Le cancer social provoqué par l'islam : exemple de la Belgique, par Jarczyk


islamsaloperie2La cancérisation sociétale provoquée par l’islam et tous ses affidés (responsables politiques, journalistes, hommes d’églises…) peut tout aussi bien être assimilée à un viol : celui des peuples qui ont bâti la civilisation européenne : cette
incroyable violence infligée à nos sociétés occidentales, passe de moins en moins inaperçue et pourtant, la passivité des peuples reste encore tragiquement omniprésente dans une Europe amollie par des décennies de consumérisme et divertissements de toute nature , mais aussi et surtout par tous les détournements idéologiques auxquels elle a succombé et a l’envahissement progressif, de sa population d’origine, par d’autres ,d’origine arabo-musulmane porteuses d’une grande vitalité et à la religion conquérante qu’est l’islam : regardons par exemple, ce qui se passe en grande Bretagne, mais surtout en Belgique, véritable « Etat laboratoire » de nos sociétés en devenir..(.L’alimentation -et c’est une raison que l’on ignore encore totalement, joue un grand rôle dans la passivité intellectuelle ou de l’agressivité de certaines populations et de leur promptitude à leur asservissement – spirituellement parlant.)

Source : http://www.gatestoneinstitute.org/3692/belgium-erasing-christianity

Sous couvert d’abandon des fêtes chrétiennes, un texte dérogatoire octroie aux musulmans le droit d’ajouter des jours fériés islamiques supplémentaires…. Six sénateurs belges ont introduit un projet de résolution au Parlement belge faisant de l’ «islamophobie» un crime passible d’amendes et d’emprisonnement. Une personne serait considérée coupable si elle «estime que l’islam est violent, constitue une menace ou est le vecteur du terrorisme … » ou si elle « considère que l’islam est une idéologie politique, utilisée à des fins politiques et militaires pour établir son hégémonie. » Si elle est adoptée, cette loi porterait un coup dévastateur à l’exercice de la liberté d’expression en Belgique.

La Wallonie, la région francophone du sud de la Belgique, a officiellement rebaptisé les quatre grandes fêtes chrétiennes du calendrier scolaire belge avec des noms profanes.

Les détracteurs du mouvement disent qu’il reflète un effort continu de la part des politiciens Belges pour éliminer le christianisme de la vie publique afin d’accueillir une population musulmane en plein essor.

La Communauté francophone de Belgique – qui a ses propres institutions, son parlement et son gouvernement, et a compétence sur les cinq provinces wallonnes ainsi que sur la population francophone de Bruxelles dans les domaines de l’éducation et de la culture – a adopté un décret-cadre qui établit formellement des nouvelles dénominations sécularisées dans un esprit de «simplification administrative».

Comme le rapporte le journal de centre-droit La Libre le 26 Mars, les calendriers scolaires au sein de la communauté francophone de Belgique vont utiliser de manière permanente la terminologie suivante: la fête chrétienne précédemment connue sous le nom de Toussaint (Congés de Toussaint) sera désormais désignée comme les Vacances d’automne; les Vacances de Noël se transforment en Vacances d’hiver; Les Vacances de Carême (Congés de Carnaval) passent à Congés de repos et de détente et Pâques (avec ses Vacances de Pâques ) devient désormais les Vacances de Printemps.

Bien que ces appellations sécularisées aient été utilisées de façon intermittente au cours des années passées, le nouveau décret officialise leur utilisation sur une base permanente.

Le passage à « la dé-christianisation » des vacances chrétiennes a été vertement critiqué par ceux qui s’opposent à la propagation inexorable du multiculturalisme en Belgique.

L’opposition la plus virulente vient en partie du Mouvement Réformateur (MR), une alliance de quatre partis de centre-droit qui, ensemble, constituent la plus grande formation politique libérale classique dans la Communauté francophone de Belgique.

Le Chef de file du MR Françoise Bertieaux a accusé le ministre wallon de l’Education, Marie-Dominique Simonet, de se plier aux exigences des musulmans au détriment des chrétiens. «La Ministre Simonet veut mettre la religion [le christianisme] à la porte, mais le nouveau décret ouvre effectivement la voie à une religion [l’islam] qui passe par la fenêtre. Sous couvert de lâcher la religion et la tradition chrétienne, ce texte réintroduit de nouveaux jours de vacances pour les autres religions [l’Islam]. MR déplore fermement cette nouvelle formule », a déclaré Bertieaux.

Selon Bertieaux, l’article 9, paragraphe 3, du nouveau décret prévoit pour les musulmans une mesure dérogatoire qui leur permettrait d’ajouter des fêtes religieuses islamiques au calendrier scolaire officiel.

Le coup de balai en Wallonie intervient juste quelques mois après que les responsables de la ville de Bruxelles aient troqué le traditionnel arbre de Noël sur la place centrale gothique de la ville contre une structure politiquement correcte de l’art minimaliste abstrait.

Des opposants ont accusé le maire socialiste de Bruxelles, Freddy Thielemans, de déclarer la guerre à Noël et d’installer la structure de lumière «multiculturelle» pour ne pas « offenser » la population musulmane croissante de la ville.

Historiquement, un sapin de 20 mètres de haut, prélevé dans les forêts des Ardennes a traditionnellement orné la place principale de la ville, la Grand-Place. En 2012, cependant, il a été remplacé par une structure lumineuse de 25 mètres de haut, un emboîtement de cubes lumineux de style futuriste . En outre, le traditionnel marché de Noël dans le centre de Bruxelles a été rebaptisé « Plaisirs d’Hiver 2012. »

Le cabinet du maire, où plus de la moitié des onze conseillers municipaux de la ville sont soit musulmans soit socialistes, ou les deux, a déclaré que le nouveau concept décoratif abstrait – qui a coûté en tout aux contribuables de Bruxelles, 44,000 €, au lieu des 5,000 € pour l’arbre traditionnel – fait partie d’un thème de célébration de la «lumière».

Le Conseiller municipal Philippe Close a déclaré que le but était de montrer le caractère « avant-gardiste » de Bruxelles en mêlant modernité et tradition pour produire quelque chose de nouveau et de différent.

Mais Bianca Debaets, une conseillère municipale de Bruxelles du parti flamand démocrate – chrétien, a fait part au journal flamand Brussel Nieuws de sa conviction que c’est bien un conflit de sensibilités religieuses musulmanes qui a incité le Conseil municipal de Bruxelles à mettre en place la sculpture de lumière.

«Je soupçonne que la référence à la religion chrétienne a été le facteur décisif dans le remplacement de l’arbre», a déclaré Debaets. «Pour beaucoup de gens qui ne sont pas chrétiens, l’arbre constitue une offense. Quelle sera la prochaine victime? Est-ce que tous les oeufs de Pâques devront être interdits à Bruxelles car ils se réfèrent à Pâques? »

Dans une interview à la BBC (BBC News), Erik Maxwell, un résident de Bruxelles, a déclaré: « Nous pensons que l’arbre a été mis en place pour des raisons culturelles. Un arbre c’est pour Noël et pour les chrétiens, mais maintenant il y a beaucoup de musulmans ici à Bruxelles. Donc, pour éviter les discussions ils ont juste remplacé l’arbre par une série de cubes!  »

Malgré tant d’efforts pour faire de la Belgique un lieu de convivialité pour l’Islam, de nombreux musulmans, s’estiment toujours exclus de la société belge.

Selon un nouveau sondage auprès de la jeunesse musulmane en Flandre, la moitié nord néerlandophone de Belgique, seulement 30% des hommes musulmans âgés de 15 à 25 ans se sentent acceptés par la société flamande. Ce chiffre tombe à 25% pour les femmes musulmanes dans le même groupe d’âge.

L’enquête, qui a été publiée par le quotidien Gazet van Antwerpen, le 19 Avril, montre que 60% des jeunes musulmans pensent qu’ils ne seront jamais intégrés dans la société belge. Une sur trois des personnes interrogées affirme qu’elle a été victime de discrimination à l’école, et une sur cinq dit avoir été victime de discrimination au travail. Plus de 50% disent avoir été victimes de racisme. Bien que 93% des individus interrogés soient de nationalité belge, 42% d’entre eux disent qu’ils se considèrent comme des étrangers.

Les résultats sont pratiquement inchangés par rapport à une enquête similaire menée en 2005, et impliquent que des années d’efforts du gouvernement pour faire de la Belgique un pays encore plus multiculturel ont été inopérantes pour changer l’esprit de la jeunesse musulmane.

Selon le ministre flamand de l’Intégration, Geert Bourgeois, les jeunes musulmans doivent travailler davantage et se plaindre moins. « Que tant de jeunes se sentent victimes de discrimination et ne se sentent pas acceptés est un signe que notre société a encore beaucoup de travail à faire. C’est en réalité une histoire entre ‘nous et eux’. Comme société, nous pouvons et nous devons encore faire un effort supplémentaire, mais inversement, les jeunes musulmans devraient faire plus aussi. Peut-être qu’une recherche inversée montre que nous pensons simplement que les jeunes musulmans ne s’intègrent pas parce qu’ils ne veulent pas s’intégrer», dit Bourgeois.

Néanmoins, si on laisse faire les multiculturalistes belges, exiger des musulmans qu’ils en fassent plus pour mieux s’intégrer dans la société belge, pourrait bientôt devenir une infraction pénale.

En Février, six sénateurs belges (trois d’entre eux sont musulmans) ont présenté un projet de résolution au Parlement fédéral belge qui ferait de l’«islamophobie» un crime passible d’amendes et d’emprisonnement.

Le projet de résolution – qui, entre autres objectifs, vise à assimiler «l’islamophobie» à l’antisémitisme – est audacieux dans sa portée et s’il est adopté, il porterait un coup dévastateur à l’exercice de la liberté d’expression en Belgique.

Selon les auteurs de la résolution, une personne serait coupable d’islamophobie si il ou elle:
• considère l’islam comme un simple bloc monolithique, fermé et statique, incapable de s’adapter à des situations nouvelles;
• considère l’islam comme ‘à part et différent’, sans objectifs communs ni valeurs partagées avec d’autres cultures, à l’écart des influences des autres cultures et sans influence sur les autres cultures;
• considère que l’islam est inférieur en Occident, de nature barbare, irrationnelle, primitive et sexiste;
• considère que l’islam est violent, constitue une menace, apporte son concours au terrorisme, et qu’il est activement engagé dans un ‘choc des civilisations’;
• considère l’islam comme une idéologie politique, utilisée à des fins politiques et militaires pour établir son hégémonie;
• rejette d’emblée toute critique faite par l’Islam de ‘l’Occident’;
• Montre de l’hostilité envers l’islam pour justifier la discrimination et l’exclusion sociale des musulmans;
• Accepte l’hostilité envers les musulmans comme naturelle et normale.

Cette définition de l’islamophobie, qui s’appuie sur un rapport de 1997 publié par le Trust Runnymede dont le siège est à Londres, aurait pour effet d’interdire toute discussion critique de l’islam en Belgique sous couvert de la lutte contre le racisme.

Le projet de résolution a indigné les militants de la liberté d’expression, qui exigent un examen public plus approfondi de ce qu’ils considèrent être une mesure ‘draconienne’ contraire aux valeurs démocratiques libérales. Les auteurs du projet de loi, quant à eux, campent sur leurs positions.

Dans une interview avec le quotidien Le Soir, le sénateur de Wallonie, Richard Miller, accuse les pourfendeurs de la résolution de faire dire au projet des choses qu’il ne dit pas.

Miller, un membre de ce même Mouvement Réformateur qui a accusé d’autres hommes politiques belges de se plier aux exigences des musulmans, affirme que cette mesure ne vise pas à interdire la critique de l’islam, mais seulement à « lutter contre ceux qui utilisent souvent une variété d’arguments, qui ont pour effet de créer un malaise au sein de la population musulmane.  »

Soeren Kern est Senior Fellow du Gatestone Institute de New-York et du Groupe Européen d’Etudes Stratégiques de Madrid.

Je ne doute pas une seconde que le verdict prononcé à l’encontre de la Présidente de Résistance Républicaine, Christine Tasin serve de test pour les laborantins européens de la « nouvelle société »…islamisée, dans la droite ligne du Trust cité plus haut !!!

D’un tel viol, quel  » être social  » peut-il naître ?
Nous avons connu le monstre du nazisme…Et le voici qui se réincarne dans l’islamisme, prêt à détruire une Europe qui ne sait même plus qui sont ses pères et ses mères et qui se jette dans les bras d’une religion mortifère : l’islam: le voilà le combat d’Eros contre Thanatos !
Quand nous parlons de « forces obscures »….Avons nous vraiment conscience de ce à quoi nous avons à faire là ?

Jarczyk

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7 Commentaires

  1. Je n’ai pas changé d’avis du tout. Je suis pour la République une et indivisible et contre les régions cela n’empêche pas d’être attaché à son terroir et de le préserver !!!!!!

  2. à Jarczyk,
    L’étude de Gatestone (qui fait un excellent travail) fixe les limites de ce genre d’exercice.
    Le fait de devoir publier un maximum d’informations -souvent complexes- en un minimum de colonnes ou de pages, tient souvent du casse-tête.
    Donc, on va directement à l’essentiel en négligeant par manque de temps, par manque d’espace disponible, pour ne pas lasser le lecteur, … des facteurs qui expliquent pourquoi tel ou tel fait, est devenu cet « essentiel » à faire connaître.
    Sans oublier le facteur « temps » qui s’interpose entre la survenance d’un évènement à un instant T, et l’instant de sa diffusion auprès du public-cible intéressé par cet évènement.
    Ces études ou rapports sont forcément « réducteurs » et peu nuancés, … mais c’est inévitable.
    Par exemple, le bourgmestre (maire) de Bruxelles à la base des « cubes de Noël » (en lieu et place du sapin traditionnel) a quitté ses fonctions, … et en 2013 un sapin de plus de 20m. de haut a été installé au centre de la Grand-Place de Bruxelles.
    Les associations et groupes musulmans ont eu l’excellente idée de se taire (pour une fois !).
    Le même problème autour de la fête de Noël, se pose aussi en Grande-Bretagne, où les locaux de groupements caritatifs (genre Croix-Rouge) n’affichent plus de symboles traditionnels chrétiens tels que sapins, crèches, étoiles multicolores, etc… or ces symboles ont pris au fil du temps une dimension -à la fois- culturelle et de tradition populaire.
    Les chrétiens y voient la dimension religieuse, et ceux qui n’adhèrent pas au christianisme y voient une dimension de culture et de tradition.
    Que les musulmans en soient satisfaits ou pas, est sans aucune importance.
    Ici, c’est notre culture, nos traditions et nos modes de vie qui prévalent.
    C’est ainsi, … et il n’y a pas matière à discussion.
    Et personne, n’interdit à ceux qui ne sont pas d’accord avec cet état de fait, de s’en aller vers d’autres cieux.
    C’est simple, non ?

  3. Dire la vérité sur l’islam pourrait donc devenir prochainement un « délit » en belgique.
    Le gouvernement Belge l’ignore peut être, mais il n’a strictement rien à envier aux collabos qui en 40 promulgaient eux aussi des lois interdisant toute critique du régime d’occupation nazi.
    Lorsque les peuples d’Europe auront retrouvé leurs pleine et entière souveraineté Nationale, il ne faudra surtout pas oublier les noms de tout ces traîtres, afin de les juger comme d’autres l’ont été à la fin de la guerre.
    Pardon, mais c’est encore trop d’honneur de comparer ces collabos de l’islam avec ceux du régime nazi, car au moins les collabos des nazis avaient l’honnêteté de ne pas cultiver l’illusion de « liberté ».

  4. Premiers commentaires « à chaud » de l’article de Gatestone, … cet article n’est pas nouveau,et mentionne des évènements remontant à plus de deux ans.
    Et en deux ans, la situation a nécessairement évolué.
    Ceci étant, le panorama général tel qu’il est dépeint est correct.
    Le projet présenté par six sénateurs, afin de criminaliser toute contestation de l’islam a été plus ou moins abandonné – ce qui ne veut pas dire qu’il ne ressortira pas des tiroirs, un jour ou l’autre.
    Mais depuis peu, le rôle du sénat a changé et les résultats des élections générales du 25 mai dernier ont modifié pas mal de choses.
    Pour faire très-très court, les flamands (majoritaires en nombre, dans le pays) sont à la manoeuvre afin de former le prochain gouvernement fédéral.
    En étant majoritaires (en terme de population) dans le pays, … en étant la région économiquement la plus puissante du pays, … et en étant probablement majoritaire dans le prochain gouvernement fédéral, … les flamands peuvent faire évoluer la position très laxiste de la Belgique vis-à-vis de l’islamisation.
    Le voudront-ils et le feront-ils, c’est probable,
    Mais pour l’instant, ce ne sont encore que des voeux.
    Au minimum une chose est certaine, la plupart des politiciens flamands ne sont guère favorables aux accommodements raisonnables (ou non) vis-à-vis de l’islam.
    La ministre flamande qui était en charge de l’immigration dans le gouvernement fédéral sortant, a mené une réelle politique de rigueur et de fermeté en cette matière.
    Elle fut décriée par tous les droitsdelhommistes ayant la larme très facile, par le PS francophone, par les écologistes, … mais elle a gagné, en moins de deux ans, une réelle et grande popularité dans TOUT le pays (Bruxelles et Wallonie comprises).
    Cette popularité est assez symptomatique.
    En région flamande, le ministre Geert Bourgeois (cité dans l’article de Gate stone) est à nouveau dans l’équipe dirigeante à ce niveau de pouvoir.
    Autre particularité, les flamands sont assez chatouilleux sur les questions de leur identité flamande (d’où les problèmes politiques « à la belge »).
    Un flamand « de souche » assume cette identité sans aucun complexe, ni sans s’excuser d’être ce qu’il est.
    Ce qui a pour conséquence de les rendre peu perméables à une identité comme celle de l’islam-oumma.
    L’ IDENTITE REGIONALE (OU NATIONALE) A UN REEL EFFET DE BARRAGE, sur la pénétration de l’islam.
    Avec comme conséquence subsidiaire, un faible noyautage des partis politiques flamands par des candidats professant l’islam et ses préceptes.
    Ceci est flagrant en reprenant les tracts électoraux distribués avant les dernières élections.
    A Bruxelles et en Wallonie, près de la moitié des listes PS et autres « grandes formations » étaient constituées -en positions d’éligibilité- par des candidats issus de l’immigration originaire de pays musulmans.
    Certes, il s’agit d’un reflet de la situation démographique de l’immigration à Bruxelles et dans les villes wallonnes, … mais on peut s’interroger sur la prédominance de l’engagement politique de certains élus, par rapport à leur engagement pour l’islam.

      • Petite preuve indirecte, et avec un grand sourire, que la loi sur la criminalisation de la critique de l’islam n’est pas (ou pas encore) passée.
        Avec tout ce que j’ai écrit sur RR, je devrais -si ce projet de loi était passé- déjà avoir été condamné à (et au moins) 500 ans cumulés de prison, sans oublier une pendaison, suivie d’une petite décapitation -très à la mode dans la sharia- … et peut-être, car en option, une crucifixion toujours inscrite dans cette même sharia (et appliquée, de temps à autre, en arabie saoudite).
        Va falloir que je pense à demander l’asile politique aux manchots de la Terre-Adelie ou des Kerguelen !
        On va être nombreux à s’y rendre, ce sera le St-Tropez de l’anti-sharia ! lol

    • Bonjour Mandalay !
      Effectivement, l’identité ( régionale d’abord, nationale ensuite) reste un facteur de résistance à tout autre modèle culturel d’importation (à l’islam, en l’occurrence) est c’est ce que j’ai compris en parcourant, un peu, la Bretagne, cet été…C’est bien pourquoi certains désirent avec un tel acharnement et sous des prétextes fallacieux de détruire ces » idendités- mémoires » , lesquelles sont , bien sur, liées aussi à la démogaphie et la sociologie…Bref, je vois que tout n’est peut-être pas perdu, en Belgique comme ailleurs…

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