outes les semaines, le Journal du Dimanche, sous la direction du rédacteur en chef Geoffroy Lejeune, nous propose un entretien avec des personnalités politiques occupant de hautes fonctions. Cette semaine, nous avons droit à deux entretiens passionnants, d’abord avec le Premier ministre, François Bayrou, puis avec Laurent Wauquiez, président du groupe parlementaire LR, et peut-être son futur chef.
Avant d’aborder ces deux entretiens, il n’est pas inutile de rappeler que voici bientôt deux ans, l’ensemble de la profession des journaleux, soutenu par l’ensemble de la gauche, avait lancé une grève de six semaines, menaçant l’avenir du journal, parce que ces messieurs avaient décidé que le JDD ne pouvait pas être dirigé par celui que Vincent Lagardère avait nommé, car il était jugé trop proche d’Éric Zemmour et du camp national. Rappel nécessaire quant à la tyrannie médiatique qui domine nos médias, qui ne rêvent que d’une chose : éradiquer les médias appartenant à Vincent Bolloré, coupables de mal-pensance.
L’entretien accordé par François Bayrou au JDD est intéressant, et le Premier ministre dit des choses très justes sur le déficit français, l’assistanat, la fin de vie et d’autres sujets qu’il sait aborder avec des mots justes.
Il va jusqu’à proposer un référendum aux Français, pour leur proposer un pacte sur le modèle social que nous voulons, le budget la dette. Un lecteur peu averti pourrait tomber dans le panneau s’il ignorait que le mal que dénonce François Bayrou, c’est lui et les siens qui l’ont méthodiquement organisé, depuis 50 ans, en votant des budgets toujours plus en déficit, et surtout en imposant à la France, par l’Union européenne, un véritable suicide économique et civilisationnel.
Or, Bayrou veut bien que les Français, dont le vote a été bafoué il y a juste vingt ans, sur le TCE, puissent s’exprimer par référendum sur des questions certes importantes, mais pas essentielles. Dans son entretien, pas une seule fois il n’évoque l’immigration, son coût, ses conséquences et ses menaces. Et s’il parle de l’islam, c’est pour adopter le discours victimaire voulu par les Insoumis, véritables porte-parole des islamistes, pour expliquer qu’il y a en France un vrai problème avec une supposée islamophobie.
Pourtant, il suffit d’écouter Sarah Knafo, toujours exceptionnelle face à trois journaleuses physiquement caricaturales de France Info, pour comprendre que le fait qu’un Rom bosniaque tue un clandestin malien dans une mosquée, ce n’est pas la faute de la France, ni des Français, mais de ceux qui les ont fait venir !
Dans le JDD, lors du second entretien, Laurent Wauquiez peut parfois être bon, quand il évoque la nécessité de mettre les Insoumis hors du jeu républicain, mais il passe à côté de l’essentiel. Pourquoi est-il incapable de briser le cordon sanitaire, notamment lors des prochaines élections municipales, pour proposer une alliance LR-RN-Reconquête et autres mouvements patriotiques, pour virer la gauche de toutes les villes qu’elle dirige et qu’elle détruit ?
Conclusion : Bayrou et Wauquiez sont bien gentils, mais ils sont les porteurs d’une politique de droite soumise à la gauche, et sont incapables, en dehors des mots, de se donner les moyens de mener une politique de rupture, seule à même de sauver la France de la submersion migratoire qui va la détruire.
Ce que disait ce dimanche soir Eric Zemmour, dans un nième débat avec Alain Duhamel, plus insupportable et cabotin que jamais…
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Mustapha Macron s’en fout de nos avis. Demain il reçoit le djihadiste aux commandes de la Syrie depuis décembre.
Jean-Rachid Mélenchon sera peut-être invité à partager un repas halal…
Par contre Rima viendra seulement pour faire la vaisselle.