A la pensée des crimes communistes Le cœur se soulève.
Macron s’est rendu à l’Humanité en robe de bure et la corde au cou, rencontrer la pire espèce de l’humanité. Les Cocos en rigolent encore.
Horreur et damnation ! La France vote extrême droite, une fasciste pourrait diriger la France comme aux heures les plus sombres. Les républicains d’opérette organisent des grandes messes pour exorciser la république. La dernière cérémonie arrive un peu tard, mais bien opportunément avec l’entrée d’un communiste au Panthéon.
Un peu tard ? Pourquoi 80 ans après? Manouchian est entré en résistance le 21 février 43, 16 mois avant le débarquement, comme la plupart des communistes après la rupture du pacte Molotov–Ribbentrop, non pour libérer la France, mais en solidarité avec les soviétiques.
En toutes occasions, le pouvoir et les journalistes aux ordres ne manquent pas l’occasion de rappeler que RN et FN partagent l’héritage de Vichy. Je suis consterné de voir que notre camp culpabilisé depuis 80 ans se défend mollement.
La gauche ayant beaucoup à se faire pardonner a falsifié l’histoire. Aucun journaliste ne rappelle le »bilan globalement positif » de Marchais concernant l’URSS. En signant le pacte Nazi-Communiste, les 2 régimes de terreur ont envahi et se sont partagé la Pologne en septembre 39. Les communistes assassinent d’une balle dans la tête 4500 officiers Polonais.
Voilà ce que publiait le torchon de l’époque, l’Humanité dont l’héritier en ligne directe a reçu Macron. L’Humanité du 25 août 39 titre à la « une » : « L’action de l’Union soviétique par le Pacte de non-agression avec l’Allemagne concourt à raffermir la paix générale ». Toutes les instances et organisations locales communistes, des jeunes aux municipalités rouges sont mobilisées et approuvent sans aucune réserve « la politique de fermeté et de paix menée avec clairvoyance par le grand parti bolchevique et son génial chef Joseph Staline. »
Macron a déclaré que LFI et RN ne font pas partie de l’arc républicain, tout en déclarant « Même si je ne pose pas d’équivalence entre les deux extrêmes. »
Eh bien oui parlons-en d’équivalence et d’héritage, de la gauche antisémites et résistante.
Le journaliste de minute Jean-Claude Valla a publié L’extrême droite dans la résistance où il s’attache à étudier tout un pan de faits volontairement occultés par l’histoire officielle : l’engagement massif de personnalités d’extrême droite dans la Résistance. En effet, dans la vraie vie, tout n’est pas en noir et blanc, la réalité est grise : la Résistance fut autant à la droite extrême que la Collaboration fut à gauche. Dans cette première partie, J-C Valla retrace un panorama général de ce que fut la résistance de droite. On pourrait le suspecter d’être partisan et d’arranger l’histoire, On va voir qu’il n’en est rien, https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/113287501/l-extreme-droite-dans-la-resistance-tome-1-de-jean-claude-valla-livre.html
Simon Epstein, est un historien israélien. docteur en science politique de l’université Panthéon-Sorbonne En 1974, il s’installe à Jérusalem, son champ de recherche est l’antisémitisme et le racisme2. Il a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.
Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d’une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux juifs. C’est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s’appliquant aussi à démonter l’occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l’objet dans les mémoires françaises.
L’historiographie a longtemps privilégié la thèse selon laquelle Vichy et la collaboration avaient représenté la droite tout comme la gauche était associée à la résistance. Les acquis de la recherche historienne remirent en cause cette vision des choses dans les années 1970 et 1980 mais les contingences de la lutte politicienne firent sentir leurs effets dans les années 1990. Simon Epstein décrit dans le Vichy 1940-1944de Jean-Pierre Azéma et Olivier Wieviorka une tentative pour exonérer la gauche et accabler la droite, tentative qu’il passe de nombreuses pages à analyser et réfuter. Selon Simon Epstein, ce n’est pas parmi les cohortes de l’ultradroite que l’on trouve les partisans de la collaboration dans les années 1940 mais parmi les partisans du rapprochement franco-allemand dans les années 1920 et 1930. Simon Epstein critique l’idée que « toutes les droites » entourent Philippe Pétain. En fait, autour du Maréchal, on trouve « de la même manière et en grand nombre, des anciens communistes, des anciens socialistes de toute tendance, des anciens radicaux et non des moindres ». On trouve aussi à Vichy beaucoup de dreyfusards et en beaucoup plus grand nombre que les antidreyfusards.
Dans un Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance – par Simon Epstein
Vous trouverez la longue liste de dizaines de syndicalistes, hommes politiques de la gauche communiste, socialiste et radicale, aux journalistes et intellectuels, tous passés de l’anti -racisme d’avant-guerre a la collaboration active, La majorité des députés du front populaires ont voté les pleins pouvoir a Pétain.
Non seulement certains de ces consciences de gauche ont participé à la chasse aux Juifs, mais certains ce sont même engagé dans la SS.
Pour décrédibiliser le discours de la gauche du camp du bien, vous trouverez la liste de dizaines d’hommes de l’extrême droite des années 30, qui se sont engagés dès les premières heures dans la résistance pour créer les premiers réseaux de résistance, et comment la gauche a manipulé l’histoire faisant de l’information de la désinformation.
https://www.les-crises.fr/livres-un-paradoxe-francais-antiracistes-dans-la-collaboration-antisemites-dans-la-resistance-par-simon-epstein/ 30 minutes de lecture
Le PC français qui se réclame aujourd’hui encore du parti des 75 000 fusillés n’a eu en réalité que 4000 fusillés sur 7000 pendant toute la guerre.
Empêchez, retardez, rendez inutilisables les fabrications de guerre » (Appels au sabotage du PCF pendant la guerre de 1939-1940)
Trois mois après le partage de la Pologne, le 30 novembre 1939, deux semaines après le refus du gouvernement finlandais de satisfaire ses revendications territoriales, l’Union soviétique a envahi la Finlande en invoquant un incident de frontière qui s’était produit quatre jours plus tôt et… qu’elle avait elle-même organisé.
Preuve de la collusion communo-nazie, Staline a lancé ses armées contre un pays de 3,5 millions d’habitants avec l’accord tacite de… Hitler.
A la fin du mois de décembre, se conformant à la résolution de la Société des Nations excluant l’URSS et appelant ses membres à soutenir les Finlandais, la France a pris la décision de livrer des armes au gouvernement d’Helsinki.
A la suite de cette décision, le Parti communiste, qui menait son action dans la clandestinité depuis son interdiction en septembre 1939 en raison de sa mobilisation en faveur de Paix avec l’Allemagne, s’est engagé dans la voie du défaitisme révolutionnaire en appelant au sabotage des fabrications de guerre.
Il y a eu le sabotage des moteurs d’avions aux usines Farman, à Boulogne-Billancourt, dans des conditions vraiment affreuses. […]
Il y a eu un certain nombre de sabotages dans les poudreries, notamment à la poudrerie de Sorgues, où l’ingénieur Muret les a relevés. Il y a eu des sabotages dans les casemates de la région fortifiée de Boulay, des sabotages de fusées d’obus et de balles anti-tank en pleine bataille de France. »
« Empêchez, retardez, rendez inutilisables les fabrications de guerre » (Appels au sabotage du PCF pendant la guerre de 1939-1940)
Condamnation à mort de saboteurs communiste
Il était reproché à Roger Rambaud, 17 ans et demi, ouvrier ajusteur à la SNCAC, d’avoir saboté entre février et mai 1940 des dizaines de moteurs d’avion en coupant le fil de laiton servant de frein à l’écrou maintenant le tuyau d’arrivée d’essence. Ces accusations étaient d’autant plus fondées que ce militant des Jeunesses communistes avait été arrêté alors qu’il venait de saboter dans un atelier 17 des 20 moteurs prêts à être livrés.
Jugés le 27 mai 1940 par le 3e Tribunal militaire de Paris, les frères Rambaud et les frères Lebeau ont été condamnés à la peine de mort.
Les deux autres accusés ont été condamnés à 20 ans de travaux forcés. Le lendemain, les journaux de la presse parisiennes ont annoncé
la décision du tribunal militaire à la une : « Quatre saboteurs d’avions condamnés à mort. » (Le Petit Parisien),
Le 10 juin 1940, les quatre condamnés à mort ont été transférés à la prison militaire de Bordeaux. Maurice Lebeau, 17 ans et demi, a été gracié le 18 juin 1940 par le président de la République, Albert Lebrun. Quant à Roger Rambaud, Marcel Rambaud et Léon Lebeau, ils ont été exécutés à Pessac, près de Bordeaux, le 22 juin 1940.
La mémoire communiste n’a pas retenu les noms de ces morts et pour cause…
En récompense de la revendication du sabotage des fabrications de guerre, et a la contribution des communistes à la défaite de la France et à la victoire allemande, le PCF a demandé : l’autorisation de publier l’Humanité
.http://pcf-1939-1941.blogspot.com/2013/11/les-appels-aux-sabotage-du-parti.html 45 minutes de lecture
Le cœur se soulève.
Si méprisables, menteurs et tartufes que se soient montrés les dictateurs du Kremlin, leur nouveau crime outrage plus encore la conscience humaine.
Ce sont des sentiments qui ne comptent pas pour eux, bien sûr. Quand on a fait du mensonge une pratique permanente, et de la duplicité une haute politique, on n’en est plus à regarder aux sentiments des hommes qui ont renoncé à avoir une conscience.
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le titre m’a ramenée des années en arrière ou sur un livre d’histoire un dessin des bourgeois de calais , et « tilt » j’ai vu micron et ses accolytes robe de bure corde au cou
Ce qui s’apparente en filigrane à une propagande tombe effectivement à point nommé. C’est comme cela que je l’ai ressenti.
Pensée pour nos résistants restés dans l’ombre et ainsi oubliés.
a quand un grand NUREMBERG du communisme : cette entité criminelle totalitaire, dont le paltoquet qui nous gouverne se fait l’ardent défenseur