J’étais au milieu des manifestants de gauche de Saint-Brevin. Quel bide ! C’était bien la peine ! Tout cela pour ça ! Deux mois après l’incendie de la maison du maire de Saint-Brevin (dont on ignore toujours qui sont les incendiaires), quinze jours après la démission du maire à migrants Yannick Morez, suivie d’une gigantesque manipulation imputant à la prétendue extrême droite les violences subies par l’élu, on attendait des dizaines de milliers de manifestants dans la ville.
C’est que rien n’avait été laissé au hasard. Le maire avait été reçu par Elisabeth Borne et par la commission des lois du Sénat. Il avait pleurniché parce qu’il n’aurait pas été protégé par l’Etat. Il avait bien sûr, en bon maire divers droite collabo, accusé l’extrême droite d’être la cause de tous ses malheurs, et accusé carrément le préfet d’avoir autorisé les manifestations des riverains du collectif de préservation de la Pierre Attelée, accusé de connivence avec l’ultra-droite, rien de moins.
Toute la gauche politique, syndicale et associative était mobilisée, les appels se multipliaient, il fallait défendre la République contre le fascisme, rien de moins! La pression était telle que le Rassemblement national et Reconquête avaient pris leurs distances avec le combat de Saint-Nazaire, ce qui n’empêchait pas la gauche et les médias de les accuser d’avoir provoqué l’incendie de la maison du pauvre maire à migrants, qui, traumatisé, allait quitter la France et faire le tour du monde en bateau.
Tout était donc prêt pour un ras-de-marée républicain à Saint-Brevin. La gauche annonçait la présence de Fabien Roussel, le grand chef du PCF, d’Olivier Faure, le secrétaire de ce qu’il reste du PS, et Marine Tondelier, que des mauvaises langues présentent comme l’enfant de Sandrine Rousseau et de Bécassine, par ailleurs nouvelle cheftaine des Verts. On attendait avec impatience de savoir si le Guide Suprême Jean-Luc Mélenchon allait faire le voyage, et finalement, il le fit. Le matin du grand jour, les immigrationnistes d’Utopia accusèrent l’extrême droite d’avoir attaqué une de leurs boutiques, à Tours. Et bien sûr accusèrent Darmanin d’être complice par sa passivité. Manque de chance, le dangereux fasciste se révéla être un clandestin marocain. La journée commençait mal !
On envoya donc Johanna Rolland, la grande prêtresse de la manifestation, le maire de Nantes qui voulait que Saint-Brevin ressemble à ce qu’elle avait fait de sa ville, la brillante directrice de campagne d’Anne Hidalgo et ses 1,75 % à la dernière présidentielle. Et la malheureuse élue de rappeler qu’elle aussi avait eu sa voiture brûlée il y a cinq ans, laissant entendre, bien sûr, que c’était un coup de l’extrême droite, alors que…
Bref, tout était prêt pour le grand sursaut républicain, comme ils disent. Certes, les militants de l’Action française avaient osé gâché la fête, en faisant un collage de masse, la nuit précédente, sur Saint-Brevin. Mais les vaillants antifas, appelés au secours, avaient arraché les affiches sacrilèges et stickés toute la journée, pour que les masses de la ville comprennent le bon message. Tous les commerçants avaient fermé boutique, ce qui confirme qu’ils ont compris, eux, que le danger ne vient pas des manifestations des patriotes, mais bien de la gauche et des prétendus antifas.
Mais les choses commencèrent alors à se compliquer. Alors que tout le monde espérait le maire Morez présent à la grande manifestation contre la haine, celui-ci, dans un éclair de lucidité, se rendit compte qu’il se faisait un tout petit peu manipuler, et donc décida de bouder, et de faire une prise de parole à la mairie, à 18 heures, mais sans manifester. Cela commençait à faire désordre. La gauche, histoire d’occuper le terrain, accusa la droite d’être absente. Mais difficile, pour les LR, qu’on ne vit pas par ailleurs aux manifestations des opposants au Cada, de s’afficher avec la gauche au lendemain d’une grande annonce sur leur plan anti-immigration. Cela aurait fait désordre.
Donc, malgré tous ces ratés, on attendait les masses, massivement présentes à Saint-Brevin. Et cela fut le fiasco du siècle ! Même la propagande de l’AFP, reprise naturellement par tous les journalistes, ne parla que de 1000 à 2000 personnes pour soutenir la vaillant maire de droite à migrants. Les gendarmes, mais aussi des Brevinois présents, annoncèrent le chiffre de 1300 participants. Le bide total !
Affolés, les propagandistes essayèrent de parler de plusieurs milliers dans leurs titres, mais personne n’osa parler de plus de 3000 manifestants. Les vieux renards Roussel et Mélenchon, présents, mais conscients du fiasco, se planquèrent, et évitèrent de se faire prendre en photo, contrairement aux nunuches écolos et socialauds.
La gauche, pour ne paraître ridicule, décida de rejoindre la place de la Mairie, et d’être présente quand Morez prit la parole. Un orateur catastrophique, par ailleurs, qui ne leva pas les masses. Le public, composé majoritairement de vieilles barbes retraités de l’Education nationale et des professionnels permanents de la politique payés par nos sous, essaya de mettre de l’ambiance en applaudissant longuement le maire à migrants. Mais l’ambiance n’était pas là, peu de cris hostiles aux “fachos”, et même pas de vitrines cassées et de voitures brûlées !
Bref, un rassemblement appelé par vingt partis politiques, associations et syndicats, soutenu par l’ensemble des médias, appuyé par le gouvernement, pour lutter contre la prétendue extrême droite, cela fait à peine 2.000 personnes !
Tout cela pour ça. Le bide total, le fiasco du siècle ! Du temps de Mitterrand, la gauche savait au moins réussir des coups, comme celui de Carpentras, ou celui du maghrébin jeté dans la Seine un 1er mai, lors d’une manifestation du FN. Trente ans plus tard, alors qu’ils ont toutes les cartes en main, ils ne sont même pas capables de réussir à capitaliser l’énorme manipulation de Saint-Brevin, où, rappelons-le, les coupables de l’incendie des voitures et de la maison du maire ne sont toujours pas identifiés.
C’est dire l’état de décomposition de la gauche, et son décalage total avec le vrai peuple. Outre que ce sont des traitres, ce sont, en sus, des incapables et des tocards.
Rose Martin
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Se pourrait-il que le populo comprenne qu’on le manipule ??
Se pourrait-il qu’il entraperçoive qu’on le dépouille de tout pour les envahisseurs choisis par Bruxelles ?
Non, pas de raz-de-marée, surtout après la décision de Bruxelles de démolir 30% de la flotte de pêche bretonne.
et ça continue ! vu sur CNews à 13 h , un maire divers droite dans les Yvelines, M Dainville dire toute la difficulté qu’il a avec l’immigration dans sa ville et en générale ..il faut l’écouter ! Je trouvais que bizarrement son intervention donnait la réplique à ce maire de Saint Brévin et la polémique qu’il a organisée en partie, en remettant les pendules à l’heure ! jouissif !
Je rigole !! la gauche qui soutient un maire de droite ! là je trouve que c’est jouissif ! je comprend que le maire se soit caché !! Un élu de droite, interviewé dans les médias a bien dit que la droite n’avait rien à faire là , donc désavoue le maire de droite, en ajoutant qu’il n’était pas question de soutenir les extrèmes !! donc notre gauche est « extrême « ! et le maire aussi ! je ne sais pas vous, mais personne n’y retrouve ses petits !
Cette manifestation de soutien à l’ex maire de Saint Brevin Yannick Morez est un fiasco complet car les Gauchistes d’extrême gauche utilisent leur dernière cartouche pour Diaboliser les Patriotes et faire de la pleurniche pour dénoncer la prétendue extrême droite qui n’existe pas d’ailleurs comme étant violent et haïssable mais c’est un flop parce que l’islamo Gauchiste Olivier Faure et sa bande défendent les minorités ethniques par rapport aux Français les plus modestes, que la théorie Terra Nova est une idéologie qui s’est retourner contre eux avec les mensonges qui vont avec et puis les Français ne sont pas dupes aux manigances d’une Gauche en totale déliquescence. Les Gauchistes vont se rendre compte que les migrants qu’ils soutiennent sont des tueurs et que même l’Agence Française de Propagande qui est toujours aux premières loges pour dénoncer le fantasme de la prétendue extrême droite vont eux aussi se rendre compte ce constat.
Ils devaient être cent mille et ne furent que 1300 en arrivant à bon port.