Dans une tribune parue dans le Monde, l’économiste Thomas Piketty dénonce la « ségrégation scolaire » et propose une solution assez radicale.
C’est l’histoire d’une tribune paru dans le journal Le Monde qui fait beaucoup de bruit. Son auteur, Thomas Piketty, est l’un des économistes français les plus connus dans le monde en raison de son travail sur les inégalités, notamment aux Etats-Unis. Cette fois, dans son texte, il dénonce une autre forme d’inégalité, ce qu’il appelle l’incroyable ségrégation scolaire française. On savait aussi, c’est bien connu et documenté, que l’école en France qui a été pendant longtemps la fabrique de l’égalité républicaine, est devenue depuis plusieurs décennies une fabrique d’inégalités. C’est-à-dire que loin de réduire les inégalités, le système français, ultra-élitiste, les aggrave : ainsi chaque année c’est 250 000 jeunes qui sont éjectés du système scolaire.
Réponse de Christine Tasin
Après les 25% de logements sociaux dans les villes, voici qu’il faut que nos chers petits, que nous parvenons parfois à protéger un peu grâce aux écoles privées se verraient imposer un quota d’élèves qu’elles n’auraient pas choisi, élèves pudiquement appelés défavorisés, traduisez, des petites racailles souvent islamisées qui refusent l’école…
Pourquoi l’école a-t-elle été pendant longtemps la fabrique de l’égalité républicaine ? Pourquoi les gens de ma génération ont-ils pu, issus des classes populaires, même incultes, même quand leurs parents n’étaient jamais allés au lycée ni même au collège, entrer en 6ème comme ce fut mon cas pour faire du latin et suivre le cursus royal malgré mon origine sociale, bien qu’il n’y ait jamais eu personne pour m’aider, pour me transmettre les codes ?
Parce que les parents n’étaient pas des fainiasses, parce que les parents savaient que seul l’effort paye et que rien ne tombe tout seul ( c’était le cas à l’époque), parce que chacun, parent et enfant, savait que le but, le sens de l’histoire était que les enfants aient une meilleure situation que les parents. C’est ainsi qu’un Cavanna voit son père immigré italien accepter les boulots les plus ingrats, les plus difficiles, déboucher les fosses sceptiques par exemple, mais lui interdire de parler italien à la maison afin que, devenu français, il réussisse à l’école et progresse dans l’échelle sociale.
Mais c’était avant.
Quant à affirmer que le système français soit ultra-élitiste, on en ferait bien pipi dans la culotte de rire si ce n’était pas si tragique. On se dispensera ici de sortir les perles des bacheliers, leurs protestations quand l’examen les déroute, leur méconnaissance et même leur ignorance de la littérature, de l’histoire, de la biologie et compagnie… On ne parlera pas de l’orthographe, des années zéro en fac qui se multiplient pour essayer de donner un tout petit peu de connaissances et de méthodes aux ignares qui sortent du lycée… Lors de mon dernier poste, j’avais des élèves de première qui redoublaient et qui n’avaient jamais fait de dissertation de leurvie, ils ont eu du mal à admettre que je me fichais royalement de leurs résultats au bac et que je prétendais qu’ils sauraient faire une dissertation à la fin de l’année même si les petits branleurs avaient en tête de choisir le sujet qu’ils pensaient le plus facile, le sujet d’invention… ce qui, dans leur tête d’oison, rendait inutile tout apprentissage autre. Elitisme ce système ? Elitisme cette foire où l’on demande aux élèves de poser les questions et d’y répondre eux-mêmes ?
250000 jeunes éjectés du système scolaire ? Mais ce n’est pas assez, vu le nombre d’analphabètes, de racailles qui empêchent les profs de faire cours et les élèves d’apprendre. Ils ne sont pas éjectés, ils s’éjectent tout seuls. Qu’ils dégagent mais ne viennent pas se plaindre et Piketty encore moins !
Une « extrême ségrégation sociale »
L’étude de Piketty porte sur un point précis : celui de la mixité sociale. Et tout particulièrement à Paris, un cas absolument édifiant. Dans la capitale, où il y a 175 collèges, la quasi-totalité des enfants dit socialement « défavorisés » – c’est-à-dire dont les parents sont ouvriers, chômeurs, ou inactifs – sont dans les établissements publics. Ces enfants défavorisés représentent moins de 1% dans les établissements privés. C’est ce que Piketty nomme si les mots ont un sens « l’extrême ségrégation sociale ». Le privé, dit Piketty, « pratique une exclusion sociale quasi-complète des classes sociales défavorisées ». Et compte tenu, en plus, du poids du privé, qui accueille déjà 30% des collégiens à Paris, et de l’angoisse parentale qui contribue au succès du privé, autant dire que cette ségrégation est là pour durer si rien n’est fait. Et c’est justement ce que dénonce l’économiste qui s’en prend à la passivité du gouvernement.
Piketty se moque ouvertement de nous. Qui sont les familles « socialement défavorisées » qui habitent Paris ? Qui sont ceux qui, parce que leurs revenus et le nombre d’enfants les rend prioritaires, qui prennent aux Français d’origine tous les logements sociaux disponibles ? Et si ces enfants sont socialement défavorisés c’est quand ils ont la malchance d’avoir des parents, immigrés ou descendants d’immigrés le plus souvent, et donc majoritairement musulmans, qui transmettent une visio de la France, de l’Occident, de l’école… suffisamment abominable pour que les enfants refusent de jouer le jeu. Le rapport Obin le disait déjà en 2003. Le Haut rapport à l’Intégration en a remis une couche en 2014… Ces enfants-là ne fréquentent pas les écoles privées parce qu’on s’en fait jeter dehors plus facilement que des écoles publiques, parce que elles sont souvent catholiques et que pour les musulmans le christianisme c’est satan. Mais il semble que Piketty ne les ait pas lus. Le sieur Piketty ne lit que ce qui va dans son sens. Que ce qui va permettre de pourrir la vie de tous les petits Français. Le sieur Piketty qui vit sans doute à l’abri ainsi que sa famille peut cracher sa haine du privé et des parents aimants et attentifs qui, en se saignant aux 4 veines quand ils le peuvent, s’ils le peuvent, font le maximum pour sortir de l’ornière; pour sortir de l’enfer leur progéniture. Et ils ont raison c’est leur boulot de parents.
Une solution mécanique assez brutale
Face à ce constat, Thomas Piketty propose une solution mécanique, assez brutale, parce que ça ne bougera pas simplement avec des bons sentiments. Il propose d’imposer au privé, une procédure commune d’affectation des élèves, avec un système qui fasse en sorte que tous les collèges, publics ou privés, comptent entre 10 et 20%, ou une version plus douce, entre 5 et 25% d’élèves défavorisés. Il suggère d’imposer ainsi au privé une quote part d’enfants socialement défavorisés, de prendre donc des élèves qu’ils n’ont pas choisis. Thomas Piketty sait très bien que ça serait toucher à la sacro-sainte liberté de recrutement des établissements privé. Il dit qu’il entend déjà « les cris horrifiés des parents et des enseignants du privé ». Il est vrai qu’on a eu des guerres scolaires pour moins que ça.
Ce que l’économiste pointe du doigt, c’est un problème crucial. Certains établissements sont devenus de véritables ghettos, avec parfois 60% d’enfants issus des milieux défavorisés. Certains vont juger sa proposition un peu brutale, un peu soviétique, vis-à-vis du privé. Mais y-en-a-t-il d’autres ? Jusqu’ici rien n’a vraiment marché. C’est donc une piste intéressante. Mais attention, cela ne règlerait pas tous les problèmes de l’école en France : il faudra aussi se demander vraiment pourquoi les parents qui le peuvent sont de plus en plus attirés par le privé pour scolariser leurs enfants : et là on touche à d’autres tabous sensibles, les absences des enseignants, pas toujours remplacés, les grèves parfois à répétition, les moyens mis à disposition. On le voit, c’est l’ensemble des problèmes de l’école qu’il faut traiter.
La proposition n’est pas un peu brutale, un peu soviétique… Elle est dictatoriale, dans la droite ligne du gouvernement Hollande. Gageons qu’en période électorale il n’osera pas re-déclencher une guerre de l’école, se contentant de promettre la lune, malgré les pressions d’une Belkacem hystérique à l’idée d’en faire baver aux petits Gaulois.
Gageons aussi que les enjeux fondamentaux pourraient être une bonne raison pour que les parents se jettent dans la rue ou entrent dans les écoles, privées ou publiques, pour y faire la loi et protéger nos descendants.
Tous ces salopards ont tout cassé, tout abîmé mais ça ne leur suffit pas. Le Grand remplacement, ici et maintenant, ils en rêvent.
Source des encadrés
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-decryptage-eco/education-le-pave-dans-la-mare-de-thomas-piketty_1808455.html
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les enfants défavorisés issus de l’immigration pour la plupart accusent souvent
beaucoup de retard par rapport aux autres élèves , il faudrait au contraire de ce que préconise ce monsieur les placer dans écoles ou des classes spécialisées
afin qu’ils puissent rattraper leur retard et ensuite les intégrer en fonction des résultats, les placer d’emblée risque de perturber les autres élèves et il en résultera des redoublements car c’est la moyenne générale qui va baisser .!
Je l’ai déjà écrit et je le redit : mon fils est dans ce type d’établissement : dans sa classe on compte 50 % d’enfants magrébins… c’est choquant.
Lundi il en manquait pas mal dans la classe. Mon fils le soir me demande ce qu’est la mosquée. Il m’explique alors que beaucoup d’élèves étaient à la mosquée…etc…Je ne parle pas des mamans qui viennent les récupérer dans l’école avec leurs torchons sur la tête ou leurs robes …et les parents qui ne disent ou qui vous répondent que ça ne les dérangent pas.
Je suis révoltée.
Ah, même chez Staline ce fou furieux ,mettnt en danger la Nomenklatura aurait été fusillé! Dans nore pays, qui est devenu un gigantesque asile de fous dirigé par des psychopathes il ne risque absolument rien! Et l’on s’étonne que les forces vives quittent en masse ce qui est devenu un veritable « Radeau de la méduse « ? Résident à l’étranger anglophone , je vois chaque mois arriver des centaines de ces naufragés, …..et l’ on entend parler français partout, ce qui fait bien « rigoler » les locaux!
je trouve que c’est Ballot ce Jeannette Belkacem
ô mânes de Sadi Carnot …. Jules Ferry……pardon….mille fois pardon…
Ce matin, vu la couverture de Valeurs Actuelles : « ils ont détruit l’école » – (ou une phrase qui veut dire la même chose), avec la photo en grand de belkacem…
Vivement les élections que toute la racaille « intellectuelle » ait le bec cloué. Chacun son tour !
C’est un vice lard ce mec … Regardez sa tête
je lui en foutrais pour 25% dans la tète, à ce c…n !!!!!!!!
économiste, comme moi, météorologue le lendemain je peux dire le temp de la veille .
encore le genre de gaucho qui donne des conseils qu’il ne s’appliquera pas à lui même, on est rompu par ce genre d’individu qui ne consulte personne et donne son avis sur tout.
Bonjour,
Non, ce n’est pas vraiment le cas pour Môssieur Piketty.
Môssieur Piketty a fait Maths Sup + Maths Spé à Louis-Le-Grand + ENS-Ulm …
Pas vraiment Pablo Picasso à Bobigny !
Pablo Picasso, pour le Piketty et ses semblables, c’est pour les autres, les malheureux fils et filles de sans-dents coincés dans les banlieues de l’islam.
Les parents qui mettent leurs enfants dans le privé paient (souvent cher) pour protéger leurs enfants et paient en plus une école publique qu’ils n’utilisent pas à travers leurs impôts. Il faut savoir que dans le privé, les familles en difficulté financière peuvent demander un allègement ou une exemption de paiement des contributions, après c’est décidé en commission. Il existe un fonds spécial pour financer ça (une partie des conributions de ceux qui paient).
Donc, les parents ne vont pas accepter de voir leurs contributions exploser pour avoir des populations qu’ils ont déjà fui en quittant le public. De plus, le privé vise les 100% de réussite au DNB, BAC etc…. il suffit de regarder le nombre de présents en 2nde qui seront encore là en terminale, il y a entre 20 et 30% de perte. Alors je vous le dit tout net, ce Piketti est un gros facho mais ça ne marchera pas car ses petits protégés ne tiendront pas un trimestre dans le privé. Et même si il arrivait à imposer ses chances pour la France, les parents pourraient préférer financer une école hors contrat qui servirai uniquement leurs enfants que du privé sous contrat qui deviendrai un public bis payant.
oui je pense que si ils veulent imposer cela la solution sera que le privé sous contra t passe hors contrat les parents paieront plus mais il faudra bien d’autres solution s
Bonjour Madame Tasin
la plupart de mes commentaires , pour ne pas dire la quasi totalité,passant a la trappe, auriez vous la gentillesse de voir pourquoi ?? merci
Christine et d’autres, déjà aujourd’hui n’arrivons pas à suivre le débit des posts…
De plus, nous gardons un peu de temps pour nous…
Et je dois dire que je laisse les coms difficiles à Christine, elle est la responsable…
D’ailleurs je vais souffler un peu !
Ils ont fait de l’école publique des zones en pleine déliquescence. Ils ont tout détruit et continuent leur travail de sape en votant des lois dans ce sens… Et cerise sur le gâteau, ils vont s’attaquer aux seules écoles encore dignes de ce nom!….
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle …
A l’école primaire du GPS, on apprend les 4 opérations suivantes :
– l’addition des impôts,
– la soustraction des revenus,
– la multiplication des fonctionnaires,
– la division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba comme sous Mitterrand.
Au moins vous serez sûrs de n’avoir que 40 voleurs … !!!
Moi j’ajouterai la maxime bien connue :
La France est une terre fertile, « plantez-y des fonctionnaires il y pousse des impôts » !
Que ce trouduc prennent ses protégés chez lui après on verra comment il parle ! ce genre de .c……d .est juste là pour se remplir les poches !
Bonjour,
On donne une bien trop grande importance à ce type et aux économistes en général.
Depuis que l’économie (pseudo-science assez largement méprisée il y a encore 40 ans) a pris le pouvoir sur les esprits, en particulier en France, le pays se désagrège totalement.
De Gaulle disait l’intendance suivra et l’économie c’est l’intendance.
Piketty se prend pour un génie, refusant la Légion d’Honneur du haut de sa grandeur, mais c’est un petit bonhomme.
Et encore un escroc imposteurs qui cherchent des excuses bidons pour imposer, c’est là que l’on voit les vrais dictature fascistes pitoyables; et le mal immense qu’ils font aux peuples, et tout çà sans jamais demander l’avis des peuples, c’est eux qui créent la ségrégations, mais c’est les autres qu’ils accusent à leurs places.
Sale type!, dégoûtant!, assassins!, il a du sang sur les mains comme tous les autres ordures comme lui, il y a pas assez avec 123 millions de pauvres et 45 millions de chômeurs en Europe, il veut encore en ajouter en plus le con, et là pas de sentiments.
J’ai une collègue qui a mis sa fille dans une colonie de vacances très chère pour être sûre qu’il n’y aurait pas de racaille. Quelle ne fut pas sa surprise quand, au retour de la colonie, sa fille lui a dit s’être fait voler ses affaires. Ma collègue est allée voir le directeur qui lui a dit être contraint par la loi d’accueillir 10% d’enfants défavorisés . On voit le résultat . Donc avec l’école cela sera la même chose. Les parents riches mettront leurs enfants à l’école à l’étranger et les autres resteront en France avec la racaille.
Putain, il y a des coup de poing dans la gueule qui se perdent, hein Mr piketty.
Oui, chère Christine, c’est exactement cela: la démocrature. Il ne reste que l’école à la maison….
Il y a une dizaine d’années, deux pays étaient régulièrement cités pour l’excellence de leur éducation : la Finlande et la Corée.
Je me souviens de discussions sur un forum concernant la Finlande et son système scolaire. C’était assez bluffant : une analyse des recettes de réussite de ce pays alors phare (le miracle Nokia avant qu’Apple ne lance l’Iphone).
Bref, j’avais beaucoup aimé l’échange parce que d’une très belle construction sur les recettes sensationnelles mises en place par la Finlance, le soufflé magnifique s’écrasait totalement : la seule raison de la bonne réussite scolaire finlandaise était tout simplement son homogénéité ethnique : immigration très faible, avec des facteurs faisant fuir les immigrants : position géographique extrème (avec ces fameuses nuits d’hiver sans fin, froid extrème) et langue (le finnois) assez difficile à acquérir.
Un peu comme si quelqu’un aujourd’hui, voudrait copier les recettes islandaises en matière de sécurité : l’Islande est un pays qui a l’un des taux les plus bas de criminalité au monde. La raison : homogénéité ethnique et faible nombre d’habitants.
et pour en remettre une couche sur l’Islam :
en Israël, j’avais lu des statistiques ethniques sur les résultats scolaires, dans la ville de Haifa:
Les premiers du classement : Chrétiens,
puis Juifs
et évidemment derniers : Musulmans (what else ?).
Il faut arrêter de nous faire croire que c’est une question de conditions, de méthodes etc… Même pour la controverse globale/syllabique : si vous avez dans une famille, des parents qui lisent, une sérieuse bibliothèque, et une grosse attente sur les enfants, alors ils sauront lire, quoi qu’il en soit.
L’éducation c’est aussi et avant tout une valorisation du savoir, à la maison.
Quand on a des musulmans, dont le plus parfait des prophètes était un analphabète, ça a des répercussions sur la scolarité. Ce n’est pas qu’une question de moyen, c’est surtout une question de terrain.
Que ce Piketty-Staline fasse cour et prend une classe avec ces CPF et il verra de lui même
qu’il les prenne tous chez lui paye profs matériel et tout le reste
je suis sceptique comme les fosses l ecole privee et onereuse QUI VA PAYER,,,??? JE M IMAGINE DEJA LA TETE DES PARENTS ET ELEVES avec des boyton en classe au college pour mon fils ils avaient tente un melange bon moins bonFLOP EXIT REFAIT UNE CLASSE EN ADEQUATION il y a longtemps
ils auront une prime l’Etat ( c’est nous ) paiera l’école
Mais cher monsieur Butterworth, vous devriez vous renseignez, c’est déjà le cas depuis longtemps. J’ai mis mes trois enfants en école privées dans les années 90. Dans les classes il y avait déjà des « défavorisés » (sic) à ma demande la direction m’a instruit sur le fait que ces élèves étaient imposés légalement (et contractuellement) par l’ Etat, et tout ça aux frais des parents des autres enfants ! Vous savez un peu comme le partage des charges locatives lorsqu’un « défavorisé » (resic) ne veut pas payer !