Résistance !

  2. Disparition de la culture -sauf celle du cannabis- remplacement de population et islamisation ne peuvent en effet qu’être accentuées par la consommation des drogues. Celles-ci sont déstructurantes pour l’organisme humain, pour les relations sociales, pour l’épanouissement dans la conscience et la raison. De plus, traitées à longueur de journaux télévisés de “consommateurs” (dans “consommation” il y a “con” et “sommation”) nos jeunes générations sont amenées à croire qu’il n’existe que des droits et aucun devoir et perdent les repères sociaux nécessaires à toute collectivité. C’est toute la structure sociale élaborée par nos ancêtres qui est ainsi la cible de ces droguistes néo-pédagogistes qui prétendent refaire le monde comme l’a prétendu le communisme. On a vu ce que ça a donné!

  3. Certes, je suis aussi contre toutes les drogues, je ne suis même pas fumeur, n’ayant même pas fumé ¼ de cigarette dans ma vie, bien que mon père était fumeur.
    Si j’étais proviseur, j’interdirais aux professeurs de fumer sur le trottoir devant le lycée, d’autant plus que c’est souvent en compagnie des élèves, et tout ce petit monde s’échange cigarettes, briquets. Une belle démagogie, un bel exemple de volonté de la part enseignants qui ont souvent eux-mêmes des enfants. Il n’y a rien de plus qui me révulse que de voir un prof avec son paquet à la main sur lequel est marqué « fumer tue ». Comment demander ensuite à des jeunes d’écouter des conseils de santé, de lire des consignes.
    Cependant, la façon dont Peillon s’est fait remettre à sa place m’interpelle. Certes, il a dit une ânerie, mais l’empêcher d’avoir ses propres idées, lui demander d’être aux « ordres », de s’occuper uniquement de ce qu’on lui demande et rien d’autre, me rappelle l’ère Sarkozy. Ce n’est pas la peine d’être ministre pour être à genoux comme un vulgaire exécutant. C’est ce que vivent probablement 99 % des salariés, ainsi que les enseignants, réduits à évaluer le travail des élèves, et rien d’autre. Surtout pas d’appréciations autres sur les bulletins, sous peine d’être prié de rectifier. C’est pratique, les bulletins informatisés.
    Et si donc on demande la tête à Peillon pour une opinion personnelle, comment s’étonner que d’autres demandent la nôtre dans d’autres domaines.

    • Je ne suis pas d’accord Peillon est ministre de l’Education nationale et à ce titre l’exigence d’instruire, d’élever les jeunes doit l’empêcher de faire des déclarations de ce type

      • Bien sûr, mais en face de lui, il y a quand même un certain Jean-Marc Ayrault qui se fiche totalement de détruire à jamais des terres agricoles, et qui ne lâchera rien malgré les protestations des plus concernés, quitte à envoyer les CRS comme à Plogoff.
        Avec des gens capables du meilleur comme du pire, il ne fait pas bon être déphasé avec leurs diktats. On a juste de la chance que sur ce coup, le canabis, il soit de notre côté. Sinon, on n’aurait pas plus voix au chapitre. Nous ne sommes gouvernés que par deux personnes.
        Du Sarko, à une personne près.

  4. Imaginez la légalisation du cannabis.
    Les “jeune” qui tient le mur à longueur de journées dans l’attente du bobo, il va faire quoi ? Aller à Pôle Emploi ? Ben non, il va se réorienter. La reconversion se fera dans une autre activité criminelle. Une activité criminelle où un autre jeune – qui n’aime pas la concurrence – exerce déjà.
    Inutile de dire que l’affaire va se régler à la kalachnikov.
    Quand aux quartiers “déshérités” où jusqu’à 70% de la population vit directement ou indirectement de la vente de stupéfiants, sans cette manne financière, ça va sauter.
    Toute politique visant à normaliser la vente de cannabis ne peut que finir par nous péter à la gueule. Nous autres patriotes sommes résignés et attendons sans illusion l’inexorable guerre civile qui nous pend au nez.
    Mais ces violences-là ne seront toujours pas celles qui annonceront le début du combat final pour la libération.
    Ne nous voilons pas la face : les violences seront sans commune mesure avec celles que nous connaisons à l’heure actuelle mais dans un premier temps, elles auront lieu pour l’essentiel au sein de la communauté qui deale, la communauté maghrébine. Il se passera ce qui s’est passé lors des évévements d’Algérie : là où il y aura une guerre civile, on ne voudra voir que des troubles à l’ordre public nécessitant des opérations de police. C’est dire que les honnêtes citoyens qui continueront à se faire massacrer n’auront toujours pas le droit de se défendre sans être lourdement sanctionnés par la justice.

  5. Entre MR PAILLON et ce journaliste raté MR MAMERE que je viens d’écouter sur FRANCE 5 dans l’émission c dans l’air .
    ce dernier joujours pour défendre la drogue et autre homo bref pour la déchéance de la jeunesse la déchéance morale et physique ..du peuble .

    • Je ne peux pas laisser dire que l’homosexualité serait la déchéance ni qu’on la mette sur le même plan que la drogue

  6. Entre PEILLON et NOEL MAMERE que j’ai entendu cette après midi sur les drogues et le mariage gay, je leur ferais fumer le joint à les gaver comme les oies ! J’étais à 2 doigts de casser mon téléviseur tellement que le dégoût me montait au cerveau.

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