Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudo-vaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du covid et très faible risque de la grippe).
Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».
Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut-être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !
Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.
En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbo-cancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.
En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus:
STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !
Ainsi les turbo-cancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines, laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.
Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :
Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.
Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbo-cancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?
Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm
- Des lymphomes de différents types,
- Des cancers du cerveau (surtout glioblastomes)
- Des cancers du sein surtout triples négatifs avancés (stade 3 ou 4)
- Des cancers du poumon le plus souvent stade 4 d’emblée
- Mais aussi des leucémies graves, des mélanomes stade 4, des sarcomes (stade 3 et 4), des cancers du testicule et ovaire, de progression rapide et des cancers du rein (stade 4)
La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4
Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien-portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.
Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.
Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :
Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]
Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :
Et ça continue :
Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM TV est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.
Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :
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La moisson est hélas importante autour de nous.