L’apparence du robot présenté par Tesla est en partie inspirée du film « I, Robot », littéralement « Moi, un robot ».
Un film de science-fiction américano-allemand réalisé par Alex Proyas et sorti en 2004.
Bande-annonce
Lien de visionnage en ligne : https://ok.ru/video/317815327373
Le film I, Robot, sorti en 2004 et réalisé par Alex Proyas, est devenu une référence en matière de représentation des robots et de l’intelligence artificielle (IA) dans la culture populaire. Inspiré des écrits d’Isaac Asimov, ce film met en lumière les interactions complexes entre l’homme et les machines.
Synopsis : le détective Del Spooner (Will Smith) enquête sur un meurtre impliquant un robot, remettant en question la sécurité et l’autonomie de ces machines.
« Il y aura un avant et un après », Tesla a dévoilé jeudi 10 octobre 2024 son nouveau et futuriste robot humanoïde Optimus Gen 2
La firme d’Elon Musk a dévoilé la deuxième version majeure du prototype de son robot humanoïde futuriste. Avec l’Optimus Gen 2, Tesla va plus loin avec un modèle capable de se déplacer plus rapidement et de manipuler des objets délicats.
Musk a dit qu’ Optimus serait une « transformation fondamentale de la civilisation ». Le patron de Tesla lui promet deux utilisations principales : au domicile des particuliers pour accomplir des tâches du quotidien, et à l’usine. Il est convaincu que le robot se rendra bientôt indispensable en permettant « un avenir où il n’y a pas de pauvreté ».
Les capteurs tactiles du robot Optimus Gen 2 lui permettent de manipuler des objets fragiles.
–
Un univers dystopique : I, Robot
I, Robot se déroule en 2035, dans un monde où les robots, conçus pour servir les humains, suivent les trois lois de la robotique d’Asimov. Le film aborde des questions fondamentales sur la confiance, l’autonomie des machines et les implications morales de l’IA. Le protagoniste, le détective Del Spooner (interprété par Will Smith), remet en question la sécurité et l’intégrité des robots, ouvrant ainsi la porte à des débats sur l’éthique technologique.
Tesla et l’avènement des robots humanoïdes
Des robots humanoïdes servent des boissons et font la fête avec leurs invités lors de l’événement Tesla We Robot
Avec le lancement du Tesla Bot, Tesla promet de créer un robot humanoïde capable de réaliser des tâches variées, allant des tâches ménagères aux services en entreprise. Ce robot, conçu pour être accessible et utile, soulève des questions similaires à celles explorées dans le film. Quel impact aura-t-il sur la société ? Les robots peuvent-ils vraiment être dignes de confiance ?
Confiance et autonomie : des enjeux cruciaux
Dans I, Robot, la méfiance envers les robots est exacerbée par des événements tragiques, provoquant une crise de confiance. À mesure que les robots deviennent plus autonomes, comme le Tesla Bot, la société doit naviguer dans un nouveau terrain éthique. Les entreprises doivent garantir que ces machines ne prennent pas de décisions qui pourraient nuire aux humains. La transparence et la responsabilité sont donc des éléments essentiels dans le développement de l’IA.
L’impact sur l’emploi et la société
Une autre thématique centrale d’I, Robot est la question de l’emploi. À l’instar du film, l’essor des robots humanoïdes pourrait entraîner des changements radicaux dans le marché du travail. Alors que le Tesla Bot est conçu pour alléger la charge de travail humaine, il reste à voir comment cette évolution sera perçue par les travailleurs et comment elle impactera l’économie.
Conclusion : un avenir à construire
En conclusion, I, Robot nous offre des réflexions pertinentes sur la coexistence entre l’homme et la machine, des questions qui deviennent de plus en plus pressantes avec les innovations comme le Tesla Bot. À l’aube de cette nouvelle ère technologique, il est crucial que nous abordions ces enjeux éthiques et sociétaux de manière proactive. La confiance, la responsabilité et la transparence seront des piliers pour construire un avenir où robots et humains peuvent coexister harmonieusement.
Des séries sur ce thème, qui explorent les problématiques bien plus en profondeur que le film avec Will Smith :
« Real Humans » (2012) est une série suédoise qui explore l’impact des robots humanoïdes, appelés « hubots », sur la société. Elle soulève des questions éthiques et morales, mettant en lumière les relations complexes entre humains et machines. Avis personnel de JF : des personnages attachants, un univers assez poétique par moment.
Les robots de « Humans »
« Humans » (graphie HUM∀NS) est la version américano-britannique de 2015 basée sur la série suédoise de 2012 (avec plus de moyens).
James Marsden, robot dans « Westworld », un acteur déjà cité sur RR
« Westworld », la version britannique et américaine, s’inspire des thèmes similaires, se déroulant dans un parc d’attractions où des androïdes, appelés « hôtes », interagissent avec des visiteurs. La série aborde des sujets comme la conscience, la liberté et la nature humaine, tout en explorant les conséquences de la technologie sur les émotions et les comportements. Les deux séries offrent une réflexion profonde sur les implications des intelligences artificielles dans notre société. Avis personnel de JF : des moments glauques (le thème de l’abus de pouvoir sur la personne-objet).
4,343 total views, 2 views today
La question qui m’est directement venue à l’esprit, est la suivante :
» A partir du moment où les robots pourront effectuer toutes sortes de tâches complexes, c’est à dire construire une maison, intervenir dans tout corps de bâtiment, que ferons-nous de tous les muzzs qu’ils remplaceront, et sans doute, pour la plupart de ces gens, accompliront-ils un meilleur travail, et surtout, sans arrière-pensée ?
On voit d’ailleurs dans le filme « I, robot » un robot démolisseur se mettre en marche, et détruire la maison du créateur, alors que les 2 personnes, héros principal du film, sont à l’intérieur …
Et il y aura un autre « génie » pour concevoir des robots-soldats, quid des 3 lois de la robotique énoncées par Isaac ASIMOV ?
Mais il est clair, pour moi en tout cas, que la robotique est une partie de l’avenir de l’humanité, tant les débouchés, le nombre de situations dans lesquels les robots en question pourront intervenir de manière bien plus efficace que l’homme, seront nombreuses au fur et à mesure qu’ils se perfectionneront …
Bonjour BobbyFR94, « que ferons-nous de tous les muzzs qu’ils remplaceront » : le Japon a clairement fait le choix de la robotisation poussée afin de ne pas recourir à l’immigration (la civilisation, le respect permet cela : chez nous, un robot livreur sur un trottoir serait immédiatement vandalisé)
n’oublions pas que ce faux gentil veut implanter une puce dans notre cerveau
Sous une apparence tres aimable et tres humaine ne pas oublier quand meme que MUSK est un representant du diable et compte bien conquerir la planete TERRE en la garnissant d’automatisme au detriment de l’etre HUMAIN PLANETERRE D’ORIGINE ..Déja il prevoit de vendre ses robots ……………………………………..apres avoir autorisé , IL NE FAUT PAS L’OUBLIER , un de ses enfant a devenir transgenre a 14 ans , traitement hormonal et sectionnage de zezettz et tout le reste , son fiston avec le fion qui le demangeait pour devenir IELLE.
Ce type est déja complice pour son plaisir de la recherche de la future destruction HUMAINE , PHISIQUE , MENTALE et SPIRITUELLE .
Les » choses » qu’il enverra sur Mars seront des robots et là pas d’etats d’ame ni de DIEU qui d’ailleurs nous a oublié depuis bien longtemps a l’avantage de Lucifer ….
Claude, il me semble avoir lu qu’Elon MUSK ne pardonnerait pas à ceux qui ont influencé son fils pour que ce dernier se « transforme » …
Mais la question sur la réalité de sa personne, antéchrist, ou vrai bienfaiteur de l’humanité, est posée, effectivement …
Christian COMBAZ en parle régulièrement dans sa chronique hebdomadaire …
Elon Musk va mettre travailler ses robots (modèle 3) dans ses usines l’an prochain, puis il nous en vendra. A 10.000 USD j’en achète un pour nous aider chez nous, si son entretien n’espaça trop compliqué et coûteux.
Après m’être renseigné ailleurs que sur le web, le prix sera plutôt 30.000 USD, tant qu’il n’en vendra des millions.
De plus l’inconvénient de ce genre de robot, c’est qu’il a accès à tout, enregistre en video et son tout son environnement et ce qu’on lui dit de faire. Il sera si bien connecté à internet qu’il pourra être désactivé à distance n’importe quand. Sans ça, ce serait bien, mais expérience faite avec internet, on peut être être sûr qu’il n’y aura pas en vente, d’option privée sans internet. Tout ça, avec la gauche mondialiste dictatoriale a le potentiel d’être mille fois pire que « 1984 ».
Musk est un grand naïf. L’impact sur le marché du travail ? Les employeurs remplaceront les humains par ces affreuses copies, qui ne mangent pas, ne toucheront pas de salaires. Reste à savoir s’il restera des consommateurs pour acheter leurs saloperies .
Argo, le modèle économique sera obligé d’évoluer, entre les robots en question, mais aussi l’énergie infinie, de par la fusion nucléaire contrôlée, et là, nous comprendrons, enfin ici, on le sait déjà, qu’il y a déjà bien trop d’humains sur terre …
Surtout lorsque le clonage permettra de fabriquer des membres du corps, et ainsi réparer, et les accidents, et la maladie, de naissance ou à venir…
Et quand ils s’attaqueront au clonage du cerveau, là, c’est l’immortalité qui peut être envisagée, avec des questions qui se poseront alors, et pas seulement sur le nombre d’humains sur terre …
La vrai question de ce film n’est ‘elle pas celle du transhumanisme vers lequel veulent nous diriger nos zélites , les globalistes .Mais surtout les limites raisonnables que nous ne pouvons que nous imposer car n’étant fait que de chair et de sang putrescibles et périssable . J’ai vu le film à sa sortie , pour moi le meurtre sert de déclencheur à un policier pour remettre en question la technologie transhumaniste vers laquelle nous allons . Les Robots deuxième génération représentent les hommes qui n’en sont déjà plus et la première génération
de robots ceux enfermés représentent encore l’humanité actuelle .A mon sens ce film comme beaucoup d’autres nous font nous interroger sur les limites a ne pas franchir .