Traitée de « sac à main de deuxième zone » par la vulgaire Schiappa… c’est presque un compliment !
Normalement… enfin, du temps où les mots « normal », « politesse », « respect »… signifiaient encore quelque chose dans notre si belle langue, tellement martyrisée de nos jours, par les tartuffes capables des pires hypocrisies pour rester « bien en cour » …
Normalement donc, quand on est un personnage public, et plus encore quand on est ministre ou même ex-ministre, il est convenu qu’en toutes occasions on se doit d’adopter éthique, langage et tenue d’une exemplaire correction…
En même temps, selon la formule à la mode… lorsque l’on est, ou avons été, ministre d’un Président sans honneur, sans parole et sans respect des lieux ni des citoyens (y compris ceux qui l’ont porté au pouvoir !), capable d’inviter, sur les marches du palais, qui ne lui appartient pas mais qu’il occupe à titre gracieux… des gens grossiers et vulgaires, chantant des horreurs, il ne faut pas s’étonner si celui-ci a « déteint » sur ses sbires.
Ce qui est arrivé à une ex-ministre qui, au lieu d’adopter un profil bas, suite à une sale affaire dans laquelle elle est mouillée jusqu’au cou… a choisi au contraire, d’allumer un contre-feu se voulant spectaculaire, au point de détourner l’attention du peuple qui serait en droit de lui demander des comptes.
La sale affaire, c’est évidemment le Fonds Marianne, diligenté par Marlène Schiappa (Ah, vous ne l’aviez pas reconnue ?) pour « défendre les valeurs de la République »… et dont une grande partie a largement bénéficié à des potes à elle, notamment des associations « bien sous tous rapports »… c’est-à-dire « très politiquement correctes », ou plus précisément compatibles avec l’accueil aux autres (prioritairement aux nôtres, les cochons de payants), lesquels autres étant principalement de la même religion que l’assassin du professeur décapité, objet du fameux Fonds !
Le résumé ici :
Le contre-feu, lui-même objet de réprobation, et dans lequel elle est en train de magnifiquement s’emmêler les pieds, c’est bien évidemment sa scandaleuse participation au magazine « Playboy », en principe réservé aux messieurs (quoique de nos jours …), et où l’on n’attend certainement pas une ministre.
D’autant plus que, même si ce magazine a une certaine allure et ne peut être confondu avec une revue porno… la prestation de la Schiappa a fait largement couler encre et salive.
Nous en arrivons donc au cœur du problème : sa « baston verbale », précisément à propos de sa prestation dans Playboy, avec Isabelle Rome, ministre de « l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances » depuis 2022… ministère où avant elle, Marlène Schiappa avait sans doute brillé souvent par son absence, si l’on se réfère au nombre de livres qu’elle a publiés depuis 2017…
Qu’Élisabeth Borne (entre deux 49.3) l’ait appelée pour lui dire que son interview dans Playboy n’était « pas du tout appropriée » dans le contexte actuel, et que la gauche se soit indignée de cette communication en pleine crise sociale… Marlène a fait avec.
Mais que celle qui lui a succédé se soit permise de la tacler, critiquant son choix d’apparaître dans Playboy, là, ça ne passe pas :
“Je m’interroge : pourquoi avoir choisi Playboy pour faire avancer le droit des femmes alors que ce magazine est un condensé de tous les stéréotypes sexistes ? Nous sommes en plein dans la culture de la femme-objet”, confie Isabelle Rome au Figaro.
“Marlène Schiappa est libre de faire ce qu’elle veut de son corps, ce n’est pas un sujet. Mais prétendre que poser dans Playboy fera avancer la liberté des femmes, j’en doute sérieusement. La sienne, peut-être. Celle des autres, non”, grince Isabelle Rome.
À mille lieues de la promesse de Macron de « cent jours d’apaisement, d’unité, d’ambition et d’action au service de la France », celle qui ne déteste rien tant que la discrétion s’est immédiatement fendue d’un SMS rageur à sa téméraire collègue :
« Ne pas avoir de notoriété, ce n’est pas grave en politique. Ne pas avoir d’action concrète, déjà plus. Ne pas avoir de tripes, encore plus. Tu n’es qu’un sac à main de seconde main. Trouve le courage de me rappeler plutôt que de parler dans mon dos »
https://www.bvoltaire.fr/schiappa-rome-bataille-a-coups-de-sac-a-main/
Et vous, quel sac à main préférez-vous ?
Des jeux et des rires pour le populo ? Et pourquoi pas un crêpage de chignons à l’Assemblée ?
Je n’ai pas de tendresse particulière pour Isabelle Rome qui, comme Schiappa, appartient à un gouvernement de félons-menteurs-manipulateurs… Mais il me semble quand même que quand on se comporte de manière aussi vulgaire que la Schiappa, on devrait y regarder à deux fois avant d’invectiver une collègue… qui plus est une collègue nettement plus classe.
Par ailleurs, bien que peu connue au bataillon des célébrités politiques, madame Rome est une féministe convaincue, dont le parcours professionnel fait plus rêver : Juge d’application des peines, présidente de cour d’assises, inspectrice générale de la Justice ; « rien, pour l’instant, dans son cursus, ne semble la disposer à relever le défi d’une interview choc, par exemple dans Lui », peut-on lire sur Bd Voltaire.
Et côté livres : Vous êtes naïve, Madame le juge, Dans une prison de femmes : une femme en immersion, Plaidoyer pour un droit à l’espoir, Liberté, égalité, survie, L’Emprise et les violences au sein du couple… Sans aucun doute, bien moins torrides que la prose de Marlène Schiappa…
Dans le contexte de grogne actuelle, envers le dictateur et ses complices, en écho aux pitreries auxquelles se livrent les députés Nupes/LFI, et pendant que le grand chef sera occupé à ses trois chantiers… on aurait pu espérer pouvoir assister un jour prochain, en direct de l’Assemblée ou d’un ministère, au pugilat entre les deux femmes…
Mais c’est sans compter justement sur le sérieux de la dame Rome, puisque « déterminée et impliquée dans cette « grande cause du quinquennat », la représentante du Gouvernement a évacué toute polémique. « C’est terminé », a commenté lapidairement son cabinet ».
Et pour finir dans la joie et la rigolade, une sortie de Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, en passe de se recycler chez les comiques, reprise par Le Progrès :
« Il ne suffit pas de s’abonner à Pif pour connaître les intentions du gouvernement, il faut aussi s’abonner à Playboy… »
Désopilant ! Dommage qu’ils ne soient pas tous aussi forts en « gestion politique » qu’en calembours.
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
https://ripostelaique.com/rififi-entre-schiappa-et-rome-ce-gouvernement-part-en-eau-de-boudin.html
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ce gouvernement part en eau de boudin… on disait a l epoque … part en couille mais effectivement vu qu il n y a que des de-couilles dans ce gouvernement on est bien oblige d employer une autre formulation
Marlène aura bientôt le temps de choisir son lampadaire si elle veut encore travailler.
Ou certaines zones boisées qui entourent Paris….
« Sac à main de seconde main ! » – « Pétasse ! Sac à pied de second pied ! » – « C’est celle qui dit qu’y est ! » N’empêche que le fric dont il est question, c’est le nôtre, spectateurs incrédules de cette mauvaise farce.
Élisabeth Borne est jalouse des photos dans Playboy, on ne lui a proposé que la revue Caveau et Pierres tombales pour s’exhiber.
Schiappa n’a que son anatomie à montrer. Si elle avait un cerveau, elle s’exprimerait dans Science et Vie.
Ça part en cacahuètes entre Schiappa la nymphomane et future actrice de films porno et Isabelle Rome ! La Macronie est sur le déclin et l’affaire du Fond Marianne qui a été détourner par Schiappa,Siffaoui, les associations proche comme Reconstruire le Commun et les Zigotos de Conspiracy Watch ou plutôt Constipé Watch avec Mendès France, Reichstadt le demi Boche, Julien Pain le Psychopathe sadique auto proclamé et Thomas Huchon le Gogolito d’extrême gauche et fils de Jean Paul Huchon ont bien profiter de ce pognon pour s’engraisser financièrement au détriment de la lutte contre l’islamisation galopante de la France suite à l’épisode Samuel Paty. La famille de Mr Paty réclame justice !