Au sujet de la Turquie, je tiens à faire connaître un auteur turc, Kadri Gürsel, qui est passé à l’antenne de France Inter, second invité de Nicolas Demorand, lundi 7 mars, après l’écrivain algérien Boualem Sansal, dans l’émission « Un Jour dans le Monde ».
Mon étonnement allait croissant qu’un journaliste de France Inter reçoive, coup sur coup, deux personnalités issues du Moyen Orient, dont les propos, concordants, abondaient dans le sens opposé aux discours de la pensée unique, osaient critiquer l’islam !
Ainsi, cet auteur turc a exprimé franchement ses regrets que l’Occident n’ait pas voulu tenir compte des signes, depuis au moins 2008, émanant de la Turquie, favorisant le dijhadisme. Il a courageusement osé dire qu’Erdogan est de la pire espèce (même si ce ne sont pas ses mots, j’ai oublié son vocabulaire). Mais ce dont je me souviens avec précision c’est que K. Gürsel a averti que si l’Europe s’entête dans sa politique d’immigration et de négation, surtout envers les véritables motivations de la Turquie, les états membres auraient à assumer, en plus de l’immigration syrienne et autres, celles des Turcs laïques et des Kurdes… Car Erdogan – et la Turquie islamiste – préfèrent Daesh aux Kurdes !!!
On doit pouvoir retrouver les théories de cet homme lucide dans son livre :
Turquie, année zéro, de Kadri Gürsel, Collection Le Poing sur la table, Edition du Cerf, 80 pages – févr. 2016 – Disponible 5,00€.
« Domestiquer la laïcité et les libertés en Turquie, dominer un Proche Orient abandonné aux frères musulmans : tel est le rêve de l’islamisme d’Erdogan et de l’AKP. »
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Ni sa femme n’est pas moindre Elle assure le service après vante!!!!
Voici fragment du discours de Mme Erdogan à l’occasion de 8 mars
publié dans le Journal « Adevarul »
Selon la première dame de la Turquie, le harem était une école pour la vie. Emine Edogan fait cette évaluation lors d’une intervention publique à Ankara. Nouvelles connexes Recep Tayyip Erdogan: «Elle est, avant tout, maman » « le harem était une école pour les membres de la dynastie ottomane et les établissements de formation de préparation des femmes pour la vie», a déclaré l’épouse du président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui dirige une association caritative dédiée aux femmes, selon l’AFP. Dans l’Empire ottoman, le harem se composait de courtisanes du sultan . Confidentes , favorites et esclaves sexueles, elles receavient une ‘éducation littéraire, artistique , ou pratique, mais seulement pour le plaisir du sultan, dont propriété elles étaient. Les plus habiles est devenaient des femmes influentes gagnant du pouvoir par l’intrigue décrit dans de nombreux romans et nouvelles. Comme son mari, Emine Erdogan est un pratiquant musulman et un admirateur de la grandeur de l’Empire ottoman sur les ruines duquel a émergé de la Turquie laïque. Comme prévu, sa déclaration a immédiatement suscité des critiques sur les réseaux sociaux. «Au moment de Murad III (un sultan au XVIe siècle), les seuls objets qui ne rentraient pas dans le harem étaient des livres, » il tweeté un professeur d’université. Recep Tayyip Erdogan, au pouvoir depuis 2002, est accusé par ses détracteurs de glisser vers l’autoritarisme et l’islamisation de la République Turque. Le président turc a salué Mardi 8 Mars, que «la femme est, avant tout, la mère. »
Et l’UE veut accélérer le placement des migrants. http://www.fdesouche.com/708015-lue-veut-repartir-6000-refugies-par-mois
Une véritable invasion planifiée mois par mois.