Les ours du Grand Nord se sont métissés avec leurs cousins basanés du Sud. Les petits s’appellent des grolars. Ce n’est pas une insulte mais un mot valise associant GRizzli + pOLAR. Dès lors, ces plantigrades apprécient moins le froid. Ça tombe bien puisque les cocotiers vont bientôt pousser en Alaska si l’on en croit la future Nobel de pataphysique Sainte Greta des Enfumages.
Des rumeurs courent selon lesquelles les Trump envisagent d’adopter un bébé grolar. Mélania les trouve adorables. On leur en a porté un qui a tout de suite trouvé son chemin dans les jardins de la Maison Blanche. Sans se paumer comme Robinette. Comme ça, les USA et la Russie seront à égalité. Un ours de compagnie pour chaque président.
En attendant, Trump claque la porte au nez des diktats de Paris sur le climat, qu’il qualifie d’escroqueries. Et il n’est plus le seul dirigeant à le penser.
Tout juste investi, Donald a annoncé, comme prévu, le retrait des États-Unis des accords de Paris sur le climat. Comme il l’avait déjà fait en 2017 quand il avait été un des premiers chefs d’État à comprendre que des démagogues véreux ne pouvaient pas changer l’irradiance du soleil, ni modifier l’ellipse, l’axe de rotation ou l’inclinaison de la terre. Prétendre le contraire pour terroriser, asservir et racketter les peuples est une arnaque planétaire.
Avec ça, une bonne nouvelle pour les futurs « Martiens ». Le nouveau patron de la NASA a décidé d’affecter au voyage interplanétaire, en association avec Space X, les budgets dilapidés dans la traque obsessionnelle du CO2. Les Français râlent. Elon n’en a rien à cirer.
Sale temps pour les réchauffards ! La COP16 sur la biodiversité à Cali (Colombie) a été suspendue avant terme pour éviter d’afficher d’énormes désaccords. Quant à la COP sur la désertification tenue à Riyad (Arabie Saoudite) elle n’a pas convaincu les chameliers et les pétroliers de rendre leurs déserts moins désertiques. Sauf là où on crée des gueltas artificielles et des séguias après avoir désalinisé l’eau de mer. De toute façon, le débat est clos avec un « mektoub inch’allah »
La COP29 sur le climat à Bakou (Azerbaïdjan) a fini en impasse. Aucun accord même symbolique n’a été trouvé. Sauf sur le retour des talibans dans le concert des Nations. Tandis que le procureur-justicier-prédateur sexuel Karim Ahmed Khan ne trouvait rien à redire des massacres et spoliations des Arméniens par ses coreligionnaires Azéris.
Les verdâtres sont furibards car, par un effet domino, plusieurs pays de désengagent des politiques dites climatiques
Après le premier retrait des USA en 2017, on n’avait pas vu une « contagion » de démissions. La propagande lancinante et un lavage de cerveaux permanent avaient imprimé leurs divagations. Et puis la peur de déplaire aux merdias paralysait les politiciens professionnels.
Aujourd’hui, la situation est différente. Quelques dirigeants ont réalisé que les vaticinations des réchauffards étaient du flan. Le léger réchauffement est fini, sans avoir amené les catastrophes annoncées : Écroulement des glaciers, submersion des deltas des fleuves et des îles basses, disparition de la neige l’hiver dans les zones tempérées.
Le président argentin anarcho-capitaliste Javier Milei qui a déjà retiré ses délégués de la COP 29, a multiplié les déclarations climato réalistes, prenant ses distances avec les diktats réchauffards. Logiquement, il devrait cesser de raquer. Puisque sa politique est de supprimer toutes les dépenses inutiles.
La décroissance au programme de la COP30 de Belem au Brésil en novembre, ne peut réussir qu’avec la faillite des États ruinés par le sabordage de leur économie dans la traque du CO2. Mais plusieurs pays renâclent. Enclins à gérer uniquement la pollution industrielle chez eux, en fonction de leurs intérêts. Les USA et la Chine montrent la voie.
Déjà, les Américains ont réduit leur participation au GIEC jusqu’à la supprimer. Tout en encourageant la prospection de pétrole et de gaz de schiste, afin de renforcer leur indépendance énergétique. Tandis que la Chine développait, autrement mais pour les mêmes raisons, ses capacités de production d’énergies renouvelables parvenant à produire en 2024 27 gigawatts en solaire et 80 GW en éolien. Pas pour faire plaisir aux écolos. Mais pour améliorer sa balance des paiements.
L’ingérence des escrolos donneurs de leçons, avides du pognon des autres, commence à fatiguer.
Agir contre la pollution, qui n’a rien à voir avec le prétendu réchauffement, revient moins cher à condition de le faire chez soi en fonction de son économie, de ses priorités et de ses ressources.
La Chine, ex-pays le plus pollué du monde, perd sa mauvaise réputation. La politique centralisée de Xi Jinping nuit aux libertés individuelles, mais elle permet de mener des actions collectives cohérentes avec des investissements massifs dans des « villes intelligentes » ( smart cities en chinois) s’appuyant sur un écosystème interactif utilisant des transports propres et de la technologie verte.
Pour Xi : « Le but est de devenir la référence mondiale et le modèle de dépollution à suivre ». La Chine ne copie plus, elle innove. En parallèle, elle a entrepris un grand nettoyage en délocalisant chez plus pauvre qu’elle, les activités polluantes et salissantes qui ne rapportaient pas grand chose. Avec un temps de retard, l’Inde suit le même chemin. Mais alors où iront les poubelles du monde ? Réponse : chez ceux pour qui ce sera une aubaine, comme en Afrique.
L’ingérence climatique est un nouveau colonialisme
Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique ? Forcer les gouvernements à s’adapter à la globalisation. Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux. Dans leur intérêt. Bien évidemment.
Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés. Pour « sauver la planète ».
La prétendue urgence climatique impose des déplacements de populations. Quand les Maîtres de la Finance ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux bonne vieilles méthodes des communistes et des nazis : Déplacer des populations entières, sans leur demander leur avis, là où on pourrait avoir besoin d’elles.
Dans les démocratures, où tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept : celui de réfugié climatique. Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.
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On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC.
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Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde !
La menace d’ingérence climatique est un argument de choc dans les négociations internationales pour faire basculer les rapports de force par le chantage, l’intimidation ou la corruption. Et obtenir des avantages substantiels par le biais d’un discours moralisateur sur le climat, élevé au rang de justification ultime, comme l’était le « devoir moral de civiliser les sauvages » il y a 200 et quelques années.
Il est intéressant de noter que des juristes gauchistes préconisent d’appliquer aux diktats de Paris les mêmes règles que pour l’adhésion à l’Eurocrature ou la conversion à l’islam. Une fois que tu es dedans, on ne te laisse pas partir comme ça! Je voudrais voir comment ils comptent s’y prendre pour tordre le bras de Donald, ou de Vlad qui est lui aussi en train de prendre ses distances avec les crapules verdâtres.
Christian Navis
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Le fait d’utiliser space X pour les nouveaux voyages interplanétaires, sont la preuve que la recompense des amis de Trump est déjà en marche! Elon Musk est déjà servi. Les copains changent, mais le copinage reste. Que gagne le citoyen lambda dans cette affaire? Rien! L’économie faite sur les dépenses contre le réchauffement climatique, aurai pu être mieux utilisées.
Pour les tenants de la voiture électrique, en Bretagne l’électricité est coupée pour un grand nombre de foyers à cause de la tempête. Comment recharger la batterie de sa voiture dans ce cas-là ? En faisant pédaler mami dans le sous-sol sur une génératrice ?
Sans doute une opportunité de plus pour que nos gentils migrants sans papier viennent aider mamie à pédaler.
Il s’avérerait que quelques politicards ayant entendu le mot pédaler se soient déjà porter volontaire…
Ils viendront et feront une tournante avec mami.
La voiture électrique ne fait plus recette. Trop chère pour le pégu de base. Les verdâtres français ont condamné les zones rurales à une mort programmée vu qu’il n’y a aucun moyen de transport dans ces zones hormis le véhicule thermique