Ce n’est pas RR qui a écrit l’article du Télégramme ci-dessous, mais ça y ressemble un peu…. Quant au rapport des sénateurs sur la déradicalisation, il montre bien l’échec absolu de la politique de Hollande et, surtout, l’argent phénoménal dépensé pour cela, argent qui a servi, comme par hasard, à des associations dont l’utilité n’a pas été prouvée c’est le moins que l’on puisse dire….
Le premier centre spécialisé dans la déradicalisation a ouvert, en septembre 2016, près de Chinon (Indre-et-Loire).
Déradicalisation. Un mensonge d’État
Plus de 15.000 personnes signalées radicalisées en France, 1.500 dans nos prisons, près de 900 jihadistes français encore au combat ou rentrés en France… Jamais la France n’a eu à gérer un tel flot d’extrémistes rejetant ses valeurs et souhaitant sa perte. Un cancer que l’État a tenté de faire passer pour une grippe.
Ils sont embrigadés comme dans une secte, ou fous, ou délinquants. Ou les trois à la fois. Tel a été, jusqu’à très récemment encore, le profil qui était dressé des jihadistes français. Avec cette grille de lecture simpliste, les pouvoirs publics ont cru et fait croire qu’ils pouvaient maîtriser le phénomène. Il suffisait de « déradicaliser ».
« Qui a pu croire à cela ? »
En 2014, les clés de cette « déradicalisation » sont confiées au Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam (CPDSI), créé par l’anthropologue Dounia Bouzar. Deux ans plus tard, en septembre 2016, ouvre le premier centre spécialisé, près de Chinon (Indre-et-Loire). Une structure pouvant accueillir, sur la base du volontariat, jusqu’à trente jeunes radicalisés. « Qui a pu croire à cela ? », s’agace un cadre de la lutte antiterroriste pour qui la « déradicalisation » est un « tissu de conneries ». « S’ils sont volontaires, c’est qu’ils ne sont plus radicaux ou qu’ils simulent, raille-t-il. Ces gens ne nous aiment pas et n’aiment pas notre système. Le cerveau n’est pas un logiciel que l’on peut modifier en insérant une disquette ! »
« Quinze ans de retard »
« On ne nous a pas laissé le choix : il fallait faire, un point c’est tout. Même si tout le monde savait que ce n’était pas la bonne méthode et qu’elle était vouée à l’échec », cingle un responsable antiterroriste. En Touraine, le centre, qui n’a jamais accueilli plus de neuf personnes, est désormais vide. Le constat est tombé, mercredi dernier, dans un rapport parlementaire : « Échec des politiques publiques de déradicalisation ».
Un fiasco qui trouve également sa source dans la cacophonie médiatique, alimentée par une kyrielle de spécialistes autoproclamés, et les querelles des (rares) vrais experts. « François Burgat, Gilles Kepel et Olivier Roy ont structuré l’analyse de ce phénomène. Mais la génération de chercheurs suivante n’a pas suivi, déplore aussi un familier du dossier de la déradicalisation. C’est pour cela que nous avons 15 ans de retard et qu’on découvre qu’on ne sait pas ce qu’on fait, qu’on manque de jeunes chercheurs prêts à s’investir, et qu’on ne voit pas comment on pourrait faire… »
L’inaudible annonce des attentats de 2015
« Cette approche a faussé les débats et la réponse politique », déplore David Thomson, journaliste travaillant sur le phénomène jihadiste depuis 2011. La conséquence a été gravissime : « Cela a empêché de prendre conscience de la réalité de la menace », estime le spécialiste qui, seul contre tous en 2014, annonçait l’arrivée d’attentats sur le sol français. Il faudra attendre deux ans et 238 morts pour que la prise de conscience soit totale.
Approche psychopathologique et bourrage de crâne : pourquoi l’État a-t-il validé ces explications superficielles ? « Dire que les jihadistes étaient des fous, des malades, arrangeait tout le monde, décrypte David Thomson. Car cela évitait tout débat sur la dimension religieuse, pourtant prédominante, de l’engagement jihadiste, et aussi toute remise en cause politique. C’est pourtant éminemment le cas quand on pose cette question : pourquoi des enfants nés en France en viennent-ils à haïr à ce point et combattre la société dont ils sont issus ? »
Sparadrap sécuritaire
Le diagnostic n’était pas bon. Le traitement a été encore plus mauvais, en faisant croire aux Français que le seul sparadrap sécuritaire pourrait guérir tous les maux. Une voix, inattendue, s’est pourtant élevée, le 10 mai 2016, devant la commission de la Défense nationale. Celle de Patrick Calvar, patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) : « Il faut tâcher de comprendre à qui nous avons affaire (…). Je ne m’explique pas comment une fille de quinze ans quitte la France pour se rendre en Syrie vivre dans des conditions abominables, ni comment un gamin que rien n’y prédispose, va poignarder un enseignant juif au seul motif de détester cette société. Aussi, si l’on se limite à une réponse sécuritaire, on se trompe. »
« Une partie de la classe politique, l’extrême droite, a récupéré la thématique jihadiste, en l’amplifiant à des fins purement électorales, analyse un chercheur travaillant sur le phénomène. L’autre l’a occultée parce que les enjeux qu’elle posait étaient trop effrayants. » Son diagnostic ? « Une crise profonde de notre modèle démocratique. »
EN COMPLÉMENT
« Dans nos prisons, on a le prochain Al-Baghdadi »
La déradicalisation est, jusqu’à présent, un échec. « On a tenté de maquiller ça avec de la com’. La vérité, c’est que nous nous sommes mis dans une situation ingérable », se désespère un responsable de la lutte antiterroriste. Y a-t-il néanmoins un espoir ? « Il n’y a rien à faire, élude le même interlocuteur. Mais politiquement et médiatiquement, on ne peut pas l’avouer. »
Durablement dans les esprits
Le journaliste David Thomson, spécialiste du jihadisme, n’est pas davantage optimiste : « La motivation nº1 des jihadistes, c’est d’aller au paradis. Et pour y accéder, il faut mourir et tuer le plus d’ennemis. Quel argument avancer pour contrer ce discours ? Il n’y a aucune méthode actuellement, aucune parade à cela. Les rares cas de déradicalisation sont le fruit de parcours et de prises de conscience personnels. La majorité de ceux qui reviennent sont toujours radicalisés. Ils sont simplement déçus de ce qu’ils ont trouvé là-bas. »
Point positif : Daesh multiplie les revers militaires. « Beaucoup de cadres ont été tués par des drones. Ils étaient très expérimentés et seront difficiles à remplacer. Exporter la menace est, pour eux, devenu plus difficile, convient David Thomson. Mais l’idéologie n’est pas en déclin. Bien au contraire. Les jihadistes sont parvenus à insérer le logiciel terroriste dans beaucoup d’esprits. »
« Ils nous connaissent mieux qu’on ne les connaît »
« Il y a eu plein de ratés mais la prise de conscience est désormais réelle », tempère un chercheur. Le gouvernement a mis en place, en 2016 et 2017, des comités scientifiques reconnus qui planchent sur la question et les réponses à apporter. Mais les travaux et débats qui débutent risquent de durer « de longues années », prévient ce spécialiste. Car, contrairement à ce qui était dit jusqu’à présent, « le jihadisme est une idéologie, avec une pensée très élaborée et structurée », insiste le chercheur, lui-même « dérouté » par les découvertes qu’il a faites en interrogeant des jihadistes français. « Ils ont plus de recul sur la question que la plupart des chercheurs. Ils nous connaissent bien mieux qu’on ne les connaît. Nous avons, dans nos prisons, de véritables idéologues. J’ai peu de doutes sur le fait qu’on a, derrière les barreaux, le prochain Al-Baghdadi (*). »
(*) Al-Baghdadi, chef de l’organisation État islamique (Daesh).
« Leur motivation n°1 : accéder au paradis »
Plus de 700 djihadistes français encore en Syrie, près de 200 tués sur place et autant rentrés en France. Le journaliste David Thomson a consacré un saisissant livre à ces « Revenants » (Ed Seuil), qu’il suit depuis des années. Voici, selon lui, quatre des principales caractéristiques de l’engagement djihadiste.
1- Un sentiment de frustration. Il y a toujours une faille préalable à l’engagement : sentiments de frustration, d’infériorité, d’humiliation, d’injustice. Leur origine : problèmes familiaux, économiques, échec scolaire, discrimination, éloignement ou perte d’un être cher…
Une grande partie des jihadistes sont issus des quartiers sensibles (dont ils conservent les codes en Syrie), de l’immigration sub-saharienne et du Maghreb et sont de confession musulmane à 70% (30% de convertis, dont la moitié issue de minorités : Antilles françaises, immigration asiatique, portugaise…).
La propagande va pulvériser les humiliations, redonner la fierté et apporter une capacité de revanche. « De dominé, on va t’offrir un statut de dominant ».
2- Une vie d’excès. Autre trait commun : l’écrasante majorité des jihadistes menait une vie d’excès (sexualité, alcool, stups, etc.) avant de s’engager. L’idéologie purifie, absout tous les péchés (homosexualité par exemple).
Le message djihadiste : tu as encore la possibilité de te racheter. La grande majorité (près de 70%) des actuels détenus pour terrorisme n’étaient jamais passés par la case prison auparavant. Mais la délinquance, que l’on pourrait croire incompatible avec la religion, se marie au contraire très bien avec le jihadisme, qui la fait sienne. Pour la cause. « C’est tout bénéfice pour le délinquant, qui voit son action légitimée. » Aucun remord à avoir. Nul besoin de réfléchir à ses actes. Le jihadisme rend tout compatible. Il est capable de marier interprétation moyenâgeuse, ultra-rigoriste, du Coran et modernité. Ces « frustrés du capitalisme » peuvent lire des hadits du VIIe siècle, Nike aux pieds, sur un iPhone dernier cri. Ou faire des selfies en jogging Lacoste, kalach’ à la main.
3- Logique anti-système. La plupart étaient déjà dans une logique anti-système (institutions injustes, dirigées contre les minorités). Ils ont perdu confiance dans les médias traditionnels et sont très perméables à l’info conspirationniste. Généralement faiblement instruits, très jeunes, ils basculent souvent au moment de l’adolescence, ou à sa sortie. L’exemple, donné dans le livre, d’un jihadiste expliquant avoir auparavant été séduit par l’extrême droite, puis l’extrême gauche, est une « illustration parfaite de l’islamisation de la radicalité ».
4- L’incontournable dimension religieuse. La conviction religieuse des jihadistes est « profondément ancrée ». L’absence de connaissance du Coran n’est pas un obstacle. « Combien de catholiques sont incapables de citer un seul passage de la Bible ? ».
Tous sont convaincus des faveurs accordées aux martyrs dans l’au-delà. « On a trop minimisé ce mythe, qui est primordial pour eux », soutient David Thomson. Les jihadistes ont la promesse que tuer va leur ouvrir les portes du paradis. L’accès à ce paradis est leur motivation n°1″.
© Le Télégramme http://www.letelegramme.fr/france/deradicalisation-un-mensonge-d-etat-28-02-2017-11415843.php#YK4Wci0ZjHm81Xph.99
Et le sénateur Benbassa… qui n’est pourtant pas notre tasse de thé, et c’est peu de le dire…
Rapport sur la déradicalisation : « il n’y aura pas de miracle »
La prise en charge de la déradicalisation en France est un « échec », selon un bilan d’étape d’une mission d’information sénatoriale rendu public mercredi.
La prise en charge de la déradicalisation en France est un « échec » et les pouvoirs publics doivent changer de « concept », selon un rapport des sénateurs Esther Benbassa et Catherine Troendlé. L’élue écologiste et sa collègue Les Républicains ont remis, mercredi 22 février, leur rapport d’étape de leur mission d’information baptisée « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en France et en Europe ». Les travaux ont débuté au printemps 2016 et le rapport final devrait être publié en juin.
Dans ce point d’étape, les deux rapporteurs dressent notamment un bilan global peu flatteur de la politique de déradicalisation et en particulier du centre dédié de Pontourny (Indre-et-Loire), où elles se sont rendues. « C’est un fiasco complet, tout est à repenser, tout est à reconstruire », a commenté le président de la commission des Lois du Sénat, Philippe Bas.
Un rapport qui intervient alors que le gouvernement a depuis plusieurs mois amorcé un changement de politique sur ce sujet. Se défendant de réaliser un réquisitoire contre les autorités publiques, Mme Benbassa considère d’ailleurs que dans cette mission de déradicalisation « il n’y aura pas de miracle » et qu’il faudra rester « modeste et patient ».
Lire aussi : Djihadisme : déradicaliser ou normaliser
Un climat d’urgence
Pour comprendre les raisons de cet « échec », il faut remonter quelques années plus tôt, à l’automne 2014, période à laquelle l’exécutif a mis en place ses premières mesures pour endiguer le phénomène de radicalisation latent en France, et qui conduit déjà certains jeunes sur les terres de l’organisation Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.
Les mois suivants verront se succéder une série d’attentats (en janvier puis en novembre 2015) et de tentatives d’attentats, notamment l’attaque ratée du Thalys par Ayoub El Khazzani et celle de Villejuif par Sid Ahmed Ghlam.
C’est dans ce contexte de menace diffuse que le gouvernement s’attaque au dossier ardu de la « déradicalisation » – terme désormais décrié au profit du « désendoctrinement » ou du « désembrigadement ». Un contexte d’urgence, qui n’incite pas les autorités à prendre les bonnes décisions, selon Mme Benbassa.
« Le gouvernement était en panique à la suite des attentats. Et c’est la panique qui a guidé ses actions. Le temps du politique est court, il fallait rassurer la population », rappelle la sénatrice Europe Ecologie-Les Verts, qui se défend d’avoir réalisé un « réquisitoire » contre la politique de désendoctrinement mis en place par le gouvernement, mais qui revient point par point sur les différentes méthodes utilisées, soulignant à chaque fois leur limite.
« Business »
Mme Benbassa fustige d’abord les associations sollicitées par l’exécutif pour amorcer des programmes de déradicalisation partout en France. « Ces associations ne connaissaient pas la question, elles se sont juste engouffrées dans la brèche, en menant des actions qui n’étaient pas à la hauteur des défis », estime la sénatrice, qui évoque à plusieurs reprises « le business de la déradicalisation » où « ceux qui y croient sont ceux qui en vivent ».
A ces associations se sont ajoutés « des pseudos spécialistes », ajoute Mme Benbassa, qui cite notamment les méthodes de Dounia Bouzar. L’anthropologue a eu la confiance du gouvernement de 2014 à 2016, c’est elle qui a été la première à avoir la charge d’équipe mobile d’intervention auprès de familles en détresse et qui a formé les premiers personnels de l’Etat au sujet de la déradicalisation.
Aujourd’hui toutefois, Mme Bouzar fait l’objet de nombreuses critiques. Cette dernière a longtemps défendu l’idée que la radicalisation était une forme d’emprise sectaire, approche aujourd’hui remise en cause. La question des méthodes de désembrigadement fait toutefois l’objet de débats plus larges et de tâtonnements dans l’application des politiques publiques, au-delà même de Mme Bouzar.
Le volontariat controversé
Le rapport d’étape des deux sénatrices jette aussi l’opprobre sur le centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté, ouvert en septembre 2016, au lieu-dit de Pontourny, à Beaumont-en-Véron, un village de 2 700 habitants d’Indre-et-Loire. Ce premier centre de « déradicalisation » en France est désormais vide. Il a vu partir son dernier pensionnaire en milieu de semaine après que ce dernier a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour des faits de violences familiales.
Concernant ce centre, qui devait accueillir jusqu’à vingt-cinq personnes, et qui en a totalisé neuf au plus fort du dispositif, Mme Benbassa déplore le manque de coopération des préfectures, censé faire remonter les cas de jeunes candidats potentiels : 40 % d’entre elles n’ont pas répondu à la circulaire ministérielle.
Lire aussi : Djihad en Syrie : un des pensionnaires du premier centre de déradicalisation interpellé
Le rapport remet également en cause « la politique du volontariat » qui explique en partie la difficulté pour les préfectures à faire remonter des candidats, ajouté à l’impératif d’un casier judiciaire vide. « Comment croire que des gens déracinés, qui viennent dans ce lieu sur la base du volontariat, puissent changer ? », questionne la sénatrice, qui rappelle que le dispositif avait un coût annuel de 2,5 millions d’euros.
C’est aussi le regroupement des individus radicalisés qui pose question, aussi bien à Pontourny, que dans les prisons, où des détenus radicalisés avaient été réunis dans des unités dédiées, au sein de cinq établissements pénitentiaires situés en Ile-de-France et dans le Nord. L’agression d’un surveillant, le 4 septembre 2016, avait marqué un coup d’arrêt à ce dispositif. Là encore, les rapporteures évoquent un personnel qui n’était pas assez formé.
Des avancées
L’analyse apportée par le rapport des deux sénateurs arrive toutefois plusieurs mois après un revirement des politiques dites de déradicalisation en France. En octobre 2016, le ministre de la justice, Jean-Jacques Urvoas, a par exemple annoncé un changement de cap dans la prise en charge des détenus radicalisés, en mettant fin au concept des unités dédiées. Ils seront désormais évalués dans six établissements durant quatre mois, avant d’être affectés dans vingt-sept prisons qui présenteront, des conditions de sécurité élevée et bénéficieront de renforts de personnels spécifiquement formés.
L’exécutif a donc tiré des enseignements de ces échecs passés. Mme Benbassa estime qu’il faudrait plus d’« accompagnement individualisé », de « travail sur la réinsertion » ou « développer la prévention ». Mouvement déjà amorcé par les pouvoirs publics.
Pendant ce temps on me traîne au tribunal pour avoir dit « islam assassin », va comprendre, Charles…
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Oui, c’est un bon papier que ce constat d’échec. Ça se réveille un peu tard. J’aime bien la façon de Chambonnière de nous expliquer » façon révélation » ce que j’espère plus de la moitié des Français à déjà compris (mais peut être pas encore nos Armoricains)… Il faut dire aussi que les Marianes Africaines d’Henri Henriot les avait saisi d’effroi !
Allez… é hop un p’tit coup de taser dans les conscience…
Dounia Bouzar, pseudo spécialiste, a fait l’ objet d’une vidéo assez drôle de deux apostats algériens Samir et Lyès (Chaîne Madame l’Afrique sur Youtube )qui en démontent la supercherie, une imposture similaire à celle de M.Mohamed Sifaoui.
Étonnant de la part du télégramme !
SI la dounia est anthropologue, alors moi, je suis astronaute,
Elle n’a jamais obtenu le baccalauréat, pourtant accordé bien facilement depuis pas mal d’années
Elle a donc suivi une de ces séries de rattrapage qui permettent d’entrer à l’université en sautant l’étape baccalauréat,
Puis, elle n’a jamais passé réellement la licence, qui lui a été « accordée », sur validation de ses années d' »expérience », pas besoin pour elle de passer des uv
Enfin, elle n’a jamais étudié l’anthropologie,
Tous ces titres lui ont été accordés d’après ses écrits sur l »islam
Mais demandez-vous pourquoi on lui a octroyé 2,5 millions par an aussi facilement :
La dounia a changé de prénom, elle a été » baptisée » Dominique, de son nom de naissance,( sur les fonds baptismaux, je ne crois pas),
Rusée la guêpe, en tant que dounia, il lui suffisait de se rapprocher des socialos, elle pouvait tout obtenir,
A-t-elle donné des justificatifs sur les sommes utilisées ?
Ce gouvernement est en dessous de tout : favoritisme, népotisme, petits arrangements entre amis, et on dilapide l’argent public au nom d’une « juste cause »,
Quant aux études complexes et laborieuses nécessaires pour comprendre la radicalisation, c’est donc la recherche du fil à couper le beurre,
Qu’on mette sous le nez de ces abrutis qq pages du coran, et
« la lumière fut » !
Mais sans doute, ne préfèrent-ils rien savoir, et dire qu’ils continuent à chercher très sérieusement, ça fait bien,
Continuez donc à tourner en rond dans vos ministères, pendant que la peste se répand avec vos bénédictions et vos padamalgame, et que les terroristes se multiplient comme des petits pains sur le territoire, bandes d’aveugles criminels !!
Les juges sont comme la pluspart des Français ,ils n’ont pas été dans un pays Musulman voir les méfaits de l’Islam !On leur a présenté l’Islam comme une religion de paix et d’amour!!
Et maintenant avec les attentats l’on se rend compte que cette religion n’en est pas une ,c’est une secte dominatrice tueuse !
Mais c’est dur d’accepter de reconnaitre que l’on s’est fourvoyé !Pourtant beaucoup de personne on signalé le danger de cette idéologie et ont été traité de racistes !Mais eux avaient vécu et vu les méfaits de l’Islam ,radical ou pas les sourates sont les mèmes pour tous les musulmans !Cette religion est contraire a nos lois et combat nos valeurs pour nous imposer les siennes ,elle refuse d’obéir aux lois de mécréants ainsi qu’a accepter son enseignement!
Dans beaucoup de pays l’Islam est interdit!
Il serait peut étre urgent de réagir avant que la Charia régne dans toute la France et pas seulement dans certaines citées que fuient les français!
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Déradicalisation : mission impossible, juste de la poudre aux yeux qui coûte très cher. A mon avis, ils n’ont pas dû demander l’avis des psy.
Un échec absolu, voir à ce sujet un article du Jihad Watch de Robert Spencer sur ce fiasco français de l’impossible déradicalisation.
Déradicaliser ? Facile. On arme tous les français qui ont de c……s et on lâche les radicalisés. On tire et on pose les questions ensuite. Genre : est-ce qu’ils sont tous froids et donc déradicalisés, cette fois ? Simple et efficace. On fait ça partout en France sans oublier les « territoires perdus ». Bon débarras. C’est exactement ce que veulent plusieurs dizaines de millions de français. La justice aux ordres du gouvernement et de Bruxelles ne va pas pouvoir mettre des millions de personnes en taule. Il n’y a plus que cette solution car tout est politisé pour éteindre l’esprit patriote, ce qui est la goutte qui fait déborder le vase. Messieurs les pourris de la politique et de la justice, serrez les fesses car ça va chauffer pour vous !
Note au modérateur : je comprendrai que vous ne publiiez pas ce commentaire mais l’info sur ce que veulent des millions de français est bien réelle.
Ben! oui, pourquoi pas avec les Nazis et les fasciste tant qu’ils sont là, tout cela comme vous le dites très bien, qui va croire çà.
L’Islam c’est la radicalisation même des musulmans depuis 1400 ans!, rien que pour l’Hindi Kouch ( massacre d’Hindous), c’est 80 millions de mort rien que pour l’ Inde par des musulmans, rien que çà, et eux ils vont dé-radicaliser les musulmans, alors que les musulmans eux mêmes ne le font déjà pas, et des centre de dé-radicalisation qui n’existent pas dans les pays musulmans, autant ne plus être musulman quoi.
Nous sommes en pleines manipulations d’états, les mensonges et les délires totalitaires à tout va, mais c’est avec tout comme çà, tout est manipulation, tout!, et normalisé.
On nous vend toutes ces choses comme étant normal!, et ils ont souvent les mains dans les caisses des états nos escrocs dirigeants pour des bonnes raisons, quels mannes d’argents!, et! les bonnes boires du peuple qui paient, et à la barbe et aux nez des peuples européens!, ben tien, pourquoi se gêner!.
Ils inventent tout et n’importe quoi pour prendre dans les caisses des états européens et l’union d’escrocs de Bruxelles veillent aux bons grains, eux n’ont rien vu!, bien sûr!.
Comment voulez vous encore croire à leurs racisme à deux balles et autres escroqueries raccourcis piques caisses d’états, pourquoi seraient ils plus crédibles avec çà, dite moi?.
Nous avons à faire au plus grand rackette européen sur place, tous les pays européens sont ruinés et surendettés, comme des grands rapaces pilleurs d’états se respectent, amis résistants.
Et je crains fort que nous sommes pas les seuls en Europe.
Les pigeons c’était hier, référendum!, pour ne plus se faire voler avec l’argent des peuples.
Quelle vaste fumisterie que ces centres de déradicalisation. Qui peut croire un instant que des djihadistes qui ont égorgé femmes et enfants vont subitement devenir des agneaux après avoir rencontré l’un ou l’autre psychologue. Tout cela ne sert strictement à rien et coûte une fortune aux contribuables.
Ce sont les juges qu’il faut déradicaliser.
Mais bon sang,il y en a qui hésitent encore à voter Marine.
« Les détails nauséabond ne m’intéressent pas « me disait l’autre jour une amie à propos de notre démarche de faire entendre la vérité de ce qui se passe (même si l’on est très en deçà de cette vérité tant le machiavélisme et l’indignité sont devenus monnaie courante dans ce pays.
Cette femme est éduquée (enseignante à la retraite) mais elle est dans le déni de réalité.
J’espère qu’un jour on reconnaitra le déni de réalité comme une maladie (comme le déni de grossesse,incroyable travail à l’envers du cerveau face à une situation qui est en train de se construire dans le sens de la pérennité du Vivant.)
Il y a des gens qui ne veulent pas s’adapter.
Or l’adaptation seule permet à une espèce vivante de rester….Vivante;
Les dénis de réalité,on devrait leur faire passer une semaine au muséum d’Histoire Naturelle,ce qui serait fort agréable pour eux et moins préjudiciable pour nous tous les français.
Tant que des français remettront en question le danger de l’islam en France
les radicalisés auront de beaux jours devant eux.
Alors la Dounia qui se sucre avec le budget de la déradicalisation (c’est totalement scandaleux), »fera » accompagnatrice à la salle des dinosaures et des reptiliens dont les ailes n’ont pas poussé.
Car tous ceux qui vont dans le sens contraire de l’évolution de la Vie seront destinés à disparaitre.C’est ainsi depuis le bing bang.
La déradicalisation ou comment mettre un pansement sur une jambe de bois.
Le rapport parlementaire traitant de ce sujet , tout en se voulant exhaustif, accomplit des impasses abyssales, sur les vrais tenants de ce drame .
C’est bien beau de s’étendre à longueur de lignes, sur les phénomènes de frustration sociale aux multiples ramifications , au risque de se fourvoyer dans des explications, menant à des conclusions ineptes et sans issue !
Peut on estimer que les auteurs de ce pensum, ont fait preuve de discernement de bon aloi , en insistant sur les origines psycho sociales ? et bien non ,! car ils n’ont absolument pas évoqué un aspect prépondérant du problème, qui est essentiellement un probléme religieux , par crainte prévisible de se voir comparaître au tribunal, pour incitation à la haine contre l’islam .
Auraient ils vraiment voulu traiter le sujet à fond? ;;;;;;;Et bien ils leur suffisait de se pencher sur les sourates coraniques , qui constituent une source d’éclaircissement définitif , sur l’ensemble des horreurs récentes et à venir qui vont endeuiller notre société !
Des sourates criminelles donc, sur lesquelles nos sénateurs repus, n’ont pas souhaité lever les yeux , comme ils se sont détournés aussi peureusement de l’étude de l’histoire de Mahomet , qui en sa qualité de terrifiant tueur en série, sera éternellement le modèle incontournable , justifiant les plus sanglantes des exactions .
D’aucuns pourront m’opposer l’argument selon lequel la majorité des musulmans de France sont pacifiques . Mais cet argument ne tient plus quand on constate que ces citoyens tranquilles, adhérent malgré tout à la personne d’un criminel historique et au contenu d’un livre , ou les incitations à la violence sont légion !
Donc une majorité de musulmans essentiellement pacifiques en France , mais qui , en raison de frustrations profondes personnelles , le sentiment fondé ou non d’être victimes d’injustices ( réelles ou illusoires ) , seront dramatiquement rattrapés par les injonctions doctrinales originelles coraniques et médiévales , qui les conduiront , en guise d’auto traitement mental, a accomplir des massacres de masse , ou leurs pulsions morbides trouveront toute satisfaction
J’ai 18 ans , vivant en banlieue après avoir échoué en système éducatif classique ,car je me suis comporté en cancre arrogant et paresseux , et nourrissant un fort ressentiment envers la société française ? ;;;;;Qu’ à cela ne tienne, car je découvre dans le coran, toute la ressource morale et doctrinale , me permettant de régler mes comptes, sans aucun problème d’auto examen déontologique !
Les chrétiens , parfois eux mêmes confrontés à des vexations douloureuses , des échecs sociaux et économiques humiliants , peuvent éventuellement ouvrir un quelconque évangile , pour y découvrir un enseignement libérateur et rassurant , ils n’y découvriront aucun encouragement à répandre le sang des innocents bien au contraire, car il existe un gouffre séparant le bon Jésus guérissant sacrifié et souffrant , avec la figure abominable du dénommé Mahomet , accomplissant d’atroces génocides , avant de se vautrer dans la pire des luxures pédophiles .
Ne nous laissons pas abuser inutilement par le courage illusoire et mensonger de ces sénateurs , grassement rémunérés et ayant produit un document superficiel sans encourir aucun risque personnel , car ces derniers
demain, tout en pleurant sur la radicalisation inévitable, iront comme notre classe bobo gaucho, sucer amoureusement les …COUILLES des plus grands imams nationaux , avec une déférence …NAUSEABONDE !
CET ARTICLE EST RELAYÉ
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Bonjour @Madame Tasin ; bonne chance pour aujourd’hui ? Décidément non ! On ne va pas croiser les doigts et s’en remettre à la chance, ce serait une injure à votre résistance, à celle des Français qui pensent comme vous même s’ils ne savent pas formuler les choses comme vous le faites ; n’ont pas les arguments non plus pour défendre ce point de vue qu’il partagent avec vous sur ce que doit être le respect de la République, une et indivisible, Démocratique et Laïque. Non ! Nous n’allons pas souhaiter que ce soit la chance qui émette le juste jugement de la défense de notre bon droit légitime ; nous allons plutôt souhaiter que la raison, la sagesse et la Justice, la Vraie et Noble Justice fassent autorité en faisant entendre la seule voix qui ait le droit légitime de s’exprimer en matière de Droit et de Justice.
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J’en profite pour vous signaler quelque chose, que je crois être comme une censure.
Il y a quelques jours je vous disais avoir créé un dossier dans mon compte pearltrees :
RÉSISTANCE RÉPUBLICAINE/RIPOSTE LAÏQUE rebaptisé (ce jour) en RÉPUBLIQUE – LAÏCITÉ – La France d’AUJOURD’HUI
:: http://www.pearltrees.com/quikoo2013/republique-laicite-aujourd/id17138269
Il s’avère que normalement mon compte est visité plusieurs centaines voir des milliers de fois par jour. Depuis la création de ce dossier, les choses semblent avoir changé ; pire le fameux dossier concernant Résistance Républicaine et Riposte Laïque, n’ont été visité AUCUNE fois. Ce qui n’arrivait jamais auparavant lorsque je relayais les articles qui ne portaient pas le nom de votre site ; lesquels articles en plus étaient répartis un peu partout selon les thèmes et l’actualité.
Je soupçonne donc une censure, un filtre sur le module de recherche pour éliminer ce qui peut avoir un rapport avec votre site.
Aujourd’hui je fais un test pendant quelques jours en rebaptisant ce dossier créé expressément pour votre RR & RL.
Mais qu’à cela ne tienne, je relaierai quand même les articles comme je le faisais auparavant et trouverais également le moyen de créer un espace dans lequel les rassembler.
« islam assassin », va comprendre, Charlie…