Réfutation du récit musulman par l’archéologie et les sciences modernes (Résumé 2)

Les légendes musulmanes concernant l’origine de l’islam, l’écriture du coran, le personnage de Mahomet, sont contredites par les faits réels dévoilés par les recherches scientifiques d’aujourd’hui         

L’ensemble est assez long, un vrai fascicule que vous pouvez devriez faire circuler. C’est plus que d’actualité.

A télécharger ici  Réfutation-legendes-musulmanes-RR

C’est long, mais si on résume ce… “résumé” en 5 articles pour faciliter et la compréhension et la mémorisation de l’essentiel, ça peut servir…. Bonne lecture !

Le premier résumé ici : https://resistancerepublicaine.com/2023/11/08/refutation-du-recit-musulman-par-larcheologie-et-les-sciences-modernes-resume-1/

 

  1. L’histoire est confrontée depuis quelques dizaines d’années seulement au récit coranique. Elle le contredit sur nombre de points

Jusqu’à récemment, le récit musulman (la « tradition ») était le seul à s’imposer. Pire, « les travaux universitaires traitaient de l’islam avec les mots des musulmans, comme « la Révélation », ou « le Prophète », et se gardaient bien d’attribuer un auteur au Coran. » L’islam dictait sa loi à tous, imposait son récit de l’Histoire.

Or « les traditions (le coran) ont été rassemblées et mises par écrit longtemps après les événements, en dehors de l’Arabie, par des savants qui n’avaient aucune familiarité avec ce pays ; leur transmission aurait été principalement orale et donc soumise aux aléas de la mémoire ; avec des différences et même des contradictions entre elles. Il n’est guère douteux que, pour renforcer la légitimité d’un parti ou pour servir les intérêts particuliers, dans un contexte de discordes religieuses et politiques aiguës, beaucoup ont manipulé les traditions défavorables ou en ont inventé de nouvelles. Concernant les traditions qui rapportent les faits et les gestes de Muhammad (appelées hadîths) les savants de l’islam s’accordaient dès l’origine pour en écarter comme suspecte la grande majorité. Quant aux généalogies, il valait mieux s’en méfier parce que les généalogistes avaient la réputation d’être aisément corruptibles comme le rappelait le dicton « Les généalogistes sont des menteurs ». »

 

Les archéologues (l’archéologie est une science très récente, elle ne date véritablement que du 19 è siècle) ont pu travailler tout à loisir partout (en Egypte, en Grèce, à Rome, …)  sauf dans plusieurs pays musulmans, notamment ceux du Hedjaz ! Encore aujourd’hui, les fouilles sont interdites en Arabie centrale et notamment à La Mecque, ce qui « nous prive de documents archéologiques et épigraphiques qui, à défaut d’autres textes, permettraient de connaître un peu la foi et les mœurs des Arabes d’autrefois, païens, juifs, chrétiens ou sabéens, et la répartition de leurs croyances selon les régions. ». L’accès aux villes de La Mecque et Médine sont toujours interdites aux non-musulmans.

Par ailleurs, les méthodes et techniques d’étude des textes anciens ont depuis près de deux siècles été développées et ont permis de trouver les diverses origines de l’écriture des textes bibliques, ou des textes des philosophes de l’Antiquité, ou de comprendre la chronologie des écritures des quatre Evangiles, mais ces techniques étaient restées inemployées pour ce qui concerne les textes fondateurs de l’islam. Ce retard  concernant les recherches des origines de l’islam a été rattrapé depuis peu et les mêmes méthodes employées pour tous les textes anciens ont permis de découvrir quand et comment fut écrit le coran. Et ça ne correspond pas exactement avec le récit merveilleux présenté depuis dix siècles aux fidèles et aux curieux.

 

Nous n’en sommes qu’au début des applications des sciences profanes aux textes islamiques et aux artefacts (éléments d’archéologie) et il arrive que des aventuriers ou voyageurs découvrent dans le désert d’Arabie quelque pierre sculptée portant des marques devant lesquelles ils se prennent en selfie. Lorsqu’un archéologue chanceux est mis en relation avec cette photo et qu’il peut l’utiliser dans son étude, il peut arriver à la dater. Lorsque ces marques, signes, lettres, figures, correspondent à une période préislamique ou correspondent aux 7è  et 8 è siècles, donc aux deux premiers siècles de l’islam, elles sont exploitées pour contribuer à écrire l’histoire de cette période. Puis ce document est confronté aux documents de cette même époque, comme les écrits fondateurs de l’islam. Un récit raconté dans le coran, comme celui d’une bataille, peut ainsi être confirmé comme authentique et daté précisément grâce aux méthodes scientifiques de datation du matériel trouvé. Ou il peut être infirmé si le récit ne correspond pas à la preuve trouvée et datée.

Les archéologues ont pu dater de 692 la mosaïque de la coupole de la mosquée du Dôme du Rocher à Jérusalem et de 705 l’ouverture et l’inauguration de cette mosquée. Prétendre que Mahomet s’y est rendu, même en rêve, durant l’époque de ses prédications à La Mecque, entre 610 et 622, ne peut plus être crédible aujourd’hui. Il est d’ailleurs réputé mort en 632… Le récit musulman doit désormais compter avec les résultats des fouilles archéologiques.

 

Le coran des pierres

Dans le désert de sable (erg) d’Arabie, le moindre caillou a toujours eu grande importance pour les voyageurs des siècles passés. Ils en ont fait souvent des dieux temporaires, le temps d’en trouver un nouveau plus remarquable. Ce fut le destin du morceau de météorite appelé aujourd’hui ‘’la pierre noire’’, par exemple, qui servit d’idole à un peuple nomade préislamique et qui continue à faire l’objet de la dévotion des musulmans du monde entier se rendant au pèlerinage de la Ka’aba à La Mecque.

« Si quelqu’un, au cours d’un voyage, faisait halte quelque part, il ramassait quatre pierres et en choisissait la plus belle pour en faire son dieu ; les trois autres servaient de trépied à sa marmite. A son départ, il abandonnait la pierre et il agissait de même lors d’une autre halte. »

Sur nombre de cailloux de taille importante, comme de rochers, les voyageurs de l’Antiquité et du Moyen-âge aimaient graver des signes et des textes. Ce culte des pierres s’appelle ‘’litholâtrie’’ et ces pierres cultuelles  portent le nom de ‘’bétyles’’. Elles sont très nombreuses sur le territoire des anciens Arabes.

Voici quelques-unes de ces idoles répertoriées par les archéologues : en Arabie du Nord : le dieu Wadd ; en Arabie centrale : le dieu al-Fals (une saillie rouge de forme humaine) ; en Arabie occidentale : le dieu Suwa, la déesse Manat (entre Médine et La Mecque) ; à La Mecque, à la Ka’ba : le dieu Sa’d (un long rocher), le dieu Hubal, le dieu Isaf et la déesse Na’ila (qui seraient des humains métamorphosés en rochers) ; au Nord-est de La Mecque, à Suqam, la déesse al-Uzza …

Des milliers d’inscriptions lithiques, de sculptures rupestres, de gravures de signes, parfois de textes, ont ainsi été trouvées ou ont été signalées, et participent à écrire un autre récit que celui du coran et des hadiths, une autre Histoire que celle que l’islam avait fini par imposer tout à son avantage.

’Si la parole du coran s’est faite en calligraphie arabe, si elle s’est faite voix par la psalmodie de ses  versets, elle s’est faite aussi pierre dans les steppes et les déserts de l’Arabie.’’

’L’épigraphie arabe lapidaire est une science auxiliaire de l’Histoire qui s’attache à étudier la civilisation arabo-musulmane au travers de textes gravés, incisés, ou peints à l’encre sur des supports tels que des rochers, des parois ou des murs de monuments d’époque arabe ou antique.’’ Ces documents, tous des originaux, n’ont pas été modifiés ni falsifiés ni censurés. ‘’Ils sont une source d’information précieuse sur l’histoire administrative, politique et militaire des villes et des provinces, sur l’origine et le développement des dynasties arabes ou étrangères qui régnèrent en terre d’islam ; enfin, les textes épigraphiques funéraires et les graffiti fournissent de précieuses données sur l’histoire des individus et de la société au sein de laquelle ils évoluèrent, mais aussi, plus intimement, sur leur foi et la manière dont ils l’exprimaient, sur les relations qu’ils entretenaient avec le divin et avec les Ecritures saintes.’’

’En terme de répartition géographique, c’est au Proche-Orient et sur la péninsule Arabique que l’on a découvert le plus de graffiti arabes de l’époque ancienne.’’ On en compte par milliers depuis Palmyre en Syrie jusqu’à Aqaba au sud de la Jordanie ; puis du nord au sud de l’actuelle Arabie saoudite, jusqu’au Hedjaz (région de La Mecque et Médine) et jusqu’au Yémen. ‘’Il convient cependant de noter que seul un nombre limité de graffiti a été recensé par les chercheurs (archéologues) arabes et occidentaux et que de vastes zones géographiques n’ont pas encore été prospectées d’une manière approfondie. Hors d’Arabie, des pays entiers comme la Libye, l’Egypte (en dehors du Sinaï) et l’Irak n’ont pas encore fait l’objet de programmes concertés visant à rassembler méthodiquement ces textes singuliers.’’

    Depuis les années 2000, une volonté d’ouverture scientifique (des dirigeants politiques et religieux d’Arabie Saoudite) a permis à des équipes étrangères de prospecter sur le territoire saoudien et à de nombreux textes anciens inédits d’être ainsi mis au jour.’’

 

’Les publications d’articles ou de monographies spécialisées étant peu nombreuses, les prospections de terrain étant longues et coûteuses, les spécialistes (archéologues) composent aussi avec leur siècle : à l’heure de l’Internet et des réseaux sociaux, il est maintenant possible de faire de la ‘’prospection’’ (ou plutôt de la veille) depuis son ordinateur. En effet, beaucoup d’amateurs (saoudiens essentiellement) de randonnées ou de raids automobiles dans des zones désertiques, sensibilisés aux questions en rapport avec le patrimoine archéologique de leur pays, arpentent les pistes de l’Arabie, photographient et commentent les inscriptions qu’ils débusquent, puis les mettent en partage sur Internet. Il s’agit d’un canal d’information nouveau donnant accès à de nouveaux graffiti, notamment coraniques.’’

Autour de l’an 2000, au début de ce travail d’archéologie du coran des pierres par les graffiti, environ 90 textes avaient été recensés. Dix ans après, vers 2011, on comptait 110 citations. Plus de 60% des citations proviennent de la fin de la période mecquoise ; il n’y a pratiquement aucune citation des versets des débuts de la prédication de Muhammad, du début de la période mecquoise. ‘’Il est intéressant de constater qui, selon la tradition islamique, fut le premier révélé au prophète, le verset 1 de la sourate 96, qui commence par ‘’Récite au nom de ton Seigneur qui a créé’’ (et qui a donné son nom au coran) n’a pas encore été découvert sur un rocher.’’

 

Cependant, « l’on ne connaît pas de vestiges archéologiques datant assurément du vivant de Muhammad. On a même observé que, dans l’ensemble de la péninsule Arabique, on n’avait guère de traces d’occupation humaine pendant les deux siècles précédant l’islam ».

C’est alors, prenant la suite de l’archéologue, le grammairien, le lexicographe et le spécialiste de l’étude des textes anciens, qui cherchent pourquoi le récit coranique présente un anachronisme ou un arrangement avec la réalité. Grâce à de « nouvelles découvertes textuelles, codicologiques (traitant de la science du livre), papyrologiques ou épigraphiques », «  ces recherches semblent avoir définitivement établi quelques repères méthodologiques, épistémologiques et historiques dans ces études » des sources musulmanes et non-musulmanes contemporaines du Muhammad du coran.

Ce sont ces linguistes, étymologistes, philologues et autres spécialistes des mots et des tournures des expressions écrites, qui ont réussi à démêler dans le coran les versets les plus anciens (les plus courts, placés à la fin du coran) et les derniers écrits (ayant tendance aux sermons, et placés en tête du coran) : sur les 114 sourates (ou sortes de chapitres), 86 datent de la période mecquoise (entre 610 et 622) et 28 de la période médinoise (entre 622 et 630 + de 630 à 632 à La Mecque). Ce tri des versets entre les deux périodes de la vie de Mahomet ne faisait pas partie de la tradition musulmane et son résultat n’était donc pas connu ni enseigné jusqu’à ces dernières années. Il a permis d’établir une chronologie, de relier certains versets à tel ou tel événement et de chercher pourquoi des versets contredisent d’autres, comme si Dieu pouvait se contredire sur un même sujet !

Il n’y a guère de sources manuscrites datant de l’époque de la création de l’islam : la plupart des sources manuscrites issues de la tradition savante arabo-musulmane « ont été mises par écrit à une date relativement tardive, deux siècles au moins après les événements, et dans des lieux extérieurs à l’Arabie. » De plus, « leur défait principal est qu’elles ont été triées, recomposées, remaniées et même manipulées, falsifiées, soit dans un sens apologétique, soit pour servir des intérêts particuliers, pendant les deux siècles qui ont précédé leur mise par écrit. »

La numismatique, l’étude des pièces de monnaie, présente également un grand intérêt pour l’historien. Si le Mahomet du coran était aussi célèbre et puissant que le récit coranique le décrit, son effigie a dû très tôt, dès avant même sa mort en 632, ou très rapidement, figurer sur les pièces de monnaie de son groupe. Mais les numismates sont toujours à la recherche de telles preuves datant du 7 è siècle. Les seules pièces de monnaie évoquant le prophète sont bien tardives… Voir l’article éclairant de Jean-Paul Saint-Marc ; https://resistancerepublicaine.com/2023/04/27/le-mythe-de-mahomet-prophete-la-preuve-par-la-numismatique/

« On a remarqué que le nom de Muhammad n’apparaissait pas dans les documents islamiques les plus anciens (inscriptions monumentales et rupestres, papyrus et monnaies) et que ses premières attestations remontaient à l’année 66 de l’Hégire (en 687), soit 55 ans après sa mort. Les premières mentions de Muhammad se trouvent sur des monnaies datées de 685-686 : il s’agit de monnaies de type arabo-sassanide frappées à Bishâpû par Abd al Malik, sur lesquelles on lit la légende « bi-sm Allah Muhammad rasûl Allah (Au nom d’Allah, Muhammad est l’envoyé d’Allah) ».

 

C’est ainsi, grâce à la conjonction, la confrontation et l’ensemble de ces découvertes récentes, que les historiens ont pu écrire depuis peu l’histoire de la région dont le Hedjaz faisait partie. C’était le royaume du Himyar, qui eut son apogée au premier siècle de notre ère, donc 6 siècles avant l’islam, et dont les capitales furent Zafar et Sanaa. Après 390, ce royaume fut administré par des rois convertis au judaïsme et, par intermittence, au christianisme. Le concept de monothéisme était donc présent à La Mecque bien avant la création de l’islam, et les textes hébreux et chrétiens largement connus des Bédouins. Ce qui explique pourquoi le coran fait constamment référence aux écrits juifs et chrétiens et aux ‘’gens du Livre’’.  Et cette découverte historique contredit l’apologétique (la propagande si l’on veut parler plus crûment) musulmane prétendant que Mahomet et le coran  ont créé le monothéisme en terre d’islam. Les archéologues ont recensé actuellement (en 2023) six inscriptions mentionnant Abraha ; en 1950 on n’en connaissait qu’une seule, et quatre en 2000.

« Le fait que La Mecque et Médine appartenaient probablement à un empire juif, puis chrétien, qui favorisait et facilitait les circulations et les échanges, n’est pas sans conséquence quand on étudie la diffusion des religions monothéistes, les orientations dogmatiques ou les emprunts lexicaux. » Pour le dire autrement, ce n’est pas Allah qui, en dictant le coran, a apporté les modifications en Arabie, tel que les musulmans en présentent le récit, mais ce sont les civilisations juives et chrétiennes qui ont permis aux Arabes de construire à leur tour une puissance capable de s’imposer.

______

 

Nous avons donc, maintenant, un arsenal archéologique, linguistique, historique, suffisamment conséquent pour contredire le récit traditionnel musulman que les prédicateurs et propagandistes de l’islam utilisent encore de nos jours pour présenter comme divines les origines de l’islam, comme miraculeux le contexte et la période de la rédaction du coran, et comme faisant partie des célèbres prophètes bibliques, Jésus inclus, le personnage appelé Muhammad.

Nous en savons donc suffisamment aujourd’hui pour dynamiter l’islam, ses légendes, son histoire, ses mensonges, et confondre ses propagandistes pour faux en écritures.

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20 Comments

  1. Les scientifiques démontent les allégations mensongères des MUZZ sur l’islam et ses origines, car il faut être clair ! L’islam a des incohérences au niveau théologique mais son origine est tout autre et les scientifiques font leur d’archéologues et d’histoire sur la pire religion satanique de tous les temps !

  2. ayé !!!

    on est repartis pour un tour 😢

    « Joe Biden aurait négocié une « pause » sérieuse de 4 heures avec Israël, pour chacune d’entre elles, il y aura une notification 3 heures avant »

    je rêve d un ou deux petits cèpes pour l omelette definitive

  3. Tourner autour d’une météorite dénote une crédulité sans faille et ça s’appelle de l’idolatrie.

    • C’est vraiment drôle comme histoire débordante d’imagination, témoignant d’une vaste culture et très bien écrite. Votre héros a été élu sur un programme axé sur la sécurité et les électeurs lui ont donné carte blanche : comme quoi il faut toujours se méfier ! On attendra donc encore un peu avant d’élire président un mahométan du même gabarit ! Merci et félicitations !

    • Bonjour Anne, avec bien trop de retard je découvre sur Wikipedia votre bio : impressionnante et fantastique ! Je comprends, avec cet énorme bagage du vécu (au Congo, au Pakistan, en Inde, etc. , alpiniste confirmée, etc.) avec vos talents et votre intelligence, pourquoi vos interventions sortent de l’ordinaire ! L’auteur de votre bio sur Wiki n’a pas pu s’empêcher de vous classer à « l’extrême-droite » ! Bof ! Si ça les arrange ! En tout cas, félicitations pour l’ensemble de votre vie.

  4. Des fouilles ont eu lieu à La Mecque, sous le contrôle des Saoudiens cela s’entend.
    Elles se sont déroulées lors des travaux de modernisation de La Mecque. Logique, La Mecque est une autre sorte d’industrie lucrative pour le royaume, il y a tout intérêt à y investir.
    Le résultat, SILENCE… on se doute que si le site avait révélé un long passé avant Momo, cela aurait été claironné par tous les muezzins ! Bien sûr, pressés par les travaux, les archéologues n’ont pas été à la fête… On fait des tranchées surtout pour datation…
    Mais cela ne pouvait que fuiter : rien avant la moitié du IXème siècle !!!
    La « La Mecque » décrite par le coran a en toute probabilité été Pétra, abandonnée vers le 8ème siècle (mais déjà en perte de notoriété un peu avant) suite à plusieurs tremblements de terre, qui semblent avoir cessé depuis plusieurs siècles.
    Un site web précise les fouilles, certes d’influence chrétienne, mais fondé :
    https://jesusoumohamed.com/2017/09/14/le-silence-des-fouilles-de-la-mecque/
    Près de La Mecque, aurait été trouvé une tombe préislamique, une tombe isolée d’un bédouin, pas une nécropole !
    La Mecque aurait été un centre commercial et caravanier, donc des routes devaient y converger… Traces de ces routes ? Vestiges ?

    Dire que l’archéologie ne se développe pas en Arabie, n’est pas la réalité, ce sont surtout les lieux prétendus saints qui ne sont pas mis à la disposition totale des archéologues, comme formulé .
    D’ailleurs, les arabes pensent à l’après pétrole -qui n’est pourtant pas prêt de s’achever- l’archéologie avec ses découvertes est un moyen de développer le tourisme…
    On peut voir que les sites archéologiques et historiques arabiques ne sont guère indicateurs de quoi que ce soit sur l’origine de l’islam :
    https://generationvoyage.fr/sites-archeologiques-arabie-saoudite/

    • bonsoir jean-paul

      Charles Doughty en parle, et en effet comme de trés vagues traces (alignements de roches,sources disparues,espèces de caîrns,)

    • Et notre Le Drian est chargé , moyennant espèces très sonnantes, d’aller développer ce tourisme.

    • Oui, en effet, j’ai lu que La Mecque n’existait tout simplement pas à l’époque du mythique Mahomet !…

  5. Bravo ! Et merci. Nous sommes nombreux à avoir compris que la « science » procède de telle manière pour avancer. Scrutant tous les indices possibles. La technologie actuelle permet de remonter dans le temps et de faire parles des éléments factuels. C’est fastidieux à suivre, mais les personnes qu procèdent à ces démarches, ces recherches semblent pour la plupart être des passionnées. je pense qu’ils ne doivent pas s’ennuyer facilement en vivant de telles vocations. Encore merci !

  6. Je suis parti à la recherche de la vérité dans l’obscurité de l’islam à l’aide de la lanterne de la connaissance, je ne l’ai trouvée nulle part. Citation personnelle.

      • Elle était vieille fille, elle s’est rabattue sur le premier venu. Elle est restée célibataire ensuite.

  7. Depuis cinquante ans, le temps passe, j’ai toujours dit, en termes plus simples, eh oui je suis un simplet, que la religion musulmane avait été créée de toutes pièces pour faire concurrence aux deux grandes religions monothéistes de l’époque, à savoir la Juive et la Chrétienne. Cela m’a valu beaucoup d’emm. vu qu’il y a un oncle par alliance musulman dans la famille. Il s’est marié civilement vu que ma tante n’a pas voulu se convertir. Un type intolérant . Il a tenté de me convertir. Pas de chance pour lui, je détestais déjà cette secte. Je ne l’ ai pas revu depuis au moins vingt -cinq ans. S’il lit votre texte, il va en avaler de travers sa semoule du petit déjeuner. NB ils ont divorcé il y a dix-huit ans de cela. La tante ne le supportait plus car il devenait de plus en plus intolérant. Il me semble qu’il est reparti au Maroc.

  8. Mais quels sites archéologiques ??? Ce ne sont que des trous comme comblés de pierres et gros cailloux ayant servi aux innombrables lapidations d’hommes et surtout de femmes,

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