JO : les clandos ne vont plus se faire soigner… de peur de se faire arrêter !

Tiens, pourquoi est-ce que les patients ci-dessus ne sont pas français d’origine ? En Seine Saint-Denis ce n’est plus la France ?

Je mentirais si je vous disais que ça me fait pleurer…

Les ignobles dhimmis de Médecins du Monde submergés de demandes venant de clandestins habituellement ne voient plus personne, au point de fermer les points d’accueil proches des  sites olympiques et ils s’arrachent les cheveux, ils ont peur pour leurs protégés... Les clandestins, au lieu de demander poliment depuis leur pays l’asile en France nous imposent leur présence, fût-elle mafieuse ou islamiste comme c’est le cas pour un certain nombre d’entre eux. Alors, les états d’âme de Médecins du Monde, je m’en soucie comme d’une guigne, je m’en tamponne même le coquillard.

Les Jo génèreraient-ils la guérison, comme certaines fontaines de l’Antiquité ? Hélas…

La vérité est bien plus sordide. Les clandos ne sortent plus, de peur d’être repérés, identifiés, arrêtés, mis dans un avion… que sais-je ?  Faut-il rire ou pleurer ? Au moins savourer c’est autant de consultations, examens qui ne nous seront pas facturés. Que voulez-vous, dans ce monde de tarés, il faut savoir appricier ce qui vous fait rire, ce qui vous fait passer un bon moment, même si au fond ça ne change pas rien.

Je dois tout de même avouer que j’ai du mal à comprendre… Il me semblait pourtant que les clandos avaient pignon sur rue, reçus, habillés, nourris, logés, équipés d’I-Phone, pourvus de traducteurs, d’avocats, assurés de continuer à habiter chez nous même après X délits, même pourvus d’une prétendue OQTF… Comme quoi ils savent bien qu’ils n’ont pas le droit d’être chez nous. Sinon pourquoi ne veulent-ils plus affronter le moindre policier ?

Depuis quelques jours, les périmètres de sécurité installés pour les Jeux olympiques transforment la circulation à Paris. Un dispositif contraignant pour les acteurs de la solidarité qui viennent en aide aux plus vulnérables. Moins d’une semaine avant le coup d’envoi des Jeux olympiques, Médecins du monde peine à garantir l’accès aux soins à ses bénéficiaires. L’ONG s’inquiète de la période estivale particulière qu’elle est sur le point de traverser.

À deux pas du Stade de France et de la piscine olympique à Saint-Denis, Médecins du monde reçoit habituellement des personnes en situation irrégulière. Mais en raison des forces de l’ordre, nombreuses dans les rues de la capitale pour assurer la bonne tenue des Jeux, l’ONG a préféré fermer ses locaux cet été. « Pour ne pas exposer nos publics à un risque d’arrestation, on a fait le choix de fermer nos locaux et de délocaliser une partie de notre activité à d’autres endroits, plus éloignés des sites olympiques », explique à RFI Matthieu Dréant, coordinateur dans ce centre. Cette antenne de Médecins du monde a fermé le 1er juillet, poursuit-il. Elle devrait rouvrir le 15 septembre.

Les premières semaines ayant suivi sa fermeture, les personnes suivies par l’ONG se sont rendues à Pantin et Bobigny, deux villes proches dans le département de Seine-Saint-Denis. Mais depuis ces trois derniers jours, Matthieu Dréant déplore n’avoir reçu quasiment aucun patient. « Même les patients avec qui on avait des rendez-vous nous ont dit au téléphone que compte tenu de la mise en place des périmètres de sécurité, des QR codes et de la présence policière qui est extrêmement forte et visible, ils préféraient renoncer à leurs soins et donc renoncer à venir nous voir. »    […]

RFI

https://www.fdesouche.com/2024/07/21/jo-2024-long-medecins-du-monde-sinquiete-de-lacces-a-laide-medico-sociale-pour-les-clandestins-en-seine-saint-denis/

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3 Commentaires

  1. Merci pour l’info. Nous allons passer une excellente journée !
    Je me sens toute guillerette ce matin…

  2. Comme quoi medecins du monde est une organisation de délinquants qui protège des criminels. A quand la dissolution de ces nuisibles ?