Mon père était musulman polygame, ses deux épouses vivaient sous le même toit…

J’ai grandi à Glasgow, je suis la fille d’un émigré pakistanais et d’une mère catholique écossaise. Ma vie dans cette famille n’a jamais été heureuse. 
 
La religion de mon père, l’islam, permet la polygamie, et il était bigame. Ses deux épouses vivaient ensemble sous le même toit avec leurs enfants. Les deux femmes, de culture totalement différente, partageaient donc le même homme.
Du fait de leur condition, et même avec la meilleure volonté, elles ne pouvaient pas créer un environnement familial harmonieux. Je me suis toujours sentie « différente », et le contexte dans lequel j’ai grandi a fait de moi quelqu’un de « différent ». J’avais le teint mat; j’étais la fille d’une « gori ». Je ne « valais » pas autant que les autres, j’étais « l’autre ». Ma mère était une « gori » et j’étais « la fille d’une gori ». Ce terme « gori » signifie femme blanche, mais il a souvent une connotation péjorative, car il notifie que la femme est en réalité facile, déloyale et immorale.
 
J’ai grandi dans un contexte de flagrant racisme anti-blanc, racisme que personne même aujourd’hui ne veut évoquer. J’en parle cependant, j’écris et je tweete sur le sujet. Et je fais la même chose quand je veux dénoncer des pratiques abominables ayant cours dans la communauté pakistanaise, et on essaie de m’intimider pour me réduire au silence. 
 
Non je ne me tairai pas. Même si mon domicile doit être équipé d’un bouton panique du fait des menaces de mort que je reçois en permanence.
 
Comment puis-je rester là sans bouger ? En sachant ce que je sais, en sachant à quel point la vie est misérable pour de nombreux Pakistanais, en particulier pour les femmes et les enfants J’ai été forcée de me marier à 18 ans, à un homme bien plus âgé que moi, et avec qui je n’avais rien en commun. J’ai été mariée parce que je m' »occidentalisais » un peu trop, et que j’étais une « honte » pour ma famille. Et ainsi, pour sauver leur « honneur », j’ai été forcée d’épouser un homme que je n’ai rencontré la première fois que lors de la nuit de mes noces.
Je suis restée mariée trois ans, jusqu’à ce que je trouve suffisamment d’énergie pour me sortir de cette situation. Ne plus l’accepter a signifié la perte ma famille, la famille élargie, ainsi que de ne plus faire partie la communauté pakistanaise qui avait été la mienne jusque là. Se retrouver ainsi isolée a été un moment très difficile dans ma vie. Toute mon existence avait gravité autour de la communauté pakistanaise, et maintenant je me voyais obligée de vivre avec des écossais blancs, ces mêmes personnes qui, comme on me l’avait enseigné, me haïraient parce que j’étais brune, parce que mon père était pakistanais, et parce que j’étais musulmane.
 
 Ma vie avec les Ecossais blancs n’a heureusement pas été ce que l’on m’avait inculqué. J’ai été acceptée et considérée comme une Glaswegienne [NDT : habitant de Glasgow] pas comme la « fille d’un Paki ». J’ai été acceptée par le côté « blanc » de ma famille, et traitée comme une égale. Bien sûr, les racistes existent, et des gens m’ont fait comprendre que je n’étais pas la bienvenue parce que j’étais la fille d’un « Paki », et d’autres m’ont dit que j’étais plutôt cool pour une « Paki ».
 
Ce sont les Pakistanais avec lesquels j’ai un lien qui m’ont obligée à vivre avec un bouton panique.
 
J’écris des articles sur l’islam, le viol des enfants dans la communauté pakistanaise, les gangs de violeurs musulmans. J’ambitionne tout particulièrement de sensibiliser l’opinion sur les mutilations génitales féminines (MGF,) et je crois que les parents qui encouragent ces pratiques devraient être incarcérés.Je me suis habituée à vivre avec la peur d’être agressée par des Pakistanais bigots des deux sexes qui préféreraient me voir bâillonnée. Quoiqu’il en soit je n’aurais pas pu faire autrement, ou alors j’aurais déclaré forfait depuis longtemps, mais je ne veux pas m’avouer vaincue.
 
Je vis donc dans la peur.Je suis attristée, parce que je désire protéger nos enfants, parce que je veux que les femmes aient une vie heureuse et indépendante, sans restrictions patriarcales et que de nos jours, pour toutes ces raisons, il me faut vivre dans la peur en Écosse.
Les musulmans qui profèrent des menaces de mort montrent ainsi le vrai visage de la Religion de Paix. 
Traduit de l’anglais par Lavéritétriomphera.

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23 Commentaires

  1. Je poursuis: raison de plus pour avertir les gens avec nos tracts.
    Un bon conseil: essayer d’atteindre le plus de monde possible, ne pas baisser les bras. Je suis sûre qu’on est moins seul qu’on ne le pense, mais il faut s’investir pour toucher les français qui ne nous connaissent pas ou qui n’osent pas. C’est bien la force du peuple qui peut faire plier un gouvernement, non?.

    • @Anne,
      il y a de nombreux bigames en France, ou plutôt polygames
      Bien entendu, le deuxième et troisième mariage restent des mariages religieux, et les enfants prennent le nom de la mère :
      aucune importance pour eux, ce ne sont que des « papiers », des papiers d’un état dont il faut tirer profit au maximum, ainsi chaque femme et sa marmaille peuvent avoir un logement dit « social », et toucher tout ce qui est réservé aux mères célibataires,
      Cela fait une sacrée tripotée quand on prend la photo de famille,
      sidi mohammed ses trois épouses et ses 18 gosses, on est assuré de repeupler les quartiers

        • Encore un sale coup du Miteux, le calamiteux,(1983)
          on comprend son acte, vu qu’il fut le seul président français BIGAME, entretenant ses deux femmes sous le même toit, le toit du président de la République Française, et que son équipe sociamerde a gardé le secret durant 20 ans,
          Si cela avait été divulgué, il n’aurait pas fait un second mandat,
          Ha ! l’hypocrisie de ces socialopes !!!

  2. On peut être bigame en Ecosse?
    Ils sont fous de laisser s’installer ces gens là avec leurs propres lois.
    Y a t-il des bigames en France? Peut-être que oui après tout, puisque la Justice ferme les yeux sur tellement de choses et de plus, ces mariages doubles ne passent jamais devant monsieur le maire, Comment ça marche après pour les allocs car les enfants ont tous le même nom de famille…
    Quelle calamité!

  3. « je suis la fille d’un émigré pakistanais et d’une mère catholique écossaise »
    On comprend d’où vient le problème dès la première phrase

  4. Cette saloperie dislam est donc montée jusqu’en Écosse pour sévir au sein des femmes écossaises, qui ne doivent rien comprendre à ce qui leur arrive, le monde musulman est trop éloigné pour qu’elles aient une quelconque idée de ses dangers et de ses pratiques,
    Pour ceux qui ont une petite idée, ils savent que les Pakistanais sont parmi les plus arriérés des muzz

  5. Une écossaise mariée a un pakistanais ………..c’est un peu chercher les problèmes ….non ?

  6. On se demande toujours comment nos dirigeants peuvent encore accepter ou c’est quoi qui les retiennent un truc aussi débile comme l’islam.
    C’est quoi que nos dirigeants les attirent avec l’Islam?.
    Dés qu’on déballe l’emballage Islam, çà pue directement la haine pour l’humain.
    C’est vraiment l’islam qui rend détestable les musulmans, dés qu’ils sont pas très pratiquant ou ils quittent l’islam, ils ont directement plus d’humanité.
    Il y a pas une once d’amour dans l’islam, rien que de la haine entre eux et avec les autres non musulmans.
    Les chansons d’amour chantés par des arabes sont chrétiens ou autres, jamais entendu des musulmans chanter des chansons d’amour pour les femmes et des femmes pour les hommes.
    Je doute fort qu’on puisse trouver un genre de Johnny Hallyday musulman chanter des chansons d’amour un jour pour les femmes avec les musulmans.
    Il faut déjà aimer les femmes que l’Islam ne permet pas, pour leur chanter des chansons d’amours.
    C’est claire que les musulmans ne peuvent pas aimer les femmes ou ils doivent les aimer en cachette, car l’islam n’a aucune humanité pour elles.
    Elles sont déjà considérés comme inférieurs aux hommes, aucunes égalités entre hommes et femmes.
    Elles sont même impures, même les mères des musulmans qui les ont mise au monde sont impures!, les musulmans sont déjà impures à la naissance par leurs mères, si nous devons suivre leurs logiques débiles;
    Et à voir comment les musulmans maltraitent leurs musulmanes et leurs filles, c’est l’horreur pour elles, où voulez vous trouver de l’amour quelque part avec l’Islam dans ces conditions.
    L’islam est une prison mental sans barreaux, ni chaînes physiques en pleine air, en apparence, un trompe l’oeil pour les gens libres comme nous, nous croyons voir des personnes libres, car ils se déplacent partout librement.
    Nous voyons pas la prison dans lequel ils sont, eux mêmes les musulmans ne le savent pas qu’ils sont prisonniers dans leurs prison mental Islam.
    En plus les musulmans veulent enfermer les autres dans leurs prisons Islam.
    L’islam est une insulte à la vie que Dieu a crée, si nous devons parler comme les vrais religieux au sens du terme.
    Il y a quoi de religieux dans l’islam?, rien.
    Pour une vraie religion, il faut déjà de la compassion que l’Islam en est absent totalement.
    Et c’est çà que nos dirigeants veulent nous imposer en Europe, dehors!.

  7. article web grande bretagne les viols etouffes des petites filles blanches de rotherham par des pakistanais RIEN D ANORMAL suivant l exemple de leur prophete tres enrichissant

  8. témoignage intéressant . par contre je ne comprend pas pourquoi la mère de cette fille , qui est catholique écossaise et qui a laissé faire ça , elle aurait dût quitter ce rat et amener sa fille avec elle pour la protéger .
    quand a nous hommes européens , nous devons protéger les femmes ( il y’a rien de sexistes dans mon propos ) c’est un devoir , un code d’honneur atavique qui viens de la chevalerie occidentale . protéger la veuve et l’orphelins est une devise a remettre impérativement au gout du jour , surtout avec l’invasion que nous sommes en trains de subir !
    muslim si tu touche a nos femmes on te coupe la main !

  9. Je viens de lire « Jamais sans ma fille 2 » de Betty Mahmoody. Elle relaie le témoignage de personnes qui ont vécu le drame de vivre dans un système de pensée déshumanisant. Certes les cas cités montrent des personnalités violentes, manipulatrices et Betty insiste sur le fait que si un Iranien l’a violentée ce sont aussi des Iraniens qui l’ont aidée à s’enfuir avec sa fille. Néanmoins le livre montre l’intimité de familles en Irak et au Pakistan. on voit bien que l’absolutisme du pouvoir du mari, du père, du chef de clan entraîne des abus, tous sont soumis à la pression sociale de « l’honneur », du « respect » des règles de comportement de totale soumission pour les femmes. Les traumatismes engendreront d’autres perturbations psychologiques, c’est la spirale de destruction qui s’enclenche. Dans ce sens aussi, on peut dire « Islam assassin » il tue notoirement l’humanité de l’être humain.

  10. Quelle horreur ! Et quel courage de la part de cette pauvre femme !
    Elle sera dans mes prières toute cette soirée, où je vais assister à une grand messe en l’honneur de l’Immaculée conception de la Vierge Marie.

  11. on sonnait………les matines, peut être !
    on connait ;…………..(c’est mieux) 😆

  12. je voudrais rétablir le sens du mot içi employé
    Gori
    ce n’ est que une adaptation pakis du terme Gouri connu dans le monde arabo musulman , et au Liban sous le vocable Khoury, qui est un patronyme trés courant chez les Chrétiens de ce pays
    qui désigne, avec accent arabe le « Curé », tout simplement !!
    en Berbérie orientale, trois termes désignent le Chrétien
    Roumi : origine Rome (même si c’est l’ empire romain d’ orient:Byzance
    Gouri : mot d’ origine Curé, certains penchent aussi vers Guer, mot de vieil hébreu signifiant prosélyte
    Nassri , pluriel Nçara : Nazaréens…..
    zut, j’ oubliais aussi Massihi, plutot en Orient ( disciples du Messie Jésus)
    et pour finir, a Malte on sonnait les Saliba ou Salibi ( littéralement Crucifix )

    • Merci pour ces précisions, mais ce terme est donc devenu particulièrement insultant pour la personne ainsi désignée.

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