« Les gens du Nord
Ouvrent toujours leurs portes à ceux qui ont souffert
Les gens du Nord
N’oublient pas qu’ils ont vécu des années d’enfer »
Enrico Macias « Les gens du Nord »
L’enfer des gens du Nord, c’était celui du socialiste Jules Moch, ministre de l’Intérieur, réprimant par la force armée la grève des mineurs du Nord réclamant leur juste dû, eux qui travaillaient sept jours sur sept afin d’extraire le charbon dont la France de l’après-guerre avait tant besoin, pour le chauffage, pour les centrales thermiques, pour les locomotives à vapeur… C’était le renvoi de la mine et l’expulsion des corons, immédiats et sans indemnité, quelle que soit la situation familiale, et la prison en plus pour beaucoup, à dix dans une cellule avec un seul matelas.
Dans les Cévennes, on a gardé le souvenir de la répression contre les Huguenots au temps de Louis XIV, les dragonnades que nous apprenions à l’école, et leurs descendants sont attentifs à la tolérance religieuse. J’ai été hué pour avoir déclaré publiquement que l’attentat de « Charlie Hebdo » était le début de la guerre civile, d’une guerre de notre civilisation contre la barbarie. Les Protestants au grand cœur qui peuplent les Cévennes croient que l’islam est une religion et donc qu’il doit être protégé et accueilli. Dénoncer l’islam pour ce qu’il est leur paraît être intolérant.
Il y a quelques mois, j’ai vu à la télévision une brave femme de Calais, qui prenait chez elle les téléphones portables d’immigrés illégaux pour les recharger, prenant bien soin d’étiqueter chacun d’eux afin de le rendre à son propriétaire pour qu’il puisse appeler sa famille. Elle ne se demandait pas s’il était singulier que chacun de ces « malheureux » soit détenteur d’un objet coûteux et de plus titulaire d’un abonnement à usage international, choses pourtant non indispensables pour émigrer en pays inconnu et peu compatibles avec une situation de pauvreté supposée…
Lundi dernier, aux informations télévisées (ou à ce qui sert de…) j’ai vu des habitants de la zone frontalière avec l’Italie apporter des croissants aux immigrés illégaux faisant le siège de notre frontière et exigeant de pouvoir la franchir pour aller où bon leur semble. Ces gens, pour la plupart des hommes jeunes et musclés, sont juste accompagnés de quelques femmes et enfants, mais cela ne paraît pas être remarqué par ces bonnes consciences si sélectives et si promptes à se mobiliser pour apaiser leurs émotions sans écouter ni la raison, ni les alarmes, ni le moindre bon sens.
Ces gens dont la vocation ne saurait être de venir en Europe pour y importer leurs guerres tribales ou de religions n’ont rien à faire chez nous. Nous n’avons plus de travail, plus de logements, notre système de Sécurité sociale est en grave difficulté, et la France n’a pas non plus vocation à être l’assistante sociale du monde entier. Sinon, c’est elle qui va devenir un pays du tiers-monde, sans aucunement solutionner les problèmes des autres, bien au contraire ceux-ci ne feront que migrer en même temps que leurs populations. Mais qui parmi ces donateurs émus en a conscience ?
Aujourd’hui, mes chers concitoyens, j’ai mal à votre bon cœur. Quarante ans de désinformation et de manipulations post-soixante-huitardes ont fait de vous des nombrilistes pénitentiels et des irresponsables envers les générations futures. Demain, j’aurai mal à votre entêtement à nier la réalité, même lorsque vous aurez un couteau sous la gorge, et il s’agira bien de cela, et ce seront peut-être ceux-là que vous détestez aujourd’hui qui viendront à votre secours, s’il ne sera pas trop tard et si vous ne les aurez pas découragés…
Daniel Pollett
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Même Badinter admet que nous n’avons plus les moyens d’accueillir des migrants. Il faut donc considérer que cette politique est voulu pour détruire notre démocratie.
Demunies
Macias aime les algériens…les algériens n’apprécient que très modérément le juif qu’il est même s’ils disent l’apprécier…
Les gens du Nord de la France ont déjà subi l’acculturation et la dépossession de tous moyens..les populations sont en tous points démunis en majorité… malheureusement ,et cela est à déplorer.
Quant aux habitants du nord de l’Europe,les ravages n’ont pas encore eu lieu et il est encore temps DZ savoir relever la tête et de réagir.
Vu dans la presse du Web : « …Seine-Saint-Denis (93): au RSA, avec 49.000 euros sur lui, il finit en prison… » 49 000 € ?Sûrement pour s’acheter des croissants…
Avec 9 millions de pauvres et 6 millions de chômeurs, c’est plus des sentiments, c’est de l’acharnement contre nos peuples, et la répétition se fait dans toute l’Europe et rare sont des caméras sur nos pauvres à nous, pour montrer la réalité, toujours pour les immigrés, jamais ou rarement pour les nôtres.
Il y à encore une partie des gens, qui se réduisent car la réalité est de plus en plus présente et rattrapent les gens, mais qui ne savent pas ce qui se passe dans toute l’Europe et les graves dangers de l’Islam, seul la manipulation peut arriver à tromper les gens.
Les gens ne sont pas des veaux, mais des gens trompés par le système, sont les raisons des difficultés encore que nous rencontrons avec les gens, mais sont aussi les raisons de nos ré-informations, et à voir le grand pourcentage des français contre l’immigration, surtout musulmane et pas seulement en France, prouve que çà marche la ré-infos, nous avons des chances de s’en sortir, continuons notre combat de la ré-information sans cesse.
Oui, il s’agit bien de cela : un nombrilisme qui ne dépasse pas la distance qui sépare l’émotion de la raison. Et si on n’est pas capable de la franchir, on ne gouverne pas un pays, on va bosser chez Emmaüs. Le problème est tout autant dans la tête de tous ces français dont la seule ambition est de se voir passer pour des gens biens, quitte à trahir la raison, pourvu que l’émotion soit sauve. Finalement, c’est même d’une formidable hypocrisie, car le bénéfice réellement recherché en apportant les croissants est de pouvoir jouir de soi en se sachant regardé comme quelqu’un d’irréprochable. Ces français-là semblent incapables de voir à long terme. Bien sûr, l’immédiateté idéalisée portera beaucoup de promesses heureuses, mais la réalité doit pouvoir se calculer au -delà de la seule satisfaction due aux premières impressions. Quand on commence à envisager nos lendemains sous un angle différent de celui de la compassion tragique, quand on veut bien voir dans le migrant autre chose qu’un autre moi-même malheureux, on découvre alors la potentialité d’un danger vrai que les bons sentiments ne faisaient que dissimuler. Pire, ce sont ces mêmes bons sentiments qui donnent aux migrants tout l’armement suffisant à le retourner contre ceux qui les accueillent. Une nation n’a pas à être sentimentale, sauf à vouloir capituler par peur de combattre.