Article de Challenge en fin de celui-ci, dans l’encadré.
Entre canailles on s’entre’aide, quant on pense que ce Barroso avant d’être l’hyper libéral que l’on connaît a été maoïste dans les années 68 ! C’est vrai que Goldman Sachs ça rapporte plus !
Mais cela n’a rien d’étonnant. C’est l’alliance des coquins.
Goldman Sachs ? Du profit, du profit, et l’esclavage de tous les sans-dents qui ne travaillent pas assez. Leurs souhaits ? Un monde sans règles, sans frontières, où la retraite tombe à 70 ans, avec une immigration aidée et encouragée et, cerise sur le gâteau, la banque rêve d’une baisse générale des salaires de 30% en France.
Barroso ? Grand maître de la dictature européenne, libéral et mondialiste, obnubilé par l’intérêt des banques, prêt à toutes les magouilles pour les préserver, complice et aide de Goldman sachs pour faire la peau aux Grecs, grand copain de Hollande qui l’a décoré de la légion d’honneur en catimini, et qui plus est puant comme le racontait Philippe Bescond-Garrec qui avait travaillé dans le palace où le quidam descendait régulièrement à Paris.
http://resistancerepublicaine.com/2016/06/29/1951-2010-chronologie-de-la-dictature-union-europeenne/
http://resistancerepublicaine.com/2016/06/23/accueil-des-refugies-un-proche-de-barroso-veut-nous-faire-croire-que-cest-la-panacee/
Lire aussi l’analyse de la Tribune et notamment cet extrait :
Évidemment, ce « transfert » pose une question centrale : celle de l’indépendance. Les liens entre Goldman Sachs et d’autres grandes banques et de nombreux fonctionnaires européens ou nationaux posent de véritables problèmes, notamment dans la gestion de la crise financière. Le cas le plus souvent cité est celui de Mario Draghi. L’actuel président de la BCE depuis 2011 a été vice-président de la branche européenne de Goldman Sachs de 2002 à 2005. Or, Goldman Sachs n’est pas une banque comme les autres. C’est elle qui a aidé le gouvernement grec a détourné la méthode de calcul du déficit public par des produits de « swaps » qui permettaient de reporter à plus tard une partie de ce déficit. Grâce à ce tour de passe-passe, la Grèce était entrée dans la zone euro en 2002. Ce mécanisme avait été utilisé, du reste, par l’Italie, en 1997 pour rejoindre l’union monétaire à une époque où le directeur général du trésor transalpin était un certain… Mario Draghi.
Le comportement de José Manuel Barroso durant la crise
Et pour José Manuel Barroso ? Cette nomination n’est pas neutre. En tant que président de la Commission, cet homme a été un des responsables des erreurs de gestion des années 2010-2013. Partisan d’une austérité forte et d’un ajustement féroce, il a participé à la troïka dans tous les pays touchés par la crise, de la Grèce à l’Irlande. Or, le principe de ces « sauvetages » a été de sauvegarder les intérêts des créanciers des États, principalement les banques. José Manuel Barroso a notamment participé aux pressions contre l’Irlande pour empêcher le gouvernement de ce pays de réduire le fardeau porté par sa populations en faisant participer les créanciers des banques irlandaises. L’ancien président de la Commission, qui n’a jamais vraiment eu à répondre de ces choix devant le parlement européen, a donc géré au mieux les intérêts du secteur financier dans une crise causée à l’origine par des produits vendus à la Grèce par Goldman Sachs qu’il rejoint à présent.
Un combattant contre la « mauvaise finance » ?
Certes, dans son interview au Financial Times, l’ancien premier ministre portugais, chef de file lors de la Révolution des œillets en 1974 du Mouvement révolutionnaire du prolétariat portugais (MRPP, maoïste) avant de rejoindre en 1980 le parti social-démocrate (PSD) de centre-droit, se présente comme celui qui a entamé un « effort global de régulation et de supervision » de la finance. Mais son bilan, de ce point de vue, reste contestable. Le projet Barnier de séparation bancaire, assez timide, a été abandonné. L’union bancaire n’a pas été conclue sous la direction de José Manuel Barroso et montre déjà ses limites en Italie ces derniers jours. Surtout, les lendemains du Brexit montrent clairement que le risque d’une crise financière n’est pas écarté. Qu’une banque aussi fragile que Deutsche Bank puisse continuer à menacer comme une épée de Damoclès sur l’Europe prouve aussi que les efforts de l’ancien président de la Commission ont été pour le moins insuffisant.
Effet désastreux pour l’UE
En réalité, les déclarations de José Manuel Barroso, qui se dit « très impressionné par l’engagement de Goldman Sachs pour les niveaux les plus élevés en termes d’éthique » et par la « culture d’intégrité et de responsabilité » de l’entreprise, sonnent comme les reflets un cynisme parfait. De tels engagements ne peuvent manquer de soulever des questions quant à l’action présente des dirigeants européens. Voir un ancien chef de l’exécutif de l’Union européenne chercher à aider une banque à gérer au mieux le Brexit ne peut manquer de soulever des questions sur l’engagement quant à l’intérêt général européen des dirigeants de l’UE. A l’heure où le successeur de José Manuel Barroso, Jean-Claude Juncker est très contesté et où l’UE peine à tirer les leçons du vote britannique, cette nomination est particulièrement mal venue et pourrait avoir un effet désastreux.
Jose Manuel Barroso se recycle à Goldman Sachs
La banque d’affaires américaine Goldman Sachs a annoncé vendredi avoir engagé l’ancien président de la Commission Européenne José Manuel Barroso pour la conseiller.
L’ancien président de la Commission européenne a été engagé par la banque d’affaire américaines pour la conseiller sur les conséquences du Brexit.
La banque d’affaires américaine Goldman Sachs a annoncé vendredi avoir engagé l’ancien président de la Commission Européenne José Manuel Barroso pour la conseiller, au moment où le secteur financier est secoué par les craintes autour du Brexit.
Le Portugais occupera les fonctions de président non-exécutif de Goldman Sachs International, branche internationale du groupe américain basée à Londres, et de conseiller de Goldman Sachs, a précisé la banque dans un communiqué.
« José Manuel va apporter une analyse et une expérience immense à Goldman Sachs, et notamment une profonde compréhension de l’Europe. Nous sommes impatients de travailler avec lui alors que nous continuons à aider nos clients à évoluer au sein d’un contexte économique et de marché incertain et délicat », ont déclaré Michael Sherwood et Richard Gnodde, co-directeurs généraux de Goldman Sachs International, cités dans le communiqué.
Premier ministre du Portugal de 2002 à 2004, M. Barroso a occupé la présidence de la Commission européenne de 2004 à 2014, période durant laquelle l’Europe et le monde ont été secoués par la grave crise financière de 2008.
La décision des Britanniques de quitter l’UE, prise lors du référendum du 23 juin, a provoqué un accès de panique sur les marchés, les investisseurs redoutant l’incertitude qui en découle et les conséquences du Brexit sur l’économie.
Les grandes banques américaines, qui ont d’importantes activités dans le centre financier de Londres, s’inquiètent des conséquences de cette sortie britannique pour leur accès au marché unique européen.
http://www.challenges.fr/europe/20160708.CHA1646/jose-manuel-barroso-se-recycle-a-goldman-sachs.html
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Le salaire est-il de 30 deniers ?
Heureusement qu’il y a le blog de Christine Tasin pour nous informer !
C’est pas du côté des Bourredingues, Mofff (la femme à barbe..) Truchot, Marchal, le Kabach et tutti quanti que tu apprendras le millième de ce que l’on peut trouver comme infos dans ce blog !
Merci Christine !
PS : Me suis régalé de vous entendre vous exprimer à propos de l’arabe à l’école lors de l’émission de Gérard Marin sur Radio Courtoisie …
Merci cher Chris, amitiés
Ce qui est génial, c’est de voir à quel point cette info proprement scandaleuse passe comme une lettre à la poste… (maintenant on dit La poste grâce au libéralisme)!!
Les journalistes, si prompts à traiter 52% de British de demeurés, restent là bien silencieux. Mais vu qu’on est entre gens bien-pensants…
Et personne ne lui a fait les poches avant de partir , il avait donc le loisir de partir avec les clés et certainement un important carnet d’adresses des gens plus attirés par l’argent que par l’ Europe . Si nous avons de plus en plus de candidats pour la sortie de l’ Europe il faut dire merci aux Barroso qui ont travaillé plus perso que pour la cause Européenne et cette offre de place qui s’apparente plus a une récompense ne fait que confirmer les doutes que beaucoup ont .
Que voulez-vous des ordures qui recrutent des ordures , ils ne manquent plus que les poubelles .
Et ici ce n’est que le volet européens, voir côté américains, Africains, les plus grands pigeons de la planète peuples musulmans.
Les Goldman Shachs et compagnie ont plain de petits lieutenant de ce type dans le monde pour faire leurs sales besognes.
Ils n’hésitent pas de plonger des millions de gens dans la pauvreté, des conflits, des guerres partout dans le monde pour leurs causes.
Ben oui Christine ce n’est pas un secret de dire qu’un dirigeant américain aurait dit dans les journaux qu’il était hors de question de boycotter la Grande Bretagne parce qu’elle a voté pour la sortie de l’UE…
Voilà pourquoi un personnage politique américain haut placé dit:<> Que certains dirigeants en France fassent du pied à la City pour venir s’implanter à la bourse, ainsi qu’aux entreprises anglaises. Verrons nous Saches s’implanter en France ?( pour le TAFTA ) nous avons déjà des banques marocaines qui ont pignon sur rue pourquoi ? demandons à VNBK la ministre de l’EN ? comment sont financés les mosquées et écoles et pourquoi l’argent des prêches ne vont pas alimenter des banques françaises d’investissement pour construire des logements sociaux que l’état français finance avec l’argent du contribuable français ?