Marion Maréchal Le Pen énerve le beau et distingué Jack Lang et pose les questions essentielles

Je vous laisse découvrir l’article ci-dessous.

Le bel esprit Jack Lang s’énerve après la courageuse Marion Maréchal Le Pen qui ose mettre les pieds dans le plat… Marion Maréchal-Le Pen : les musulmans, français sous conditions

« Nous ne sommes pas une terre d’Islam, et si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition seulement de se plier aux mœurs et au mode de vie que l’influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonné », a-t-elle ajouté : « chez nous, on ne vit pas en djellaba (longue robe à capuchon traditionnelle dans les pays arabes, ndlr), on ne vit pas en voile intégral et on n’impose pas des mosquées cathédrales ».

L’ancien ministre de la culture, et actuel distingué président de l’institut du monde arabe, prend la défense des mahométans avec rage… on aimerait qu’il ait autant de « compassion » à l’égard de toutes les victimes de la secte en question…

Selon la langue enragée de Lang : vouloir affirmer l’identité française est une ignominie : demander à des personnes d’une autre culture de respecter les racines
chrétiennes de la France est « raciste »…

Je me demande si le salut de notre Nation ne viendra pas, d’abord, du courage de certaines femmes !

Article complet avec une analyse très intéressante :

Marion Maréchal-Le Pen, l’islam et l’histoire de France : quand l’accusation de crétinisme sert de cache-misère à une défaite de la pensée

Les dernières déclarations de Marion Maréchal-Le Pen ne sont pas passées inaperçues. Lors de son dernier meeting  de campagne, à Toulon, le 1er décembre, elle a déclaré : « Qui n’a pas vibré au sacre de Reims et à la fête de la Fédération n’est pas vraiment français. Nous ne sommes pas une terre d’Islam, et si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition seulement de se plier aux mœurs et au mode de vie que l’influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonnés ».

 

Et d’ajouter : « chez nous, on ne vit pas en djellaba, on ne vit pas en voile intégral et on n’impose pas des mosquées cathédrales ».

La réaction la plus vive est sans doute venue de Jack Lang, l’actuel président de l’Institut du monde arabe (IMA). Dans un communiqué, celui-ci a qualifié « d’ignobles » les propos de Marion Maréchal-Le Pen, considérant que de tels propos relèvent d’une « furie raciste et mortifère ». Selon lui, des poursuites devraient « être engagées contre une expression aussi manifestement raciste et xénophobe ».  

Si des raisons diplomatiques ont sans doute poussé le président de l’IMA à se manifester (l’Institut doit soigner ses relations avec les pays arabes), une telle réaction laisse quand même un certain malaise, et ce pour deux raisons. D’abord parce que Jack Lang ramène le débat sur le terrain du racisme alors que rien, dans la déclaration de Marion Maréchal-Le Pen, ne fait référence à la race ou à un quelconque déterminisme biologique, celle-ci se plaçant uniquement sur le terrain de la culture et de la religion.

 

Ensuite et surtout parce que la candidate du FN fait référence à la phrase célèbre du grand historien Marc Bloch, qui se trouve dans son livre L’étrange défaite, écrit quelques mois après la défaite de 1940 : « Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération ».

Dans ce livre, Marc Bloch se livre à une critique féroce des élites d’avant-guerre, qu’il accuse d’avoir fait preuve de cécité face aux menaces grandissantes, et aussi d’avoir manqué de sens patriotique, notamment au moment du Front populaire car, dit-il, la bourgeoisie n’a alors pas su accepter les aspirations populaires (accusation qui résonne étrangement aujourd’hui). 

Jack Lang, à qui on peut faire crédit de connaître ce livre et cette citation, a choisi d’ignorer superbement l’un et l’autre. Dans son communiqué, il prend même soin de détacher les deux parties de la phrase de Marion Maréchal-Le Pen (comme d’ailleurs beaucoup de journaux, qui se sont contentés de citer la seule partie sur le sacre de Reims). Il fait le commentaire suivant : « Ramener l’histoire de France au seul sacre de Reims, qui certes mérite respect, témoigne d’un crétinisme, d’une ignorance crasse de l’histoire du pays et d’un fanatisme qui déshonore cette candidate. Invoquer abusivement la Fête de la Fédération est une escroquerie contraire à l’esprit de rassemblement des cultures de France que la Révolution française avait voulu célébrer ».

Cette présentation est malhonnête. Certes, on peut être en désaccord avec Marion Maréchal-Le Pen, mais il n’est pas sérieux de vouloir la déconsidérer en tronquant les termes de son argumentation. En procédant de cette façon, Jack Lang escamote la référence à Marc Bloch et esquive le débat de fond, à savoir : peut-on faire aujourd’hui l’économie d’une réflexion sur la nation française, à l’heure de la globalisation et de l’immigration de masse ? Existe-t-il une identité nationale, et que recouvre-t-elle exactement ? Quels sont ses contours et ses caractéristiques ? Bref, qu’est-ce qu’être français ? Les identités sont-elles interchangeables ? Et sont-elles même toujours compatibles entre elles ? 

Bien sûr, chacun peut admettre que les musulmans ont toute leur place dans la République. Mais toutes les pratiques de l’islam sont-elles compatibles avec la nation française ? Doit-on accepter sans autre forme de débat l’idée bien audacieuse selon laquelle l’islam, en tant que système de valeurs, trouve naturellement sa place dans l’identité nationale ? 

Dans son communiqué, Jack Lang soutient que la nation française « a été forgée et enrichie générations après générations par les affluents des multiples religions ». Cette affirmation reste à démontrer. Toutes les religions ont-elles contribué de la même façon à la construction nationale ? Quels ont été les apports de l’islam, non pas sous l’angle individuel, mais sous l’angle collectif et culturel ? Quel a été le rôle du Coran et du droit islamique ? Dans la société française actuelle, quelle part revient à l’islam dans les domaines du droit, de la culture, de la production artistique, des modes de vie ou de l’urbanisme ?

On aimerait bien avoir la réponse de Jack Lang, mais celui-ci, comme une bonne partie des élites, se garde bien d’entrer dans ce genre de débat. Or, qu’on le veuille ou non, la compatibilité entre la qualité de Français et certaines variantes de l’islam est posée. La polygamie a été interdite depuis 1993 après avoir été acceptée par la jurisprudence (arrêt Montcho du Conseil d’Etat, 1980). La répudiation, qui a été acceptée par les conventions bilatérales, a progressivement été  jugée contraire à l’ordre public. Plus encore : depuis les années 2000, la jurisprudence administrative a validé le principe suivant lequel certaines pratiques religieuses rendent impossibles l’accès à la nationalité française. C’est ainsi que, le 27 juin 2008, le Conseil d’Etat a accepté de ne pas accorder la nationalité française à une Marocaine de 32 ans, pourtant mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France, et malgré sa bonne maitrise de la langue française, car cette femme, qui portait la burqa, a développé « une pratique radicale de sa religion » au point d’adopter « un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française, et notamment le principe d’égalité des sexes ». De même, dans une décision rendue le 27 novembre 2013, le Conseil d’Etat a entériné le refus du gouvernement d’attribuer la nationalité française par mariage à un homme de confession musulmane engagé dans un mouvement fondamentaliste (le Tabligh), même si celui-ci était marié depuis plus de 4 ans avec une française. Là encore, le Conseil d’Etat a mis en avant un « défaut d’assimilation » en constatant que « l’intéressé refuse d’accepter les valeurs essentielles de la société française et notamment l’égalité entre les hommes et les femmes ». 

Bref, si les musulmans ont toute leur place dans la société française, une question demeure : à quelles conditions et avec quelles limites ? Après avoir été longtemps étouffée, cette interrogation revient aujourd’hui en force. En tout état de cause, elle ne peut plus être écartée d’un revers de main, ou d’une assignation devant un tribunal, simplement parce qu’elle déplaît ou parce qu’elle est posée par quelqu’un que l’on n’aime pas. 

Il serait même pour le moins paradoxal qu’un débat aussi important soit fermé au moment où les pouvoirs publics expliquent que la société française est attaquée à cause de son mode de vie et de ses valeurs. Quel est ce mode de vie qui est attaqué ? Quelles sont ces valeurs qui sont aujourd’hui menacées parce qu’elles déplaisent manifestement à certains musulmans ? Une réponse toute prête, et bien commode, est généralement avancée : nos valeurs, ce sont la tolérance et l’ouverture aux autres. Certes, mais aujourd’hui, cette réponse ne suffit plus car on voit bien que tout n’est pas tolérable. Il revient donc aujourd’hui aux élites de s’attaquer sérieusement à ce chantier. Un point de départ possible pourrait être de relire Marc Bloch. Au fait, n’était-il pas question de le faire entrer au Panthéon, voici quelques années ? Ce serait déjà un bon début. 

Marion Maréchal-Le Pen, l’islam et l’histoire de France : quand l’accusation de crétinisme sert de cache-misère à une défaite de la pensée

 http://www.atlantico.fr/decryptage/marion-marechal-pen-islam-et-histoire-france-quand-accusation-cretinisme-sert-cache-misere-defaite-pensee-vincent-tournier-2477847.html#4iW7xo30LshAA4UA.99

En complément,

Pour la candidate Front national en Paca Marion Maréchal-Le Pen, les musulmans ne peuvent être français « qu’à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie » hérités de l’histoire notamment chrétienne du pays. « Qui n’a pas vibré au sacre de Reims et à la fête de la Fédération n’est pas vraiment français », a lancé la députée FN, lors d’un meeting à Toulon (Var). Pendant plusieurs siècles, les rois de France ont été sacrés dans la cathédrale de Reims, symbole de l’alliance entre le pouvoir royal et l’Église catholique. La fête de la Fédération est, elle, un symbole républicain, la célébration du premier anniversaire de la prise de la Bastille.

« Nous ne sommes pas une terre d’islam, et si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition seulement de se plier aux moeurs et au mode de vie que l’influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonnés », a-t-elle ajouté : « Chez nous, on ne vit pas en djellaba (longue robe à capuche traditionnelle dans les pays arabes, NDLR), on ne vit pas en voile intégral et on n’impose pas des mosquées cathédrales. »

La France de Charles Martel

Avant ce discours centré sur « l’identité », le maire de Béziers (Hérault) Robert Ménard s’était exprimé à la tribune, affirmant vouloir « retrouver » la France de Charles Martel. « Je veux retrouver notre France, celle de Louis XIV, de Napoléon, et celle, si le ministère de l’Intérieur me l’autorise, de Charles Martel », souverain des Francs qui a affronté les armées musulmanes lors de la bataille de Poitiers en 732, a-t-il lancé.

« Je veux continuer à vivre dans un pays où l’on parle français et non pas une espèce de sabir de banlieue, je veux continuer à me promener dans des villages bâtis à l’ombre des églises, je veux une crèche dans mon hôtel de ville », a poursuivi le maire de Béziers. « Nous sommes rongés de l’intérieur (et) on voudrait que l’on n’ait pas envie de vomir », a poursuivi Robert Ménard, avant de moquer ceux qui « se contentent d’aller résister en buvant un café à la terrasse d’un bistrot ou en faisant des concours de bougies ».

« Aucune de ces réactions collectives n’a été ou n’est à la hauteur. Imaginons les Français de 1916 se promenant avec un papier je suis Verdun » ou des Français accueillant le général de Gaulle avec « un panneau je suis Charles », a raillé l’élu rompu aux polémiques. La nièce de Marine Le Pen est en tête de plusieurs sondages récents en Paca, devant Christian Estrosi (LR) et Christophe Castaner (PS).

http://www.lepoint.fr/politique/les-musulmans-ne-peuvent-etre-francais-que-sous-condition-juge-marion-marechal-le-pen-01-12-2015-1986416_20.php

 

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23 Commentaires

  1. Nous ne permettons pas à ce triste personnage de donner des leçons à qui que ce soit et encore moins à Marion Maréchal. Ce personnage des plus « trouble » n’a d’ailleurs aucun droit car il devrait être embastillé depuis bien longtemps! le PS qui est riche de ce genre d’individus et qui fait entrer des immigrés clandestins dans NOTRE pays contre l’avis de la quasi totalité des français n’en a je l’espère plus pour longtemps à faire régner sa loi dans Notre France!

    • Ce n’est plus qu’une question de temps. Et à cet âge là, le temps passe vite !

  2. Mais enfin ! ça vous ennuie que je parle de Louis XVI et du Sacre ? Mon dernier commentaire n’a pas été retenu ! Bravo !

    • Ce n’est pas moi qui ai validé/pas validé, Hathorit, mais à Résistance républicaine nous défendons la France mais aussi la République et sommes les héritiers de 1789, on ne peut donc pas laisser traîner dans la boue la Révolution française, désolée. Nous réunissons des citoyens d’opinions différentes autour de la lutte contre l’islam mais nous refusons de faire de notre site un outil de détestation de nos fondamentaux.

  3. Bonjour Christine,

    Merci d’avoir bien enrichi ma modeste ( initiale) contribution écrite par des références historiques et des jurisprudences quant à l’acquisition de la nationalité française.
    Je pense (et c’est totalement gratuit car je ne cherche à « séduire » personne en tant qu’électron libre) comme Aragon : »que la femme est l’avenir de l’homme ».
    à toute affirmation on peut, bien sûr, opposer son contraire mais, en règle générale, la sagesse, le courage et l’intelligence sont souvent du côté des femmes (je sais il y a des exceptions et la triste actualité le prouve).

    Marion MLP est belle, courageuse et intelligente : j’espère qu’elle survivra dans l’impitoyable panier de crabes politique…

    Amitiés,

    Diogène

    • Un édifice qu’il faudra fermer. Envoyer tout ce qui dedans chez l’arabe de saoud et y construire en lieu et place l’Institut du Monde Européen.

  4. J’entendais hier sur la chaine LCP un commentaire de M. WOERTH se moquant de Marion Maréchal Le Pen, en disant qu’à 25 ans elle ne pouvait pas dire que la politique des 30 dernières années nous avait conduit au désastre, sous prétexte qu’elle était trop jeune. Suivant ce raisonnement, je me suis dit que mes profs d’histoire m’avait surement raconté un tas de mensonge, car je ne crois pas que l’un d’entre eux ai connu Louis XVI, et si ça se trouve la prise de la bastille est une invention pure et simple, puisque il ne reste aucun témoin. C’est surement la très grande capacité d’analyse de M. WOERTH qui lui donne la légitimité qu’il s’accorde pour la critique. Enfin un sauveur !!!!!!!!

    • Qui s intéresse encore à ce type dont on ne se souvient que pour des affaires ? Quant au M. Gadgets culturels, pardonnez moi mais on s en moque, non ?

  5. @Diogène
    Excusez-moi mais je souhaite préciser deux notions :
    – La polygamie
    Elle est totalement contraire à notre droit et à nos moeurs. La bigamie, le fait d’avoir deux conjoints, a toujours été sévèrement sanctionnée pénalement. Alors la polygamie…
    Notre pays judéo-chrétien a pour tradition la monogamie. Nous avons une culture (ou une spiritualité, pour les croyants) du couple : deux personnes. Même si beaucoup changent de partenaire, ce n’est jamais qu’un partenaire à la fois, la plupart du temps.
    – La répudiation
    Même chose : elle est totalement contraire au droit français et à nos moeurs. C’est pour cela que le divorce a été autorisé tard (fin du 19 ème) et avec une procédure plutôt longue (jusqu’au divorce par consentement mutuel, qui n’est d’ailleurs pas une répudiation.)

    •  » un partenaire à la fois la plupart du temps  » je me marre. Il y a de nombreux hommes et de non moins nombreuses femmes qui ont une double vie ou pratiquent l’infidélité chronique. Dois-je vous parler des bons pères de famille, maris attentionnés qui, dès que leur bourgeoise a le dos tourné, vont faire des propositions à la première fille qui passe ?
      Chez nous, l’infidélité n’est pas considérée comme une institution comme dans l »islam. Et chez nous, elle peut être réciproque : on ne lapide pas les femmes adultères. On ne lapide personne. C’est ça notre différence.
      Ne croyez pas que les femmes musulmanes sont plus fidèles que les non-musulmanes.
      Elles se font refaire l’hymen avant de se marier ; celles qui portent le hijab, quand elles reçoivent leurs amants leur font porter le hijab pour venir les voir (et comme les hommes et les femmes ne doivent pas se rencontrer : le mari ne vient pas chez sa femme quand elle reçoit son « amie  » qui, en fait, est un homme.).. Ils sont cocus sur toute la ligne, ils paient pour cela en « dotant  » leur épouse. Je me marre.

  6. C’est çà la France exemplaire selon Hollandouille ! Un copain de 76 ans qui empoche un max par mois pour faire de la figuration !

    • Comment Monsieur LANG si distingué ministre de la culture dans un précédent gouvernement ose t’il ramener sa science !!lui qui avait porté au panthéon le groupe NIQUE TA MERE!!!! il est vrai qu’avant lui les Francais étaient de sombres cons incultes

  7. Bonjour
    Je ne suis pas d’accord avec le titre !
    Il est moche comme un pou, aussi distingué qu’un hareng saur et
    il pue la suffisance et l’orgueil !
    Cette momie est pourrie jusqu’à la moelle, il n’aura jamais rien apporté à la France mais il a su en tirer le max ! C’est l’archétype de la politique des copains !
    Toujours casé aux bonnes places, grassement payé sans jamais avoir prouvé son utilité ! Il est un scandale à lui tout seul Il aurait un minimum d’honneur il démissionnerait au lieu d’occuper cette place à 76 ans !!! (Il est né en 39!) Pourri !!!

  8. « ..Invoquer abusivement la Fête de la Fédération est une escroquerie contraire à l’esprit de rassemblement des cultures de France que la Révolution française avait voulu célébrer… »

    Je pense que les révolutionnaires pensaient plutôt à rassembler des Français venant de régions différentes, car il y avait à l’époque de grandes disparités, un Basque n’est pas un Breton ou un Alsacien et certains habitants de ces régions se disaient avant tout Basques, Bretons ou Alsaciens justement AVANT de se considerer comme Français.

    Et ça, c’était déjà un non sens inacceptable pour moi.

    Les régions et leurs particularités peuvent être une bonne chose, mais pas si ces particularités amènent à des guerres de clochers, et on peut être heureux et fiers d’appartenir à une région MAIS, ça doit passer APRÈS la fierté d’être Français.

    Bref, le Jack, ben il n’a encore rien compris à l’histoire ce con là.

    Et vu son âge et sa dhimmitude assumée, il est à craindre qu’il ne comprenne jamais.

    • Je suis bretonne. Ce qui me différencie d un Basque c est simplement la langue de mes ancêtres une culture et une histoire qui font un rapport avec la mort très fort par exemple. Mais ne vous trompez pas : l immense majorité des Bretons est chrétienne et française avant tout. Comme nos immigrés espagnols italiens et polonais

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