Je reprends à mon compte l’excellente phrase de Céline Pina parue dans la revue Causeur.
« Nous les enfants de la guerre, gavés au slogan de « plus jamais ça », pensions-nous un jour entendre brailler dans les rues de Paris et les autres villes : « Mort aux juifs »
Dans les années soixante un graffiti tracé sur un mur jugé antisémite aurait déclenché des réactions des médias télévisuels. Ces réactions auraient expliqué qu’il n’était pas possible d’être antisémite en regard du drame qui avait eu lieu.
Devant les récents débordements anti-juifs, nous étions en droit, de penser que le Service public de la télévision aurait organisé une émission avec l’objectif d’expliquer la réalité de la situation entre les Israéliens et ce que nomme la vox populi « Peuple palestinien ». Rien. Ce fut le vide absolu et il continue.
Nous les enfants de la guerre élevés dans le respect des fonctions, aurions-nous pu imaginer qu’un groupe parlementaire, ne pouvait pas nous abreuver du spectacle le plus ignoble qui soit ? Et pourtant les députés de la France Insoumise, ramassis de glaireux, mettent plus bas que terre l’héritage que nous avons reçu, et dont ils sont les représentants, de la Révolution de 1789. Qu’ils relisent les textes de l’abbé Joseph Sieyès qu’il a consacrés à la noble tâche du député. Suis-je bête ! ils ne savent pas lire. La preuve nous en ait fournie par leurs éructations permanentes.
Si un groupe de la société se voyait attaqué sans défense et sans raison évidente, aurait-on pu imaginer voir paraître le texte immonde ci-après rédigé par l’iconique romancière Virginie Despentes, après la tuerie des journalistes de l’hebdomadaire Charlie Hebdo, le 7 octobre 2015 ?
Avant que vous ne commenciez à lire la pestilence vous devez savoir que le texte a été applaudi par de nombreuses voix de gauche.
« J’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir. Leur façon de dire : vous ne voulez pas de moi, vous ne voulez pas me voir, vous pensez que je vais vivre ma vie accroupie dans un ghetto en supportant votre hostilité sans venir gêner votre semaine des shopping soldes ou votre partie de golf – je vais faire irruption dans vos putains de réalités que je hais parce que non seulement elles m’excluent mais en plus elles me mettent en taule et condamnent tous les miens au déshonneur d’une précarité de plomb. »
C’est beau, n’est-ce pas, une telle logorrhée islamo-gauchiste.
Nous ne dirons rien sur le barnum organisé à son profit par le président de la République de l’époque. Un certain François Hollande.
Nous les enfants de la guerre, aurions-nous pu imaginer qu’un prêtre soit décapité ? Un enseignant aussi. Après que les évènements ont eu lieu, nous avons attendu que les rues des villes et des villages de France, soient noires de monde. Et les citoyens auraient crié « Ici en France on n’égorge personne. » Les rues ont gardé leur somnolence habituelle.
Aurait-on pu imaginer que des policiers soient assassinés à leur domicile devant leurs enfants par des gens que soi-disant nous maltraitons ?
Ainsi donc est devenue la France. Le territoire où sévit le plus grand trafic de drogues de l’Europe. De cette situation si drôle que des créateurs en ont fait une pièce de théâtre. « Comment vivre avec un point de deal en bas de l’immeuble ? » Et à ce qu’il paraît le spectacle est un franc-succès. Les spectateurs se tordent de rire.
L’État forme des fonctionnaires dans les différentes écoles. Mais voilà que ceux-ci se sentent attirés par le monde plus attrayant de la politique. Dans le cas d’un échec, ils peuvent réintégrer leur corps d’origine. Ils retrouvent leur affectation et le salaire qui va avec comme s’ils n’étaient pas partis. Ce qui fait que le goût de ces fonctionnaires pour l’aventure politique vide les ministères. Si bien qu’il faut faire appel à des cabinets de conseils pour encadrer les ministres. Cela a un coût. Peu importe le montant de la facture puisque ce sont les français qui paient.
Pendant des années, la France a fait l’admiration des autres pays pour son système de santé. De nos jours, il n’y a rien de plus dangereux que d’être contraint de se rendre aux urgences. On peut mourir dans un couloir après quatre jours d’attente. Il est donc désormais recommandé aux Français de prévoir leurs urgences et de prendre rendez-vous au mois quatre mois à l’avance.
Nous les enfants de la guerre nourris aux leçons du respect de l’autre, aurions-nous pu imaginer qu’une adolescente soit violée en raison de sa religion ? Aurions-nous pu imaginer qu’il soit possible de vivre dans un pays où chaque jour se produisent cent vingt agressions à l’arme blanche ? Aurions-nous pu imaginer que la décision d’un maire qui interdirait le port du burkini soit bafouée par un juge ?
Que s’est-il passé ? Voilà la question que je ne cesse de me poser. Avons-nous fait preuve de naïveté ? D’une confiance excessive envers les dirigeants ? Étions-nous trop préoccupés par notre devenir professionnel et familial ?
Quelle que soit la raison. L’évidence nous saute au visage. À ce jour nous avons perdu. Les leçons que nous avons reçues, nous ne les avons pas exploitées comme il aurait convenu de le faire.
Pour l’instant nous sommes vaincus. Cependant la solution se dessine au bout du chemin, aussi, hâtons le pas. Le temps presse.
Raphaël Delpard
Le texte ignoble de la romancière dont je m’interdis de recopier à nouveau le nom est extrait de l’ouvrage d’Éric Naulleau intitulé La République, c’était lui ! dont je vous recommande la lecture.
https://ripostelaique.com/pour-linstant-nous-sommes-vaincus.html
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Merci de porter ce texte à notre connaissance.
Je ne le connaissais pas et je ne savais pas qu’il avait été adoubé par le gros mou.
Aucun mot pour décrire le ressenti face à cette pute islamogauchiasse.
J’ai juste envie de dire que si le type n’a pas envie de vivre dans un ghetto chauffé, nourri, soigné, payé par la sueur des Français, qu’il se barre !!
QU IL SE BARRE !!
Et qu’ils se barrent tous, qu’ils nous foutent la paix, qu’ils dégagent, qu’ils arrêtent de chouiner sur leurs « misérables » conditions.
Je répète » qu’ils retournent en Afrique et qu’ils emmènent leurs copains gauchiasses.
« Nous les enfants de la guerre, aurions-nous pu imaginer qu’un prêtre soit décapité ? Un enseignant aussi…« Ici en France on n’égorge personne. »
En France entre 1954 et 1962, des prêtres ont été égorgés, des enfants éviscères, des enseignants mitraillés.
Cela vous a sûrement échappé . Il est vrai que cela se passait dans une France d’ailleurs, l’Algérie Française.
-« « J’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes…. »-
Je n’ai pas pu lire que les deux lignes suivantes du dégueulis ; et, véridique j’ai réellement ressenti un soulèvement des tripes jusqu’au diaphragme.
Je n’en reviens pas de ce qui peut être non seulement dit ou écrit, mais… tranquillement, sans représailles ; pire, avec approbation des autorités.
C’est tout simplement incroyable qu’un truc aussi immonde soit publié, accepté, célébré…
On en put plus de ces gens « qui ne veulent que l’amour » ; de leur mantras contre la « haine » et qui pourtant sont responsables de toute la violence sociale et de sa division.
Pour moins que çà, combien des « haineux » ont-ils été écrasés par l' »Injustice des tas »?
Souvenez-vous du sort des jeunes de Génération Identitaire ; condamnés pour « VIOLENCE » …
Nous ne nous en sortirons plus que par nous même. Notre Politique a avarié la société qui est totalement pourrie. On en est à la pratique totale de l’inversion accusatoire et des valeurs. Oui ! leur république frencèse est totalement avariée. Leur frence a des relents de putréfaction avancée.