Massada, dont les défenseurs ont préféré mourir plutôt que de se rendre aux légionnaires romains lors de la Grande Révolte de 68-70 après JC.
Je suis plus qu’admirative devant cet homme, je suis sidérée par tant d’intelligence, d’amour de son peuple, de courage… Le courage du chef de guerre, le courage du chef politique qui depuis des années doit se battre, comme nous, contre la gauche et le pouvoir des juges qui veulent faire un nouveau New York en Israël et contre les terroristes, les assassins qui guettent les Juifs à chaque coin de rue.
Et alors qu’Israël a été abominablement attaqué et touché par le massacre et les enlèvements du 7 octobre, Netanyahu doit, et tout le peuple juif avec lui, supporter d’être traînée dans la boue, mis en cause et en examen à la Cour Pénale Internationale… Il doit voir se lever en France comme aux Etats-Unis des élus qui, sans vergogne, soutiennent les assassins du Hamas et un mouvement d’antisémitisme abominable dans le monde entier. Et pas que dans les pays musulmans. Le wokisme progresse aussi vite que la foudre. Et Netanyahu ne se couche pas. Il rend coup pour coup. Chapeau bas, monsieur. J’en ai les larmes aux yeux.
Ce qu’il est en train de faire au Liban est énorme. Cet homme est exceptionnel, je lui avais déjà rendu un hommage appuyé en juin dernier, le voici à nouveau ci-dessous. Je crois que ses derniers exploits au Liban couronnent ce défenseur absolu de la liberté, de la civilisation et du droit des Juifs de vivre dans leur pays.
Prenez le temps d’écouter (à nouveau) Netanyahu, cet homme est exceptionnel, chapeau bas !
Est-ce un hasard si Macron n’aime ni Poutine ni Netanyahu ni Trump ? Evidemment que non… ils lui font trop sentir sa médiocrité sa petitesse… Et Netanyahu ne lui a pas fait de cadeaux en lui rappelant que les terroristes de Gaza étaient aussi chez nous, évoquant le Bataclan entre autres…
20h30.
Interrogé au sujet du mandat d’arrêt de la cour pénale internationale le visant, Benyamin Netanyahou a répondu :
“C’est le droit du seul État juif à se défendre dans les années qui suivent l’Holocauste. Et le procureur de La Haye combat ce droit à travers deux falsifications. La première, c’est de faire une fausse équivalence entre les dirigeants démocratiquement élus d’Israël et les chefs du Hamas. (…) Les traiter de la même manière, c’est comme mettre de Gaulle et Churchill, Al-Qaïda et le président américain dans le même procès. Bien sûr, c’est de la folie.”
20h41.
Au sujet de la famine qui touche les civils palestiniens, le Premier ministre israélien se défend
“On a mis un demi-million de tonnes de nourritures et de médicaments à destination des civils palestiniens. On a tout fait pour éviter la famine”, a-t-il déclaré sur LCI.
20h42.
“On voit bien que vous tuez beaucoup de combattants du Hamas au prix de beaucoup de morts de civils innocents”, déclare Darius Rochebin.
“Pour nous, c’est une tragédie, a répondu Benjamin Netanyahou sur LCI. Mais pour le Hamas, c’est une stratégie. Ils font en sorte que les civils restent dans ces zones en leur tirant dessus s’ils essaient de partir. Le taux de civils décédés est le plus bas vu dans une guerre urbaine, je l’affirme. Nous ne faisons pas de bombardements non-ciblés à Gaza. C’est l’équivalent du débarquement en Normandie en termes de pertes.”
20h47.
“Gaza n’est pas votre terre. Est-ce que vous comprenez les voix, dont celle d’Emmanuel Macron, qui appellent à la reconnaissance d’un Etat palestinien ?” a demandé le journaliste de LCI.
“Si vous leur donnez un Etat, ce sera la plus belle récompense pour ces terroristes, a répondu le premier ministre israélien. Ca encouragera les actions terroristes partout dans le monde.” S’exprimant à cet endroit en langue française, il a ajouté : “Notre victoire, c’est votre victoire. C’est celle d’Israël contre l’antisémitisme, celle de la civilisation judéo-chrétienne contre le barbarisme”.
20h51.
“Israël va donc occuper Gaza durant des mois, des années ? Ou est-ce que votre engagement est de rendre Gaza a une pleine autorité palestinienne ?” a demandé Darius Rochebin
“Nous devons empêcher la résurgence du Hamas dans le monde, a répondu le premier ministre israélien. Israël a une responsabilité sécuritaire en la matière. Je ne sais pas s’il faudra occuper Gaza sur la longue durée, mais il faudra pouvoir y rentrer à n’importe quel moment.” Et d’ajouter : “C’est aussi votre problème. Ces terroristes sont chez vous : je cite le meurtre de Samuel Paty, le massacre du Bataclan.“
20h56.
“Est-ce que vous bombarderez les centres nucléaires iraniens avant qu’ils aient la bombe ?” a demandé le journaliste de LCI
“Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour empêcher l’Iran d’avoir des armes nucléaires, a répondu Benyamin Netanyahou. Nous les avons retardé d’une décennie, mais nous ne les avons pas arrêtés. La menace est réelle pour vous également. L’Iran développe des missiles qui peuvent atteindre avec des ogives nucléaires Paris, Berlin… Nous-mêmes, l’Iran nous a attaqués avec des centaines de missiles. Heureusement, ils n’ont pas pénétré nos défenses.”
20h58.
“Quel sera votre sort personnel si demain la cour pénale internationale accepte le mandat du procureur : éviterez-vous l’Europe de peur d’y être arrêté ?”
“Je ne veux pas parler de ma situation personnelle. Je combats le terrorisme. J’ai commencé en tant que jeune soldat dans les forces israéliennes. Si je dois souffrir quelques désagréments dans le combat contre le terrorisme, soit. La question est : est-ce qu’on se soumet à cet antisémitisme, est-ce que les juges de la Haye s’y soumettent ?”
21h00.
“Quel sort pour les otages à l’heure actuelle ?” a demandé Darius Rochebin
“La fin de la guerre pourrait arriver immédiatement si le Hamas se rendait et nous remettait les otages. Je veux mettre fin au cauchemar de ces otages. C’est notre engagement : nous voulons les sauver. De même que nous voulons détruire les terroristes, pas la population.“
21h01.
“Allez-vous démanteler les colonies illégales en Cisjordanie ?”
“Elles ne sont pas illégales, elles font partie du droit international. Le droit international dit qu’il faut un retrait non pas de ces zones, mais de zones non-spécifiées. Ces colonies, c’est 2 à 3% de la zone construite”, a répondu Benyamin Netanyahou.” Puis il a ajouté : “Nous ne sommes pas les Belges au Congo. Nous ne sommes pas des colons”. Et de conclure : “Nous allons devoir vivre ensemble. Je ne peux pas faire partir les palestiniens et eux ne peuvent pas nous faire partir.” L’homme politique s’est ensuite emporté : “Cent ans après l’établissement d’Israël, le refus palestinien de reconnaître l’Etat juif est un obstacle à la paix. La Palestine le nie, je l’affirme.“
21h04.
“Une force internationale pourrait-elle prendre le relai à Gaza pour y assurer l’ordre ? Si les Américains ou les Français se portaient volontaires, leur donneriez-vous les clés ?”
“J’ai dit que je serais heureux de voir une gestion civile de la bande de Gaza. Nous voulons voir une force qui empêchera le retour des terroristes. Si une telle force internationale existait et se manifestait, j’en serais heureux, mais je ne vois pas cela arriver dans un avenir immédiat.”
21h05.
“Avez-vous parlé à Emmanuel Macron depuis qu’il a encouragé la reconnaissance d’un Etat palestinien ?”
“Non. Considérez les choses ainsi. Si Emmanuel Macron et les Français considéraient la possibilité d’avoir un Etat palestinien dans la banlieue parisienne, ils ne le voudraient pas. Je le dis : le fait qu’une force extérieure fasse pression pour la reconnaissance de l’Etat palestinien ne mènera pas à la paix, mais à la guerre.”
21h07.
“Aggravez-vous l’image d’Israël ? Ne comptez-vous que sur vous-même en dépit de ce que votre peuple pense de vos décisions ?” a demandé pour finir le journaliste de LCI.
“Les Israéliens comprennent que nous devons vaincre le Hamas. Les sondages le montrent. Je connais le coup de la guerre : j’ai été soldat, j’ai perdu mon frère au front… Mais je ne sacrifierai pas le droit du peuple juif à se défendre dans le seul état qui soit un état juif.”
Extraits ci-dessous
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Un État palestinien, avec la possibilité de posséder une véritable armée ? Il faut être dingue ou simplet pour penser cela.