En ce dimanche, oublions, au moins jusqu’à 20 heures, la vulgaire cuisine politique pour papoter un peu de cuisine, oui, bien de la véritable cuisine, la cuisine… culinaire, si vous me permettez cette superfluité ! Et plus particulièrement celle concernant les… crustacés, vous savez, ces crustacés si succulents que nous les avons baptisés « fruits de mer » !
Non seulement, comme l’écrit le Journal des Femmes, « les férus de ces gourmandises maritimes aiment les retrouver sur un plateau frais accompagné d’un ou deux quartiers de citron. Pleins de saveurs, les fruits de mer se font également une place de choix dans des plats comme la paella ou les gratins. Si leur goût nous fait craquer, leurs propriétés nous les font apprécier davantage. Contenant tous du magnésium, potassium, fer, zinc… Les fruits de mer sont reminéralisants. »
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. Nous parlons là des crustacés que sont, entre autres, les huîtres, les moules, les homards, les crabes, les langoustines, les écrevisses, les palourdes voire les poulpes, les seiches, ou, encore, une belle coquille Saint-Jacques… (qui a ma préférence pour surtout le symbole que son… prénom véhicule ! Voir : https://fr.aleteia.org/2018/09/01/comment-la-coquille-saint-jacques-est-elle-devenue-un-symbole-de-pelerinage/ )
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Mais permettez-moi de vous mettre en garde sur certaines informations de mes confrères journalistes ! Depuis quelques jours, certains veulent nous faire et vous faire avaler d’autres… crustacés ! Et là, sans même une minuscule rondelle de citron, ni une seule goutte de mayonnaise ou ne serait-ce qu’un léger filet de vinaigre !…
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En plus, les crustacés dont il parle ne sont même pas en vente chez les poissonniers !
Certes on peut en retrouver dans des habitations ou des bureaux… Certains journalistes ont même affirmé qu’il y en avait jusque dans des habitations passant pour huppées, nobles, historiques et bien tenus mais je doute qu’ils en servent lors de dîners de galas tels ceux offerts par nos élites… -avec l’argent de nos impôts, impôts payés par des familles qui, elles, ne peuvent même pas nourrir correctement leurs enfants !
Oui, mais en ce qui concerne ces informations si extravagantes, j’émets des doutes, certains de mes confrères journalistes ayant tendance à l’exagération pour nuire à nos dirigeants. Je me garderai donc bien d’apporter un crédit quelconque à de telles infos.
Rendez-vous compte par vous-mêmes : il y aurait des crustacés se promenant à l’ÉLYSÉE ! OUI, AU SIÈGE DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE !!! Et ces crustacés, selon un ministre donc un habitué de l’Élysée, ministre prénommé Bruno -pour son nom, je me contente de ses initiales, ne voulant pas pas lui causer d’ennuis-, donc Bruno L. M…
Oui, selon cette personnalité dont je tiens à garder l’anonymat, ces crustacés ont été identifiés !
Et ces crustacés n’ont jamais été servis même lors de dîners de gala avec ou sans Charles III si l’on en croit ce qu’il a déclaré, sans honte, ni crainte puisqu’il a lancé ces accusations à la télévision, à visage découvert -quel courage !- lorsqu’il a précisé quels étaient ces crustacés jusqu’à les accuser nommément :
« Les Palais de la République sont pleins de cloportes ! »
Oui, voilà sa révélation : ce sont des cloportes !
Vous en voulez la preuve visuelle ? La voici avec une video courageusement divulguée par le Figaro :
https://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/dissolution-bruno-le-maire-cingle-les-conseillers-cloportes-presents-dans-les-palais-de-la-republique-20240620
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Et ces cloportes qui sont des crustacés vivant dans des lieux humides ne sont nullement des… fruits de mer ! Ils ne servent même pas à augmenter le coût des dîners somptueux servis où eux-mêmes vivent ! Quel scandale ! Ils vivent donc sous les ors de la République et ne participent même pas à sa vie !
Des habitués de l’Élysée seraient allés jusqu’à dire :
« Ce ne sont pas des fruits de mer ! Ce ne sont que des fruits de mer(bip)de ! »
Mais, qui le sait ? Oui…
« Le cloporte : comment vit-il ? Comment s’en débarrasser ? » Ce sont à ces questions qu’en ce jour important pour la France, répond en détail le « Mag des Animaux » d’Ouest-France !
Et il est normal qu’il y en ait à l’Élysée puisque les cloportes font partie du « sous-ordre des oniscoïdes qui constitue le plus important groupe de crustacés terrestres ! »
Et « il existe plus de 3 000 espèces de cloportes dans le monde, dont 160 en France ! »
Donc, certainement, en fait partie -ce que n’ose pas préciser Ouest-France, mais, moi, je ne recule devant aucun pouvoir pour divulguer cette information qu je vous révèle !- oui, en fait partie aussi la « sous-sous espèce sonnante et trébuchante élyséum » ! Dont est rattaché « le cloporte commun » à savoir « l’Armadillidium vulgare » connu, en France, sous l’apocryphe -donc douteux tant pour l’Église que chez un notaire !- donc de l’apocryphe « EmmanuellumMacronillidium » !
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Et cet « Armadillidium vulgare » est le cloporte, comme le note Ouest-France, « le plus couramment rencontré en Europe, il fait partie des arthropodes dont les caractéristiques communes sont :
Une carapace segmentée
Un squelette externe (exosquelette) rigide qui oblige l’animal à muer fréquemment pendant sa croissance
Un corps divisé en tête, thorax et abdomen. »
Mais comment Bruno L. M…. a-t-il pu les voir car…
« de ses origines aquatiques, le cloporte hérite d’un besoin vital d’humidité afin que sa peau ne se dessèche pas. Pour les mêmes raisons, il fuit la lumière et préfère fréquenter les milieux sombres (…) Ce crustacé est tenté de vivre dans une maison qui réunit ses critères d’humidité et d’obscurité. Il trouve ainsi refuge dans des pièces qui ne sont pas éclairées, ni aérées (comme la cave ou le toit) et les moisissures ne l’effarouchent pas. La salle de bains et surtout la cuisine, en particulier sous l’évier, est aussi un endroit prisé par le cloporte qui peut y trouver quelques déchets à consommer.»
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Donc les cloportes de l’Élysée vivraient en permanence à nos frais, nous les contribuables, puisqu’ils se nourriraient, dormiraient, jusqu’à se laver dans ce Palais de la République !
Heureusement que nous avons des Français courageux qui, au risque -fort probable- d’y perdre leur emploi après sept ans de bons et loyaux services… -certains mauvais langues parlent de « longs et joyaux serre-visses » ou même de « dons et royaux sers-vices »- tel ce courageux Bruno L. M…., pour dénoncer ceux qui vont jusqu’à squatter les Palais de la République !
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Puisque ce crustacé n’est, lui, pas comestible, peut-on s’en débarrasser ?
Toujours selon Ouest-France…
« les cloportes vivent généralement en communauté dans les endroits mal entretenus. »
« Nettoyez toutes les pièces abritant les cloportes, en curant vigoureusement les coins où ils peuvent avoir trouvé refuge. Séchez et aérez bien après nettoyage. »
Et Ouest-France nous apporte cet espoir :
« Le traitement doit durer entre deux semaines et un mois ».
Donc, comme le nettoyage a commencé au soir du dimanche 9 juin 2024, cela pourrait être fait dès le 7 juillet au soir ! Ah, ces cloportes ! Grâce à Bruno L. M…., nous savons maintenant quel est notre ennemi ! Nous vaincrons grâce aux nettoyeurs que vous êtes, vous les… électeurs !
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
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Désigner par « crustacés » les huitres, les moules, les palourdes, les coquilles saint-jacques, et même les seiches et les poulpes! Alors celle-la, il fallait la faire!
Ca va quand même faire drôle que le gros mytho soit dégagé à partir du 7 juillet, on a intérêt à vite se trouver une tête de turc ou de nœud pour se défouler. J’ai cependant ouïe dire que ce charlatan de l’économie songe à se présenter en 2027, s’il s’associe au groland il peut envisager un score partagé d’au moins 0.5%, ils feront un « bidonthon » pour éponger leurs frais de campagne et nous on se paiera la plus grande poilade du siècle.
Ah, « Coquillages et crustacés, sur la plage(/France) abandonnée m’évoquent Brigite Bardot, incarnation de la France heureuse que nous avons connue et que nous voulons retrouver, régénérée. Pour cela, il va falloir nous débarrasser de ces gibiers de potence.
Nüremberg II
(et pas avec les copains et les copines juges) !
Savez-vous que cette ganache bien née qui se croit littéraire parce qu’il est socialement logiquement normalien se serait fait aider par Houellelebecq pour écrire son roman « a celles qui m’entendent : je couche ! » ?
Il serait le ministre surpris par la police après l’orgie chemsex meurtrière du Palmipède.
c’était lui ? Il a un fils ?
Car ce ministre était avec son fils à la soirée chemsex de Palmade.
Le pauvre type qu’est Bruno Lemaire ne sera bientôt plus qu’un cloporte en chef, il faudra veiller à ce que jamais il ne remette ses sales pattes dans un ministère Français.