Magnifique coup de gueule de Roland Gori, psychanalyste et universitaire.
Les expertises c’est le moyen qu’on a trouvé pour vous faire fermer votre gueule !
Pourquoi est-ce qu’on en est complices ?
« Les fabriques de servitude mettent en esclavage les individus et les populations au nom de l’efficacité technique, de l’illusion d’un bonheur procuré par les algorithmes et la mondialisation marchande. (…) Résister aux fabriques de nos servitudes par l’utopie est une nouvelle manière d’agir et de penser l’infini, le complexe, l’instable, le multiple, le divers que le vivant exige. Il y a urgence à détourner l’utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai et faire chuter sa majuscule pour que nos vies ne soient pas minuscules »
(Extrait de la présentation de l’ouvrage de Roland Gori, La fabrique de nos servitudes, Editions LLL, Les Liens qui Libèrent)
Si vous voulez voir l’ensemble de la conférence, c’est sur youtube
1,364 total views, 2 views today
Je ne sais pas si vous allez censurer mon propos mais l’école est gangrénée par les wokes lgbtqia2smazertyuiop, où les gosses apprennent qu’ils peuvent décider de leur genre, et que « l’homosexualité c’est bien ». Avec « l’islam c’est cool », vous avez là les 2 mamelles de la pire tyrannie qui soit. Cela débouche sur la normalisation de la GPA, donc de la mise en esclavage de pauvresse d’Ukraine, sans que les gamins ne trouvent rien à redire (ben oui si ces femmes ont besoin d’argent, c’est cool qu’elles fassent des gosses pour des gays). J’espère que vous envisagez le niveau de délire qu’on instille dans le crâne des freluquets prépubères.
Les pauvresses d’Ukraine ont ainsi une possibilité d’être moins pauvres. Est-ce vous qui allez les dédommager et les aider pour qu’elles soient moins pauvres ? Si certaines femmes pratiquent la GPA plusieurs fois, c’est bien qu’elles en tirent un bénéfice.
Attention, votre parti-pris vous aveugle et vous égare. Ne pas oublier le service rendu aux couples victimes de fausses couches à répétition.
Je n’ai pas regardé la vidéo complète mais je pense qu’après une année d’études, il faut savoir ce qu’un élève a réussi à assimiler et à retenir. Comment faire sans contrôle ou sans examen ? Après, tout dépend de ce que veut faire un enfant. Il n’a pas besoin de savoir résoudre des équations au dixième degré s’il veut faire boulanger.
Tout ce que l’on étudie n’est pas « utile » certes mais cela développe le cerveau. Je pense qu’il faut se démarquer de cette vision « utilitaire » qui, si on y regarde de près, fait partie de la dynamique générale.
L’inutile a parfois une autre utilité que de « servir »…
Et cela donne un sens à la vie. Sans la littérature, je ne suis pas sûr que je serais encore là.
On ne le dit pas assez, à une époque où les gens deviennent fous, veulent toujours plus d’argent, de pouvoir, sont prisonniers de relations toxiques, se sentent mal, se suicident…
Quand tout s’écroule, que reste-t-il pour survivre ? La vie est d’une telle violence, imprévisible et cruelle pour bien des êtres… Les ressources de la sagesse sont inépuisables.
Ce qu’il faudrait savoir, c’est la nature des questions posées dans ces évaluations ; je pense à cet étudiant en médecine prometteur dont la première année n’a pas été validée (donc fin des études de médecine) parce que recalé sur une question d’écologie…
Bonjour,
C’est le cas de mon neveu, classé dans le premier quart.
Les questions étaient carrément woke : « L’Homme de Néanderthal était-il raciste ? », « Que pensez-vous du changement de nom de la pâtisserie « Au Nègre Joyeux »? »
L’Université de Paris a été condamnée à leur faire passer un nouvel oral.
Mais le mal est fait !
C’est ce que je disais à mes élèves qui posaient des questions du genre « Mais le latin, à quoi ça sert ? ».Ma réponse, c’était : »A se muscler le cerveau. Vous faites de la gym, peut-être pratiquez-vous un sport :à quoi ça sert ? Et donc, pour le latin, les maths, la lecture, vous pouvez établir une comparaison avec la gym, le sport… »