En ce 10 mai, tout ce qu'il faut savoir sur la traite arabo-musulmane …

En ce 10 mai, jour consacré à l’esclavage …
Taubira ne veut pas qu’on en parle …
Les politiques fuient le  sujet …
Les médias sont muets …
A “Résistance Républicaine” nous ne sommes pas pour le  politiquement correct, mais pour le respect de l’Histoire au plus près de ce qu’elle a été.
Alors justement, nous,  nous en parlons !
Voici  un “excellent résumé” que nous indique Jean-Paul Saint-Marc tiré  du site “Hérodote”  sur la traite dont  les “biens élevés” refusent de parler.
Les patriotes doivent lire et méditer ce texte pour argumenter face  aus mensonges, spécialement venus de rangs musulmans, mais pas seulement (Taubira si tu nous lis …)
Antiislam
 

622 au XXe siècle

L’esclavage en terre d’islam

 

Après la mort du prophète Mahomet et la soumission de la péninsule arabe, les musulmans ont conquis les rives méridionales et orientales de la Méditerranée. Multipliant les prises de guerre, ils ont prolongé dans ces régions l’esclavage à la mode antique. Ils ont inauguré aussi une longue et douloureuse traite négrière qui a saigné l’Afrique noire jusqu’à la fin du XIXe siècle.
L’esclavage en terre d’islam est hélas une réalité qui dure comme le montre l’anthropologue Malek Chebel.

Une économie fondée sur l’esclavage

L’esclavage devient rapidement l’un des piliers de l’économie de l’empire abasside de Bagdad du fait de très nombreuses prises de guerre et de l’avènement d’une très riche bourgeoisie urbaine. Pour s’en convaincre, il n’est que de lire Les Mille et Une Nuits, un recueil de contes arabes censés se dérouler sous le règne du calife Haroun al-Rachid, contemporain de Charlemagne.

Les harems du calife et des notables de Bagdad se remplissent de Circassiennes. Il s’agit de femmes originaires du Caucase et réputées pour leur beauté ; ces belles esclaves ont continué jusqu’au XXe siècle d’alimenter les harems orientaux en concurrence avec les beautés noires originaires d’Éthiopie.

Pour les tâches domestiques et les travaux des ateliers et des champs, les sujets du calife recourent à d’innombrables esclaves en provenance des pays slaves, de l’Europe méditerranéenne et surtout d’Afrique noire.

 

Ces esclaves sont en général castrés et maltraités.

D’autres esclaves et eunuques sont employés comme soldats et chefs de guerre par les différentes dynasties musulmanes, du Maroc aux Indes. Ces esclaves-là accèdent parfois à des fonctions élevées, voire au pouvoir suprême. Ainsi en est-il des fameux Mamelouks d’Égypte, que Bonaparte devra combattre en 1798.

Eunuques  et castrats

Inventée et développée à grande échelle par la Chine impériale, exportée dans les pays musulmans et jusqu’en Italie (les castrats), l’exploitation des eunuques (hommes castrés) est l’une des formes d’esclavage les plus inhumaines qui soient.
Elle poursuit deux objectifs principaux : empêcher que les esclaves étrangers ne fassent souche ; éviter les relations sexuelles entre les femmes des harems et leurs serviteurs. Notons que dans les cours italiennes, les castrats étaient à la Renaissance et aux Temps modernes recherchés par les mélomanes pour leur voix à la fois puissante et très aigüe. Ils suppléaient à l’interdiction faite aux femmes de monter sur scène, au nom de la religion.
La castration consiste en l’ablation des parties génitales, soit totale, soit limitée aux testicules (pour empêcher la reproduction). Elle est le plus souvent pratiquée à la pré-adolescence et se solde par une mortalité effroyable.
Les esclaves mâles originaires d’Afrique noire étaient généralement castrés en Égypte par des moines coptes pour le compte des trafiquants musulmans. À l’époque carolingienne, les captifs slaves destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal marché d’étape de ce trafic, avant d’être exportés via Venise.

Esclaves blancs en terre d’islam

Dans les premiers temps de l’islam, les notables de Bagdad s’approvisionnent en esclaves blancs auprès des tribus guerrières du Caucase mais aussi auprès des marchands vénitiens qui leur vendent des prisonniers en provenance des pays slaves, encore païens.

 

À la fin du Moyen Âge, comme le vivier slave s’épuise du fait de la christianisation de l’Europe orientale, les musulmans se tournent vers les pirates qui écument la Méditerranée.

Ces derniers effectuent des razzias sur les villages côtiers des rivages européens, y compris même dans l’océan Atlantique jusqu’aux limites du cercle polaire.

En 1627, des barbaresques algérois lancent un raid sur l’Islande et en ramènent 400 captifs.

Le souvenir des combats livrés par les habitants à ces pirates perdure dans… la tête de prisonnier maure qui sert d’emblème à la Corse.

On évalue à plus d’un million le nombre d’habitants enlevés en Europe occidentale entre le XVIe et le XVIIIe siècle, au temps de François 1er, Louis XIV et Louis XV.

Ces esclaves, surtout des hommes, sont exploités de la pire des façons dans les orangeraies, les carrières de pierres, les galères ou encore les chantiers d’Afrique du nord (*).

Des organisations chrétiennes déploient beaucoup d’énergie dans le rachat de ces malheureux, tel Miguel de Cervantès ou plus tard Saint Vincent de Paul.

En Europe orientale et dans les Balkans, pendant la même période, les Ottomans prélèvent environ trois millions d’esclaves.

Jusqu’au début du XIXe siècle, les princes de la côte nord-africaine tirent eux-mêmes de grands profits de la piraterie en imposant de lourds tributs aux armateurs occidentaux en échange de la garantie que leurs navires ne seront pas attaqués par les pirates.

En 1805, le président américain Thomas Jefferson lance une expédition navale contre le dey de Tripoli, en Libye, pour l’obliger à renoncer à ce rackett.

Le dey d’Alger le poursuivra quant à lui jusqu’à la conquête française en 1830.

 

Esclaves noirs en terre d’islam

Si la traite des esclaves blancs a rapidement buté sur la résistance des Européens, il n’en a pas été de même du trafic d’esclaves noirs en provenance du continent africain.

La traite arabe a commencé en 652, vingt ans après la mort de Mahomet, lorsque le général arabe Abdallah ben Sayd a imposé aux chrétiens de Nubie (les habitants de la vallée supérieure du Nil) la livraison de 360 esclaves par an.

La convention, très formelle, s’est traduite par un traité (bakht) entre l’émir et le roi de Nubie Khalidurat.

Ce trafic n’a cessé dès lors de s’amplifier. Les musulmans « blancs » de la frange sahélienne (Peuls, Touaregs, Toubous etc) ont multiplié les attaques contre les villages des Bantous de la forêt et enlevé les meilleurs éléments pour les vendre aux habitants de l’empire ottoman ou du Maroc.

Les spécialistes évaluent de douze à dix-huit millions d’individus le nombre d’Africains victimes de la traite arabe au cours du dernier millénaire, du VIIe au XXe siècle.

C’est à peu près autant que la traite européenne à travers l’océan Atlantique, du XVIe siècle au XIXe siècle.

Le trafic suit d’abord les routes transsahariennes.

Des caravanes vendent, à Tombouctou par exemple, des chevaux, du sel et des produits manufacturés.

Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et, donc, des esclaves pour gagner le Maroc, l’Algérie, l’Égypte et, au-delà, le Moyen-Orient.

Au XIXe siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar (aujourd’hui en Tanzanie) et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique.

 

Le sort de ces esclaves, razziés par les chefs noirs à la solde des marchands arabes, est dramatique.

Après l’éprouvant voyage à travers le désert, les hommes et les garçons sont systématiquement castrés avant leur mise sur le marché, au prix d’une mortalité effrayante, ce qui fait dire à l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diaye :

« Le douloureux chapitre de la déportation des Africains en terre d’Islam est comparable à un génocide. Cette déportation ne s’est pas seulement limitée à la privation de liberté et au travail forcé. Elle fut aussi – et dans une large mesure- une véritable entreprise programmée de ce que l’on pourrait qualifier d'”extinction ethnique par castration” »  (*).

Les contes des Mille et Une Nuits, écrits au temps du calife Haroun al-Rachid (et de Charlemagne), témoignent des mauvais traitements infligés aux esclaves noirs et du mépris à leur égard (bien qu’ils fussent musulmans comme leurs maîtres).

Ce mépris, légitimé par la malédiction de Cham, a perduré au fil des siècles.

Ainsi peut-on lire sous la plume de l’historien arabe Ibn Khaldoun (1332-1406) :

« Il est vrai que la plupart des nègres s’habituent facilement à la servitude ; mais cette disposition résulte, ainsi que nous l’avons dit ailleurs, d’une infériorité d’organisation qui les rapproche des animaux brutes. D’autres hommes ont pu consentir à entrer dans un état de servitude, mais cela a été avec l’espoir d’atteindre aux honneurs, aux richesses et à la puissance » (Les Prolégomènes, IV).

Ces propos précèdent de deux siècles la traite atlantique des Occidentaux.


Esclavage et décadence

Les contingents très importants de main-d’oeuvre servile ont contribué à la stagnation économique du monde musulman en décourageant l’innovation technique et sociale.

Ils ont causé aussi de nombreux troubles.

C’est ainsi qu’à la fin du IXe siècle, la terrible révolte des Zendj (ou Zenj, d’un mot arabe qui désigne les esclaves noirs), dans les marais du sud de l’Irak, a entraîné l’empire de Bagdad sur la voie de la ruine et de la décadence.

« Comparé à la traite des Noirs organisée par les Européens, le trafic d’esclaves du monde musulman a démarré plus tôt, a duré plus longtemps et, ce qui est plus important, a touché un plus grand nombre d’esclaves », écrit en résumé l’économiste Paul Bairoch ( *).

Cet auteur note qu’il ne reste plus guère de trace des esclaves noirs en terre d’islam en raison de la généralisation de la castration, des mauvais traitements et d’une très forte mortalité, alors que leurs descendants sont au nombre d’environ 70 millions sur le continent américain (*).

 

Alban Dignat

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19 Commentaires

  1. Marie Reed a eu un blog, aujourd’ hui disparu héla, ou elle tenait chroniques sur la course barbaresque
    je viens de retrouver un billet d’ un clone a moi a ce sujet que je vous propose, écrit il y a 5 ans
    “xxx
    ALGER, PRINCIPAL NID DE PIRATES BARBARESQUES
    Rédigé par JSS
    Comment, en 1543, François 1er qui vient de s’ allier aux Turcs, seul roi de la Chrétienneté a s’ être sali de cette traitrise alors que toute l’ Europe est en guerre contre les Turcs.
    La “course Barbaresque à Alger” décrite içi par Mary Reed donne une bonne image de la perfidie des Turcs d’Alger envers le roi de France.
    Leur hébergement a Toulon rappelle facheusement leurs comportements dans toute l’ Europe. Jugez-en.
    Alger est ici l’exemple et le symbole de la côte barbaresque dans son ensemble.
    C’est la Reconquista et l’expulsion des Morisques d’Espagne qui donne une nouvelle dimension à la violence maritime et côtière.
    Alger en 1680
    L’installation des frères Barberousse crée la Régence d’Alger et donne au corso musulman une assise territoriale solide ; les autres régences et les autres ports de départ n’ont pas la même puissance (mais malgré tout, la côte des Barbaresques est un tout et Alger n’en est qu’une partie) ; en se faisant vassale de l’Empire Ottoman, Alger se soumet à une souveraineté lointaine et de plus en plus fictive, mais dont le seul nom tient en respect les puissances européennes ; cette circonstance explique probablement la longue survie de ce nid de pirates qui n’était pourtant pas, en soi, une puissance militaire telle que l’Europe ait dû s’en accommoder pendant trois siècles.
    Même un allié n’est pas à l’abri de la prédation, comme François 1er en fit l’expérience avec son allié Barberousse. A peine arrivés, à sa demande, à Toulon, les Barberousse se plaignent que leur troupe n’a rien à manger, et font comprendre qu’ils entendent vivre sur le pays. Claude Farine écrit :
    «… “Presque tous les habitants de Toulon durent quitter la ville, abandonner leurs maisons, leurs métiers… pour faire place à des alliés pires que des ennemis… Les matelots enlevaient les jeunes garçons (on imagine bien pourquoi….) et les emmenaient esclaves sur leurs vaisseaux. Toutes ces atrocités se commettaient impunément. Barberousse, en véritable maître, ne permettait pas qu’on sonnât les cloches dans les églises…»
    Les 30000 pirates de Barberousse sont installés à Toulon pendant tout l’hiver 1543/1544, la cathédrale est transformée en mosquée, mais pour autant, on ne les voit pas se battre pour le Roi de France. Celui-ci finit par payer une rançon pour obtenir leur départ (ref : Jacques Heers, livre cité en sources).
    Les raïs (capitaines) d’Alger font vivre toute la ville par le produit de leur courses, et sont à même de poser leurs conditions. Progressivement, ils s’affranchissent de tout pouvoir politique, même local, si bien que le butin devient un but en soi.
    Par exemple, vers 1580, d’après de Grammont (Ouvrage cité en bibliographie), Morat-Reis, un capitaine vénéré par ses pairs, “se vantait de ne pas connaître une nation au monde à laquelle il n’eut pris au moins deux vaisseaux”,” ajoutant que “tout ce qui se rencontrait sur mer était de bonne prise, et qu’on avait le droit de courir sus à son propre père.”
    Le corso, devenu plus que jamais un but en soi, prend des proportions inouïes au début du XVIIème siècle. De Grammont signale : “De la fin de 1628 au milieu de 1634, la France, qui fut cependant la moins éprouvée des nations maritimes, perdit 80 navires d’une valeur d’environ 5 millions, et dut racheter ou laisser renier 1831 captifs.” On rappellera que la France était alors en principe protégée par un Traité de Paix.
    Mais heureusement Lépante n’ est plus trés loin pour ruiner le Turc qui, comme toujours, ne sait pas ou il doit s’arrêter… et c’ est ce qui le perd fort heureusement!
    Introduction et conclusion de Yéhou – texte principal de Mary Reed
    xxxxx
    ça vous plait ? 😆

  2. Chut! Il ne faut pas dire cela. Sinon, Madame Taubira va s’énerver. Mieux vaut ne
    pas fâcher la racaille arabo-musulmane.
    ROSA

  3. Les massacres et la castration ont été un véritable génocide dont les blancs et les noirs ont fait les frais.
    C’est plus qu’une simple repentance qui doit être exigée.

  4. Extrait d’un texte que je possède en PDF sur l’invasion musulmane en France :
    En 990, les dernières bandes musulmanes furent détruites. Elles avaient
    ravagé la France pendant deux siècles.
    La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer.
    Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems.
    Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830,   l’écrasement définitif des pirates arabesques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais… 

  5. C’est bizarre ,vous avez dit bizarre?Pas un seul mot de cette histoire ni dans les médias ni dans la presse !Tout est fait pour nous salir et porter au pinacle les musulmans Arabes !C’est a croire que nos élus ont été mis en place ou achetés pour se taire !
    Il serait temps de dire la vérité ,rien que la vérité !
    Allez Messieurs les élus un peu de courage ,et a l’école enseignez la vérité aux enfants et non ce qui vous arrange ,le politiquement correct a des limites!!!

  6. La meilleure étude sur le sujet est sans conteste “Le Génocide voilé” de T. N’Diaye.

    • Bonjour,
      En plus le style est magnifique, l’auteur patriote, très objectif sur l’Histoire en général …
      Mais son livre a été totalement boycotté par les médias : je l’ai entendu expliquer cela à une conférence.

      • Boycott tout à fait “normal” de la part des médias gangrénés par l’idéologie gauchiste antiraciste : cela va à l’encontre de la doxa, des Dogmes de la propaganda immigrationniste et de la vision du monde fantasmée et idéalisée en laquelle ils veulent croire, de leur “wishful thinking”
        Pour les gauchistes, il est indispensable de promouvoir une vision falsifiée de la réalité et de l’Histoire. Car leur doctrine qu’ils veulent imposer est bâtie sur le mensonge. Elle ne supporte pas la vérité, comme le vampire ne supporte pas la lumière.

  7. Jusqu’en Islande, effrayant!
    Un pays comme la Mauritanie n’a , officiellement, aboli l’esclavage qu’en 1981, les enfants noirs des écoles coraniques y sont endoctrinés les chaînes aux pieds(reportage TV), les travailleurs immigrés dans les pays du Golfe sont souvent traités comme de quasi esclaves, leurs passeports souvent confisqués, quant à Daesh (l’Etat Islamique), il n’a fait que remettre très récemment en marche le logiciel esclavagiste de l’islam, avec les abominables marchés aux esclaves de Mossoul.
    Cette doctrine est une plaie pour l’humanité.

    • Bonjour,
      Oui, jusqu’en Islande : j’avais vu un autre documentaire (sur Arte ?) sur le sujet précis des razzias musulmanes très au Nord de l’Europe.

    • Et vous avez oublié les marchés d’esclaves réapparus (?) en Libye.

  8. lisez l’autobiographie du négrier de Zanzibar : Tippo Tip
    et Piraterie barbaresque en Mediterranee de Courtinat
    et le livre noir de l’islam de Jean Robin

  9. Merci pour toutes ces informations.
    Cela me renforce dans l’idée que cette culture arabo-musulmane n’a produit qu’un gros paquet de merde .
    C’est excessif mais ça fait du bien en le disant !

  10. “En 1627, des barbaresques algérois lancent un raid sur l’Islande et en ramènent 400 captifs.
    traces: les Dali ou Daly, sont tous d’ origine mauresque, et on trouve parmi eux des blonds et des rouquins….
    “……………”Les harems du calife et des notables de Bagdad se remplissent de Circassiennes. Il s’agit de femmes originaires du Caucase et réputées pour leur beauté ”
    et c’est vrai! ce sont les Tcherkesses! leurs femmes sont trés belles aux yeux verts..peau blanche …ceux qui ont visité la Galilée connaissent l’ un de leurs village a Kfar Kama…
    “”http://www.terredisrael.com/articles_print.php?id=5&tb=41
    –” Ainsi en est-il des fameux Mamelouks d’Égypte,
    le mot “mamelouk” se traduirait en arabe par ” appartenant à…” ou encore “possédé par …” le mot esclave étant “A’bid”,, chez tous les Maughrébins, encore de nos jours le noir est désigné péjorativement sous le sobriquet de ” ‘Abid” -esclave-
    ………..”C’est ainsi qu’à la fin du IXe siècle, la terrible révolte des Zendj (ou Zenj, d’un mot arabe qui désigne les esclaves noirs), dans les marais du sud de l’Irak, a entraîné l’empire de Bagdad sur la voie de la ruine et de la décadence.”
    j’ ai du en parler sur l’ un des fils concernant l’ esclavage
    en effet , le voyageur ethnologue Wilfrid Thesiger, leur a consacré, du moins a leurs descendants un beau livre : “les arabes des Marais” publié chez Plon, collection Terre Humaine….1000 ans aprés ils sont toujours bien mélanisés…
    et pour finir, mon grain de sel
    “”l’économiste Paul Bairoch ( *).” de son vrai nom Paul Baruch, sauvé de la shoah enfant….
    comme l’ entreprise de pompes funèbres face au Père Lachaise: Ets Baroché, vieux nom juif de France, d’ origine normande

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