« Sauver la nourriture » « Sauver la vie »
Que les terroristes climatiques se nomment « la Dernière génération » dans les rues de Berlin fait frissonner. On est le dernier quand tous les autres ne sont plus là. Le climat ne se souciera pas des derniers.
Ce qui se passe actuellement dans les rues de Berlin est un théâtre de l’absurde.
C’est le résultat d’années d’alarmisme. Ces gamins paumés qui jettent de la nourriture dans la rue avec le slogan « Sauver la nourriture » et se collent sur l’asphalte en prétendant sauver ainsi le climat n’ont rien entendu d’autre depuis leur naissance de la part de leurs parents, et dès la maternelle de la part de leurs enseignants. Ils sont persuadés que la fin du monde est pour demain.
Ils ont également lu les mêmes choses dans les livres pour enfants ou vu dans des films que cela était vrai, et l’ont entendu répéter à la radio. Cette dernière étant principalement présente dans la voiture de leurs parents, lorsqu’ils allaient les chercher à l’école ou les conduisaient à leur cours de danse classique ou de dessin créatif, même si la destination était à moins d’un kilomètre !
Les vacances, même dans les régions les plus éloignées du monde, allaient de soi. Une année en Australie en tant qu’élève et une année au Chili en tant qu’étudiant étaient la norme pour chaque classe sociale. Si les membres de la Dernière génération étaient originaires de Bavière et que le baccalauréat y était trop difficile pour eux, ils étaient envoyés à Berlin ou Brême, où les exigences ne sont pas aussi élevées. Les adresses des communautés d’élèves étaient négociées comme de la poudre d’or par les parents.
L’orgueil moral
Dans les foyers éco-conscients à hauts revenus, on privilégie les avocats, les mangues et les papayes. Le pain aux céréales est acheté à prix d’or dans les magasins bio, les prescripteurs de nouvelles tendances n’utilisent plus que du cirage vegan. L’orgueil moral est dans leur sang, comme le sang bleu dans celui des nobles. Une génération qui a grandi en laissant ses parents organiser les files d’attente devant les toboggans et qui n’a jamais pu faire sa propre expérience n’a évidemment pas la moindre idée de la réalité. On ne peut pas leur en vouloir. Seulement, s’ils grandissent et ne font pas l’effort de changer les choses, c’est uniquement de leur faute.
Au lieu d’apprendre comment le monde fonctionne vraiment, ces enfants gâtés de la classe moyenne se posent en victimes et annoncent effectivement que parce qu’ils doivent pleurer dans leur lit la nuit, ils ont le droit de commettre n’importe quel acte, même le plus infantile.
Comme le blocage des ambulances sur la route qui est autorisé sous le prétexte de « sauver des vies ». Et ceux qui pointent du doigt l’abîme criant entre les exigences proclamées et la réalité sont des « fachos ».
La débilité saluée comme un acte admirable
Lorsque Greta, conditionnée par ses parents, a prôné l’école buissonnière comme moyen de sauver le climat et que cela s’est brièvement transformé en un mouvement de masse d’élèves faisant vraiment l’école buissonnière, les politiques et les médias ont célébré cette imbécillité comme un acte admirable.
Greta a été reçue au Vatican, à la Maison Blanche, par l’UE et par la chancelière Merkel. L’expérience de ces jeunes gens était la suivante : si l’on se montre suffisamment démonstratif parce qu’il faut sauver le climat, on obtient la sortie du charbon. Si celle-ci n’est pas totalement et immédiatement exécutée, on passe à l’étape suivante de l’escalade.
Grève de la faim
On s’affame un peu devant la porte de Brandebourg (photos ci-dessus), on est convaincu par le candidat à la chancellerie de renoncer par une invitation, on s’assoit ensuite à la chancellerie, on laisse à peine le chancelier s’exprimer et on menace d’actions encore plus extrémistes.
D’où viennent l’électricité, le chauffage, l’eau chaude, la nourriture, les vêtements, cela n’a aucune importance. S’il n’y a plus de pain, ces dégénérés mangeront de la brioche et feront tourner le générateur diesel quand ils auront froid.
Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? La nomenklatura communiste n’a jamais eu à souffrir de la pénurie ou des famines politiques qu’elle a créées. Ils ont bien entendu bénéficié d’un régime spécial.
L’Holodomor en Ukraine, l’« extermination par la faim » de Staline
« Pourquoi êtes-vous encore en vie, cochons de koulaks ? »
On peut lire chez Anne Applebaum comment les jeunes fanatiques communistes soviétiques, au troisième stade de l’Holodomor en Ukraine, s’asseyaient sur les collines pour garder un œil sur les cheminées des villages. Dès que la fumée indiquait qu’il était éventuellement possible de cuisiner, la maison était prise d’assaut, la nourriture détruite au cri de « pourquoi êtes-vous encore en vie, salauds de koulaks ? ». Car à l’époque déjà, c’était la faute du peuple si les fantasmes élitistes de sauvetage du monde ne fonctionnaient pas comme prévu.
Le fait que les terroristes climatiques dans les rues de Berlin s’appellent « la Dernière génération » fait frissonner. On est le dernier quand tous les autres ne sont plus là.
Le climat ne se souciera pas des derniers.
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« Après moi le déluge, non, je veux voir le déluge » ! À tout les niveaux, l’être humain est dépassé par ce qui se trame/passe, et c’est relativement explicable, tiens, entre autres, Elon Musk en a perdu ses satellites Starlink. Et c’est bien le problème, l’humain (de classe) ne se sent pas le droit d’être dépassé, alors dans l’urgence, l’opération imposée ne sera qu’approximativement désolation. Brouillonne. Néantissime ! Ne jamais agir dans la hâte. À méditer.
Brrr ! Ce nouveau fanatisme fait froid dans le dos.
Et de plus, il est le résultat de bourrage de crâne organisé par l’école et certains parents vegan.
La PEUR, encore elle, un bon moyen de manipuler les individus.
Ces jeunes sont persuadés d’être la dernière génération .
si ils s’assument en tant que dernière génération, c’est qu’ils ne se reproduiront pas ….et qu’ils pensent disparaître vite……enfin une bonne nouvelle…..
Quand on respire on dégage du CO², vous savez l’horrible poison !
Je propose à tous ces écologistes très éco-conscient de faire un acte héroïque pour sauver la planète.
Il faut une date mémorable, disons le prochain anniversaire de Greta la gretchen.
Ce jour béni, ils arrêtent tous de respirer une heure ou deux. Le taux de CO² baissera drastiquement et Gaia sera sauvée.
Ca sera marquant et on s’en souviendra !
Je pense plutôt que nous assistons à la dernière dégénérescence de la race humaine.
« la dernière génération »…d’allemands de souche, oui ça viendra un jour, mais ils seront remplacés par les descendants des hordes muzz que la merdekel a fait venir pour travailler dans les usines et faire du fric avec les ventes de bagnoles aux USA et ailleurs. Quant aux connards/fainéants/enfants gâtés pourris jusqu’à la moelle, qui pleurnichent sur leur futur, il fut un temps que j’ai connu à Berlin (1968) où ces petits imbéciles auraient été dégagés manu militari. Une autre époque…
Je m’abstiens de commentaires pour la petite counasse , sinon je vais devenir grossier…
Et que dire de l’Holodomor que les cocos qui regrettent encore le « bon temps Stalinien » passent sous silence et viennent nous gonfler les oreilles avec les soi-disant exactions de « l’extremdrouate » !
abqurde et débile
les flics balaient les depots sauvages de nourriture
je vais dire « de mon temps » les flics auraient arrosé de genereux coups de matraques ces branleurs et les auraient obligés a tout ramasser a la main…ensuite , panier a salade, silence exigé! sinon pan pan cucu, au poste prise d’ empreintes, photos, baffes discrètes (il n y avait pas d iphone)garde a vue, distribution de beignes en guise de psychologie et autres soucioulougies
le good old time, en somme….j avais un copain, guy gilbert, qui etait garde champetre des bois de chavile et qui arborait un képi, avec sur la poitrine un écusson « LA LOI » et qui terrifiait ceux qui osaient tremper un fil dans les étangs des ecrevisses, ou encore se balader avec une 4.5 mm a air comprimé
la ruine a commencé avec l’ ex decoré de la Francisque et le Mai 68, qui , hélas, ne furent pas réprimés comme il se devait
et avec une(dejà) surpopulation d’ immigrés (autorisés…) dirigée par le Giscard dit d’ Estaing -particule même pas élémentaire, achetée a son prix, c’est a dire presque rien … »BONCHOIR BADABE » …en effet grace a ce nobliau de kebab,et son gynécée familial de fleuristes ce fut un « bon choir » en effet, le debut de la chute
soigneusement entretenue au fallacieux prétexte d’ une démographie française en chute libre
aujourd hui j ai, nous avons une vingtaine de millions de « con-patriotes » venus de cette afrique autant septentrionale que subsaharienne…qui nous a couté et continue, des dizaines de milliards….
VIVE ZEMMOUR VIVE LA FRANCE
@Machin.ne pas oublier ,,si !! si !!!! il faut la nommer , je la connais par coeur : fransisquette numero 2202 pour le faux résistant , a une époque antisémite et le pire marié a une française juive . Sacré miterre , l’homme qui fut un des responsable d’Oradour sur Glane selon une certaine affaire de stock d’armes dans une eglise , mais ceci est une autre Histoire ..
Ensuite pour les plus anciens comme moi et nous , le soir ou l’oncle Giscard vint PLEURER , je dis bien PLEURER sur une des chaine de télévision encore blanche et FRANCAISES , pas comme nos 24 chaines numériques déplacées en Afrique avec 90 de publicité africano-arabe , donc le Giscard vint parler en pleurant oui en pleurant larmes de crocodiles que son pauvre frère par erreurs et autres circonstances fut un chantre de la collaboration petainiste , je me pose quand même la question si les larmes de crocodiles n’étaient pas des diamants , j’en convient un peu gros pour passer par les glandes lacrymales , mais vous tous le savaient , qui peu le plus peu le moins ..
bon Dimanche et que Dieu vous garde…
Comme le dit le proverbe des CRONS : » sauve qui peut !! sauve qui peut pas se casse la gueule » ………………………………..traduction : » si ils veulent crever qu’ils crèvent » … comme disait le Bouddha , ni trop , ni peu , juste la voie du milieu ……..
PS , c’est ce que l’on a vu entre autre en terre de France pendant la guerre , » le pauvre paysan » qui se fabriquait sa bouffe discrètement , âpres l’avoir planquée discrètement il passa la guerre tranquillement ….. pendant que » Greta G dit la Oisive » défilait a Berlin au milieu des nazis , le poing levé en gueulant comme une truie-Cigale : » a bouffer !!! a bouffer !!! a bouffer !!!
Curieuse histoire des le matin .