10 Comments

  1. Il fallait le dire, effectivement, on a l’habitude de ne pas toucher aux juifs qui ont subi suffisamment d’avanies, mais là, ces couillons qui adorent les meurtriers de leurs coreligionnaires, doivent être montrés du doigt et il est bien de montrer au grand jour leur incohérence, voire leur complicité avec les assassins

  2. Jakubovitch n’était pas spécialement malheureux pour les victimes,
    en réalité ce qui le faisait pleurer, c’était que les meurtriers soient des musulmans, c’est remarquable comme pensée torturée

  3. Pour info, ayant vécu en Israël, je peux vous dire que la même racaille, parfois en pire existe aussi là-bas. Ils aiment souvent plus leurs ennemis arabes, trouvent des circonstances atténuantes aux terroristes islamikazes (le désespoir qui les amène au suicide les touche profondément), mais n’éprouve jamais aucune compassion pour leurs frères juifs.
    Autre point marquant de ces ordures : la shoah a remplacé, comme fondement moral, les Dix Commandements donnés au peuple d’Israël au mont Sinaï. Effectivement, les Dix Commandements sont embêtants, on y interdit l’adultère, on y demande le respect de son père (quand l’esprit libertaire voit dans le père un « vieux con »), on y parle même de D.ieu.

    Avec la Shoah, comme nouvelle pierre de fondation de la morale humaine, ils peuvent donc s’auto-détruire : « ne soyons pas les Nazis des Palestiniens ». L’auto-défense n’est donc plus permise dans la pratique. Il n’y a plus de frère et d’ennemi, mais seulement un « Humain ».

    La Shoah comme fondation de la morale est une subversion et le prétexte de cette haine de soi. La morale existait bien avant la Shoah. Elle est née, peu ou prou, au mont Sinaï, n’en déplaise aux Arié Halimi et autres « humanistes ».

    • Bonjour,

      Merci pour votre analyse qui me porte beaucoup à réfléchir …

    • c’est un point de vue qui ouvre une voie de compréhension.

      Ne pourrait-on pas également supposer qu’ils ont intégré dans leur subconscient cette haine éprouvée par les nazis à leur égard, et qu’ils l’ont faite leur, comme une seconde peau invisible qui les oriente à leur insu ??
      Une grande psychothérapie de masse semble nécessaire à ce peuple martyrisé.
      Certains ont su relever la tête, se battre et créer un avenir radieux, et une partie est restée piégée dans le passé, soumise et prête au prochain sacrifice

      • Ne pourrait-on pas également supposer qu’ils ont intégré dans leur subconscient cette haine éprouvée par les nazis à leur égard

        C’est une piste plus que pertinente : beaucoup de Juifs savent qu’en parlant de racisme ou d’antisémitisme, ils invalident leur propos, parce qu’ils sont juges et partie. Ils ne sont pas objectifs, clairement. J’ai oublié l’auteur de ces propos, mais il expliquait clairement le « remède » trouvé par ces Juifs pour résoudre la question de l’antisémitisme, objectivement : il s’agissait d’abandonner sa subjectivité propre.
        Ils pensent, ces Juifs, qu’en abandonnant leur subjectivité, ils arrivent à l’objectivité. Le hic, qui est un hic majeur est qu’ils se défont de leur subjectivité propre pour adopter celle de leur ennemi. Renoncer à sa subjectivité pour endosser celle d’Adolf Hitler ou celle du musulman indigéniste ou celle de Dieudonné, ce n’est pas du tout devenir objectif. Cela démontre certes que l’on peut envisager le point de vue de l’autre et donc qu’on arrive à se libérer d’un biais, mais pour tomber dans un autre, bien pire !!!

        • oui, ça veut dire qu’ils préfèrent se transformer en coquille vide, plutôt que d’affronter et digérer le passé, trop lourd et encore trop douloureux.
          Un conseil pour ceux-là : inspirez vous d’Eric ZEMMOUR, il a réussi pleinement à s’assumer et à trouver la voie juste.

  4. En Israël, ils participent à l’infiltration des arabes dans la vie politique et pourrissent le fonctionnement du gouvernement actuel.

  5. Houla, le titre de l’article fera jaser !

    Pierre, ce n’est pas l’école « Hasard Amora » mais Ozar Hatorah !

    Il y a donc une haine de soi des Blancs, une haine de soi des Français blancs, une haine de soi des Français blancs de gauche et une haine de soi des Français juifs blancs de gauche.

    Il nous faudrait peut-être un nouveau Freud pour expliquer cela.

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