A lire ici et là (source de l’article reproduit ci-dessous).
Il est évident que le gouvernement cherche à relativiser et dissimuler toute la vérité concernant les exactions des « Chances por la France » quand il pointe du doigt un Esteabant qui se défend et le moindre acte islamophobe. Tous pourris, mais ils peuvent de moins en moins le cacher, malgré les medias complices.
Quand vont-ils s’enfuir à Marrakech, la queue entre les jambes, comme nous l’avions imaginé, Pierre Cassen et moi, à la fin du Bobo Jocelyn ?
Il n’y a pas que les trains qui déraillent en France (1ère partie)(info # 011707/13) |
Reportage | |
mercredi, 17 juillet 2013 | |
Par Patricia La Mosca La catastrophe de Brétigny, vendredi dernier, a eu d’étranges effets. Un différend s’est rapidement installé à propos d’actes de pillage qui seraient survenus sur des morts et des blessés ainsi qu’au sujet de heurts entre les forces de l’ordre et les énergumènes qui se seraient rendus coupables de ces actes de dépouillage. Les affirmations concernant les vols ont émané d’un syndicat de police, Alliance, ainsi que de quelques confrères, d’Europe 1, de France 2 et du Parisien, principalement. Puis le paysage de la communication a subitement changé, les représentants de l’Etat, Manuel Valls en tête, le ministre de l’Intérieur, ainsi que Frédéric Cuvillier, celui des Transports, et le préfet de l’Essonne niant en bloc les allégations des dénonciateurs. Ils ont parlé de rumeurs très exagérées, d’actes isolés, du vol du portable d’un secouriste, réfutant le reste en bloc et plongeant le public dans le doute. Doute entretenu par les rares déclarations publiques de représentants des forces de l’ordre et du SAMU, n’intervenant plus que pour confirmer les dires des ministres. Quant aux confrères accusateurs, soumis à des pressions comme on n’en connaît que trop dans la presse française – qui elle aussi est bien malade –, ils ont mis la pédale douce, atténuant tour-à-tour leurs témoignages. Restaient quelques sites engagés, qui reprenaient en boucle les déclarations initiales d’Alliance, mais sans pouvoir ajouter le moindre fait nouveau. Ils s’imaginaient que quelque chose ne tournait pas rond dans le narratif de l’affaire, et brodaient le reste au gré de leurs convictions politiques et de leurs feuilles de route. Mais cela faisait des billets d’opinion et rien d’autre.
Dépouiller des victimes ? Là-dedans ? Faute de témoignages de première main, il était objectivement impossible de dire si des pillages en bandes avaient suivi le déraillement du train ou si un pickpocket avait seulement bousculé un pompier par inadvertance. La machine à faire taire de l’Etat français s’était mise en branle et elle paraissait efficace. A la Ména, nous nous sommes bien gardés de prendre parti, ne versant pas volontiers dans les accusations sans fondements. Dès samedi, dérangés par les versions contradictoires, l’abysse qui les sépare, ainsi que par la gravité des faits inférés, nous nous sommes mis en quête d’indices, ne sachant pas, à priori, qui disait la vérité, mais convaincus que quelqu’un mentait. Nous avons fait jouer les bons contacts existant entre l’agence et des officiers français de la sécurité pour nous faire recommander quelqu’un qui avait assisté à la scène et qui était disposé à nous en parler en toute liberté. Hier mardi, on nous amena l’oiseau rare ; un policier courageux dont nous tairons le grade et les attributs, vous allez rapidement comprendre pourquoi. Et le brouillard du coup s’est levé. Notre témoin est fiable pour plusieurs raisons. D’abord, ceux qui nous l’ont présenté sont des gens bien, que j’avais côtoyés pendant que je couvrais les émeutes de la cité de la Villeneuve à Grenoble en 2010. Ils m’avaient déjà, à l’époque, permis de diffuser la vérité [voir « Grenoble ou le cimetière des rêves », sur le site d’un syndicat de policiers]sur ces troubles. Ensuite, son récit se tient, il est logique, ne contient aucune contradiction et s’illustre de détails difficiles à inventer. Et finalement, il suffit presque de voir et d’entendre ce policier de carrière, parlant sans crainte et sans préjugés, pour se persuader qu’il ne nous mène pas en bateau. Ce nouveau témoignage permet d’établir que Manuel Valls, Frédéric Cuvillier et le Préfet Fuzeau ont menti aux Français, qu’ils ont décidé de dissimuler un crime terrible, et que, pour parvenir à leur fin, en plus de mentir, ils n’ont pas hésité à corrompre des fonctionnaires de l’Etat, à brandir des menaces et à infliger des pressions sur d’honnêtes professionnels disant la vérité, dans le but unique qu’ils la taisent. Plus que cela, la situation générale décrite par notre intervenant dépeint un univers apocalyptique ignoré par la majorité de mes compatriotes, qui présente un état de délitescence mafieuse et de désagrégation sociale et sécuritaire auxquelles il est difficile d’imaginer des remèdes. Et contre lesquelles l’Etat de droit ne fait rien ou si peu, à part, peut-être, s’efforcer de cacher leur existence. J’évoque aux oreilles de M. Damien (appelons-le ainsi) la difficulté que nous avons eue à recueillir le narratif d’un témoin oculaire des faits. Damien : C’est normal, tout est cloisonné. La compagnie de CRS qui est intervenue à Brétigny a été spécialement rassemblée par son commandant et a reçu l’ordre de ne rien dire, de ne rien raconter aux proches de ce qui s’était passé, car il ne s’est rien passé ! La Ména : Il ne s’est réellement rien passé ? Damien : Il y a eu un attroupement de jeunes des banlieues autour des victimes, des blessés et des morts, qui leur ont fait les poches. Ils se sont également livrés à des vols et des rackets sur les secouristes. Cela s’est déroulé « en champ ouvert », selon l’expression que nous utilisons, pas en champ fermé, devant les yeux de tout le monde, pas en petit comité. La Ména : Les autorités parlent d’un seul secouriste qui se serait fait dérober son téléphone. Damien : C’est totalement faux. D’ailleurs, si on n’avait volé qu’un seul téléphone, comment y aurait-il eu quatre interpellations ? Ils se mettent maintenant à quatre pour chouraver un portable ? Il y a eu de nombreux vols et plus encore de tentatives de vols sur les secouristes. Et il y a eu un affrontement en règle CRS-jeunes. Au départ, ils étaient une quinzaine, vingt peut-être ; lors de l’affrontement, leur nombre a pratiquement doublé. Les hommes ont dû faire usage de la force et de petites grenades DMP, à la fois fumigènes et lacrymogènes. Nous avons essuyé des jets de pierres et de canettes nourris. La Ména : Pourquoi ne les avez-vous pas appréhendés ? Damien : A quoi ça sert, j’ai envie de vous dire à quoi ça sert ! Récemment, nous en avons serrés qui venaient de dégrader une voiture de RER et qui avaient racketté les passagers, ils n’ont eu que du sursis. A quoi ça sert ? Ils sont arrivés juste après le déraillement, se sont jetés sur les personnes qui se trouvaient au sol – je ne sais pas si elles étaient blessées ou mortes -, en tout cas, ils se sont jetés sur elles, les ont fouillées et ont commencé à leur faire les poches. Dans un premier temps, on a cru qu’ils s’approchaient des victimes pour donner un coup de main aux secouristes, mais nous nous sommes très vite rendu compte qu’ils étaient en train de les dépouiller. Et on a classé cela sans suite. Comme ils ne veulent pas que ça se sache, c’est classé sans suite. Eh oui !
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Qui peut dire que ce n’est pas un attentat islamo-fasciste ? Pour le moment personne. Qui peut dire que les écrous de l’éclisse n’ont pas été desserrés volontairement ? Pour l’instant personne.
Je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous ce commentaire plein d’esprit, glané sur le forum du Parti de l’In-nocence de Renaud Camus, à la manière de Marguerite Duras – Hiroshima mon amour. Excellent et savoureux bien que le sujet soit dramatique. C’est beau comme du Valls et Taubira réunis dans le genre dénégation.
* Brétigny, mon amour :
Lui : Tu n’as rien vu à Brétigny. Rien.
Elle : J’ai tout vu. Tout.
Ainsi, les sensibles je les ai vus. J’en suis sûre.
Les sensibles existent à Brétigny. Comment aurais-je pu éviter de les voir ?
Lui : Tu n’as pas vu de sensibles à Brétigny. Tu n’as rien vu à Brétigny.
Elle : Quatre sensibles…
Lui : Quels sensibles à Brétigny ?
Elle : Quatre sensibles se promenant à travers les voies et les voix des blessés.
J’ai regardé les gens. J’ai regardé le fer brisé, le fer brûlé, le fer devenu aussi vulnérable que la chair.
J’ai eu chaud place de la gare. Les sensibles, c’est bien simple…
Lui : Tu n’as rien vu à Brétigny, hormis la fraternité en marche.
** Elle dit : Oui, je les ai vus. Je les verrai toujours là, devant moi, les sensibles, quand je marcherai seule dans Brétigny désert .
* Michel Le Floch – 19 juillet 2013, 12:17
** Cassandre – 19 juillet 2013, 13:19
http://www.in-nocence.org/public_forum/read.php?3,132128,132128,page=1#msg-132128
Merci Philippe pour ce moment de pure beauté
A force de multiplication d’exactions de ce genre ils ne pourront plus nier ni camoufler !!!…..
D’autant qu’on ne voit pas comment ça pourrait se calmer… ce genre de choses va se multiplier, forcément !
Christine, tu le sais, j’aime la précision, aussi pardonnera tu j’espère si Mon commentaire est encore fort long.
Pour moi, et je précise bien MOI !
Ce n’est PAS un accident, ni un acte de simple malveillance qui aurait tourné pire que prévu, c’est bel et bien du sabotage dans le but de faire dérailler le train.
Premier point.
En admettant que chaque gare du genre de celle de Bretigny possède UN KILOMÈTRE de quais…ramené aux centaines de milliers de kilomètres de voies ferrées, quelle est la probabilité qu’un train déraille à hauteur d’un quai plutôt qu’en rase campagne ?
Deuxième point.
La pièce incriminée, cette eclisse dont on nous parle tant, était fixée par QUATRE GROSSES VISES ET ÉCROUS…les QUATRE auraient cédé en même temps ? J’ai déjà perdu un écrou de roue sur une voiture, jamais quatre en même temps ! Probabilité donc…
Troisième point.
Quand des vises aussi grosses restent longtemps à tenir une pièce, elles rouillent, pour les sortir il faut y aller au marteau burin…or, ici, les photos montrent les trous de l’eclisse VIDES ! Rien de coincé dedans après avoir été cassé et/ou tordu…je trouve ça étrange.
Quatrième point.
L’eclisse, soit disant propulsée au loin PAR HASARD, retombe AU SEUL ENDROIT OU ELLE PEUT BLOQUER L’AIGUILLAGE ! son vol n’est ni trop court ni trop long, elle ne tombe ni trop à droite, ni trop à gauche…
Cinquième point.
Si les vises et écrous ont cédé sur place, OU SONT ILS ? Ce sont des objets plutôt lourds, ils ont pas été propulsés à 10 kilomètres quand même, or, pour accréditer l’hypothèse « usure » (ce que voudrait forcément notre « gouvernement ») ces trucs ont dû être cherchés millimètre par millimètre…MAIS, RIEN ! (étrangement je trouve cette étrangeté étrangente)
Sixième point.
On nous dit que ce train arrivait trop vite…étrange puisque la vétusté de cette voie était connue, des signaux lumineux à l’extérieur de la cabine et sonores dans celle ci auraient dû alerter le conducteur…mais bien sur, les pannes synchronisées sont monnaie courante.
Septième point.
D’accord la cité « sensible » est très proche, mais les secours ont tout de même du être alertés les premiers, alors COMMENT les racailles sont elles arrivées en premier (un blessé à envoyé un tweet ?)
Me trouve tu trop soupçonneux ?
Non ami, tu n’es pas trop soupçonneux, tu es réaliste et je pense que tes explications sont plus que convaincantes
Je suis tout a fait d’accord avec Phil le routier, quand on essaie de déboulonner un vieux truc tout rouillé, faut employer tout les moyens, dégrippant, du muscle (et il en faut énormément) et même avec tout, on y arrive pas forcément donc l’hypothèse du hasard ne tiens pas une seule seconde, le sabotage est la et tout ceux qui nous mentent a ce sujet devront le payer cher un jour. Devant le TRIBUNAL DU PEUPLE.
laisser les faires et la france sera un champs de bataille d ici peut faites partager il faut le faire savoir
Ça devient la grande pagaille.
Je confisque, Jean, et je relaie demain
Du jamais vu dans l’Histoire de notre pays!!
DEMMISSION IMEDIATE D’ HOLLANDE ET DE SON GOUVERNEMENT!
REFERENDUM SUR L’ARRÊT DE L’IMMIGRATION MUSULMANE.
Dominique Bética