Traduction par Jean Schoving,
150 « réfugiés » qui ne sont manifestement pas les bienvenus, selon les habitants avec lesquels nous avons pu nous entretenir aujourd’hui !
Banderole :
Notre drapeau, notre pays, résistance nationale – Arrêtez cette folie des demandeurs d’asile.
Mélanie Dittmer :
« Hello, l’action identitaire est à nouveau en action, comme vous le voyez à notre « camp de protestation », nous sommes ici avec quelques filles et avons dressé nos tentes jusqu’au moment où arriveront les demandeurs d’asile ; à ce moment-là nous serons probablement obligées de partir, ou on nous fera partir, nous verrons bien.
Nous nous somme donné du mal, nous avons confectionné de jolies banderoles, avons colorié des draps, le drapeau noir de la Résistance est lui aussi accroché comme signe de notre opposition à un système qui n’aspire manifestement qu’à une chose, remplacer son propre peuple par des millions d’étrangers venus d’Afrique ou des États des Balkans, des pays où ne règne aucune guerre, et aussi longtemps que le gouvernement fédéral ne se montrera pas conciliant et détruira son propre peuple, nous continuerons à protester. »
Sous une banderole marquée Patrie, Liberté, Tradition
Nous manifestons contre l’accueil de 150 réfugiés supplémentaires à Sankt-Augustin
Mélanie Dittmer :
« Il s’agit aujourd’hui pour nous, les quatre filles, d’attirer l’attention ici sur le foyer pour demandeurs d’asile, là-bas, pour l’accueil de 150 demandeurs d’asile, qui viennent bien entendu de pays où il n’y a absolument aucune guerre, comme d’habitude ; ces gens viennent uniquement pour l’argent, les habitants des environs vont être contents, la valeur de leurs terrains va chuter ; tout le monde sera-t-il encore en sécurité à ce moment-là ? On ne le sait pas très bien, si on lit les manchettes des journaux qui parlent d’agressions, et nous n’en avons aucune envie, nous les habitants de l’arrondissement Rhin et Sieg et nous disons : Arrêtez cette folie des demandeurs d’asile ».
« Hello à nouveau, je suis Mélanie de l’Action identitaire. Cela fait maintenant 5 heures que nous sommes ici à Sankt-Augustin, avec nos tentes. Nous avons tout installé, nos banderoles sont accrochées, nous avons installé un petit poêle pour avoir un peu moins froid. Nous avons déjà eu les premières conversations avec les habitants qui se rendaient à la piscine toute proche, tous les habitants sans aucune exception nous ont approuvées, mais comme toujours, on nous dit que le citoyen lambda n’a pas le courage d’ouvrir la bouche, et ceci est à vrai dire très triste, quand on voit le nombre de personnes qui pensent exactement comme nous, nous qui nous abritons aujourd’hui sous les tentes pour vous, parce que personne n’a envie d’avoir à proximité des réfugiés économiques, des bandes de voleurs et c’est très intéressant, attendons de voir ce qui va encore se passer cette nuit. Nous sommes cinq entre-temps, peut-être d’autres nous rejoindront-ils encore ; population de Sankt-Augustin, vous êtes invités de tout cœur, accourez, nous protestons contre cette folie des demandeurs d’asile. »
Mélanie Dittmer :
« Voilà, je suis à nouveau au chaud maintenant, après notre camp de protestation de ce jour à Sankt-Augustin. À la fin, la police est arrivée, accompagnée du maire et des pompiers, qui nous ont interdit alors de faire du feu dans le pré. Nous avions une espèce de protection en acier, où on peut introduire les bûches, pas un foyer ouvert ou quelque chose de ce genre, le tout était encore entouré d’un châssis en fer avec une grille, c’est-à-dire pour le cas où. Et ensuite, le maire, comme nous étions à proximité de l’école communale de la ville, nous a signifié l’interdiction d’occuper le terrain et nous a dit que nous ne pouvions pas y rester plus longtemps, qu’une plainte serait déposée contre nous pour violation de domicile. La police nous alors demandé de partir, sinon plainte serait déposée contre nous. Le maire a ajouté que si nous partions, nous pourrions avoir un rendez-vous pour une discussion avec lui, il nous a par conséquent proposé un entretien pour parler avec lui des soucis des citoyens, qui sont manifestement dans l’air.
Tous sans exception nous ont encouragées, pas un seul habitant n’était contre nous, nous avons parlé avec une quinzaine d’habitants qui se rendaient à la piscine, laquelle se trouve à côté de l’école de Sankt-Augustin ; tous nous ont donné raison, en disant que cela ne pouvait plus continuer ainsi avec la politique, avec ce qu’elle pratique. Le maire se trouve quasiment dos au mur à Sankt-Augustin, il est très embarrassé. Il nous a donc proposé une date pour un entretien et se montre entièrement disposé à discuter avec nous. Nous allons régler cela avec lui demain, nous allons l’appeler et convenir d’un rendez-vous, pour en parler. Attendons de voir ce qui va en en sortir, je pense que vous allez avoir une sorte de mise au point de notre part, comment cela s’est déroulé avec le maire. Nous organiserons certainement encore d’autres camps de protestation de ce genre, parce que l’écho a été excellent dans la population. Et de cela aussi, nous vous tiendrons au courant. Merci et salut. Bonne soirée. »
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Mélanie a eu la gentillesse de nous faire parvenir l’agenda de Pegida Allemagne jusqu’à la fin de l’année, afin que chacun en prenne de la graine ! En Allemagne les patriotes ne baissent pas les bras !
14.10.
Christine Tasin
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Si nous devons faire la même chose, il faut remplir les caisses !
Je lance un appel à tous les patriotes qui lisent CHAQUE JOUR Résistance Républicaine
Pour diverses raisons, tout le monde ne peut pas assister physiquement aux manifestations ou autre action mais vous pouvons y contribuer d’une autre manière:
MERCI de mettre à jour vos cotisations et un Don même petit permet de soutenir l’action de Christine et des patriotes !
Merci Le Chatelain, effectivement nous limitons les manifestations parce que le coût est exorbitant… ne serait-ce que pour le service de sécurité indispensable vu nos thèmes, et je ne parle pas de la sono etc