Bien sûr, il y a des choses qu’on ne souhaite à personne… même à son pire ennemi...
Et puis parfois on se dit que son pire ennemi nous les souhaiterait quant à lui.
Je l’aimais bien, Emmanuelle, quand j’ai pris mes fonctions. On mangeait parfois ensemble. Elle me parlait de Trump, de Bolsonaro, à l’époque…
Un jour elle me dit : « même toi, Trump et ses partisans te feraient peur« …
Ce jour-là elle a dû voir dans mon regard que j’en étais, car j’ai vu le sien changer.
J’étais devenu suspect, car je lui ai fait une brève réponse sur la sécurité dans un pays, qui lui a rapidement permis de comprendre qu’elle et moi ne voyions pas du tout les choses de la même façon.
Depuis, nous avons cessé de manger ensemble. Je faisais déjà de gros efforts pour manger avec Emmanuelle, représentante CGT, mais je partais du principe que la politique doit rester en dehors de la sphère du travail, qu’il ne fallait pas être sectaire, et surtout que le dialogue, la maïeutique, sont ce qu’il y a de plus précieux pour essayer de faire bouger les lignes.
J’avais l’idée qu’il y a une pédagogie au quotidien, un effort, une lutte discrète qui peut être menée pour les ramener à la raison, au bon sens, à l’intelligence, en plaçant une petite phrase là où il faut comme une petite graine qui germe…
Mais assez vite j’ai compris qu’avec ces gens la graine ne germerait pas.
Un jour, j’ai fait la connaissance du fils d’Emmanuelle, qui venait travailler chez nous l’été comme auxiliaire pendant ses vacances.
Autant Emmanuelle est plutôt distinguée dans son apparence, ce qui contraste largement avec la grossièreté de son engagement à la CGT, car je pense que son engagement à l’extrême-gauche est une réaction à une éducation stricte dont elle garde encore le stigmate, autant son fils est un parfait représentant du laisser-aller en vigueur chez ces gens : piercings à gogo, cheveux longs non entretenus, allure fort peu virile, il est un pur produit du gauchisme sans repère.
Une brève discussion avec lui me permit de me rendre compte qu’il ne comprenait même pas en quoi consistait le travail qu’on lui donnait, pourtant simple. Comment pouvait-il faire cette tâche à longueur de journée sans chercher à comprendre ce qu’il faisait ?
Là encore mon bon fond a pris le dessus et je me suis pris de compassion pour Emmanuelle : la pauvre, avoir un fils pareil !
Et puis il m’a semblé que peut-être que ce fils correspondait à ce que sa mère en attendait, l’absence totale de rigueur, l’absence de discipline, l’absence de « codes », l’absence de besoin de donner du sens à sa vie et plus simplement à ses actions, qu’il faisait machinalement…
Alors pour Emmanuelle, être au Rassemblement national, c’est forcément être raciste et elle ne manque jamais une occasion de manifester contre ceux qu’elle appelle « les fachos ». Les frontières devraient être grandes ouvertes et n’importe qui dans le monde devrait pouvoir s’installer en France à sa guise en profitant de tout un tas d’allocations sans travailler.
Je l’aimais bien Emmanuelle, quand même, car je me disais tout le temps qu’il y avait une incompréhension, un blocage, quelque chose d’inconscient et d’ancré dans sa personne qui la conduisait à réagir ainsi, à avoir ces convictions, et puis elle a quand même 20 ans de plus que moi, elle a plus de vécu, cela se respecte après tout…
Mais quand je vois sur les panneaux des élections européennes que les affiches du Rassemblement national, les Patriotes et de Reconquête ont été arrachées sauvagement, et que toutes les autres ont été laissées, je me dis quand même qu’Emmanuelle, cela devrait la conduire à réfléchir !
C’est donc cela, la démocratie ? Comment cela peut-il ne pas la choquer, Emmanuelle ?
Alors bien sûr, j’ai de la compassion, je conçois la souffrance de la maladie dont j’ai appris qu’elle était atteinte, un cancer qui la ronge depuis plusieurs mois. Cela me fait de la peine. Toutes ces contradictions qui font Emmanuelle ressurgissent, elles devaient la tirailler depuis longtemps, c’est le corps qui parle finalement, la maladie.
Mais en même temps, comment puis-je ne pas constater objectivement qu’une Emmanuelle en moins dans notre pays, c’est une voix en moins qui vote pour sa destruction ?
Que c’est toujours ça de pris ?
Car la patience, ça va un moment. La pédagogie, la tolérance, ça va un moment, quand en face on a des gens qui ne respectent pas le fait qu’on puisse penser autrement, avoir le droit à avoir des idées différentes sans être insultés, déshonorés, traités de « fachos », subir leurs agressions physiques et verbales ?
Emmanuelle ne peut pas ne pas savoir qu’elle fait partie de la gauchiasserie, elle ne peut pas ne pas savoir qu’elle cautionne de ce fait les outrances de cette prétendue gauche dégénérée qui nous mène droit dans le mur.
https://resistancerepublicaine.com/?s=cgt
Combien de morts à cause des engagements irresponsables d’Emmanuelle, des votes qu’elle a pu mettre dans l’urne, des manif auxquelles elle a pris part pour toujours plus de laxisme dans le domaine de la sécurité ?
Combien d’injustices, combien d’aberrations à cause de gens comme elle ?
Combien de gens qui souffrent à cause de la baisse du niveau de vie que les politiques qu’elle cautionne induisent pour nous Français ?
Combien de gens en colère aussi de voir qu’il leur est imposé de vivre sur leur territoire avec des personnes qui ostensiblement refusent de s’intégrer à la Nation ?
Alors si demain, Emmanuelle venait à ne plus être, prématurément, à cause du crabe, devrais-je m’en émouvoir ?
Est-ce être insensible, inhumain, de se dire que c’était peut-être finalement bien fait pour elle ?
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Je signale au passage , que les prénoms et les noms de famille , ne prennent jamais d’s au pluriel.
Des Brigitte, des Corinne, des Pierre, des Martin.
Simple règle de grammaire.
Je connais des Emmanuel dans ma famille.
Je ne me réjouirai pas de leur décès, puisqu’il y a un lien sentimental et familial.
Mais s’il s’agit d’inconnus CGT, eh bien, je ne me réjouirai pas non plus, par contre, il vrai qu’on peut se dire : un nuisible de moins.
C’est comme quand disparaît un polichinelle malfaisant, on arrive à se réjouir d’en être débarrassé.
On connaît tous des Emmanuelles. J’en connais même un Emmanuel qui est squatte l’Elysée. On en connait tous disais-je. Nous avons tous des Emmanuelles jusque dans nos familles. Qu’y pouvons-nous? Devons-nous souhaiter la mort même de gens que nous aimons ? Bien sûr que non. Les gens qui nous aiment souhaitent ils notre mort? Je ne suis pas certain. Pour eux nous sommes perdus et pour nous ils nous font perdre. Gardons ceux que nous aimons dans nos cœurs même s’ils sont la cause de notre malheur. Les sentiments avant les idées. Changeons les idées et pas nos sentiments. Je sais c’est compliqué. Ne cédons pas à l’inhumanité. Restons fidèles à nos valeurs. Ne nous divisons pas, nos vrais ennemis n’attendent que ça. Il n’y aura pas de guerre civile il n’y aura qu’une guerre de deux mondes civilationnels , la barbarie contre l’humanité. Emmanuelle est naïve. La naïveté est criminelle mais ne devenons pas criminels à notre tour. Qu’Emmanuelle se rétablisse. Emmanuelle c’est notre sœur, notre frère, nos parents et amis.
vous avez raison ; ce genre de » gens » ne vaut rien.
Des Emmanuelles,j en connais un paquet dans mon ministere.
D emblee,je mets les choses au point (En plus du fait que je n aime pas le tutoiement) « Oui,je suis extreme droite et alors ? » « Oui,je prefere etre facho que collabo » ou encore « Oui,je suis raciste,je deteste la race des cons ».
Deja,avec cela,les distances sont prises….Quant au fait de dejeuner avec des personnes qui gonflent avec leurs opinions islamo gauchiste, c est niet !
Bon nombre de mes collegues alors le comprennent vite.Evidemment,je suis catalogue « associable » mais c est quand meme preferable plutot que de se taper des gens qui vous insupportent.
Vous aimez mieux nos ennemis que eux nous aiment… c’est le moins qu’on puisse dire.
Si Mélenchon gagne en 2027, il aura un boulevard devant lui…
Si c’est un(e) patriote, il ne pourra jamais gouverner, ce sera le “bazar” à tous les niveaux de la société… émeutes, blocages, sabotages en tous genres…
Sur ce, je vous laisse à la contemplation de votre ciel des idées, qui existeraient éternellement indépendamment de ceux qui les portent.
le destin….
quel grand mystère
Tout le monde a le droit d’avoir des convictions. Mais quand les faits, parfois très graves, sont là – et sont répétés maintes et maintes fois – démontrant sans nul doute que leurs convictions sont complètement erronées, les gauchistes ou du moins la plupart d’entre eux font preuve d’une parfaite mauvaise foi, niant les faits en question, regardant ailleurs. Certains sont même capables d’incroyables contorsions dans leurs argumentaires, tordant et inversant complètement la réalité, zappant certains faits et allant ainsi jusqu’à culpabiliser les victimes et soutenir les agresseurs, ce qui fait d’eux des ennemis des Français, des Juifs, des blancs en général. C’est donc ainsi qu’on peut les considérer : des ennemis. Ce n’est peut-être pas suffisant pour se réjouir de leur disparition s’ils ne sont que des individus lambdas, sans pouvoir, mais suffisamment pour qu’elle nous laisse indifférents.
Article inepte. Cette Emmanuelle sera encore en état de voter demain. Ça veut dire quoi ça?
Il ne faut avoir aucune dignité pour avoir de tels propos! Les idées se combattent avec des idées et non pas par la destruction physique de ceux qui les véhiculent! Il faut convaincre, c’est le seul moyen de progresser! Car les gens meurent mais les idées restent !
Vous êtes soit naïf, soit platonicien.
Maxime, ni l’un, ni l’autre! Disons plutôt réaliste et raisonné ! Ou illuminé si vous préférez et concevez le sens profond du terme.
@Chti français. Il ne s’agit ni de combattre, ni de détruire physiquement quelqu’un. L’auteur ne tient pas ce genre de propos. Il est question d’une maladie et non pas d’une agression. L’auteur essaie de faire comprendre qu’il est tout à fait compréhensible de considérer la disparition naturelle d’une personne qui par ses mensonges et son iniquité conduit à des faits terribles, à des morts innocentes, comme un soulagement et quelque chose de positif pour la société c’est-à-dire la disparition d’un vrai danger pour cette dernière. Il faut être bien naïf pour croire que de telles personnes puissent être convaincues de leurs erreurs. Absolument rien ne peut les faire changer d’avis. Rien de ce qui peut apparaître comme dangereux à toute personne sensée ne les touche.
Face au danger de l’islamisation de la France il faut être fort.
Le « problème » des patriotes « éclairés » c’est qu’ils raisonnent là ou les autres font de l’idéologie.
Nous nous battons contre des églises. Des « fous de ».
Face à ses ennemis il faut mettre -provisoirement- sa compassion de coté.