Le maire d’Hayange, Fabien Engelmann, et son équipe municipale organisent la deuxième fête du cochon, le dimanche 6 septembre, devant la mairie et l’espace Molitor.
Gageons que certains avalent de travers, persuadés qu’ils étaient que grâce à leurs efforts l’élection de notre ami serait invalidée. Le moins qu’on puisse dire est que, depuis son élection, il n’a pas été ménagé. Il faut comprendre. Maire FN, dans la France de Hollande, c’est une tare. Proche de Riposte laïque et de Résistance républicaine, c’est une autre tare. Jeune et déterminé, c’en est une autre. Ne se laissant pas faire par ceux qui croyaient l’instrumentaliser ou régler des comptes personnels en est encore une autre. Evidemment les journaleux aussi ne l’avaient pas ménagé. Pas de chance pour eux non plus, pas de chance encore pour les vaillants combattants du groupuscule « Hayange Résistance », Fabien est toujours maire, et, à chaque élection, il y a davantage de votes sur son nom.
http://ripostelaique.com/fabien-engelmann-est-toujours-la-sinceres-condoleances.html
Bien sûr, en farouches défenseurs des libertés publiques, les derniers staliniens d’Europe de l’Ouest qui sévissent dans quelques associations groupusculaires ont demandé au Préfet l’interdiction de cette deuxième fête, rien de moins ! Naturellement, ils se sont fait renvoyer dans leurs buts. Rappelons que l’an passé, plus de deux mille personnes avaient assisté à ce premier événement, qui avait marqué le fort soutien populaire dont bénéficie le nouveau maire.
Nous encourageons donc les patriotes, amoureux des meilleures traditions de notre pays, à assurer, par leur présence, le succès de cette initiative courageuse, qui, nous l’espérons, sera reprise prochainement par tous les maires patriotes, qu’ils soient au FN ou dans d’autres organisations. Car, dans une France gangrénées par le multiculturalisme, l’islamisation de notre pays et l’invasion migratoire, il demeure des symboles de résistance forts, comme le cochon, le drapeau et notre hymne national.
Vous aurez l’occasion, en venant à cette fête, de rencontrer quelques animateurs de Riposte Laïque et de Résistance républicaine, qui seront ravis de partager leur table avec les amis.
Paul Le Poulpe
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Monsieur le Maire d’Hayange,
Felicitation pour cette deuxième journée consacrée au COCHON, notre animal national ! Je ne sais si le poème que je vous avais envoyé, l’année dernière, sur votre site de la mairie vous est parvenu ?
Aussi, par l’intermédiaire de RESISTANCE RÉPUBLICAINE je me permets de vous l’adresser de nouveau cette année à la veille de votre grande FÊTE DU COCHON.
Sincères encouragements à persévérer.
Et…… « COCHON QUI S’EN DÉDIT !!! »
PLAIDOYER POUR LE COCHON
Si l’on cherche en Europe, parmi les animaux,
Ceux qui durant des siècles, nous firent don de leur chair
Le PORC est sans nul doute, il ne faut pas le taire,
Celui qui préserva tous nos peuples de leurs maux.
Car il fallait alors trouver des protéines
Qui puissent alimenter, durant les longs hivers,
Alors que les seigneurs écoutaient les trouvères,
Ces nations affamées et qui pliaient l’échine.
De Dublin à Moscou, d’Oslo à Palermo
Après la paix romaine et les grandes invasions
Quand tous ces peuples nomades cessèrent leurs incursions
Et fixèrent leurs pénates dans les villes, les hameaux…
…Cet animal béni, bien plus que par les dieux,
Pouvait alors trouver dans ce monde sédentaire
Cette place d’honneur qui lui permit de faire
Bouillir-e la marmite de tous les ventres creux.
Car, n’oubliez pas – Amis! – Qu’en ces temps reculés,
Cette belle invention: la ré-fri-gé-ra-tion
N’avait pas encore cours, et la seule solution,
Seul le SEL, la donnait, vieille technique éculée.
Ce sel qui aujourd’hui permet de conserver:
Lard, jambon, saucisson et ces belles salaisons
Comme aux temps de nos rois, pour qu’à chaque saison,
On puisse goûter aux fruits de ces chairs préservées.
Ces rois, qui en ces temps, nous accablaient d’impôts!
(Habitude non perdue par nos « princes » d’aujourd’hui)
Gardaient jalousement dans tous leurs entrepôts
Ce sel indispensable, ce magnifique produit.
C’est ainsi que ces grands, inventèrent la Gabelle,
Impôt pris sur le sel pour contrôler sa vente,
Comme de nos jours l’Etat conditionne la rente
Des produits pétroliers, tombée dans l’escarcelle!
Mais pour en revenir à ce cher animal
Maintenant que nos peuples, sous le joug du halal,
Se voient terrorisés, et c’est un moindre mal,
Par des maires socialistes qui donnent leur aval
Pour que dans les cantines et jusque dans les halles
Le cochon soit banni et ce n’est pas banal,
Remplacé par bovin, mouton ou la volaille
Qu’il faudra (c’est la mode) saigner, afin que « tous » aillent
Au paradis d’Allah !!!
Mais justement voilà que cette bête décriée
Par mon frère musulman ; voilà bien trois mille ans
Qu’elle est bien sacrifiée, il faut donc le crier,
Selon son « rite sacré » : égorgée dans son sang!!
Il faut bien le saigner pour bien le récolter
Et préparer ainsi: boudin de Mortagne,
Andouille de Vire, jambon d’Aoste, pâté de campagne…
Le porc est donc halal ! Sans vouloir t’insulter !
Et que deviendrait Toulouse sans son cassoulet ?
Strasbourg, sans sa choucroute? Arles, sans son saucisson?
L’Alsace, sans charcuterie? L’Auvergne, sans salaisons?
Paris, sans jambon? Obélix sans porcelet?
Refusons ce diktat, refusons le halal
La nationalité, passe aussi par le ventre
Français ! D’où que tu sois, du Nord, du Sud, du Centre
Défends donc notre porc, notre viande nationale !
Car voilà bien longtemps que cette chair est saine,
Les règles sanitaires sont partout respectées.
Dans notre vieille Europe, elle n’est plus suspectée,
Quoiqu’en disent nos barbus sur les bords de la Seine.
Ceux-là même qui un jour obligèrent à partir
Mon ami charcutier, de la place de Lille
Office qu’il occupa vingt ans, dans cette ville.
Dès lors que la Mairie n’en fit pas un martyr.
Et je pourrais finir en forme de boutade
A mes risques et périls, puisqu’il ne faut en rire :
« A mon copain Saïd, aux ancêtres nomades
Je demandais un jour pourquoi cette viande inspire
Tant d’anathèmes, tant de rejets, tant de haine ?
–C’est que vois-tu, dans le désert, c’est avec peine
Que tu pourrais conduire un troupeau de cochons
Ils partiraient, c’est sûr, dans toutes les directions.
Alors que les moutons, Panurge en est la preuve,
Bien avant que Rabelais le conte dans son œuvre,
Suivent aveuglément leur chef ou leur caïd…… »
Méditer cette pensée de mon ami Saïd…….
Malthus
Ce genre de fête était tout a fait courant il y a encore quelques années , nous
nous félicitons aujourd’hui de la ténacité de Monsieur le Maire et nous avons raison . C’est quand même malheureux d’avoir a se battre pour organiser un tel évènement , ceux que cela dérange sont libres de partir vivre dans un pays ou règnent les préceptes de leur religion .
Bravos! le FN, on voit bien encore ceux qui aiment leurs pays et notre civilisation Occidental, pas comme ces abrutis de l’union de misère Bruxelles et autres tordus éliminés de la pensée unique raciste imbécile, multi cons.
La vraie diversité est au niveau mondial dans les chaumières de chaque pays au monde, pour quels existes encore, il faut quels soient encore protégés, les mélanges de cultures et des races comme le multiculturel cosmopolite et le métissage raciste les tuent.
Au monde entier, défendez tous vos cultures, traditions et votre couleur de peau contre les attaques du multiculturel cosmopolite et du métissage raciste.
Bravo Mr le Maire, sachez que Hayange est beaucoup trop loin de la région Marseillaise mais nous serons avec vous par la pensée.
Monsieur le Maire, je suis malheureusement beaucoup trop éloigné pour assister à votre deuxième fête du cochon, et, croyez-moi, j’adore la charcuterie. Je ne sais pas quel est le contingent de votre gendarmerie municipale. S’il est important, penseriez-vous, à l’exemple de Mr Robert Ménard, Maire de Béziers, à remettre un drapeau muni de l’emblème de votre ville à la gendarmerie municipale de Hayange ?