Les nouveaux maîtres du monde : Trump, Musk et Poutine

L’objectif des capitalistes, après la Deuxième Guerre mondiale, était de contrôler les États grâce à la puissance de l’argent. Les présidents seraient des marionnettes dont les banksters tireraient les ficelles. Dans l’intérêt de la paix. Bien évidemment.
Les peuples abrutis de propagande radio puis télé voteraient pour qui on leur dirait. Et pour ceux qui n’entendraient pas bien, on « arrangerait » les élections. Avec le concours de chefs d’États, d’administrateurs et de juges devant leur carrière aux banksters.
Ainsi les États affaiblis seraient dépouillés de leur souveraineté, leurs frontières effacées, on y entrerait comme dans une fête foraine pour y semer le désordre, la confusion et se servir. Et des délits d’opinion, puis d’intention, dissuaderaient les lucides de protester.
Tout était bien organisé et fonctionnait pour le mieux au bénéfice de la ploutocratie mondialiste
Le Bilderberg comité exécutif réunit 130 maîtres du monde, banquiers et nababs, aux décisions occultes. Il définit la politique globale. S’inspirant de la Commissionde la mafia italo-américaine, chaque réunion a lieu dans un endroit tenu secret jusqu’au dernier moment. Tout est hyper sécurisé par une armée privée. Les participants n’ont pas le droit de sortir de leur hôtel tant que dure la conférence. Ils ne peuvent pas non plus être accompagnés de leur conjoint ou d’un assistant.
La trilatérale est une extension du Bilderberg. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus influentes du monde des affaires et de la politique, en Europe occidentale, Amérique du Nord et Asie. Son objectif est de concrétiser les décisions du Bilderberg par une coopération plus ou moins forcée entre les trois zones clés du monde, unies dans une Triade. Nom donné aux mafias chinoises. Une coïncidence ?
À un niveau inférieur, il appartient aux 3000 membres du forum de Davos de rendre les décisions du Bilderberg présentables. Au moins en apparence, pour les gouvernements et les médias. « Pour garantir la paix et la prospérité ». On peut participer et donner son avis si on a beaucoup de pognon. Ainsi le chef Zoulou Mangosuthu Buthelezi propriétaire de mines de diamants y fut le bienvenu.
Tandis que le groupe des young leaders imaginé par Klaus Schwab, honore chaque année une centaine d’ambitieux sans scrupules, repérés par une douzaine de membres du Davos. Par la flatterie, les services rendus et parfois la corruption, ils entretiennent des viviers de requins et de pieuvres. Mais aussi, parce qu’on peut avoir besoin de petit personnel, des bassins pour maquereaux et morues. Seriez-vous étonné d’apprendre que Macron, Attal, Zuckerberg, Trudeau, mais aussi Marlène Schiappa ont été formés dans ces élevages ? Ils se croient importants. Mais ils ne sont que les loufiats des anciens maîtres du monde.
Ces crapules ne s’attendaient pas à ce que Elon Musk leur résiste et leur échappe
En 2008, ils l’ont inscrit sur leur liste secrète. Celle où figurent des femmes et des hommes qui ont attiré leur attention par leur talent et leur réussite. Mais peuvent très bien se passer de ces parrains mafieux.
A priori, ces gens n’ont rien demandé et ne sont pas partants. Mais, preuve supplémentaire de la crapulerie du système, grâce à des relais bien placés dans les médias, ils font fuiter de temps à autre une partie de cette liste. Pour « mouiller » ceux qui y sont inscrits. Une autre méthode empruntée au crime organisé pour se créer des alliés contraints.
Musk multimilliardaire n’a pas apprécié. D’autres griefs s’y sont ajoutés ensuite. Les magouilles pour abattre Trump, tricherie électorale, calomnies en tout genre, procès délirants, tentatives d’assassinat. Et les attaques contre Poutine orchestrées par des faisans qui ruinent leurs pays pour servir le bouffon glouton de Kiev, dans une querelle qui ne les concerne pas. Enfin, les manœuvres des États gangsters pour s’emparer des avoirs et fonds déposés par les Russes, en confiance, en Occident.
La liste des griefs serait incomplète sans les tentatives d’intimidation des néonazis de l’Eurocrature et des crypto-communistes brésiliens pour obliger Elon à fliquer les personnes s’exprimant sur son site. Mais à ploutocrates, ploutocrate et demi. Et Musk retourne à son avantage les rapports de force de la finance qui servaient les crapules jusqu’alors.
Les mafias du mondialisme se déchaînent à l’idée que l’État profond puisse perdre le pouvoir
Les médias étasuniens progressistes avaient déjà révélé, ulcérés, que Trump et Poutine continuaient à discuter ensemble de la marche du monde. Après la fraude électorale qui avait écarté Donald au profit d’un vieillard gâteux et d’une dinde joviale que Vladimir raille en privé.
Le Wall Street Journal, est tout aussi horrifié en annonçant que Elon Musk et Vladimir Poutine sont en contact régulier depuis des années. On appelle cela la diplomatie parallèle. Ça existe depuis des siècles. Quand deux protagonistes veulent négocier discrètement, ils ont recours à des intermédiaires. Des facilitateurs pragmatiques. Mais l’État profond, jamais en manque d’une saloperie, accuse Musk de menacer la sécurité nationale US. Parce qu’il a des contrats avec le Pentagone et la NASA.
Des suspicions évacuées d’un revers de manche. « Oui, j’ai une habilitation top secret, reconnaît Musk, mais je dois dire que la plupart des choses dont j’ai connaissance restent top secrètes parce qu’elles sont terriblement ennuyeuses et ne servent pas à grand chose. »
Sur son réseau social X, Elon Musk a fait coup double. Non seulement il ne censure pas, comme on lui demande, ceux qui dénoncent le gaspillage éhonté de l’argent public au profit de la bande d’oligarques corrompus de Kiev. Mais en plus, il s’exprime à titre personnel pour critiquer le soutien US à l’Ukraine. Son opposition aux livraisons d’armes et aux virements de milliards de dollars au Zygomyr et à ses sbires va de pair avec des contacts réguliers avec Poutine.
Demain, si Donald revient en triomphateur au Capitole tel un empereur romain, la paix en Ukraine sera à portée de main. Car Vladimir ne discute qu’avec les personnes qu’il respecte. Et une saine concurrence entre le dollar et les BRICS créerait les conditions d’un nouvel équilibre planétaire.
Musk est entré en politique prudemment, s’engageant d’autant plus fort qu’on l’attaquait
Au départ, il était plutôt démocrate, mais pas sectaire, entretenant de bonnes relations aussi bien avec Bush qu’avec Obama. Puisque ceux-ci faisaient appel à son expertise dans les nouvelles technologies. Quant à Trump, il l’appréciait comme deux crocodiles devant s’ébrouer dans le même marigot. Les affinités ont fini par l’emporter sur les ego.
Après avoir été très déçu par Biden et ses courtisans, Musk s’est rapproché de Trump. Son implication aux côtés de Donald est allée de pair avec ses contacts avec Poutine, échangeant avec le tsar sur le business et la géopolitique. Contrairement à ce que prétendent les médias menteurs, Poutine n’est ni égocentrique ni psychorigide. Il sait écouter et peut suivre les conseils. Lorsqu’ils émanent de quelqu’un de crédible.
Après avoir offert aux Ukrainiens début 2022 l’usage gracieux du réseau Starlink, uniquement à des fins civiles, Elon leur en a refusé l’accès en septembre quand il a réalisé l’usage militaire qu’ils en faisaient. Le Zygomyr est très fort pour s’imposer à une Pustula revancharde, rouler un Biden grabataire et éblouir un Macron inconsistant. Mais il n’a pas l’étoffe pour manipuler un type comme Musk.
Le plan pour la paix, avec partition de l’Ukraine s’élabore en ce moment, et si Donald est réélu, il n’aura plus qu’à signer avec Vladimir
C’est un peu un argument de campagne électorale. Mais c’est aussi le reflet de la réalité. Quand Trump affirme qu’il serait capable de stopper le conflit en Ukraine très rapidement s’il gagnait l’élection, grâce à ses bonnes relations avec le président russe. Sans dire que Musk l’y aide. Mais on comprend quand il lui offre, en cas de victoire, un poste éminent de conseiller spécial à la Maison-Blanche.
Christian Navis
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