On vous le disait il y a quelques jours, on va vous faire payer cher le luxe d’exister… sous prétexte de prétendu réchauffement climatique, sous prétexte d’écologie… les mondialistes ont trouvé la solution pour nous faire marcher droit et imposer leur doxa.
L’UE est donc en train de nous concocter le pass carbone, alias le crédit social à la chinoise. Le Giec complice de cette gigantesque entourloupe. Encore plus fort que la manipulation Covid ç
Dès 2027 on devrait payer quelques centaines d’euros supplémentaires pour avoir le droit… d’exister. Traduisez de manger, de nous déplacer, de nous habiller, de travailler…
Les ménages paieront un prix du carbone sur le carburant et le chauffage à partir de 2027, mais le texte prévoit de le plafonner à 45 euros par tonne, au moins jusqu’en 2030,
Voir ici :
Alors, forcément, ils bossent à fond sur la communication. Des députés macroniens et BFM à la manoeuvre pour nous faire découvrir/accepter/désirer… cet esclavage et cette limitation abominable de nos libertés. Cela n’étonnera aucun lecteur de RR.
Et des videos montage nous faisant voyager dans le temps. Nous sommes en 2050…
Tout cela vient de BFM, le caniche à Macron.
Et si, dans un futur proche, vous ne payiez pas seulement en euros? Lors de votre passage en caisse, en plus du prix affiché, le coût écologique de votre achat serait décompté de votre compte, avec une limite à ne pas dépasser dans l’année. Objectif: réduire notre empreinte environnementale, pour parvenir à nos objectifs de réduction des gaz à effet de serre et limiter l’ampleur du réchauffement climatique dans les décennies à venir.
L’idée de ce « permis carbone », au cœur du scénario du docu-fiction « 2050: ouvrons les yeux » diffusé ce lundi soir sur BFMTV, n’est pas nouvelle: un tel système avait été pensé par des chercheurs anglo-saxons dès les années 1990. Mais face à l’urgence climatique, le concept se diffuse: des économistes, des militants écologistes, des ONG et même des élus proposent désormais mettre en place ce « quota carbone individuel » ou « compte carbone ».
« Il faut atteindre la neutralité carbone et il n’y a pas plein de façons d’y arriver », estime ainsi Jean-Marie Fiévet, député Renaissance des Deux-Sèvres.
Une carte de crédit carbone?
Cet élu défend le principe d’un « compte carbone », qui permettrait « d’y arriver à la fois collectivement et individuellement ». Si un tel système était mis en place, chaque individu serait alors doté d’un quota d’équivalent CO2 à ne pas dépasser sur une année. Tous les ans, ce quota diminuerait, afin de nous inciter à consommer différemment et ainsi réduire collectivement et progressivement nos émissions de gaz à effet de serre.
Concrètement, le dispositif pourrait se matérialiser sous la forme d’une sorte de carte bancaire qui totaliserait votre stock de CO2 restant, à présenter à chaque achat afin d’en retirer le « prix carbone » du produit. En 2019, une start-up suédoise avait ainsi imaginé avec Mastercard une carte de crédit qui calculait l’empreinte carbone de chaque achat et informait le consommateur, pouvant même « bloquer » les dépenses dès un « maximum de carbone » atteint.
Chaque achat diminuerait notre quota disponible en fonction de son coût écologique, lié notamment à sa production ou à son transport, une sorte de « nutri-score » du carbone. L’idée est notamment de faire prendre conscience que de consommer une banane venant d’Amérique du Sud ou une poire cultivée à quelques kilomètres n’a pas le même impact carbone.
Évidemment, encore faut-il pourquoi fournir un étiquetage carbone fiable sur tout ce qui est mis en vente. La loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à l’économie circulaire, votée en 2020, prévoit déjà la conception et la mise en place d’un système d’affichage environnemental sur les produits alimentaires. Une expérimentation a d’ailleurs vu naître l’éco-score, un premier indicateur de l’impact environnemental des produits alimentaires.
L’éco-score, un indicateur de l’impact environnemental des produits alimentaires. © ECO-SCORE
La loi Climat et résilience de 2021 prévoit également une nouvelle expérimentation de l’affichage environnemental, notamment dans le secteur des textiles d’habillement et des chaussures.
« L’objectif des quotas est d’amener les consommateurs à choisir les produits et modes de production ayant l’empreinte écologique la plus faible possible », explique l’ancien haut fonctionnaire Pierre Calame, défenseur du dispositif.
« Or, les écarts, pour un produit donné, sont considérables: pour la viande selon le mode d’élevage, pour les produits métaliques selon le taux de recyclage… », a-t-il détaillé lors des Assises européennes de la transition énergétique, à Genève.
L’idée est de lancer une « prise de conscience par l’étiquetage », abonde Jean-Marie Fiévet. Exemple sur la viande: un kilogramme de boeuf équivaut à une émission de 27 kg de CO2, contre 39 kg pour de l’agneau. Bien loin devant le porc (12,1 kg), la dinde (10,9 kg) ou le poulet (6,9 kg), selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Autre exemple: du bœuf produit en Europe de l’Ouest a une empreinte carbone en moyenne 4 fois inférieure à celle d’un bœuf produit en Asie du Sud ou en Amérique latine, toujours selon la FAO. Les vaches élevées sur des pâturages naturels émettent moins de gaz à effet de serre que les bovins élevés sur des terres déboisées.
En influençant les choix des consommateurs, les partisans du quota carbone individuel estiment que le dispositif aura très vite des répercussions sur les industries. « Cela va créer de nouvelles conditions de concurrence entre les entreprises d’un même secteur au profit des mieux-disants environnementaux », juge Pierre Calame.
Un cercle vertueux?
Pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, les experts estiment que l’empreinte carbone d’un Français ne devrait pas dépasser l’équivalent de 2 tonnes de CO2 par an. Elle est aujourd’hui estimée en moyenne à 9 tonnes, selon les dernières données pré-Covid du ministère de la Transition énergétique. Mais beaucoup de ménages, en particulier les plus modestes, sont bien en deça de ce seuil.
Le dispositif nécessite donc une forme de « flexibilité », « il faut être réaliste », estime le militant climat Côme Girschig. Pour apporter cette souplesse, les défenseurs du quota carbone individuel mettent en avant un système d’échange: une personne souhaitant dépasser son quota carbone alloué se verrait obligée d’acheter des quotas supplémentaires sur un marché, auprès d’une personne au mode de vie plus écoresponsable.
« L’objectif est de parvenir au bien commun tout en imposant à chaque citoyen le moins de contraintes possibles », assure Pierre Calame. « Le but, c’est la réduction annuelle des émissions, pas d’imposer que tous fassent les mêmes choix de vie. »
Dépassant le simple principe de « pollueur-payeur », le dispositif permettrait une redistribution entre les individus, au profit de ceux qui émettent moins que leur quota annuel. « L’objectif est donc double: apaiser la colère sociale et atteindre la neutralité carbone », précise Côme Girschig.
Autoriser les citoyens à échanger les excédents de carbone permettrait également de pallier le problème des « inégalités horizontales ». Zone rurale ou zone urbaine, région chaude ou région froide… Car même avec des revenus similaires, l’empreinte écologique de deux ménages peut considérablement varier selon leurs conditions de vie.
« Ça pousse tout le monde à baisser son empreinte: ceux qui consomment peu pour vendre et ceux qui consomment beaucoup pour payer moins cher », résume Jean-Marie Fiévet.
« Problème radical, solution radicale »
Reste à convaincre au-delà des cercles militants. Côme Girschig « n’est pas sûr du tout » que ce système de quota carbone individuel soit accepté par l’opinion. « L’absence de limite à la consommation est très ancrée », explique-t-il. Si le principe d’un étiquetage carbone a par exemple été défendu par les membres de la Convention citoyenne pour le climat, ces derniers ont indiqué ne pas vouloir « contraindre le consommateur dans ses choix ».
Mais « à problème radical, solution radicale », estime Pierre Calame. « Ce n’est pas la solution qui est radicale, c’est le problème lui-même. »
Pour l’heure, Jean-Marie Fiévet est l’un des rares élus à en faire la promotion. « J’en parle beaucoup aux collègues, aux élus mais les gens ont du mal à voir la finalité, ils se disent que ça va être compliqué », déplore le député Renaissance.
Coup de tonnerre sur BFMTV : Après le Pass Vaccinal, le Pass Carbone sera mis en place !
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Ils confondent , à dessein, climatologie et météorologie et ce n’est pas l’ineducation nationale qui va donner un esprit scientifique aux élèves. Parents, il y a du boulot à la maison.
Plus de vols intérieurs ?
Vivement qu’un grand froid s’abatte sur leurs gueules de tarés et frigorifie nos régions.
Cela relancera le nucléaire et le carburant pétrole.
dès le départ de cette imposture climatique on prévoyait les débordements et outrances : bientôt on paiera également l’air qu’on respire selon notre capacité respiratoire alliée au poids et à la taille de l’individu – gare à celui qui ne rentrera pas dans les clous, il sera privé de respirer, donc privé d’air – redisons qu’il faut combatte ces hystériques climatiques en se rassemblant au sein d’associations climato réalistes qui combattent les dogmes du GIEC entre autres
Mais ils vont nous pourrir la vie longtemps comme ça
Ben oui ,nous avons deux choix: tant que les peuples les laisseront faire ,ils continueront à nous pourrir la vie , pourtant tout le monde connait la solution , après nous avons le choix continuer à obéir comme de bons gros toutous le doigt sur la couture où nous nous mettons en branle et cravatons toutes ces pourritures de corrompus et ont les annihilent .
On rappelle à QUOI SERT le dioxyde de carbone (= CO2 = deux atomes d’oxygène et un atome de carbone) autrefois appelé d’un nom bien plus parlant : le gaz carbonique. Le gaz carbonique, donc, EST LA NOURRITURE DES ARBRES ET DES PLANTES. la végétation, sous l’effet de l’énergie solaire (lumière) ABSORBE le co2, le TRANSFORME en carbone, qui lui sert à grandir, un arbre étant majoritairement constitué de « carbone de bois » mieux connu sous le nom commun de « charbon de bois » ET REJETTE L’OXYGENE dans l’atmosphère, ce qui NOUS PERMET DE RESPIRER ! Cette réaction chimique s’appelle la photosynthèse. Supprimez le co2 de l’atmosphère et vous tuez toutes les plantes et vous asphyxiez tous les animaux, y compris les humains. Augmenter le co2 c’est nourrir les plantes et augmenter l’oxygène, pas réchauffer la planète. On peut mesurer avec ces simples notions de biologie à quels points nous, occidentaux, sommes devenus… complètement cons !
Dans le même genre d’idées, on devrait avoir un bonus si on ne fait pas d’enfants. Et un malus si on en fait trop, surtout des bouffeurs de mouton…
Moi je ne vois pas de problème à ce système, si on peut augmenter son quota carbone librement.
Par exemple, un bon moyen serait de bénéficier d’un bonus (80% de son quota par exemple) si on « élimine » des émetteurs de carbone. Je pense par exemple, si on zigouille quelques muzs. Ca devrait rapporter gros, puisque cela fait autant de consommateurs intensifs de moutons en moins ; notamment du fait qu’un mois par an ils s’empiffrent de nuit et sacrifient des millions de moutons.
Je plaisante bien sûr : c’est juste pour montrer à quelles absurdités ces dingueries peuvent mener.
Et les Russes, saloperie esclavagiste, vous comptez le leur imposer comment ? Votre escroquerie climatique au changement de climat qui ne dépend pas des êtres humains (et encore moins des franchouilles et de leurs cousins européens capitalo-soviétisés, peau de zob démographique), et le carbone qui est indispensable au cycle de la vie et à l’agriculture ne prend pas quand on est curieux et qu’on a Internet. https://climate.nasa.gov/news/2436/co2-is-making-earth-greenerfor-now/
Nous allons tous bientôt nous retrouver bien démunis et il va nous falloir refaire les Gaulois d’antan afin de récupérer TOUT ce que l’on nous Vole !!! Histoire comprise.
Bonjour Christine, si tous ces malfaisants nuisibles pour l’Humanité arrêtaient tout simplement de confondre météorologie et climatologie nous n’en serions pas là. Mais après tout, c’est tous les jours que politicards et merdias fraudent le sens des mots pour mieux pervertir et soumettre le peuple qui en ……. redemande! Belle journée
Les gens ont du mal à voir la finalité,ils se disent que ça va être compliqué déplore le député !!! Mais enfin quel est cet argument de dire c’est compliqué !!!! Mais c’est une atteinte aux libertés individuelles !!! Chaque fait et geste de la vie quotidienne suivant le type de famille son mode de vie serait quantifié par une empreinte carbone et dépendrait d’un quota qui serait pre – crédité ? En cas de dépassement soit une pénalité ou racheter ou blocage du compte ? Et ça sa rendrait plus verte l’herbe qui nous entoure ? Mais c’est de la folie pure !!! Ça ne marchera jamais ou alors les gens ne prennent pas consciences que leurs vies seraient restreintes sous condition
Les malfaisants à l’oeuvre. ils ne savent pas quoi inventer pour ce gaver . Ils en ont jamais assez. Je rêve d’un 1789.
Je ris quand je les entends dupliquer leur idéologie en boule névrotique du « réchauffement » climatique, car je n’ai jamais eu aussi froid cet hiver (des plants là de longue date sont morts dans mon jardin), et aussi en ce moment où le mot « réchauffement » devient une insulte à la réalité.
Le climat change et c’est tout, c’est normal, ça a toujours été.
Dans leur logique, les politiques vont devoir restreindre leurs petits avantages très énergivores. Bon nourris par les contribuables à l’Elysée, ils auront de zones « froides » non prises en compte dans le décompte, je suppose.
Il est temps que ces obsessionnels consultent, il est vrai que c’est une pathologie très organisée dans la rigidité où il est très difficile de faire bouger les lignes, mais les Français sont plus nombreux qu’eux, on devrait y arriver.
Quand je disais que le troc cher aux Indiens (encore discriminés mais restant dignes malgré tout) allait revenir…
L’e.u, j’ai bien envie de l’emmerder…
Le Pass Carbone est la dernière foutaise des Écolo Nazis qui veulent détruire notre existence sous prétexte de réchauffement climatique qui n’existe pas car il est inventé de toute pièce par les Ayatollahs du climat et les cinglés du GIEC qui refusent de voir le réel. Greenpeace France, les Macronistes deconstructeurs et les Gauchos de BFM WC souhaitent contraindre les français à accepter l’inacceptable à travers cette folie Bobo gaucho écolo sectaires Parisiens mais Bouffe Toussaint, Amandine Antacaca, Aurélie Casse ou encore Benjamin Duhamel Jr le fils de Patrice Duhamel et de Nathalie Saint Criq lâchent du carbone par le biais de leurs trous de balle doivent appliquer à eux même leur connerie de Pass Carbone parce que ces donneurs de leçons ne sont là que pour mépriser les Gueux que nous sommes. Ce sont des journalistes militants d’extrême gauche qui essaient d’exister à travers ce chantage climatique qu’est le prétendu Réchauffement climatique qui est une arnaque !
De quoi, mais quand est-ce que cette arnaque climatique va s’arrêter ?
Je propose que l’on institue un permis d’exister pour les cons. Au delà d’un certain seuil, le con est soit rééduqué, soit éliminé. Le problème est que les cons sont nombreux. Vaste programme aurait dit le Général. Il ne faut jamais s’effrayer devant l’ampleur d’une tâche. Débarrasser une société des cons est une priorité. Critères principaux pour être classé dans la catégorie des cons : soutenir que l’islam est compatible avec toute forme de société, soutenir Renaissance ou la NUPES, croire aux élucubrations du GIEC, être favorable à l’immigration, se positionner en faveur de l’Ukraine. La liste n’est pas exhaustive.
Aaah si seulement…. C’est qu’on en aurait de la place. En voilà une bonne idée pour palier à la surpopulation et à la pollution causée par le con…
Idée à soumettre