Mayotte, vitrine du naufrage identitaire et de l’anarchie qui détruisent la France
À peine commencée, l’opération Wuambushu à Mayotte, orchestrée par la place Beauvau pour redorer le blason de l’exécutif chahuté de tous côtés, est déjà un fiasco monumental.
Non seulement le gouvernement comorien refuse de reprendre ses ressortissants expulsés par la France, mais les juges de Mamoudzou interdisent le démantèlement d’un bidonville. Comme dit Zemmour, ce sont les juges qui détiennent le pouvoir.
Autant dire que cette opération-propagande, censée expulser 10 000 clandestins sur les 150 000 étrangers qui vivent sur l’île, n’a pas été préparée en amont. Un monument d’amateurisme qui ridiculise un peu plus Darmanin. Plus il veut peaufiner son image de présidentiable en s’affirmant sur le domaine régalien, plus il échoue. Cette culture de l’échec est pathétique.
Mayotte, ce confetti de notre ex-empire, symbolise à lui seul le déclin irréversible de notre France millénaire, condamnée à disparaître sous les coups incessants de l’idéologie mondialiste et des minorités agissantes, qui détournent tous nos principes humanistes, à commencer par le droit d’asile ou le droit du sol. On dépèce la bête avec d’autant plus de facilité qu’il n’y a plus d’État depuis une trentaine d’années.
La France appartient à tout le monde, comme chacun sait. Paradis du tout gratuit qui n’expulse jamais. Pas moins de 29 lois sur l’immigration depuis 1980 nous ont menés où nous en sommes. C’est dire combien le sens de l’État et du bien commun a totalement disparu chez nos élites.
Quand Macron prétend maîtriser l’immigration, il accorde en même temps 320 000 visas longue durée en 2022, contre 270 000 en 2021. C’est tout dire.
Tout ce qu’il ne fallait pas faire a été fait à Mayotte, île de l’Océan Indien qui attire tous les clandestins de la planète, tant le pouvoir élyséen y affiche son impuissance et sa démission depuis des décennies.
La première erreur date de 1975, quand les 4 îles de l’archipel comorien votèrent pour obtenir leur indépendance. Au lieu de privilégier un vote global pour l’ensemble de l’archipel, Paris fit le choix stupide de dissocier le référendum en 4 votes séparés. Résultat, 3 îles votèrent pour l’indépendance et Mayotte choisit de rester française. Un verdict toujours contesté par les Comores et par l’ONU.
La seconde erreur, ahurissante, fut de faire de ce bout de territoire pauvre et assisté à 100 %, musulman à 95 % qui plus est, le 101e département français ! Voilà où mènent les misérables petits calculs électoralistes de nos élus, toujours prêts à saborder la France pour grappiller quelques voix.
Ce morceau de France de 300 000 habitants, dont 50 % de clandestins, est devenu un boulet économique et social, plombant un peu plus nos finances déjà exsangues.
L’immigration sauvage venue des Comores et d’Afrique, totalement incontrôlée, fait qu’un Mahorais sur deux vit dans un bidonville, sans eau ni électricité. Le taux de pauvreté atteint 70 %.
La délinquance y est trois fois supérieure à celle de métropole, Mayotte étant devenue le département le plus dangereux de France. Immigration, bidonvilles et délinquance, tel est le triple cancer qui ronge Mayotte depuis des lustres. Une quarantaine de bandes criminelles organisées font la loi. Mais comme toujours, c’est quand le cancer est devenu incurable que l’État feint de réagir.
Les deux tiers des femmes qui accouchent à Mayotte sont en situation irrégulière. Que fait l’État ? Rien. Paris refuse de supprimer le droit du sol. En durcir les conditions ne sert à rien. Il faut le supprimer totalement, y compris en métropole.
En effet, on assiste à une explosion des fausses déclarations de paternité. Pour contourner le durcissement du droit du sol, les Comoriennes n’hésitent pas à payer un Mahorais français pour qu’il se déclare père de leur enfant. Etre père de 50 enfants n’a rien d’exceptionnel.
Ce ne sont pas les quelques centaines de policiers et gendarmes arrivés en renfort qui vont assainir la situation dramatique de l’île. Avec 50 % de clandestins, inexpulsables pour la plupart, Mayotte est le symbole du naufrage de la France, pays en perdition qui refuse de voir qu’il roule vers l’abîme.
Si les élites refusent de stopper l’immigration, je ne donne pas 20 ans à la France avant de sombrer dans un chaos indescriptible, comme à Mayotte. Les Français feraient bien de méditer ce que disait Gérard Collomb en quittant la place Beauvau. Flic le mieux renseigné de France, il connaissait mieux que personne la gravité du danger.
” Aujourd’hui, on vit côte à côte, je crains que demain on vive face à face”
Mais en attendant, tout s’effondre dans l’indifférence générale, l’école, la santé, les transports, la justice et l’armée, paupérisée comme jamais et incapable de mener une guerre de haute intensité.
Jacques Guillemain
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Aujourd’hui, TVMacron a annoncé fièrement avoir arrêté un des meneurs des émeutes !
On avance, on avance, 1800 policiers et militaires déplacés et une arrestation sur les 10 000 clandestins à évacuer !
voilà qui a du bon !!
La France se laisse humilier par le tout petit archipel des Comores ! ha ha ha !
Et le fiérot darmalin , ministre national , obéit au petit juge administratif de Mamoudzou !! ha ha ha !
Excellent article- comme d’hab..- merci Jacques! Si nous ne réformons pas drastiquement notre législation sur l’immigration nous disparaîtrons très rapidement. Cela fait des années que nous l’écrivons ici et que nous militons en ce sens. Ce n’est pas du racisme! Notre pays est devenu la putain du monde entier au détriment des français! Et nos « gouvernants » qui ont passé des années à faire l’ENA, Science Po etc…ne voient toujours pas ce qui se passe? C’est honteux! IL FAUT LES VIRER!
auparavent cette contrée était gérée par la France
Le droit du sol nous condamne à accepter dans notre société un trop grand nombre de futurs conquérants. Ils détruiront ce que nous avons bâti. Ils remplaceront notre identité et notre civilisation par le chaos. Annulation de ce droit du sol dans ces départements ne méritant pas ce droit.
Mayotte c’est le bordel migratoire avec les migrants Comoriens qui viennent sur l’île pour voler, tuer et violer les Mahorais et Mahoraises sans oublier qu’Azeli Assoumani le Erdogan Comorien envoie ses compatriotes Comoriens emmerder les Mahorais par pur vengeance suite au fait que Mayotte a fait le choix de rester Français alors que les Comores avaient opter pour l’indépendance ce qui traduit une Taqiya à la Comorienne. La déclaration de Me Youssouffa députée de Mayotte sur les ondes de Radio Courtoisie illustre parfaitement la situation. L’important c’est d’arrêter l’immigration de masse malgré le chantage des immigrationistes forcenés d’extrême gauche !
Tant mieux si c’est la guerre civile à Mayotte, dont je me fiche totalement. Cela ouvrira peut-être les yeux des Français sur les dangers de l’immigration.