François Grosdidier, Maire de Metz, poursuivi en justice pour détournement de fonds publics…

Les lecteurs de Résistance républicaine connaissent bien ce maire… qui s’est fait connaître pour ses cadeaux et autres mosquées à la communauté musulmane. Que voulez-vous, rien n’est assez beau pour se faire élire, n’est-ce pas ? 

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On comprend mieux pourquoi certains fonctionnaires et élus accueillent des indésirables : 

Ces fonctionnaires à la ville de Woippy ont été payés en vertu d’un surclassement de la ville parce que les zones urbaines sensibles comptent double dans le calcul de la population pour la rémunération ou l’embauche de collaborateurs », affirme François Grosdidier au micro d’ICI Lorraine.

Les faits datent du temps où il était maire de Woippy, il est soupçonné d’avoir rémunéré illégalement des collaborateurs.

Le maire de Metz, François Grosdidier, sera jugé par le tribunal de Paris pour « détournement de fonds publics » a appris ICI Lorraine, confirmant une information de l’AFP, vendredi 19 décembre. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a décidé, mardi, de renvoyer l’homme politique devant la justice, à trois mois des élections municipales. Il est soupçonné d’avoir illégalement rémunéré des collaborateurs quand il était maire de la ville voisine de Woippy, entre 2001 et 2017.

Dans cette affaire, la justice avait prononcé un non-lieu en décembre 2024mais l’association anticorruption Anticor avait fait appel de cette décision. Elle accuse François Grosdidier d’avoir gonflé la population de Woippy pour rémunérer davantage de collaborateurs. La chambre de l’instruction a finalement confirmé le non-lieu pour délit de favoritisme, mais a ordonné un procès pour détournement de fonds publics.

« C’était une erreur de forme »

« Ces fonctionnaires à la ville de Woippy ont été payés en vertu d’un surclassement de la ville parce que les zones urbaines sensibles comptent double dans le calcul de la population pour la rémunération ou l’embauche de collaborateurs », affirme François Grosdidier au micro d’ICI Lorraine. « Nous avions procédé à ce surclassement par délibération du conseil municipal, sans que le préfet ne prenne un arrêté préfectoral. C’est ce qu’on me reproche aujourd’hui, c’était une erreur de forme. »

Le maire de Metz annonce se pourvoir en cassation. « Ces faits sont prescrits car ils n’ont pas été dissimulés », assure-t-il. « Même si je n’avais pas raison là-dessus, je n’aurais aucune difficulté à prévaloir de ma bonne foi. La délibération du conseil municipal a été transmise à la préfecture de la Moselle, et le préfet de l’époque n’a pas pris d’arrêté. Et je me retrouve seul à être mis en cause. C’est un peu curieux. »

La ville de Woippy avait été épinglée par la Chambre régionale des comptes en 2017, notamment sur la gestion de la municipalité par François Grosdidier. Elle pointait déjà du doigt l’embauche d’un deuxième collaborateur, « recruté de manière irrégulière » selon elle, pour une rémunération brute cumulée de 400.000 euros. Pour la juridiction, le directeur de cabinet de François Grosdidier avait aussi perçu des indemnités complémentaires à son salaire en contradiction avec la loi, pour un surcoût de 169.000 euros.

France Bleu

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