Je ne vois qu’une seule solution pour sauver l’Afrique : enrayer la démographie galopante et aider les pays africains à investir dans le planning familial.
Le planning familial sauve des vies. En Afrique, seulement 25% des femmes mariées utilisent les méthodes modernes de contraception et les femmes sont confrontées à vie à un risque de 1 sur 36 de mourir pendant la grossesse ou l’accouchement. Globalement, chaque année, plus de 100 000 femmes ne souhaitant pas avoir d’enfant meurent lors de l’accouchement. Et environ 600 000 femmes qui ne souhaitaient pas être enceintes donnent naissance à un enfant qui meurt dès ses premières semaines de vie. Pour la mère comme pour l’enfant, il est beaucoup plus sain d’espacer les naissances de trois ans. Si toutes les naissances étaient espacées de la sorte, la mort de presque 2 millions d’enfants serait évitée chaque année.
Sauver autant de vies est une justification suffisante. Néanmoins, le planning familial ne contribue pas seulement à sauver des vies ; il est également synonyme de vie meilleure pour les familles et les communautés, et devient un facteur déterminant de développement économique. Lorsque des parents peuvent avoir le nombre d’enfants qu’ils désirent et quand ils le souhaitent, ils sont plus susceptibles de pouvoir s’en occuper dans de bonnes conditions. Ils peuvent investir davantage dans leur santé et leur éducation, et à long terme leurs enfants ont beaucoup plus d’opportunités.
Les données le prouvent. Dans un sous-district du Bangladesh appelé Matlab, des chercheurs ont collecté des données concernant 180 000 habitants depuis 1963. Il s’agit peut-être de l’étude la plus longue et la plus rigoureuse jamais réalisée dans le domaine de la santé mondiale. Elle prouve par des statistiques détaillées combien l’accès aux moyens de contraception influe sur les perspectives d’avenir d’une famille.
Dans les années 1970, la moitié des villages du Matlab ont été choisis de façon aléatoire pour bénéficier d’un accès plus aisé au planning familial et y être sensibilisés. Vingt ans plus tard, les habitants de ces villages profitaient d’une meilleure qualité de vie que leurs voisins à bien des égards. Ils étaient mieux nourris, leurs ménages disposaient de plus de biens et leurs enfants fréquentaient davantage les bancs de l’école.
Si vous multipliez ces effets par des millions de familles et que vous les combiniez aux investissements réalisés en matière de nutrition et de vaccination, il peut en ressortir un développement économique à grande échelle. Nombreux sont ceux qui évoquent le miracle économique des années 80 dans l’Est de l’Asie, du temps où le PIB des pays de cette zone s’envolait. Mais était-ce vraiment un miracle ? C’était en grande partie le résultat des efforts réalisés par de nombreux pays pour accompagner les familles dans leur souhait de planification.
Ces tendances radicales, tant au plan national que régional, prennent leur origine dans la décision de chaque famille de choisir ce qu’il y a de mieux pour leurs enfants. Lorsque les familles à travers l’Afrique subsaharienne se verront offrir l’occasion de faire ces choix, un cycle vertueux de développement commencera à se dessiner dans de nombreuses communautés africaines.
Le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP) a appelé les pays africains à augmenter les investissements dans le planning familial.
Le directeur exécutif du FNUAP, Babatunde Osotimehin, a déclaré dimanche à Xinhua que « beaucoup de gouvernements africains n’ont pas suffisamment investi dans le planning familial.
Le planning familial est essentiel pour le bien-être des familles et des femmes, a-t-il indiqué.
Dans beaucoup de circonstances, a-t-il poursuivi, les femmes africaines ne participent pas à la décision sur le nombre des enfants que la famille doit avoir.
« Les femmes sont confrontées à beaucoup d’obstacles liés entre autres à des facteurs culturels et religieux », a-t-il dit.
« Nous devons donc éduquer nos garçons et hommes sur leur rôle en faveur de l’égalité des sexes », a souligné M. Osotimehin.
Pour le succès du planning familial, estime M. Osotimehin, il faut une approche globale, y compris l’entraînement des travailleurs de la santé.
En 2012, la FNUAP a avancé l’initiative FP2020 qui vise à permettre à 120 millions de femmes de 69 pays pauvres d’accéder à la contraception moderne.
Selon M. Osotimehin, les femmes bénéficiant de cette initiative seront en majorité des Africaines.
Les animaux qui se multiplient sans être tenus en échec deviennent une menace pour leur environnement. Il a été nécessaire d’introduire des prédateurs dans le parc de Yellowstone parce que les herbivores menaçaient l’écosystème.
Si les loups sont, dans l’imaginaire collectif, des créatures hostiles capables de prendre la vie, ils sont, en réalité, les maillons indispensables de la chaîne alimentaire capables de la réguler. Un clip présentant l’expérience du Yellowstone et de ses loups démontre cette réalité.
Dans le parc national du Yellowstone, pendant près de 70 ans et profitant de l’absence de prédateurs, les cerfs ont proliféré de manière incontrôlable. Abattre les prédateurs n’était pas vraiment une idée de génie. Malgré la régulation de l’Homme, l’explosion du nombre de cervidés, sans prédateur naturel, a conduit à une réduction drastique de la végétation ainsi qu’à une foule de conséquences négatives qui ont été jusqu’à toucher les rivières.
Lorsque les loups furent réintroduits en 1995, c’est l’écosystème entier qui s’est littéralement éveillé. Le comportement des cerfs a changé, leur population a diminué et par un effet domino la nature a retrouvé un certain équilibre. De nouvelles espèces animales et végétales ont alors fait leur apparition et même la topographie des lieux s’est vue largement modifiée.
L’expérience du loup de Yellowstone démontre que les écosystèmes reposent sur des équilibres précaires où chaque individu, mêmes les prédateurs, a une fonction qui lui est naturellement attribuée. Bien que cette vidéo en illustre parfaitement le phénomène, il faut également comprendre que l’Humain n’est malheureusement pas un prédateur comme les autres. Son activité, fruit de choix conscients, a tout au contraire tendance à déséquilibrer l’ensemble des écosystèmes, au même titre qu’il fut à l’origine de la disparition du loup dans le fameux parc national du Wyoming.
https://www.youtube.com/watch?v=MKtctwlkKTw
https://mrmondialisation.org/les-loups-changent-les-rivieres-du-yellowstone/.
Les hommes aussi sous toutes les latitudes doivent réguler leur population et être tenus en échec car autrement des événements incontrôlables et la nature s’en chargeront : problèmes sociaux, épidémie, famine à l’origine de guerres … La Terre ne peut supporter une population humaine en croissance démographique perpétuelle.
Note de Christine Tasin
Aux efforts pour informer et proposer la contraception il faut ajouter ceux que nous faisons pour lutter contre l’islam qui se répand et se développe en Afrique avec son idéologie terroriste. Peu importe les vies, pourvu qu’il y ait des millions, des milliards de petits musulmans qui peuplent la planète. La lutte contre la contraception qui est menée par l’islam renforce notre lutte contre l’islam incompatible avec nos valeurs, incompatible avec la vie. Et que l’on ne nous parle pas d’ingérence, il s’agit de légitime défense. Quand des hordes d’Africains se pressent à nos portes parce qu’ils crèvent de faim, parce qu’ils sont trop nombreux, parce qu’ils veulent le produit du travail et de la contraception de nos ancêtres, nous avons plus que jamais le droit de lutter contre l’islam partout, et Internet est notre outil privilégié.
959 total views, 1 views today
Même pas évoqué à leur machin de cop21 ………..La survie de notre planète dépendra de notre génie à enclencher une décroissance industrielle raisonnée et surtout de dénatalité !…
Le tout accompagné d’un peu de repli sur soi, égoïste et protecteur…
Marre de ces nuages de sauterelles migrantes !
Nozélites font bien sûr tout le contraire !
Comme il est dit dans le premier article, beaucoup de femmes ne désirent pas d’enfants mais elles n’ont pas voix au chapitre. Beaucoup de filles sont mariées avant 18 ans et souvent contre leur gré http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/03/08/01016-20160308ARTFIG00015-dans-le-monde-700-millions-de-femmes-ont-ete-mariees-avant-18-ans.php. Il est vitale que cette situation change pour une meilleure maîtrise de la fécondité https://matricien.org/patriarcat/sociologie/demographie/. Les sociétés où l’égalité des sexes seraient une réalité n’encourageraient pas la consanguinité http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1369110-l-egalite-des-sexes-une-invention-prehistorique-la-parite-a-fait-evoluer-la-societe.html.
La parité entre hommes et femmes serait donc un facteur d’évolution aboutissant à un meilleur contrôle des naissances et favorisant la diversité génétique.
Comme Senghor, homme noir, grammairien, helléniste et latiniste,excellent francophone, parlant Sérère et wolof.
La Grèce d’Afrique aurait existé de puis longtemps si cette saloperie d’Islam de malheurs n’existait pas, et bien des peuples bien plus évolués sans cette saloperie d’islam.
‘L’Islam, je n’en veux pas’.
Parole de Senghor et pour l’avoir dit, c’est qu’il en connait un rayon entier sur les musulmans et l’Islam.
Que les africains non musulmans s’éveillent et s’unissent aux mêmes combat que nous, ensemble nous vaincrons encore plus vite.
C’est un des moyens aussi finalement de mieux lutter contre les archaïsmes de l’Islam, en étant mieux informé, plus les gens tombent moins vite dans l’absurde de l’Islam qui ne rapporte rien de bon.
Plus les gens sont informés plus l’Islam est repoussé, et d’ailleurs les musulmans d’eux mêmes et isolés, sans leurs ennemis à voler, leurs béquilles de survie, sont perdus.
les esclavagistes ne créent pas, ils se servent des créations des autres en les dérobant, en utilisant la force, car c’est leurs seuls moyens de survie et de subsistance, mais aussi leurs plus grandes faiblesses, là les musulmans sont des cancres et nullissimes, des chasseurs sans proies du meurt, des voleurs sans proie, pas de bijoux, et sont les raisons pourquoi ils vivent au minimum vital en étant isolés, en ayant pas d’ennemis, et des sociétés très peu développés et stupide, et comme seul recours, seul face à leur Islam, momo, et Allah faillite.
Donc, coupez les robinets.
L’urine de chameaux n’est pas une réussite pour le planning familiale, ni la violence, et ne sont pas des signes d’une grande preuve d’ intelligence, car le planning familiale demande de l’intelligence pour s’en sortir sans voler les autres.
Observer l’ennemi, enrichit.
Oui , la régulation des naissances c’est la seule solution mais on y est pas encore ….je vous le dit !
« Les animaux qui se multiplient sans être tenus en échec deviennent une menace pour leur environnement. »
C’est vrai aussi pour ceux qui professent une idéologie de mort à l’intérieur d’une société civilisée !
Daniel , il y a quelques années les femmes africaines dès la puberté ne pensaient qu’à une chose : être enceinte. Avoir des enfants « posait » la femme africaine. Qu’en est il aujourd’hui? Quand je vois que même dans notre pays dit « évolué » les africaines continuent à avoir des ribambelles d’enfants, qu’elles s’habillent encore en « boubou » africain à Paris…je me demande si quelque chose a changé pour ces femmes sinon le confort relatif du à ce que nous leur « donnons ». De plus la polygamie du à l’islam favorise une fécondité déjà forte par essence. Vous parlez du monde animal mais dans ce dernier il y a une sélection naturelle or dans le contexte européen la protection sanitaire fait que rien n’arrête la progression due en particulier à toutes les Aides Sociales qui augmentent à l’avantage du nombre d’enfants. De plus les aides aux mères isolées dont bénéficient les 2ème, 3ème, voir 4ème femme des musulmans polygames ne sont pas fait pour maitriser le problème.
pour sauver l’afrique il faut enrayer les naissances et metre les hommes au boulot, l’afrique attend tout de l’occident il faut couper les robinets qu’ils se prennent en main qu’ils se demer.., l’africain est un mendient assis sur un tas de richesses