C’est pas moi qui ai tué, m’sieur le juge ; l’assassin a marché dans l’un de mes crachats !

Les sorciers de retour en France ? Il y a beaucoup à dire…

Le terroriste Brahim Abdeslam recourait à la « « hijama » : une médecine prophétique utilisée pour guérir de plusieurs maladies à travers l’extraction du sang par des verres à ventouses et lutter contre la sorcellerie ».
http://www.20minutes.fr/societe/1871783-20160623-site-rencontres-chants-sorcellerie-telephone-portable-brahim-abdeslam-decortique
Fabienne Kabou, qui avait abandonné sa fille sur une plage, aurait été ensorcelée aussi, mais elle a été condamnée néanmoins :
http://www.lavoixdunord.fr/214844/article/2017-09-08/fabienne-kabou-plaide-non-coupable-et-invoque-la-sorcellerie
Tous deux étaient issus de l’immigration africaine.

Autre coutume désormais ultra répandue : cracher par terre.
A Tours, un homme est jugé pour l’atroce meurtre d’une femme : il prétend que son ADN trouvé dans la voiture y serait parce que le tueur aurait marché dans un de ses crachats !
http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/09/26/Je-n-ai-pas-tue-Nicole-Brossard-3238181
« Je n’ai pas tué Nicole Brossard. (…) Aziz Brimou (…) affirme qu’il n’est pas l’auteur de l’homicide de cette préparatrice en pharmacie, originaire de Nueil-les-Aubiers (Deux-Sèvres) ».

« Le matin du 1er avril 2011, la quinquagénaire est retrouvée morte dans le coffre de sa voiture, stationnée dans le box qu’elle louait dans un parking situé dans les quartiers nord de Blois, non loin de chez elle. Elle a été littéralement massacrée : elle a reçu 50 coups de couteau, dont certains « d’une extrême violence », souligne la présidente de la cour, Isabelle Raimbaud-Wintherlig, selon le rapport du médecin légiste. «… » La carte bancaire, les papiers, le téléphone, les clés du domicile de la victime ont été dérobés dans son sac. Dans la nuit du 31 mars au 1er avril, deux retraits d’un montant total de 700 € sont réalisés avec le moyen de paiement volé. Et il y a eu deux autres tentatives cette même nuit. L’exploitation des images de vidéosurveillance des établissements bancaires ne permet pas d’identifier l’homme sur les images, son visage étant dissimulé ».

« Entendu au tout début de l’enquête, Aziz Brimou est réentendu en décembre 2013. Un prélèvement buccal est réalisé. Son ADN correspond à l’un de ceux relevés sur la pédale d’embrayage de la voiture de la victime. ADN également retrouvé sur la veste de la préparatrice en pharmacie. Mis en examen, Aziz Brimou, chômeur, addict aux jeux, surendetté et sous antidépresseurs depuis plusieurs années, déclare qu’il fréquentait très régulièrement le bar-PMU attenant au parking. Il clame son innocence. Il explique la présence de son ADN par un « transfert ». Il indique qu’il avait l’habitude de cracher près du bar et que c’est sans doute comme cela qu’une tierce personne a transporté son ADN sur la pédale d’embrayage de la voiture ».

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12 Commentaires

  1. « ADN également retrouvé sur la veste de la préparatrice en pharmacie. »
    Elle a donc du, avant de démarrer, essuyer sa pédale d’embrayage avec sa veste, histoire de ne pas glisser sur le crachat sans doute.
    Bon, connaissant nos magistrats, ils sont tout-à-fait capables de gober cette version.

  2. Une affaire de braquage qui présente des similitudes avec le procès d’Aziz Brimou est jugée aussi par la Cour d’assises de Poitiers cette fois-ci :
    http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/09/27/Huit-ans-de-reclusion-criminelle-pour-le-braqueur-du-Leader-Price-3239283
    Similitude car encore trahi par son ADN.
    « Son ADN de la tête aux pieds
    Nouvelle chemise longue fermée jusqu’au cou, Abdella Ben Jebbour, dans son box, ne varie toujours pas de sa version initiale. Et ne nie toujours pas cet ADN retrouvé sur les vêtements et objets qui ont servi au braqueur : « Je ne peux pas le nier mais ce qui me trotte dans la tête, c’est cet ADN qui n’est pas exploitable », lâche-t-il à la présidente de la cour d’assise. « La reine des preuves », selon l’avocat général, qui va être démontée par l’avocat de la défense lors de sa plaidoirie.
    Qui est Abdella Ben Jebbour ? Un homme « authentique » aux « capacités intellectuelles satisfaisantes », pour le psychiatre convaincu qu’il « n’est pas dangereux pour lui-même et pour autrui ». L’expertise de la psychologue clinicienne repère chez ce jeune adulte un conflit « de vouloir s’affirmer, dit-elle, et de ne pas contrarier ses parents ». Ce père illettré, travailleur, avec qui « il n’arrive pas à rivaliser » ne sera pas là pour raconter cette vie de famille dont on raconte qu’Addella Ben Jebbour a grandi dans un milieu « chaleureux », avec une éducation « religieuse stricte ». On évoque la part sombre du couple lorsque le mari a bu et lève la main sur sa femme.
    «  La reine des preuves  »
    L’avocat des parties civiles, Maître Fauconneau fait fi des traits de personnalité de l’accusé. Pour articuler sa plaidoirie sur le traumatisme – « Plus personne ne travaille au Leader Price de Lusignan » – et la pierre angulaire du procès, l’ADN. « Sur tous les vêtements et objets, on trouve sa trace génétique. De la tête aux pieds ». Quatorze régions (points) ont fixé l’ADN de l’auteur présumé : « C’est qu’il les a portés », insiste-t-elle. Et puis la démarche du braqueur qui « n’est pas coordonnée ». Un élément en charge lorsque l’on sait que l’accusé était blessé à la cheville, une sale chute dans l’escalier dans la maison qui a engendré une entorse ?
    Une sorte d’introduction pour le ministère public qui reprend la balle au bond : « Abdella n’est pas toujours lisse et poli qu’il est sur la photo et dans le box ». Et l’avocat général de déballer l’histoire de la famille, les « mauvais travers » du père qui ont laissé des traces. « Ce crime, il l’a commis parce qu’il connaissait les lieux ».
    Et puis, ce téléphone portable « coupé juste avant l’heure du crime qui nous fait demander sa culpabilité ». « La reine des preuves », pour le défenseur de la société, signe l’acte d’ « Abdella Ben Jebbour : À 16 ans, il ne savait pas que ces empreintes génétiques étaient dans un fichier. Son ADN, c’est Ben Jebbour pur jus ». Ses réquisitions tombent comme un couperet : « 10 ans de réclusion criminelle » ».
    Je me demande bien quelle est cette « éducation religieuse stricte » qui permet de tabasser sa femme…
    « Lorsque le mari a bu »… de l’eau ? de l’urine de chameau ?

  3. La trouvaille du crachat est loin d’être sotte …
    Elle doit se retrouver dans la liste des taqiyas qu’ils doivent se communiquer via le téléphone arabe …

  4. « Autre coutume désormais ultra répandue : cracher par terre. »

    en effet, je rebondis sur cette phrase

    de plus en plus de saloperies crachent leurs mollards dans la rue, au sol

    en tête les Chinois, trés naturel chez eux….la bonniche d’ une famille de richissimes et ultra-discrets Chinois de ma rue, dés qu elle sort accompagnée des mômes pour les emmener a l’ école , pond un de ces glaviots !! je l’ ai engueulée en la traitant de sale dégueulasse
    peine perdue, elle ne comprend pas le Français! environ 50 ans, sans doute une esclave a domicile venant de la campagne chinoise
    ça te donne aussi une notion de l’ intégration de ladite famille…

    ensuite les Africains…de tous les tons …du trés noir au noir clair, voire trés clair…ça crache là aussi
    normal a force de faire cracher les Français, faut bien qu ils nous rendent un peu de monnaie en liquide….

    sans oublier les petites racailles dont les glandes salivaires sont excitées par les saloperies droguantes qu ils absorbent…

    • Et pendant le ramadan, pour ne pas avaler sa salive, on crache.

      Comme de plus en plus de jeunes gamins le font, ça va être sympa prochainement dans les cours d’école… Et gluant…

    • Sur internet, les exégètes du Coran se grattent la glotte : peut-on avaler sa salive pendant le ramadan ?

      Question fondamentale car certains se sont suicidés pour moins que ça en rompant maladroitement le jeûne.

      Sur Yabiladi.com ou http://www.islamweb.net, vous trouverez réponse à toutes vos questions existentielles (salive, crachats, glaviots, morve, sang, sperme…)

      Nous apprenons donc que le pieux musulman peut avaler sa salive pendant le ramadan mais pas « la glaire à l’arrière-goût salé » qu’il convient impérativement de cracher.

      Amis de la poésie, bonjour ! Et tant pis, si vous en étiez au petit-déjeuner…

  5.  » Il s’est blessé tout seul, Monsieur le Juge, il m’a donné d’énormes coups de c…lles dans les pieds « .
     » Il s’est tué tout seul, Monsieur le Juge, il essayait de tortiller la lame de mon couteau avec son cou « .

  6. Mais pourquoi « garder » de telles ordures en prison ? Pas de guillotine mais la piqure léthale, oui !

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