Pourquoi une femme de 23 ans réclamant l’euthanasie n’y aurait-elle pas droit ?

https://www.cnews.fr/videos/monde/2022-10-07/belgique-une-victime-des-attentats-de-bruxelles-ete-euthanasiee-1274872

https://www.cnews.fr/france/2022-09-15/fin-de-vie-lordre-des-medecins-oppose-leuthanasie-reclame-une-clause-de-conscience

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54 Commentaires

  1. À 23 ans tout reste possible.
    Que cette jeune femme ait été mal soignée devrait s’entendre avant de poser le débat.
    Je vis de manière quotidienne ce sujet avec une personne qui était au bout d’un épuisement, perte de sommeil, appétit, burn out. C’était possible que sa fin ait pu être constatée il y a quelques mois. C’est un sujet traumatisant.
    Ça ne devrait pas être imposé.
    Chacun est libre de se supprimer.
    C’est le tentateur perpétuel qui agit tapi dans l’ombre.
    Rien n’oblige personne à vivre.
    Pour les chrétiens, c’est l’espérance par la résurrection qui les fera tenir lorsque la plupart auront lâché l’affaire. Ils seront donc victorieux sur la tentation de mort, si ils ont bien intégré l’Évangile.
    Dans ce monde où la science domine, où l’éthique se planque derrière le dieu argent ( voir récente vaccinations anti Covid), vous aurez le même problème avec la légalisation de l’euthanasie. Le coût des soins sera refusé, dans un temps proche, et l’euthanasie sera alors préférée. Ce temps à venir fait froid dans le dos : il arrive, et c’est ça l’enjeu véritable. Ne vous trompez pas de cible.

  2. Vous trouverez dans ce lien une raison de ne pas le faire :
    https://www.lesalonbeige.fr/pendant-30-ans-dans-le-meme-etat-que-vincent-lambert-elle-milite-aujourdhui-contre-leuthanasie/

    Conclusion : tout dépend de l’Amour que l’on a pour autrui et pour soi.
    Le véritable Amour demandera toujours la Vie, même quand tout semble perdu.
    L Amour n’est pas conditionnel.
    Que des gens refusent de porter la Croix se voit tous les jours dans les entreprises par exemple ( démission silencieuse).
    Aussi il est certain que vivre dans un pays ayant perdu le sens du sacré de la vie mène tout droit vers des logiques d’euthanasie à grande, très grande échelle.

  3. Pour faire bref , j’ai lu avec attention toutes les opinions exprimées ici.
    Elles sont toutes plus ou moins justes, elles reflètent la personnalité de chacun, et chacun a sa vérité intérieure.

    Je proposerais de mettre à disposition des personnes qui veulent mourir, les médicaments adéquats et bien entendu, pour qu’il n’y ait pas de dérive, il faudrait un lieu adapté et un contrôle strict.
    Mais en aucun cas, on ne peut obliger un médecin à donner la mort à un souffrant. Cela doit rester son choix personnel, en son âme et conscience.
    Les débats concernant ce sujet durent à l’Assemblée depuis un certain temps, et on comprend pourquoi quand on voit les divergences d’opinion.

  4. Je me pose la question de sa santé mentale, était-elle encore capable de faire ce choix de mourir ? à 23 ans on a beaucoup de temps devant soi et les progrès en matière de médicament vont très vite ? sa souffrance était certes ressentie comme énorme mais en même temps elle était aussi capable d’être joyeuse comme les bipolaires ? ce qui me fait peur avec l’euthanasie, c’est la dérive qui pourrait être utilisée contre les citoyens devenus obsolètes notamment les personnes âgées ?

    • au bout de 6 ans on peut comprendre que l’on soit usé et désireux de quitter tout cela, le temps passe lentement quand on souffre l’horreur

  5. Obliger une jeune femme de 23 ans détruite à souffrir, mentalement ou physiquement, jusqu’à sa vieillesse est une forme de terrorisme.

    • Question juste d’interprétation à chaud, un peu excessive.

      Et empêcher, en prenant à la lettre, une personne dépressive de pouvoir revenir sur sa décision « exprimée » de vouloir mourir donc de vivre, c’est quoi ?

      Dans ce cas notamment, selon ce qui est rapporté, cette personne avait fait une tentative de suicide « ratée ». L’expérience montre que souvent le « désir de mort » n’est pas réel dans ces situations, c’est plus une tentative voire un appel plus ou moins conscient de mettre fin à une souffrance que l’on n’arrive pas à gérer.

      Les personnes qui veulent vraiment mourir y arrivent malheureusement quoique l’on fasse pour les en empêcher, il y en a tous les jours, à moins qu’un véritable travail psychique (seul ou accompagné) soit fructueux.

  6. Pour la clause de conscience, on ne peut pas la leur refuser, primum non nocere, les toubibs ont pour vocation de soigner, ça fait partie de leur ADN, de leur vocation, de leur raison d’être.

    Rien à voir avec un muz qui refuserait de soigner une femme, car pour les mêmes raisons, un toubib a choisi de soigner, c’est son métier.

  7. Ceux qui soutiennnent l’euthanasie ne s’aperçoivent pas qu’ils raisonnent uniquement au niveau de l’humain (au plan individuel) et ne comprennent pas que ce problème est aussi un problème sociétal (donc au plan politique).

    Si un individu dans certains cas peut légitimement vouloir abréger ses jours, l’état, quant à lui, ne doit pas le permettre.

    Quand la mondialisation sera devenue le régime de la terre entière (ça suit son cours…), vous comprendrez mieux. Pour mémoire, les mondialistes sont tous partisans de l’euthanasie, parce que d’individuelle elle pourra banale et donc systématique, et parce que ce sera le moyen de faire passer l’eugénisme.

    • Entièrement d’accord avec vous !
      Tout la subtilité tient dans la différence entre le bien de tous et le bien commun.
      Le bien commun sert les intérêts du peuple et le bien de tous celui de l’oligarchie.
      On peut bien sur trouver légitime qu’une jeune fille souffrante décide de mourir mais quelle est la dérive que l’on constate déjà… des personnes (même des enfants) qui utilisent cette opportunite d’en finir pour un simple mal de vivre. Dérives que l’on retrouve dans la promotion de l’homosexualite, du trangenrisme, de l’avortement et que nos élites utilisent pour appliquer le diviser pour régner, nous détruire, et servir leurs intérêts. Car c’est selon ce principe – car le bien de tous s’applique à tous justement – que des milliardaires achètent nos médias, nos services publiques, notre patrimoine… et que l’on assiste impuissamment à la venue de migrants et au libre exercice de leur foi !

      • L’euthanasie existe déjà dans le Droit (donner des produits pour endormir en douceur un patient qui est en fin de vie et pour lequel il n’y a plus rien à faire), cette demande est donc paradoxale, on peut se poser la question de ce qu’il y a derrière cette « insatisfaction » qui n’a rien à voir avec la réalité ?

        Chacun, pour le reste, est libre d’assumer de mettre en acte son désir de mort ce n’est pas interdit par la loi donc ce « droit » de mourir existe déjà, même si l’on souhaite de tout coeur que les personnes trouvent une autre solution pour se sentir mieux.

        Rendre quelqu’un responsable de sa propre mort, même si c’est « légal », n’est pas sans effet sur cette personne non plus, il faut en prendre conscience, les gens y pensent à l’Autre justement ?

        • désolée l’euthanasie n’a rien à voir avec l’endormissement en fin de vie. L’euthanasie vise des gens qui ne veulent plus vivre, tout simplement, quelles que soient leurs raisons. Vous êtes qui, vous, pour décider que celui qui veut mourir doit se le voir interdire. Vous vous prenez pour qui ? Un vrai dictateur ! Ce que vous écrivez est monstrueux.Vous répétez bêtement des arguments de gens qui n’ont jamais réfléchi à la question. Relisez 100 fois le dernier commentaire de Mantalo, simple et clair. Au moins pour une fois vous aurez réfléchi un peu plus loin que le bout de votre nez.

      • Je suis révoltée de ce que je lis, et pour d’autres sujets relatifs à l’humain aussi quand je pense à toutes les tristes « implications » humaines que cela provoque, les gens ne savent pas de quoi ils parlent.

        Le comble, penser que ce serait un « progrès »… discours de personnes qui ne réfléchissent pas en profondeur mais « réagissent » et s' »identifient » juste à ce que cela provoque en « eux ».

    • « Ceux qui soutiennnent l’euthanasie ne s’aperçoivent pas qu’ils raisonnent uniquement au niveau de l’humain (au plan individuel) »

      Oui pour l' »individuel » mais pour « eux-mêmes » pas pour le bien-être des autres et du collectif car ils n’ont pas fait visiblement le tour du problème, juste parfois à travers leur triste expérience marquée par la peur à laquelle ils « s’identifient ».

      Non pour l »humain », bien au contraire, ils ne connaissent rien à l’humain ils s’identifient donc juste, à travers ce concept, à ce que cela leur renvoie de leur « propre » rapport à la mort et à la souffrance.

      L’humain ne se décline pas exclusivement en terme de « droit », il faut prendre conscience de la complexité de ce qu’il y a derrière ce terme avec justement « humanité » et accéder à une nuance la plus juste possible. En demandant un droit « collectif », ils veulent paradoxalement un droit « pour l’autre », mais de quel « droit » ?

      Les gens qui réagissent à fleur de peau feraient bien de s’analyser eux-mêmes un peu dans l’espace de leur « intimité », car ce qu’ils disent est grave par ses implications humaines.

    • Tout à fait d’accord avec vous, il y a un gros risque de dérapage au niveau politique qui dépasse le cas et le choix individuel, comme le dit si justement ma femme qui pourtant est médecin, rien n’empêche une personne de se suicider même si c’est plus difficile que d’être assisté, alors que si nous entrons dans une légalité de l’euthanasie, la société par souci ne serait-ce que d’économie risque de s’orienter vers du systématique qui sera défini à l’avance, ainsi l’âge, l’état de la personne, son orientation politique, son coût à la société, son inutilité sociale mais surtout le contrôle démographique et l’eugénisme risquent de nous emmener dans une voie où on ne pourra plus faire marche arrière ?

      • Pascal 19h13,

        allons allons, ça concerne combien de cas désespérés par an?
        Vous parlez de systématisme, d’orientation politique, d’eugénisme etc…. Comme vous y allez!
        Il ne s’agit que de quelques personnes au bout du rouleau n’ayant pas la force de se jeter à l’eau (tant mieux pour les pompiers), de se balancer sous le train (tant mieux pour le conducteur) etc…

        La mort choisie ou désirée, voire libératrice, ne concerne que la personne et son TRÈS proche entourage.
        C’est un échec, c’est triste, mais chaque histoire humaine est différente tant que nous ne sommes pas des robots.

        • Erreur ! vous n’êtes pas au courant mais il y a des centaines de suicides chaque année.
          Cette année surtout des suicides d’étudiants qui n’ont pas supporté le confinement, et des suicides réussis.

  8. @ Christine Tasin
    C’est avec ce genre de paralogismes que vous ouvrez les portes aux dérives. Voyez, par exemple, ce qui arrive aujourd’hui avec la loi Veil sous des prétextes humanistes qui permet de tuer un foetus du neuvième mois pour détresse morale. Demain, avec le raisonnement que vous tenez qu’arriverait-il ? Montherland a assumé seul son acte ; a contrario, de quel droit moral cette jeune femme exerce-t-elle sur autrui sa décision d’en finir avec la vie alors qu’elle est en possession de tous ses moyens ? Sur quels critères moraux autrui n’aurait-il pas le droit d’exercer sa propre clause de conscience ? Le contraindre à un acte contraire à ses convictions intimes, quelles qu’elles soient et d’où qu’elles viennent, est une dictature morale non négociable inacceptable qui ne dit pas son nom.
    Que chacun prenne ses responsabilités sans ni mettre ni remettre en cause la liberté de conscience d’autrui.

    • Ben voyons ! Refusons d’avancer, de progresser, sous prétexte que nos ennemis pourraient en profiter pour aller plus loin ! Ils peuvent se marrer les mondialistes ! Il faudrait renoncer à l’avortement, à la reconnaissance du libre choix de sa sexualité, homo ou hétéro, à la contraception, à l’euthanasie etc sous prétexte que des salopards en profiteraient ! Mais vous n’avez rien compris. Les salopards, vous, nous les avons mis au pouvoir, ils n’ont pas besoin de nos acquis, de nos progrès pour nous imposer leurs saloperies ! C’est à peu près comme si vous disiez « il fallait pas inventer la voiture, elle va créer des morts » ou bien « fallait laisser les gosses dans les mines  » parce qu’à présent on le chômage ! Ah ! la tentation du passéisme !

      • @ ChristineTasin
        Je crains que vous n’ayez pas vraiment compris mon commentaire que j’ai tenté de nuancer. Ceci dit, j’ai le droit de ni penser ni de ressentir comme vous. En outre, vous me faites un procès d’intention et je m’aperçois par votre réaction excessive que vous faites de votre idéologie, sous prétexte d’humanisme, une pensée totalitaire que chacun doit partager parce-que vous la pensez vraie sous peine d’oukase moral, attitude fondamentalement pas très éloignée de nos ennemis. Par ailleurs, mon commentaire n’est que factuel et ne contient aucune once de prétention moralisatrice.

      • Je suis pour la modernité, j’ai toujours été attiré par l’évolution technologique et scientifique mais nous voyons bien aussi que la modernité peut être dangereuse, nous l’avons vu avec le covid et la vaccination quasi obligatoire de certains de nos compatriotes sous prétexte du bien commun. Là, c’est encore un cran au-dessus avec l’euthanasie légalisée, comment ne pas faire de lien avec le risque majeur de la dérive encore une fois possible et même tout à fait envisageable d’une société qui se déshumanise de plus en plus ? on peut facilement comprendre que l’euthanasie détournée de sa vocation la plus humaine et la plus noble pourrait devenir une abomination si elle était mal utilisée, n’oublions pas Pierre et Marie Curie qui ont découvert la radioactivité pour une application médicale et qui ont indirectement permis la création de la bombe atomique qui nous menace aujourd’hui ?

        • On a vu avec le cas Vincent Lambert, que l’euthanasie peut être décidée par d’autres que la personne concernée, et dans ce cas, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une mort ordonnée.
          Il peut donc y avoir une mort ordonnée par les Juges, sans qu’il n’y ait actuellement une loi en faveur de l’euthanasie.

    • La différence entre un foetus tué dans le ventre de sa mère et un adulte qui n’en peut plus de vivre c’est que le foetus n’a pas choisi de mourir.

      • @ Mantalo
        Pouvez-vous juste comprendre que mes propos donnent la place à chacun de prendre ses responsabilités et il n’est permis à personne de contraindre qui que ce soit à un acte contraire à sa conscience ? Ceci posé la discussion est close en ce qui me concerne, je suis lasse des arguties de mauvaise foi auxquelles on recourt et que l’on m’oppose sans chercher à comprendre par pure idéologie.

  9. Passionnant cette approche de la mort que tu inities là Christine. Il y aurait tant à dire que la place, ici, me manquerait. Cependant, je rebondi sur ton évocation de Montherlant, dans son « La ville dont le prince est un enfant « . Visionnaire s’il en est, je pense, bien évidemment à ce qui nous sert de président de la république.

    • Je savais que tu apprécierais, je ne savais pas que tu me remercierais avec l’évocation de « La ville dont le prince est un enfant ». Merci ami

  10. J’espère en tous les cas que le « permis de tuer » ne passera pas dans la Loi quand on connait l’humain. Juste un exemple qui devrait faire réfléchir, chacun a vu de quoi pouvaient être capable certains du corps médical lors de la crise covid, consciemment OU « inconsciemment ».

    Chaque situation est particulière et doit être traitée dans l’intimité, c’est un sujet trop sensible pour en faire une règle collective de société.

  11. Difficile de juger une situation qui est rapportée, juste c’était une personne atteinte de dépression, état psychique qui est porteur d’un désir de mort « exprimé » mais pas forcément voulu (alors y souscrire…). C’est plus un désir d’éviter la souffrance que vraiment celui de mourir même si certains vont malheureusement jusqu’au suicide vu comme la seule « solution ».

    Sujet déjà traité ici, et j’ai longuement passé mon temps à montrer à quel point ce n’est pas aussi simple que certains le disent et les dérives que l’on a vues dans les pays qui l’ont légalisée et le regrettent, arguments et références à l’appui (il suffit de chercher sur le net).

    Je ne comprends pas que cela revienne dans les discours, à l’heure où désormais l’on « sédate » la personne qui souffre jusqu’au bout de sa vie si il n’y a plus rien à faire, c’est parfaitement légal (c’est passé il n’y a pas longtemps dans la loi).

  12. Sujet épineux. Mais bon 23 ans… Si tu vis comme un légume c’est bien l’euthanasie. Elle, elle vivait comme un zombie. Peut-être aurait-elle pu voir la vie différemment d’ici 10 ans. Qui sait ? En fait ce n’est pas l’âge c’est l’état physique,psychologique ou psychique qui importe. Mais franchement je suis athée donc aucune question religieuse dans mon raisonnement, mais ça appartement tellement à chacun suivant les circonstances, c’est dur de se faire une opinion générale sur un sujet particulier.

  13. « Hamida Djandoubi
    10 septembre 1977
    Exécution d’Hamida Djandoubi,Tunisien, condamné à mort pour assassinat après tortures et barbarie, viol et violences avec préméditation. Il est le dernier criminel exécuté en France.

    GOT……. the good old time !!

    il y a a peine 45 ans !!!!!!!!!!!!!!!!!

    mais je suis confiant….ça va revenir bientot

  14. Je pense tous les jours à mon désir d’accéder à un suicide assisté quand je le souhaiterai parce que j’ai des problèmes de santé particuliers. Avec les critères d’euthanasie actuels, elle ne me sera jamais accordée. Les critères actuels exigent qu’on en soit à un cliché de dégradation physique de préférence avec odeur de putréfaction, branché sur des tuyaux, paralysé. Un panel de juges crétins décide à la place du principal intéressé.
    Je crois que l’inaccessibilité au suicide assisté vient d’un contrôle pervers de la population. La population a « le droit » d’être envoyée se faire mitrailler à la guerre pour des gouvernements pourris mais pas de choisir debout sa propre mort. Je trouve que les chrétiens dogmatiques anti euthanasie et anti suicide assisté démontrent de graves carences de foi pour craindre et interdire ainsi l’accession volontaire vers l’au-delà.

    • Merci Mauve d’avoir abordé en effet les « critères » pour assister à un suicide assisté. C’est monstrueux en effet. Et liberticide

  15. Merci d’avoir osé aborder ce sujet.
    MA vie n’appartient qu’à MOI et à mes TRÈS PROCHES. Seul ce petit groupe, eux et moi, a en main la clé qui me ferait tout quitter sur Terre si l’envie s’en faisait sentir.
    Je partage donc en tout point votre article/vidéo Christine.

    J’arrête là sinon je pourrais fâcher beaucoup de personnes ici en affichant ce que je pense DES religions…

    • C’est pas difficile de se suicider. ça nous appartient. Sauf quand on est reclus sur un lit de douleurs… Méthode douce : tranquillisants en masse avec de l’alcool. Méthode raide : une corde et un noeud coulant. Et on n’a besoin de personne !

  16. Évidemment quand j’ai vu le titre je me suis dit ça y est encore le culte du progrès, de la libération des religions…
    Je vais quand même faire un rapprochement, si un ou une jeune personne est atteinte de la fameuse « dysphorie de genre » et souhaite être opérée pour se « mettre en conformité » avec son genre choisi ,surtout s’il a déjà fait une tentative de suicide par désespoir alors que lui aussi (ou elle aussi) a tout essayé… pensez vous qu’un chirurgien pourrait faire valoir une clause de conscience qui l’amènerait à refuser « d’aider » comme vous dites cette personne ou là « c’est pas pareil » ou « s’il est majeur il n’y a pas de problème » , personnellement je serais pour punir fermement un chirurgien qui « aiderait ».
    Dans le cas de cette jeune personne et pour avoir eu recours une fois dans ma vie à un « secours » psychologique « institutionnel » je peux vous dire que, manque de chance, tous ces gens étaient des gros nuls.

  17. Bonjour Christine, sujet on ne peut plus sensible s’il en est, même parmi ceux qui pourraient partager des chemins de convergences politiquement parlant !.
    Nous (je ! en tout premier lieu, mais je me permets d’y associer beaucoup de lecteurs de ce site)pensons que le monde s’infantilise, les exemples de nos politiques en layette avec double fonds moletonnés font légions, de leur piètre rhétorique jusqu’à leurs exigences irresponsables et destructrices mâtinées d’une morgue sans commune mesure,ces immatures répandent à loisir le « tu peux le faire tout seul » pondu par une machine à café de la silicon valley !
    Mais nous le savons, être adulte commence par « ça tu n’as pas le droit de la faire! ».
    Devant une grande souffrance sans issue qu’il m’a été donné de croiser,le choix d’en finir me semble plus que légitime ,en revanche tout comme aujourd’hui on divorce pour une porte claquée, on change de sexe par lubie,on adopte des gosses comme des jouets, mourir ne peut pas ,ne doit pas devenir un luxe que l’on s’offre quand la vie fait un peu trop mal !

      • Merci à vous pour cette tribune éclairante et souvent brillante, qui de surcroit propose gratuitement une garderie où l’on peut voir la liberté, la fantaisie,l’imagination,la colère,l’introspection, et même l’extravagance batifoler sous l’oeil attentif mais bienveillant de la madame sagesse ….

  18. La mort d’une jeune fille de 23 ans sera toujours plus choquante que celle d’une Elisabeth II à la vie bien remplie.

    On imagine le déchirement des proches. Mais eût-il été correct de lui refuser d’en finir avec un cauchemard perpétuel, les blessures mentales étant parfois pires que les corporelles ? Encore l’islam !

  19. je sais pas CHERE CHRISTINE…je sais pas…
    bon maintenant,je suis pas dans la tete de cette femme de 23 ans…je sais pas quoi écrire…
    des fois,au vu des informations que je lis ou que j entend,j ai des envies de me buter…
    non mais non j écris n importe quoi!!!
    bon pauvre femme!!!

  20. Attention, il me semble que cet engouement sociétal pour l’euthanasie fait partie du projet « progressiste » et mondialiste. Comme la procréation pour autrui ou l’avortement jusqu’à 9 mois pour « détresse psycho-sociale ». Il doit y avoir un intérêt pour les Soros, Macron, Gates et compagnie. Surtout que ce ne sont pas nos migrants et nos islamistes remplacistes qui vont faire appel à l’euthanasie mais bien les Occidentaux blancs déchristianisés…

    Evidemment, on ne pourra jamais empêcher quelqu’un de se suicider. Je suis même favorable pour des personnes ayant des maladies incurables ou souffrant le martyr. Mais là, il y a quelque chose de choquant… une jeune femme de 23 ans ! Après, je ne peux pas juger de ses souffrances. Il y a des soldats de 14-18, pourtant sortis indemnes, qui s’étaient suicidés après la guerre. Mais quel gâchis !

    • François des Groux a synthétisé mes questionnements sur un sujet, ô combien compliqué de part son approche psychologique, spirituelle, culturelle, physiologique, personnelle. Qui, au vue de nos observations, est en train de se politiser.
      Comme beaucoup de sujets qui doivent être traités avec éthique, surtout sans être occultés, ces items sont salis par l’electoralisme.
      Au lieu d’être pris sérieusement, non comme à la cour d’école, pour la popularité.

    • c’est bien ça le problème François, sous prétexte que des salopards ont des vues abjectes sur nous il faudrait lutter contre ce qui est une avancée de l’humanité… le piège est double. Et je ne vois pas ce qu’apporte à la lutte contre islam et immigration le fait d’être favorable à la légalisation de l’euthanasie pour nous ! Celui qui va se suicider de toutes manières ou celle qui, devenue un légume sur so lit d’hôpital n’y changera rien. Ils nous battent 2 fois et en nous envahissant et en nous contraignant à leur ressembler en interdisant l’euthanasie.

    • Bonne mise en garde. On doit bien réfléchir au sujet.
      Je n’ai pas vraiment tranché, des fois je suis pour, des fois je suis contre.

  21. Sujet trop grave pour lequel je ne possède aucune compétence. À chacun de se prononcer selon sa conscience.

  22. L’euthanasie pour moi est crime parce qu’il est complètement d’ôter la vie à une personne notamment la jeune femme de 23 ans qui avait demandé à ce qu’on mette fin à sa vie. Si nos dirigeants nous bassinne avec cette folie sociétal qu’est l’euthanasie ils nous ont détourner de la vraie menace qu’est l’Islam conquérant et meurtrier qui fait régner la terreur sur notre sol.

    • Comment peut-on être d’accord pour ôter la vie d’un être de 23 ans. Qu’est-ce qui leur prends ? n-y avait-t-il pas moyen de s’occuper de cette jeune femme pour la calmer et la raisonner ? Est-ce que cette société est devenu folle ? Je suis entièrement d’accord avec l’avis de François des Groux et Térence Gros. Je pense pareil.

      • Apparemment ils ont passé 6 ans à parler, soigner, essayer de calmer. En vain… Pas si simple de dire « pas moyen de »

        • L’islam a trouvé un moyen de « rentabiliser » de genre de cas psychiatrique : en les envoyant mourir en se faisant exploser pour tuer des non-musulmans et en leur promettant le paradis pour cela. Des fois, les musulmans sont primitivement bien moins crétins que nous !

        • Sur le site  » le salon beige « , témoignage d’une femme qui vient juste de sortir d’un « pauci relationnel  » .Elle a été déclarée en mort cérébrale, elle a tout son esprit et est heureuse de ne pas avoir été euthanasiée … Elle a eu la chance de tomber sur une formidable pédagogue volontaire qui a réussi à la faire communiquer ….

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