Selon notre (on en a honte) ministre de la Culture, une « Maison de l’Histoire de France serait contestable idéologiquement ».
Bien sûr, on entend protester l’historien Jean-Pierre Rioux. On se dit : « ouf ! » ils ne sont pas tous vendus à la disparition de l’Histoire de France ». Las ! Jean-Pierre Rioux proteste non pas au nom de l’histoire ou au nom d’une certaine conception de l’histoire mais au nom des… emplois qui disparaîtraient, contractuels et la vingtaine de personnes constituant le comité scientifique (fallait-il d’ailleurs tant de gens pour vérifier la vérité historique du musée prévu ? ) !
En fait, il faut sans doute chercher la raison de ce revirement dans la pétition de 10 historiens parue le 21 octobre 2010. On y lit en effet des passages éclairants :
« Il paraît bien surprenant aujourd’hui de vouloir limiter le projet d’un grand musée d’histoire du XXIe siècle à la seule « histoire de France ». Alors que la « mondialisation » des économies et des sociétés ne cesse d’être évoquée comme une contrainte pour l’ensemble des Etats-nations, comment imaginer qu’un musée d’histoire du XXIe siècle ne donne pas à cette échelle une place centrale pour aider les citoyens à se repérer dans un espace large, dans son historicité ? »
Filipetti pense donc qu’un musée de l’Histoire de France doit être un Musée de l’Histoire du monde. Filipetti traître à la patrie. Indigne d’être Ministre de la Culture de notre pays.
« Comment penser une « maison de l’histoire » sans travail sur la notion d’Europe, sur ses inflexions, constructions et variations, de même que ses impensés. »
Filipetti pense donc qu’un musée de l’Histoire de France doit être un Musée de l’Europe. Filipetti traître à la patrie. Indigne d’être Ministre de la Culture de notre pays.
« Une telle maison serait en quelque sorte la vitrine historique de la supposée « identité nationale » dont l’incantation ne cesse de mobiliser les esprits depuis 2007 avec des implications terribles pour les plus vulnérables et déshonorantes pour ceux qui leur donnent réalité.«
Filipetti pense donc qu’un musée de l’Histoire de France ne doit pas être un Musée qui puisse évoquer l’Identité nationale ; il faut donc nier ce qui constitue le fait d’être français. Filipetti traître à la patrie. Indigne d’être Ministre de la Culture de notre pays.
« Le lieu finalement choisi, après de nombreuses propositions et discussions, est le site des Archives nationales au coeur du Marais, à Paris. […]
Or les archives sont un des instruments de l’établissement d’une histoire qui ne soit pas le seul déploiement, plus ou moins habile, des discours souhaités par les pouvoirs. Enfin, n’y a-t-il pas d’autres lieux pour exposer l’histoire que les hôtels princiers, alors que tant d’espaces du travail rappelleraient plus aisément que l’histoire est aussi faite de « vies minuscules », des hommes et des femmes ordinaires dont le quotidien et l’héritage légué à notre époque fut bien autre chose que la seule construction de l’Etat-nation et les souffrances imposées par l’histoire-bataille ?«
Filipetti pense donc que l’Histoire de France ne doit être constituée de faits-divers, d’anecdotes, faisant disparaître nos héros, notre histoire, notre pays.. Filipetti traître à la patrie. Indigne d’être Ministre de la Culture de notre pays.
Je disais hier que décidément Hollande ne pouvait pas être mon Président. Il est évident qu’un Filipetti n’est qu’une usurpatrice qui ne mérite aucun respect.
Christine Tasin
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C’est à nous de la faire cette maison… Il ne faut pas compter sur le gouvernement quel qu’il soit pour faire le travail à notre place étant donné qu’il est établi que ce dernier est clairement contre nous,peuple de France!
Oui c’est à nous de tout faire, de tout reconstruire
cette filipetti (avec un « f » minuscule, je ne mets jamais de majuscule à de l’ordure…), « traître à la patrie, indigne d’être Ministre de la Culture de notre pays », comme vous dites et répétez si bien, n’en rate décidément pas une !
parmi mes souhaits les plus chers: que cette bande de bras cassés acéphales soient un jour prochain reconnus pour ce qu’ils sont vraiment (une bande de guignols vulgairement endoctrinés, menteurs, manipulateurs, idiots utiles et pantins de forces obscures qui les dépassent), et qu’ils soient jugés et condamnés à hauteur du mal qu’ils font à la France et aux Français; je ne suis pas particulièrement favorable à la peine de mort, mais je dois reconnaître que les voir pourrir en haut d’une potence me procurerait un plaisir honteux mais intense !
à nous de faire en sorte que, à défaut de pourrir au bout d’une potence, cette bande de pieds nickelés soit démaquée, discréditée et mise hors d’état de nuire…!
Mais n’avons-nous pas déjà un musée de l’histoire de France ? La maison des cultures (sic) de l’Islam (sourire jaune) ? Ce que je souhaite, c’est qu’un jour tous ces incapables et traîtres à la France et à notre culture finissent au musée Grévin, dans la section « refusé ». Ainsi figés dans la cire froide de leurs idées absurdes, ils n’auront aucun mal à nous montrer de quel bois pourri ils sont faits.
Marc