La Hijrah : cheval de Troie islamique de l’immigration, par Rosaly

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La migration des musulmans vers le Dar-al-Harb, le « territoire de la guerre » est l’application d’un décret religieux

Dans un livre passionnant, publié en 2009, mais d’une étonnante et brûlante actualité : « Le Cheval de Troie des temps modernes : la doctrine islamique de l’immigration », les auteurs Sam Solomon, un ancien professeur de droit musulman (charia), converti au christianisme et Elias Al Maqdisi, un expert de l’enseignement islamique, expliquent la migration des musulmans vers le Dar-al-Harb, le « territoire de la guerre » comme l’application d’un décret religieux, issu de la doctrine islamique.

Une stratégie de conquête vieille de 14 siècles

Ils décrivent, étape par étape, ce processus de conquête basé sur une stratégie vieille de 14 siècles. Il s’agit d’une stratégie transitoire, qu’ils définissent comme l’étape la plus importante pour la propagation de l’islam et la préparation au jihad. Leur traité sur la Hijra (ou l’Hégire) explique clairement que la migration, de concert avec la conquête militaire, sont les deux pôles de l’expansion islamique.

(L’Hégire signifie la rupture des relations, l’abandon de la tribu, ou migration, et se réfère au départ de Mahomet et de ses compagnons de la Mecque, le 16 juillet 622, pour l’oasis de Yathrib (plus tard rebaptisé Médine). Le calife Omar I (d. 664) a proclamé le début de l’ère musulmane (AH, annus hegirae), dès le premier jour de l’année lunaire, au cours de laquelle s’est produite l’hégire ou la migration de Mahomet vers Yathrib.)

Une immigration conçue pour dominer les sociétés non-musulmanes

La Hijra n’a rien de romantique. C’est une immigration conçue pour dominer les sociétés non-musulmanes et paver la voie à leur totale islamisation.

L’immigration musulmane ne doit pas être confondue avec l’arrivée d’immigrants de différentes cultures à la recherche d’une vie meilleure et désireux de faire profiter le pays d’accueil de leurs talents. Il s’agit d’une immigration au service de l’impérialisme arabe. Elle mise sur la ségrégation ethnique pour obtenir des privilèges et un statut spécial dans les pays d’accueil.

Dans leur livre, Solomon et Al Maqdisi passent en revue les différentes phases de la Hijra et sa base juridique ou légale, inscrite dans la doctrine islamique. Sous le couvert de la taquiya ou de la tromperie, la méthodologie du processus de migration est conçue, étape par étape, afin de soumettre, puis assujettir la culture hôte, et enfin instaurer la charia.

  • La phase initiale de l’islamisation consiste à faire accepter des activités propres à l’islam, à établir sa présence physique et visible, comme par exemple des appels publics à la prière, la création de lieux de prière, d’écoles musulmanes, de bibliothèques, de centres de recherches, l’enseignement de la langue arabe. Toutes ces activités semblent correspondre à des exigences raisonnables et respectables, afin d’établir l’infrastructure, nécessaire au soutien de la foi.
  • A ce stade de la Hijra, il est permis aux Musulmans de s’engager dans des activités considérées comme « haram » (qui leur sont généralement interdites) ou d’accomplir des actes interdits et ce dans le but d’établir et de renforcer le pouvoir de l’Oumma ou de la communauté musulmane. Les règles coraniques interdisant d’entretenir des relations amicales avec les infidèles sont suspendues. Pendant ce temps, les instruments de la future islamisation sont systématiquement mis en place. Dans sa phase initiale, la Hijra trompe la vigilance des Occidentaux et ces derniers sont naïvement prêts à croire que l’immigration musulmane est essentiellement économique, une sorte de pèlerinage vers une vie meilleure.

Les auteurs Solomon et Maddisi décrivent la stratégie islamique, qui débute par l’établissement de larges communautés musulmanes (l’Oumma).

La mosquée devient le centre du pouvoir, le cœur de toutes les activités de la communauté et une base stratégique.

Ils expliquent, comment, lors de cette phase embryonnaire, l’une des priorités majeures est l’accueil de nouveaux immigrants, afin d’accroître et de renforcer le pouvoir de la communauté existante. Les leaders de la communauté leur offriront l’assistance nécessaire et les conseilleront dans le choix des écoles, du logement, de la mosquée, du marché halal et autres services, afin de s’attirer la reconnaissance des nouveaux arrivants et les insérer dans la communauté musulmane locale. Des agents des mosquées, toujours en alerte et à la recherche de nouveaux migrants et de convertis potentiels, s’impliquent dans des formes subtiles d’endoctrinement et de surveillance des musulmans.

La véritable fonction de la mosquée est de décourager l’intégration des musulmans dans le but de promouvoir l’islamisation

La première étape relative à l’établissement d’une mosquée, comme centre de la vie communautaire et islamique locale, est erronément considérée par les non musulmans comme la construction bénigne d’un simple lieu de prière, à l’instar d’une église, d’un temple ou d’une synagogue. Son véritable objectif – qui est celui de décourager l’intégration des musulmans dans le but de promouvoir l’islamisation du pays d’accueil – échappe hélas à leur attention.

Une fois la communauté bien consolidée, commence alors la lutte pour obtenir un statut spécial, suivi par la demande de l’application de la charia. Comme dicté par le coran et la sunnah, la ségrégation d’avec les non musulmans est l’issue naturelle de la progression de l’immigration de conquête.

Au fur et à mesure que la population musulmane s’accroît, des changements visibles commencent alors à paraître.

  • Avec le temps, le code vestimentaire se transforme : on passe du hijab, d’abord réservé aux enclaves musulmanes, au niqab, recouvrant entièrement le corps de la femme dans la sphère publique. Ensuite, on arrive à l’abolition de la mixité et à la séparations des musulmans des non musulmans.

Peu à peu, la population de souche s’habitue à ces accommodements dits religieux et les mesures ségrégationnistes et intolérantes sont dès lors facilement acceptées : demandes de séparation dans les lieux publics, les lieux de travail, école, et universités. Repas halal, finances islamiques dans le respect de la charia et ajout de fêtes musulmanes au calendrier public. Toutes ces exigences contribuent à élever la communauté musulmane et à lui accorder un statut spécial, à en faire une communauté séparée et distincte.

Ces demandes sont d’abord présentées comme des accommodements bénins pour répondre aux exigences religieuses de pieux musulmans, et toutes tentatives de les supprimer seront décriées comme une discrimination religieuse.

Aux USA, les musulmans ont commencé par demander des horaires séparés pour la piscine et les cours de gymnastique, à exiger que le visage des femmes musulmanes, portant le hijab, ne soit pas dévoilé sur les photos d’identification pour les permis, à autoriser le personnel musulman à ne pas manipuler et/ou transporter des produits contenant du porc, à exiger que les employées portent des vêtements plus modestes sur leurs lieux de travail.

A ce stade, les représentants des communautés musulmanes coopèrent souvent main dans la main avec le gouvernement du pays d’accueil pour implanter ces changements.

L’idée est d’habituer la société hôte à accepter les coutumes, les fêtes, les codes vestimentaires, les bâtiments musulmans

Comme l’expliquent les auteurs, l’idée est d’habituer la société hôte à accepter les coutumes, les fêtes, les codes vestimentaires, les bâtiments musulmans. Les nouveaux arrivants sont encouragés par les leaders musulmans à devenir des citoyens, à voter, à se porter candidat aux élections pour accroître l’influence de l’Oumma.

Au niveau universitaire, on endoctrine les étudiants à devenir les « avocats » de l’islam, à s’engager dans des activités interconfessionnelles, à faire de la da’wa – du prosélytisme – et à s’entraîner pour le djihad. Des professeurs non musulmans sont sollicités via la « zakat » ou « dons en argent » à présenter des cours favorables à l’islam et à en faire la promotion via leurs écrits et leurs conférences.

Le prince saoudien Al-Waleed bin Tahal avait fait un don de 20 millions de dollars à chacun des centres d’étude islamique des universités de Harvard et de Georgetwon dans le but de s’assurer que les recherches et les publications soient favorables à l’islam.

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Dans leur livre, les auteurs Sam Solomon et Elias Al Maqdisi soulignent le fait que l’identité musulmane se raffermit au fur et à mesure que les musulmans gagnent du pouvoir, grâce à leur poids démographique et au renforcement de leurs infrastructures : les mosquées, les écoles coraniques, les clubs, les organisations et mes médias islamiques se multiplient. La doctrine de la taqiya ou du mensonge est fermement mise en place, tandis que les musulmans dissimulent leurs objectifs de conquête sous le diktat de leur dévotion religieuse et cherchent à modifier le culture du pays hôte, le pays des non musulmans ou kouffars.

A ce stade plus avancé, des initiatives sont prises dans le but de réduire les opposants au silence ou de gagner leurs faveurs. L’utilisation judicieuse de la Zakat (dons en argent) vise à encourager les politiciens, les médias et autres organisations à donner une image plus favorable de l’islam et des musulmans. Par exemple, au cours de ces deux dernières années, aux USA, sous l’Administration Obama, les mots « jihad » et « islamofascisme » ont été expurgés du vocabulaire officiel des représentants du gouvernement et les mots « islamique » et « terrorisme » sont rarement associés.

En Europe, en état d’islamisation avancée, un tournant dangereux s’est produit, non seulement avec le meurtre de Theo van Gogh, coupable d’avoir réalisé un film sur l’asservissement de la femme dans l’islam, mais également via les menaces de mort à l’encontre du parlementaire néerlandais Geert Wilders pour ses critiques virulentes contre l’islam.

Au fur et à mesure que progresse l’islamisation du pays hôte, les incitations à s’entraîner au jihad augmentent.

Les jeunes jihadistes occidentaux se rendent dans leur pays d’origine, pour un endoctrinement plus approfondi et une formation aux techniques du jihad. Ce phénomène est apparu dans les communautés musulmanes au Minnesota et dans le Tennessee. De jeunes musulmans « américains » ont quitté les USA pour la Somalie afin de rejoindre Al-Shabaab, le groupe terroriste lié à Al Qaïda responsable, entre autres, d’attaques terroristes islamistes sanglantes au Kenya.

Dès que la communauté musulmane est bien installée, elle commence à exercer une influence importante dans l’arène politique et soumet les politiciens à des pressions pour autoriser l’instauration de tribunaux conformes à la charia en échange des voix musulmanes. Ce phénomène, qui s’apparente à un chantage, se développe clairement en Grande Bretagne, où des systèmes parallèles de jurisprudence coexistent. Les citoyens musulmans du pays hôte subissent des pressions pour suivre la charia en lieu et place du système juridique en vigueur.

Plusieurs décisions juridiques récentes prises par des juges non musulmans en Europe se sont référées à la loi de la charia, pour émettre des verdicts à l’encontre des musulmans.

Au fur et à mesure que la Hijra gagne en intensité, on assiste à l’apparition de ghettos, ou zones réservées aux seuls musulmans. Ce sont des quartiers de nos villes où les non musulmans sont interdits et où tout infidèle qui aurait l’impudence d’y pénétrer s’exposerait à être physiquement menacé.

De telles zones de non droit où même les travailleurs non musulmans, comme la police, les pompiers, les service de secours, etc. ne sont pas les bienvenus, prolifèrent partout en Europe aujourd’hui.

Par contre, les musulmans et les organisations musulmanes peuvent circuler librement à travers tout le pays, sans aucune restriction. Ils sont chez eux partout dans nos pays et nous le font comprendre.

Une immigration insidieuse qui a pour objectif la transformation des comportements, des coutumes et des lois des sociétés d’accueil

Comme le montrent Sam Solomon et Elia Al Maqdisi, la doctrine de l’hégire doit être comprise comme une stratégie politique globale, destinée à miner les cultures et les valeurs des pays non musulmans, et les remplacer par les valeurs de l’islam et de la charia. C’est une immigration insidieuse qui a pour objectif la transformation des comportements, des coutumes et des lois des sociétés d’accueil en vue d’y établir État islamique.

On peut déjà constater l’islamisation à des degrés différents des sociétés occidentales. Ironiquement, c’est l’ouverture de nos démocraties et l’octroi aux migrants musulmans de nos droits constitutionnels à la liberté d’expression, de religion et d’assemblée, qui facilitent la marche vers la disparition de nos valeurs et nos modes de vie.

La lecture de ce livre « Modern Day Trojan Horse » (le Cheval de Troie des Temps Modernes) devrait être conseillée à tous les citoyens de nos démocraties occidentales, car il est urgentissime de comprendre la menace de la Hijra, de l’immigration musulmane pour nos pays.

Le livre sonne comme une alarme pour une évaluation prudente de ce qui semble être une pratique religieuse innocente, mais dont l’objectif sinistre vise à transformer nos sociétés à tout jamais.

Si l’immigration musulmane constitue un danger mortel pour nos populations, les véritables responsables de cette politique de remplacement des peuples européens par des gens venues d’ailleurs sont l’ONU et l’UE. La mise en minorité de la population traditionnelle chrétienne européenne a été décidée à New York (ONU) et à Bruxelles (UE).

Les élites onusiennes ont élaboré la planification de l’immigration vers l’Europe et autres pays développés, soit disant dans le but de résoudre les problèmes liés à la faible natalité européenne, tout en soulageant les pays du tiers monde, confrontés à l’explosion de leur population.

Or, la disparition programmée des Européens de souche par l’ONU et l’UE, via une politique de transfert de population des plus folles, est fortement souhaitée et soutenue par l’oligarchie des multinationales, des lobbies pétroliers, miniers, agro-alimentaires …, motivée par ses seuls intérêts financiers, peu importe si cela conduit à la mort de l’Europe judéo-chrétienne.

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Si l’invasion musulmane de l’Europe se poursuit au rythme actuel, d’ici quelques décennies, les cimetières seront les seuls endroits où les Chrétiens seront majoritaires.

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3 Commentaires

  1. « Or, la disparition programmée des Européens de souche par l’ONU et l’UE, via une politique de transfert de population des plus folles, est fortement souhaitée et soutenue par l’oligarchie des multinationales, des lobbies pétroliers, miniers, agro-alimentaires …, motivée par ses seuls intérêts financiers, peu importe si cela conduit à la mort de l’Europe judéo-chrétienne. »
    Cela se retournera contre eux ! On ne fait pas venir des démons sans en payer le prix ! Car le moment venu, ces nouvelles populations se retourneront contre eux !

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