La plus grande menace pour la machine Biden ne vient ni des républicains ni des conservateurs.
28 octobre 2022 par Douglas MacKinnon (Douglas MacKinnon est un ancien fonctionnaire de la Maison Blanche et du Pentagone
Peu après qu’il eut annoncé sa candidature à la présidence en juin 2015, les démocrates, ainsi que leurs chiens de poche obéissants parmi les médias, se sont attaqués sans merci à l’homme d’affaires new-yorkais Donald J. Trump.
En collusion avec des éléments de « l’État profond » au sein de notre propre gouvernement fédéral, des accusations fabriquées ont été lancées contre le candidat Trump de l’époque.
Après son élection comme président, la machine à diffamation de la gauche est passée à la vitesse supérieure.
Pourquoi ?
La principale raison étant qu’ « Ils », autrement dit les démocrates, les élites républicaines encroûtées et l’État profond ne pouvaient pas le contrôler. Déjà. Le président Trump ne faisait pas partie du « club » ou de la « cabale » de Washington D.C.
Il n’avait pas besoin de leur approbation flatteuse ni de leurs relations avec des intérêts particuliers ni de leur argent. Il était là pour présenter ce qu’il croyait être les meilleures initiatives politiques conçues pour bénéficier à la grande majorité du peuple américain. Plus particulièrement la classe ouvrière et la classe moyenne.
Pour le président Trump, c’était : « Au diable les partisans, intérêts particuliers et torpilles des médias libéraux corrompus. Pleine vitesse ».
Sauf que… si vous mettez en place des décisions politiques pour aider à protéger la grande majorité du peuple américain, vous exposerez invariablement de nombreux politiciens ainsi que des fraudes pures et simples, tout en identifiant d’innombrables organisations et individus se nourrissant avidement de l’auge des contribuables aux dépens directs de la population.
Alors que les élites étaient retranchées dans les magouilles pour le pouvoir et l’argent ou pétrifiées qu’elles seraient bientôt car exposées, choses que ces charlatans qu’elles sont ne pouvaient pas supporter, le canular de la « collusion russe » a été créé dans les ombres les plus sombres et les plus putrides des égouts de Washinton D.C. et déployé sur plusieurs fronts libéraux, d’extrême gauche et des « Never-Trumpers ».
Pour couvrir leur pari de « collusion russe », ces charlatans ont ensuite amassé des tas et des tas de boue fraîchement créés et les ont jetés aux abois médiatiques dans des accès de désespoir fanatiques de plus en plus nombreux. Des mois et maintenant des années plus tard, tout a échoué.
Que faire ?
Même si l’ancien président Trump est maintenant absent du pouvoir depuis près de deux ans, les démocrates, l’État profond, les médias libéraux et les élites républicaines encroûtées le craignent toujours. Plus que le craindre lui-même, ils craignent l’influence qu’il entretient encore énormément auprès de dizaines de millions d’électeurs américains. (Note de Jack : il suffit d’ailleurs de constater les succès gigantesques des rallyes de Trump au travers du pays toutes les semaines. À l’approche des élections du 8 novembre, Trump est loin de ralentir, bien au contraire. Ce samedi soir 29 octobre il sera en Arizona. Dans les prochains jours il y aura d’immenses MAGA rallyes (« MAGA », -make America great again- l’acronyme qui donne la chair de poule à ses ennemis. Mouvement baptisé de « semi-fasciste » par Biden ) en Iowa, Ohio, Floride et Pennsylvanie. Quel tonus ! )
D’où le raid partisan, méprisable et vraiment peu recommandable du FBI sur la résidence privée de l’ancien président Trump en Floride le 8 août dernier.
Bien évidemment, l’ancien président Trump n’est pas parfait. Si j’avais pu être à ses côtés à la Maison Blanche, je lui aurais demandé de tempérer une partie de sa rhétorique de cour d’école. Un président peut facilement prendre la grande route publique, tout en neutralisant complètement, voire en écrasant, l’opposition en privé dans les coulisses. Le fait est que, dans l’ensemble, le président Trump a alors fait preuve de politiques exceptionnelles qui transformaient radicalement notre nation en une version meilleure et plus sûre d’elle-même.
Mais, pour ceux qui veulent être honnêtes avec eux-mêmes, il n’a jamais été question de la rhétorique colorée du président Trump ni de sa politique. C’était toujours parce qu’il était hors du contrôle du club de Washington D.C. et de la Cabale. Point barre.
Ironiquement, et de manière tout à fait pertinente, le président actuel Joe Biden est membre fondateur de ce club de D.C. depuis des décennies. Celui à qui, dans les coulisses, on susurre : « Vas-y, Joe ».
La question pour beaucoup étant de plus en plus de savoir à quel point il a suivi les affaires de son fils, Hunter Biden.
La plus grande menace pour la machine Biden ne vient pas des républicains ou des conservateurs, mais des élites démocrates encroutées et de leurs serviteurs dans les médias. À un moment donné, la « direction » démocrate, les intérêts spéciaux libéraux et Big-Tech, les PDG Woke, les membres de l’État profond libéral et certains dirigeants des médias grand public pourraient décider pour le bien de tous, de se débarrasser définitivement du « Clan Biden ».
Si cela devait arriver, et c’est de plus en plus probable, alors un certain nombre de miettes présumées de « corruptions Biden » qui ont été jusqu’alors soigneusement balayées sous le tapis D.C., commenceront comme par magie à réapparaître au grand jour. Notamment les multiples miettes révélées par l’ordinateur portable de Hunter Biden (oublié chez un réparateur) révélant ses affaires et contacts en Ukraine et en République populaire de Chine.
Si j’étais un parieur, je dirais que les « Ils » n’obtiendront jamais de condamnation de l’ancien président Trump sur aucune des accusations inventées qu’ils ont orchestrées à plusieurs reprises.
Cela dit, je ne voudrais pas faire partie du clan Biden si la cabale démocrate décide que tous ses membres sont soudainement et définitivement porteurs de beaucoup plus de problèmes qu’ils n’en valent la peine.
Si cela devait arriver, attendez-vous à ce que plusieurs « pardons présidentiels » très controversés soient annoncés à la fin du gouvernement Biden à la suite de ce mouvement de désespoir de l’élite libérale pour sauver ses propres arrières corrompus.
Traduction par Jack pour Résistance républicaine
https://www.frontpagemag.com/will-a-biden-go-to-prison-instead-of-trump/
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Ils se sont moqués de toutes les façons possibles de TRUMP, inventant, déformant, maquillant, et pourtant il y a bien plus matière à rire chez Biden.
À consulter : menzces judiciaires à l’encontre de la famille biden : https://vm.tiktok.com/ZMFA2HhnC/
Hunter Biden sans hésitation ! Peut-être qu’il sera accompagné de son Papa Sleepy Joe .
Dire qu’en France, et quasiment partout ailleurs, Trump a été vilipendé, méprisé, traité d’abruti.
Il y a même eu des dessins « humoristiques » : Trump était une poubelle verte, sa coiffure blonde étant le couvercle.
Ca a marché pour plein de gens. Ah les lavés du cerveau ! Que c’est dur.
Aimer son pays, être patriote : une tare pour les mondialistes. Un caillou dans la chaussure, bien vite éjecté… Béatitude de la masse qui ne veut rien voir, rien savoir.