Ce n’est pas une vaccination mais une thérapie génique prophylactique
Là où l’idéologie prévaut, les faits n’ont pas d’importance
En Suisse, heureusement qu’on a des Suisses-allemands et aussi des Tessinois. Ils sont plus patriotes, plus critiques et plus épris de libertés et de la souveraineté du peuple que les Romands et les Français. Non seulement ils organisent bien des référendums, mais ils votent mieux!
C’est aussi en Suisse allemande qu’il y a le plus de sites critiques d’information, de plaintes déposées aux tribunaux contre les mesures, les violations de la Constitution, la panique créée, les mensonges Covid-19.
Voyez les faits tenus à jour sur le site d’information Swiss Policy Research, cela en nombreuses langues:
https://swprs.org/fakten-zu-covid-19/
Voyez le site d’information actualisé chaque jour Corona Transition:
Et ils déposent aux tribunaux des plaintes, par exemple cette plainte modèle fort bien documentée de près de 100 pages contre la Swiss National Covid-19 Science Task Force:
https://corona-transition.org/IMG/pdf/strafanzeige_schreckung_task-force_12-5-21.pdf
En Suisse allemande il y a encore d’excellents journalistes comme ceux de Basel Express ou comme Roger Köppel de la Weltwoche qui investiguent, publient des faits, écrivent des articles objectifs et ne se laissent pas manipuler. Pourquoi nos médias européens sont devenus célèbres pour leur caractère monolithique? Pourquoi dans le domaine des médias, les chaînes de télévision et les radios sont devenues aussi diverses que Radio Moscou pendant la guerre froide? Pourquoi la majorité des médias écrits et télévisés ne publient ou ne présentent pas des interviews comme celui du Basel Express? Parce qu’il sont subventionnés par les contribuables? Parce qu’ils sont soumis au marxisme culturel? Parce que leurs idéaux sont par nature des aspirations et non des faits? Parce que leurs journalistes sont des médiocres ou des idiots utiles? Parce que le marxisme culturel omniprésent dans les médias nous fait courir vers un État totalitaire à parti unique?
J’ai beaucoup apprécié le ci-après interview avec le Professeur allemand Stefan Hockertz, un scientifique riche et sage de sa longue expérience et beaucoup appris sur les mécanismes d’action, le développement, la situation des études et des formalités d’autorisation de mise sur le marché pour la vaccination ARN. Elle n’est définitivement pas une vaccination mais une thérapie génique prophylactique, à risque parce que vraiment fort peu étudiée.
C’est pourquoi j’ai traduit en français cette interview, qu’a publiée la rédaction du mensuel Basel Express en avril dernier, afin que les lecteurs de ce site web puissent se faire leur propre opinion sans être manipulés par la propagande mensongère de gouvernants et de scientifiques arrivistes, atteints de jeunisme et soumis ou épris de pouvoir ou corrompus.
Si les citoyens ne peuvent pas former et exprimer librement leurs opinions, ils perdent la capacité de défendre leurs autres libertés.
« Ce n’est pas une vaccination mais une thérapie génique prophylactique »
Traduction de l’interview publié en avril 2021dans le mensuel Basel Express
Comme le lapin blanc, la vaccination à l’ARNm est sortie du chapeau d’un magicien, mais où sont les études validées?
Est-ce que cette mise en scène de cette maladie due à un coronavirus dénommée Covid-19 concerne toujours et vraiment notre santé ? De plus en plus de gens qui pensent de manière indépendante et critique se posent cette question parce que les tragiques dommages collatéraux à la santé et à l’économie ont depuis longtemps dépassé la proportionnalité et il n’y a pas de fin en vue.
Au vu de ce que rapportent de manière totalement unilatérale les médias et les représentants de l’État qui répriment rigoureusement tout débat critique, on ne peut nier l’impression que les parties de notre corps les plus lavées au cours des 12 derniers mois n’étaient de loin pas nos mains, mais notre cerveau !
La « vaccination » à l’ARNm soit une intervention thérapeutique génique chez l’homme est une technologie prophylactique qui, auparavant, n’a jamais obtenu une autorisations de mise sur le marché. Mais de quoi exactement ces vaccins sont-ils censés nous protéger? Avant la maladie en soi, avant une grave évolution de la maladie ou avant d’en infecter d’autres personnes ? Ce vaccin immature, testé à la hâte et de manière inappropriée, ce qui ne répond absolument pas aux normes scientifiques actuelles, entraîne-t-il des lésions corporelles volontaires incommensurables ?
Basel Express en conversation avec l’immunologue, pharmacologue et toxicologue le Professeur allemand Stefan Hockertz sur les mécanismes d’action, le développement, la situation des études et des formalités d’autorisation de mise sur le marché pour cette vaccination ARNm.
.
Professeur Hockertz, si on examine votre curriculum professionnel, on pourrait penser que, durant toute votre vie, vous vous êtes préparé pour être prêt à cette crise historiquement unique afin de pouvoir trouver des solutions en tant qu’expert de premier plan. Pourquoi votre gouvernement et les médias n’ont-ils pas fait appel à votre expertise?
Aucune idée, vous devriez le demander vous-même aux personnes susmentionnées. De toute évidence, un discours ouvert et critique entre experts scientifiques n’est pas dans l’intérêt du gouvernement. On ne peut qu’en spéculer sur les raisons. Mais il est vrai qu’une grande partie de ce que j’ai traité scientifiquement jusqu’à présent est très d’actualité en ce moment. Après ma thèse de doctorat en immunologie, je suis passé à la pharmacologie et à la toxicologie, j’y ai fait mon habilitation et j’ai traité surtout de sujets réglementaires: par exemple, comment sont développés les médicaments, comment ils doivent fonctionner et quelles normes de sécurité ils doivent respecter. J’ai également participé à divers développements de vaccins en tant que toxicologue senior. Ce que beaucoup ne savent pas, c’est que j’ai passé une longue période à travailler avec des liposomes et des nanosomes, une galénique très pointue mais aussi dangereuse, c’est-à-dire la façon de modifier des médicaments pour qu’ils puissent pénétrer dans les cellules ou atteindre des organes spécifiques. Les globules lipidiques tels que ceux utilisés dans les nouveaux vaccins ARNm sont très adaptés pour cela, mais il faut être capable de bien les étudier, de bien les connaître et de les manipuler à bon escient.
.
Cela nous amène au sujet: la nouvelle vaccination dite d’ARNm contre le SRAS-CoV-2. Toute nouvelle, elle repose évidemment sur une technique d’intervention génétique dans le corps humain qui n’avait jamais été approuvée auparavant. Comment l’évaluer et que nous réserve-t-elle?
Il n’est pas facile de répondre à cette question car nous en savons relativement peu sur ce « vaccin ». En réalité, nous ne savons presque rien, et j’aime ce que dit M. Wieler, le président bien connu de l’Institut Robert Koch, qui a personnellement déclaré dans une interview à Phoenix le 15 octobre 2020, je cite: «Nous pensons donc tous que les « vaccins » seront approuvés l’année prochaine. Nous ne savons pas exactement comment ils fonctionnent, à quel point ils fonctionnent, ce qu’ils font. Mais je suis très optimiste, ils verront le jour ces vaccins, oh oui ! », Fin de citation. Donc, si M. Wieler dit cela, comment suis-je censé en savoir davantage ? Nous ne savons presque rien de ces vaccins si ce n’est qu’ils contiennent de l’ARNm. Nous savons que cet ARNm chez BioNtech et Moderna doit être transporté dans les cellules via des gouttelettes lipidiques ou via des nanosomes. Chez AstraZeneca, le matériel génétique est introduit et transporté via un vecteur viral, ce qui n’est pas non plus une technologie vraiment étudiée et sûre.
Cela signifie-t-il qu’il n’a pas été divulgué en détail comment ces nouveaux vaccins sont censés fonctionner?
C’est vrai, cela n’a pas encore été divulgué et ce n’est certainement pas prouvé comment tout cela est censé fonctionner. Comme l’ont annoncé les médias concernés, il y aurait une efficacité dans les 90% chez BioNTech. Deux jours plus tard, AstraZeneca a signalé une chance de succès de quatre-vingt-quinze pour cent; BioNTech a alors immédiatement révisé ses prévisions à ces quatre-vingt-quinze pour cent. Pour moi, il me semble qu’une compétition a éclaté pour les plus grands nombres.
Pfizer annonce une efficacité de 95%. Je n’ai jamais vu cela, si nous avions un vaccin antiglippal efficace entre 30 et 40 % nous applaudirions !!!!
BioNTech mène une étude internationale auprès de 43’500 personnes testées et, sur cette base et en quelques jours, a corrigé l’évaluation initiale d’efficacité de 90% à 95%. Comment expliquez-vous cela? Avait-on fait de mauvais calculs?
C’est absolument un mystère pour moi. Mais avant tout chose, je ne veux pas me mêler de ce changement de valeurs chiffrées, mais que des chiffres eux-mêmes, qui restent un mystère pour moi. J’ai participé au développement et aux autorisations d’un certain nombre de vaccins. Je viens de ce domaine scientifique. Par exemple, si nous avions un vaccin antigrippal efficace entre 30 et 40%, nous applaudirions. Une telle efficacité signifie que les humains vaccinés tombent malades 30 à 40% moins souvent qu’une population comparable qui n’a pas été vaccinée. En vaccination, nous avons toujours été à des kilomètres de 95% de succès; pour moi un tel chiffre est un miracle médical. Avec les miracles, j’ai toujours le problème qu’il faut y croire; en science, cependant, il ne faut pas croire, mais apporter des preuves !
Je ne suis pas le seul à être perplexe. Un virologue interrogé dans le ZDF Heute-Journal a également été interrogé sur comment de tels chiffres de succès pouvaient se produire. Et il a dit très clairement: « Je ne sais pas. » Pas étonnant, personne ne le sait ! Il ne peut donc s’agir que d’un paramètre de substitution à partir duquel ces nombres ont été déduits. Des preuves bien fondées indiquant si les personnes vaccinées sont malades ou non, (et je ne parle pas du test PCR, qui ne détecte tout simplement aucune maladie infectieuse, je parle de vraies maladies), n’ont pas pu être réalisées dans ce bref espace de temps. Surtout pas si l’on considère que l’étude que vous avez mentionnée avec plus de 43’000 sujets a été conçue pour être réalisée en deux ans, c’est-à-dire jusqu’en août 2022. Par conséquent, au moment de l’autorisation par nos autorités de cette « vaccination », cette étude n’était en cours que depuis 3 mois.
Dois-je bien comprendre que cette étude est toujours en cours?
Oui c’est correct; les études de AstraZeneca et de BioNTech sont conçues pour durer deux ans. Ainsi, le dernier sujet de l’étude ne sera inclus qu’en août 2022 et ce n’est qu’alors que l’étude pourra être correctement évaluée. Au stade actuel, il ne s’agit que d’une très mauvaise évaluation intermédiaire; elle doit donc tout au plus être considérée comme une première tendance.
Cela peut être comparé à une élection dans laquelle les bureaux de vote ne sont pas encore fermés, mais les tendances sont encore discutées à l’aide de projections. Bien sûr, cela marche bien dans le public. N’oublions pas que lors des dernières élections, nous avons souvent vu que les tendances étaient fausses. Souvent, l’extrapolation n’est même pas correcte et, dans ce cas, il ne s’agit pas d’une extrapolation mais simplement d’une tendance, parce que de loin toutes les personnes testées n’ont pas été incluses et évaluées. Autrement dit on présente une extrapolation qui n’est qu’une tendance alors que seulement dix pour cent des cas de l’étude projetée ont été inclus. Pour AstraZeneca, je le sais exactement parce que l’étude a été arrêtée en septembre 2020, et à cette époque, seuls 530 des 30’000 sujets étaient inclus. BioNTech fait profil bas et ne fournit aucune information à ce sujet.
De fait, ne sommes-nous pas susceptibles d’avoir des dommages génétiques ?
Le président de l’Institut Paul Ehrlich, le Professeur Klaus Cichutek, a récemment annoncé que les avertissements sur les dommages génétiques étaient erronés et alimenteraient des craintes infondées. Il est également convaincu qu’il ne peut pas y avoir de variations génétiques, car l’ARN n’est qu’un brin d’ADN, et l’ARN devrait pratiquement se reproduire dans l’ADN, ou plutôt se reconstruire en ADN, alors seulement vous auriez quelque chose de dangereux. Qu’est-ce que vous en pensez?
Avec tout le respect que je dois au Professeur Cichutek, je dois souligner qu’il est un employé à cent pour cent de notre gouvernement fédéral, car l’Institut Paul Ehrlich est directement subordonné au gouvernement fédéral allemand. Ce n’est pas un toxicologue, alors bien sûr, il ose faire des déclarations sans fondement; superbes déclarations qui de mon point de vue, devraient d’abord être étayées et validées. L’affirmation selon laquelle l’ARNm changerait le génome n’a jamais été faite par moi. J’ai seulement demandé si cela avait été étudié et dans quelle mesure cet ARNm, qui nous est fourni artificiellement puis transporté dans nos cellules, pouvait se répliquer ? Parce que telle réplication est très possible avec une enzyme telle l’ARN polymérase ARN-dépendante.
Par la suite cet ARN produirait de l’ADN. On devrait donc aussi rechercher dans quelle mesure est possible une deuxième infection par un virus capable de produire de l’ADN à partir d’ARN; Ainsi de fait, n’aurions-nous pas des dommages génétiques ? Je suis donc très étonné du manque de prudence de l’Institut Paul Ehrlich. Nous devons étudier et tester de manière approfondie toutes ces questions au cours du processus normal de demande d’autorisation d’une nouvelle stratégie de vaccination, surtout lorsqu’il s’agit d’une modification génétique. Parce que formellement, lorsque j’ajoute de l’ARNm à l’organisme humain, c’est une expérience de génie génétique.
Il faut d’abord réaliser des expériences sur l’animal ou sur une cellule isolée pour déterminer comment cet ARNm est décomposé, par exemple en combien de temps il est lu et si, en association avec un deuxième virus (en présence d’ADN polymérase ARN-dépendante), pour rechercher en particulier si un changement dans le génome ne se produit pas. Ce n’est que lorsque nous aurons réalisé ces expériences et que nous aurons obtenu des résultats significatifs conformément aux Bonnes pratiques de laboratoire que des déclarations telles que celles faites par M. Cichutek pourront être faites. Veuillez d’abord effectuer les expériences nécessaires et ne pas simplement prêcher des croyances non testées !
« Avec tout le respect que je dois au professeur Cichutek (Président de l’Institut Paul Ehrlich), je dois le prier de faire son travail et de mener d’abord les expériences nécessaires avant de proclamer des croyances non testées ! »
.
Suite demain, partie 2 de 2 : la maladie Covid-19 peut-elle être déclenchée par la vaccination elle-même ?
787 total views, 4 views today
Merci Christine , j’espère que beaucoup français soient éclairés et que ne soient plus hypnotisés , qu’ils allument leur cerveau
Si vous ne croyez toujours pas ce que dit ce Professeur allemand lisez cet article publié le 19 mai sur Lifesite:
160+ experts slam COVID vaccines as « unnecessary, ineffective and unsafe » in powerful letter
« In short, the available evidence and science indicate that COVID-19 vaccines are unnecessary, ineffective and unsafe. »
En bref, les preuves disponibles et la science indiquent que les vaccins COVID-19 sont inutiles, inefficaces et dangereux.
https://www.lifesitenews.com/news/160-experts-slam-covid-vaccines-as-unnecessary-ineffective-and-unsafe-in-powerful-letter
Ma Chère Christine vous n’ignorez pas que : “… le cap du milliard d’individus sur notre minuscule planète a été franchi en 1804, le cap des 5 milliards en 1987, celui des six milliards en 1999 et que l’on attend 9 à 12 milliards d’hommes en 2050. La conclusion s’impose d’elle même : par ses besoins alimentaires, eau potable, énergie, matières premières, espace vital, la surpopulation entraine la ruine de la planète et mettra en péril jusqu’à l’existence de ses habitants”. Extrait récit love story “les corps indécents”. Il faut donc réduire drastiquement la population du Globe pour qu’il ne soit pas sous peu à l’image du célèbre ” Radeau de la Méduse”. Le Coronavirus et ses variants vont bien dans ce sens, non ? Vaccination obligatoire ? Il fallait bien trouver la solution…(finale) !
d’accord vec vous, trop de monde sur terre, ils ont trouvé, sournoisement, ce moyen de faire baisser la population, pourtant une stérilisation de certains peuples (afrique et asie) seraient nettement meilleur et plus humaniste
Effectivement, sensibiliser les populations réfractaires au bien-fondé de la contraception est devenue une urgence. La religion a bon dos et donne encore la preuve que nous ne vivons pas au même siècle. Mettre un enfant au monde et n’avoir rien à lui offrir, pas de nourriture, de soins, d’hygiène, est pour moi un acte criminel. Oui, nous serons trop nombreux sur notre planète, mais la faute à qui ? Et comme le bon coeur de nos gouvernants n’a pas de limites, il faut soigner et soigner ces peuples qui, pour tout remerciement, viendront nous coloniser à leur tour et nous virer de chez nous. Mais personnellement, le vaccin c’est non.
Dans mon immeuble, un retraité en pleine forme qui montait les escaliers, allait et venait, prenait chaque jour son scooter etc s’est fait vacciné…une semaine après atteint du Covid il en est mort ! Bizarre, vous avait dit Bizarre ?
Metci pour l’info 👍👍👍
En acceptant l’ARN et ses risques, nous acceptons l’inacceptable non seulement pour nous mais aussi pour l’homme et son intégrité physique et mentale. Accepter l’ARN, c’est la pire des capitulations qu’on peut imaginer pour la liberté de l’homme.
Outre un grand savoir (mais difficile à assimiler), cet article fait preuve d’un bon sens évident (déjà plus facile à partager). C’est l’honneur de tous ces professeurs et ces médecins de nous avertir. Mais les moutons sont légions…
Transformons-nous en Lion !
Je n’accepterais jamais que l’on m’inocule un vaccin qui n’a pas fait ses preuves et qui tue!
de même pour moi et ma famille
Ni aucun autre vaxin, because,vac de toute façon pas sain.
Que tous les abrutis du monde apprennent à se nourrir correctement, à exercer travaux physiques au grand air, à oublier tout médicament autre que ceux qui contribuent à la bonne défense immunitaire.De la verdure à profusion,du vrai pain et vin bio et laisser les cadavres de bestioles aux carnassiers conçus pour les digérer.