S'installer à la campagne pour la Reconquista ? Surtout pas !

Je ne suis pas d’accord avec l’argument de Sarisse disant que la Reconquête pourrait venir des campagnes… qu’il faudrait repeupler.
http://resistancerepublicaine.com/2018/03/30/la-resistance-et-la-reconquete-viendront-des-campagnes-repeuplons-les/http://resistancerepublicaine.com/2018/03/30/la-resistance-et-la-reconquete-viendront-des-campagnes-repeuplons-les/

Il faut se méfier de l’argument selon lequel il faut repeupler les campagnes. La République est au service des citoyens, plutôt que des territoires. L’argument est utilisé par des pro-migrants.
http://resistancerepublicaine.com/2017/03/02/lidee-de-repeupler-les-campagnes-avec-des-migrants-ne-date-pas-dhier/

J’avais écrit un texte allant dans le sens de Sarisse, mais depuis, j’ai relativisé mon jugement.
1/ Les campagnes sont de moins en moins souvent éclairées de nuit. Soi disant pour faire des économies…
http://resistancerepublicaine.com/2017/10/02/plus-declairage-public-violeurs-pilleurs-et-autres-vont-pouvoir-operer-tranquillement/
Ou pour mieux faire massacrer les villageois une fois la nuit tombée ?
Sans aller jusque là, l’insécurité progresse dans les campagnes afin de faire fuir les ruraux et les obliger à se rapprocher des agglomérations afin d’être laissés à la merci du pouvoir.
Les salafistes, au contraire, s’installent dans les campagnes désertées afin, disent-ils, de fuir « la mécréance ».
2/ La légitime défense des biens n’étant pas consacrée et la police tardant à intervenir, les biens de nos campagnards appartiennent de facto aux voyous, comme dans les Deux-Sèvres.
http://resistancerepublicaine.com/2017/11/16/lusignan-en-garde-a-vue-pour-avoir-tire-sur-leurs-cambrioleurs/
Les décisions juridictionnelles concernant la légitime défense des personnes ne sont d’ailleurs pas plus encourageantes comme l’ont montré plusieurs affaires : à Servian en particulier.
http://resistancerepublicaine.com/2017/10/07/plusieurs-mois-pour-verifier-que-la-legitime-defense-est-averee-et-la-victime-est-en-garde-a-vue/

Or, ce sont dans les lieux les plus reculés des forces de l’ordre que ces décisions se font le plus ressentir. En ville, la police intervient rapidement en cas d’urgence.
La population des campagnes est de moins en moins paysanne, elle connaît moins que ses ancêtres les coins et recoins de son pays. A l’époque où la télévision, le smartphone, la société de consommation plus largement n’existaient pas, les campagnards avaient le temps de parcourir leurs contrées, seuls moyens d’avoir une sociabilité. Ils pratiquent la chasse et la pêche davantage qu’aujourd’hui.

Même si le FN a fait de bons scores dans les campagnes, le campagnard d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier.

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33 Commentaires

  1. Å la campagne nous avons des gendarmes, pas des policiers. La nuit la surveillance est assurée par une gendarmerie de permanence, autant dire qu’il ne faut pas les appeler sauf en cas de catastrophe naturelle ou d’invasion extra-terrestre. La patrouille couvre un secteur énorme. Si je me fais cambrioler, je sais que je finirai en garde-à-vue, c’est une épée de Damoclès..

  2. Tiens ! c’est bizarre, je ne vois pas le long commentaire que j’avais écrit en réponse à Piche, Nicole Piche. Aurait-il été censuré ? Pourtant, il était constructif me semble-t-il.

  3. Pour gagner il faut avoir les idées claires et savoir ce que l’on veut , pour gagner il faut un stratège c’est a dire celui qui imposera le terrain et ses méthodes de combat a l’autre . Toutes les guerre que nous avons perdu , 40 , indo , Algerie a chaque fois ce sont ceux d’en face qui nous ont imposé leurs styles de guerre et nous connaissons les résultats . Alors avant de commencer quoi que se soit il faut bien réfléchir a ce que l’on va faire et laisser l’aventure aux aventuriers si des gens de haut niveau n’ont pas encore pris position c’est que le fruit n’est pas encore mûr et qu’il est sage d’attendre .L’organisation d’une position de repli a la campagne n’est pas synonyme de perte de temps elle pourra toujours servir pour les vacances ou les WE et le moment venu on sera bien content de la trouver pour mettre sa famille a l’abri .

    • Une position de repli à la campagne pour servir pour les vacances ou les WE… Je ne m’étais pas attendu à un tel argument.
      Si ce n’est pas une plaisanterie, la preuve est faite que personne n’a plus envie de se battre parmi toute cette population française désormais juste bonne à se plaindre et à gémir, mais condamnée à disparaître.
      Conclusion : « Le fruit n’est pas encore mûr et il est sage d’attendre ».
      Il est urgent de ne rien faire. Bravo. Ils doivent bien se marrer, ceux d’en face !

  4. La reconquête doit se faire dès maintenant ,par un état-major clandestin . Celui-ci ,doit essaimer avec de petits groupes dans toutes les régions. Cet état-major doit comporter des anciens militaires susceptibles d’ avoir toujours des liens avec leurs anciennes unités. Il doit comporter des juristes et d’anciens politiques .Le mieux pour être en sécurité cet état-major doit résider à la campagne, et changer souvent de résidence . Cela suppose beaucoup de points de chute sûrs.

    • Absolument d’accord ! L’erreur serait d’opposer zone urbaines et zones rurales alors que le combat doit être mené partout simultanément, même s’il ne prendra pas la même forme en ville ou à la campagne.

  5. Je crois que vous faites erreur, peut être l’idée n’a finalement pas ou très peu ou encore très mal été expliquée.
    L’idée ne serait pas seulement d’aller vivre à la campagne pour ne pas les voir et avoir la paix.
    Avez-vous des notions de stratégies militaires, sans vous offenser ?
    L’idée réelle, est quand cas de conflit (guerre civile, larvée ou ouverte), votre position en milieu urbain va très vite devenir intenable.
    Certes, les ressources de premières nécessitées sont quasi à porté de mains.
    Mais pour les obtenir cela va demander beaucoup d’énergie et pas mal de prise de risques.
    Voilà pour le côté alimentaire.
    Pour ce qui regarde le combat.
    En milieu urbain celui-ci est terriblement consommateur de ressources humaines (combattants).
    La rotation des troupes au contact oscille entre 8 et 10 heures, le combat en milieu clos est très éprouvant.
    Au vu du nombres de patriotes prêt a se battre, vous ne pourrez tenir, face à un ennemie en large supériorité numérique.
    Ne reste comme option réaliste, que le harcèlement hors des cités.
    Les talibans ont fait cela très bien en Afghanistan, aujourd’hui encore.
    Je comprends que de devoir trouver et préparer un endroit de replie est difficile.
    Mais faites le, il en va de votre survie, et de celle de votre famille.
    Peut être prévoir d’aller chez une tante ou une mamie, chez des amies vivant à la campagne et pas trop loin.
    Reconnaissez l’itinéraire plusieurs fois, laissez si vous le désirez des options enfouis sur le chemin.
    Ayez pour chaque membres de la famille un sac 72 heures prêt.
    Amis(es), ne prenez pas ce qui vient trop à la légère.

    • Bien vu Nicole , dans ma brousse bourguignonne je fait ce que je veux,meme du potager sauvage impossible en ville à cause du pillage,et tout le monde se connait entre village donc les infos passent plus vite,je conseille à ceux qui le peuvent de vite immigrer dans des coins avec de haut plateau et vallée encaissée ça aide?

  6. La reconquista par les campagnes c’est une vraie fausse bonne idée

    • Naturellement, la Révolution de 1789 n’a pas commencé dans les campagnes !
      Les campagnes dans l’Histoire ont seulement été le théâtre des jacqueries contre le seigneur local, c’est tout !
      Les révolutions ont toujours été urbaines !
      Mais en réalité, comme écrivait Christine Tasin dans le bon vieux temps ( 😉 ), mon commentaire a été « confisqué », je ne l’avais pas écrit pour qu’il soit spécialement publié comme article sous cet intitulé en particulier.
      Je voulais simplement faire valoir qu’il y a un risque à s’installer dans les campagnes face à la délinquance qu’on peut qualifier d’ordinaire (même si on ne devrait jamais s’y habituer).
      Une campagne repeuplée, par ailleurs, devient… une ville !
      Alors, à quoi bon vouloir repeupler les campagnes ?
      Et à supposer que des échauffourées viendraient à éclater avec des partisans de la charia, qui peut sérieusement penser que ça commencerait à la campagne, entre un « meuh meuh » bovin et un « hi han » asinien ?
      Il est bien évident que si ça devait péter, ce serait là où les pompiers ne peuvent accéder sans se faire caillasser, là où systématiquement des voitures et poubelles sont incendiées lors des fêtes nationales…
      Et l’initiative émanerait nécessairement d’un peuple en colère ne supportant plus les atteintes à l’autorité légitime. Mais cela ne veut pas dire que ce peuple serait essentiellement urbain, à l’heure où les déplacements sont faciles.
      L’inconvénient de la ville de mon point de vue concerne les immeubles urbains à plusieurs étages, avec les incendies les pompiers seraient nécessairement débordés, des gens périraient par milliers, se défenestreraient etc.
      C’est bien pourquoi on peut penser qu’en cas de situation de chaos, la ville serait visée en premier par les racailles désireuses de semer la terreur, pas les campagnes.

  7. Tout dépend du niveau du problème a affronter , enfant de la guerre ma famille après un démarrage très dur en 41/42 nous avons mieux résisté que dans les villes . A la campagne ce qui n’était pas bon pour nous se voyait arriver de loin , deux accessoires indispensables de base un fusil et un chien voir deux . Pour le reste apprendre a cultiver son jardin (pas en façade ) ensuite apprendre a conserver ses récoltes , installer cinq panneaux solaires avec cinq batteries et régler le problème de l’eau pour être autonome . Ensuite nouer des contactes afin de garder un réseau de communication pour être au courant d’un minimum de choses sur les modifications qui interviennent dans notre environnement .
    Ces conditions là réunies je me sentirais mieux là qu’a poils gelé le ventre vide sous un pont parisien ou d’une grande ville , mais les gouts et les couleurs font qu’il faut de tout pour faire un monde et chacun sa philosophie .

    • Ce que vous dites est vrai. Mais vous oubliez l’aspect stratégique qui est le fond du problème : cette attitude qui consiste, soit à se replier (il faudrait plutôt dire se réfugier pour certains…) à la campagne, soit à l’envisager comme une « base » pour organiser une résistance ou une reconquête, est essentiellement une attitude passive qui laisse à l’ennemi l’intiative, en particulier celle d’investir à terme tout le terrain.
      Faire quelque chose dans les campagnes n’aurait de sens que si ça permettait d’utiliser celle-ci comme une plate-forme de reconquête. Mais pour ça, il faudrait être sûr que les campagnes ne vont pas être envahies à la longue comme l’ont été les villes en 30 ans. Et c’est plutôt ça qui va se passer ! D’ailleurs on ne voit pas pourquoi les envahisseurs qui ont pris les villes trouveraient cette fois de la résisance dans les campagnes. C’est du flan, cette histoire de paysans qui vont se défendre rien qu’avec leurs fusils de chasse.
      Je crois que c’est ce qu’a voulu dire Cinna qui a même oublié une chose : c’est dans les centres urbains que se passent toujours tous les événements importants et déterminants pour l’avenir.

  8. Ce fantasme de se retrancher dans les campagnes est voisin de celui des survivalistes qui rêvent sans discontinuer d’un « village de défense » dans lequel ils pourraient continuer à vivre tranquillement.
    Utiliser un tel argument pour exciper d’une « Reconquista » est proprement une honte.
    Ceux qui n’ont pas été capables de se défendre dans les villes ne feront rien de plus dans les campagnes.
    Tout comme ils n’avaient rien vu venir quand cela a commencé dans les villes et leurs banlieues, ils ne prendront pas davantage la mesure de la lente et progressive submersion des campagnes, et ne réagiront pas plus qu’ils n’avaient réagi auparavant.
    Quand les campagnes auront été submergées à leur tour, autrement dit que tout le territoire national aura été intégralement investi, il est évident que le rapport de forces aura complétement basculé et que toute chance d’effectuer une « Reconquista » aura bien évidemment disparu.
    Ceux qui parlent de cela ne font que chercher des excuses à leur inaction.
    La « Reconquista » qui n’a été que trop différée doit commencer maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Levez-vous, sinon taisez-vous !

    • je suis d’accord avec vous, le territoire de campagne qu’on va défendre peut permettre de résister les premiers jours, les premières semaines mais c’est tout, il faut participer à un ensemble national et non à un repli individuel permettant à l’ennemi d’abattre toutes les bases de repli les unes après les autres

  9. Éric Zemmour : « Les Français de souche se sont enfuis des banlieues, suivis par beaucoup de juifs, laissant la cité pure de toute «impureté» non islamique »
    CHRONIQUE – L’antisémitisme islamique a vidé les quartiers où sont commis les crimes de ses populations exogènes, c’est-à-dire juives et chrétiennes, mises dans le même sac.
    (…) Les représentants de la communauté juive insistent souvent sur la spécificité d’un antisémitisme islamiste. Ils ont tort: juifs et chrétiens sont mis dans le même sac d’infidèles et de Français. Les mêmes ajoutent aussitôt que ces actes horribles n’ont rien à voir avec l’islam. Ils ont encore tort: c’est dans le Coran, et dans la vie «parfaite» du prophète Mahomet, que les agresseurs trouvent les mots et les exemples pour armer leur vindicte.
    On dit souvent que l’antisémitisme est un signal d’alarme. Encore faux: les violences ont commencé dès la fin des années 1970, après les premières arrivées du regroupement familial dans les banlieues de destination. Vols, viols, agressions touchaient alors les banlieusards si tranquilles. Mais, quand ceux-ci voulurent se défendre, les médias, les élites, les pouvoirs publics dénoncèrent le racisme des «Dupont Lajoie». Alors, les élites juives de gauche, les fondateurs de SOS Racisme, les BHL et consorts étaient aux premières loges pour ranimer le souvenir de la guerre et des rafles antisémites, et mettre en avant la solidarité des «victimes» et des minorités. Cette erreur funeste de diagnostic explique bien des comportements et des sentiments cruels d’isolement.
    On a compris aujourd’hui qu’il y avait un lien direct entre délinquance, islamisation de ces quartiers et crimes djihadistes. Mais cette prise de conscience est bien tardive et timide. Dans les banlieues, les Français de souche se sont enfuis vers des contrées plus ou moins éloignées: c’est la fameuse France périphérique. Beaucoup de juifs les ont suivis, mais d’autres ont émigré en Israël, dont certaines villes sont devenues une sorte de France périphérique bis.
    Ces crimes ont pour leur auteur un objectif personnel: ils lui permettent, en tout cas le croit-il, de racheter ses péchés. Mais ils ont aussi une fonction collective, souvent ignorée des acteurs eux-mêmes: ils vident les quartiers où ils sont commis de leurs populations «exogènes» – c’est-à-dire juives et chrétiennes, c’est-à-dire françaises qui, effrayées, s’enfuient, laissant la cité pure de toute «impureté» non islamique. Pendant ce temps-là, sur les plateaux de télévision, chacun pérore sur les beautés du «vivre-ensemble».
    SOURCE : Le Figaro
    ::: http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/03/28/31003-20180328ARTFIG00319-eric-zemmour-sarah-halimi-et-mireille-knoll-assassinees-parce-qu-elles-etaient-juives.php?redirect_premium

  10. a Thouars dans les deux sèvres ils (la mairie) vendent des maisons pour 1euros symbolique (a conditions d’y vivre au moins pendants 6 ans et de faire les travaux qui tourne autour de 5000 ET 10000eurs ) pour repeupler la ville.
    ne pensez vous pas que 1) c’est un acte de résistance de ne pas laisser nos campagnes et ville rurales aux autres bobos et muz , car si nous perdons nos campagnes ,nous perdons le coeur de notre pays (ils ne faudrais pas que nous soyons aussi minoritaires dans nos campagnes comme nous le sommes dans nos banlieues et villes). 2) c’est aussi l’occasions de recrée de l’emplois et du lien social .

  11. a Thouars dans les deux sèvres ils (la mairie) vendent des maisons pour 1euros symbolique (a conditions d’y vivre au moins pendants 6 ans et de faire les travaux qui tourne autour de 5000 ET 10000eurs ) pour repeupler la ville.
    ne pensez vous pas que 1) c’est un acte de résistance de ne pas laisser nos campagnes et ville rurales aux autres bobos et muz , car si nous perdons nos campagnes ,nous perdons le coeur de notre pays (ils ne faudrais pas que nous soyons aussi minoritaires dans nos campagnes comme nous le sommes dans nos banlieues et villes). 2) c’est aussi l’occasions de recrée de l’emplois et du lien social .

  12. Pas d’accord avec l’article
    Tout le monde sait que la campagne compte le plus grand nombre de réfractaire au changement
    C’est là que vous trouverez les authentiques , ceux qui votent utile

    • c’est vrai aussi, et c’est là qu’il y a les chasseurs et leurs fusils 😉

      • Des fusils à canons lisses dont la portée ne va pas plus loin que le portail de la ferme, contre des kalachnikovs ?
        Et en face de djihadistes déterminés au pire, ceux qui tiennent ces fusils n’ont jamais envisagé que de défendre leur périmètre. Je connais assez de paysans pour savoir de quoi je parle. Ces types qui ont été capables de faire payer le verre d’eau aux soldats français en mai-juin 40 ont été les premiers collabos, et ils n’auront aucun mal à faire du mouton quand à cause de la charia ils ne pourront plus faire du porc.

        • Exact Margelle, le fusil ne servira qu’à défendre le mètre carré ou le cas échéant à régler un différent de voisinage.. Les armes seront aussitôt déposées quand les muzzs entreront.

        • Non non pas que des fusils de chasse, on peut très bien se procurer en toute légalité des armes tout à fait efficaces. Et dans les campagnes il y a pas mal de gens qui peut être n’occupent pas le devant de la scène mais si on vient les emmerder sauront se faire respecter et j’en connais pas mal. Je veux bien admettre qu’il y a des pourris et des vendus partouty compris dans les campagnes mais ne faites pas une généralité en ce qui concerne les populations rurales

        • Vous êtes très réducteur dans ce que vous dites et oubliez totalement la dimension clanique de la vie en campagne et qui n’existe PLUS en ville et puis surtout vous n’avancez aucun argument pour la défense en ville où vous serez à la merci de bandes de plus en plus téméraires surtout lorsque les réseaux de distribution de toutes sortes auront disparu…et puis si vous imaginez que les gendarmes ou les policiers viendront vous protéger , je crois que vous faites fausse route , d’ailleurs les nouvelles gendarmeries sont maintenant équipées pour résister à tous les assauts y compris ceux des personnes qui viendraient chercher un secours .. soyez pratique , cessez d’etre utopiques , il n’ y a que trois chemins , l’exil , la soumission ou la resistance

  13. La campagne de Sarisse ressemble à L’Amour est dans le pré.
    Une espèce en voie de disparition.
    On regarde les campagnards de Karine comme on regarde des indiens d’Amazonie proches de l’extinction.
    Malheureusement la campagne de Sarisse c’est fini depuis longtemps.
    La reconquête partira des villes ou plutôt de la France périphérique.

  14. C’est pas si sur.
    la France profonde comme on la nomme est peuplée de villages où les familles de Français de souche sont enracinés depuis des centaines d’années voire des millénaires .
    Les nouveaux arrivants se plient aux règles de la contrée où ils ont choisi d’habiter et de s’enraciner
    La religion catholique est un ciment et l’histoire de la résistance qui relie nombre de familles pour ce qui concerne mon pays est un lien et une mémoire forte.
    Bien sur cela s’est passé souvent en montagne parce qu’on pouvait se cavcher plus facilement. Lisez  » la bataille du Mont MOUCHET « de René CROZET.
    Les villes ne conduisent qu’à une citoyenneté républicaine qui n’aboutit in fine qu’à fabriquer de parfaits déracinés ou des tribus…
    Notre identité nationale se trouve dans nos campagnes de la France profonde où le coeur de la France palpite ( et je ne parle pas des campagne-banlieues des grandes métropoles, PARIS, LYON etc ) et pas dans nos villes qui mènent à une citoyenneté républicaine qui n’aboutit in fine qu’à fabriquer de parfaits déracinés et c’est d’ailleurs c’est pour cela, entre autre, que les Français vont en banlieue, le lieu du ban, de l’exil eu égard aux prix pratiqués pour se loger etc
    Le combat de la reconquista se fera dans nos villes ou l’immigration est invasive mais je pense que ce sera à partir de nos campagnes que la résistance s’organisera.

  15. Tous les villages de campagne ,ne sont pas tous pareils ,je peux vous dire qu’ayant des amis habitant un village de 1200 âmes , et en connaissant un grand nombre d’habitant de ce petit bourg , je peux vous assurer que les allogènes seraient mal venu , et même que les voleurs et autres allogènes pratiquant ce sport , se prendraient vite fait du 12 ou du 16 Brenneke , village ayant un grand nombre de chasseurs.

    • Qui parle de « voleurs » ? On parle de l’immigration et du danger supplémentaire que causerait l’installation dans le campagne, c’est-à-dire dans le pays profond, d’immigrés jusque là cantonnés dans les villes et les banlieues (ce qui n’était déjà pas rien).
      Le fait que vous disiez « les voleurs et autres allogènes » montre que – malheureusement – vous n’avez pas compris la nature du problème, son ampleur et ses implications.
      Il ne faut pas se demander pourquoi ça dure depuis quarante ans sans que personne ne fasse rien.

      • Si vous aviez bien lu et bien compris ma réflexion , je ne parle pas que des voleurs , et je sais très bien que l’invasion que nous subissons entraîne toutes sortes de maux , et c’est de cela que je parlai à mots couverts , il est bien dommage que vous ne l’ayez pas compris . Et vous que faites vous, à part me critiquer sans comprendre le sens de mon commentaire ?

        • Je n’ai que trop bien compris que vous parliez de tous les maux qu’a entraîné l’invasion. Mais le problème, c’est que vous mettez dans le même sac et sur le même plan l’action de voleurs (c’est bien vous qui l’avez citée en exemple !) et l’immigration des envahisseurs. Et c’est cela qui ne va pas : ne pas voir la différence de gravité entre ces deux choses revient à minimiser l’importance de la seconde.
          En plus d’avoir un sens, les mots que nous employons révèlent notre psychologie profonde, et partant nos dispositions à passer de la pensée à l’action (ou au contraire à ne rien faire).
          Quant à moi justement, l’action en vingt ans de dissidence ne s’est pas limitée à des commentaires depuis un ordinateur.

          • Effectivement je l’ai écrit , peut être me suis -je mal exprimer ,mais quand je parle de voleurs , j’aurai dû ajouter , des violeurs , des assassins etc. . Vous savez très bien comme moi les conséquences que cela entraîne avec cette immigration non contrôlée . j’ai écrit ma pensée sur l’état actuel de notre pays , néanmoins j’essaie de réveiller le maximum de personnes où je réside , et vous le savez cela n’est pas facile , et bien souvent l’on se fait mal voir et traité d’islamophobe , de facho etc. etc.
            Bien à vous .

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