L’islam est-il une religion du Bien ?

Inauguration de la grande mosquée de Paris – 13 Juillet 1926, tapis rouge déroulé par la République devant l’islam conquérant

 

L’islam est-il une religion du Bien ?

« Cela n’a rien à voir avec l’islam ». Ainsi se conclut invariablement depuis des années le débat sur les attentats perpétrés par les terroristes au nom de l’islam. Cette incantation devenue systématique, prononcée par tout homme politique ou journaliste respectable ne saurait souffrir la contestation, au nom de l’idéologie du Vivre Ensemble, tout contestataire étant alors immédiatement frappé par ces sycophantes et accusateurs publics de l’establishment d’un anathème définitif d’islamophobie ! Nous, les pauvres créatures incultes et non diplômées « d’extrême droite », serions ainsi d’affreux islamophobes et de méchants racistes cachant notre haine de « l’Autre » derrière une abominable détestation de leur religion, pourtant lumineuse, généreuse et belle, une « religion de paix et d’amour », contrairement à l’affreux christianisme obscurantiste et rétrograde, qu’il convient bien sûr d’éliminer pour cause de « Progrès ».

 

Mais les faits sont têtus. Comment expliquer que partout où, dans le monde, se trouvent des musulmans, il y ait confrontation, violence et sang versé ? Attentats à répétition et guerres avec le monde islamique, rien n’a en effet été épargné à l’Occident depuis l’émergence de cette religion au VIIème siècle, dont on estime le bilan mortel à environ 250 millions de morts au cours des siècles, sans compter les millions d’esclaves capturés sur nos côtes. Comment se fait-il que de « pieux » terroristes musulmans égorgent, violent, assassinent les non-musulmans et déclarent la guerre sainte à l’Occident, au nom du Bien et du dieu de l’islam, Allah, qui serait « le plus miséricordieux, clément et compatissant » selon la Basmala, formule traditionnelle islamique qui ouvre la plupart des sourates du Coran ? Ces terroristes sont-ils des Justes ou des renégats de l’islam ? Font-ils le Bien selon l’islam ou sont-ils, au contraire, pour cette religion des avatars de Shaitan (Satan pour les musulmans) ?

 

L’islam en deux mots

L’islam (dont le nom Alʾislām, signifie « la soumission ») est une religion abrahamique s’appuyant sur le dogme du monothéisme absolu (tawhid) et prenant sa source dans le Coran (Al-Quran « la récitation »), considéré comme le réceptacle de la parole de Dieu (Allah) révélée, au VIIème siècle en Arabie, à Mahomet (Muḥammad), proclamé par les adhérents de l’islam comme étant le dernier prophète de Dieu. Les musulmans ont des devoirs cultuels, souvent appelés les « piliers de l’islam ». Les musulmans croient que Dieu est unique et indivisible et que l’islam est la religion naturelle au sens où elle n’a pas besoin de la foi en l’unicité divine pour constater l’existence de Dieu, cette vérité étant donnée tout entière dès le premier jour et dès le premier Homme (Adam). Ainsi, elle se présente comme un retour sur les pas d’Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim), en une soumission exclusive à la volonté d’Allah.

Le Coran est, pour un musulman sunnite, la parole incréée d’Allah, communiquée au prophète par Djibril, l’ange Gabriel, qui reprend verbatim la parole d’Allah. En ce sens, il est, pour les musulmans, l’expression d’un attribut incréé de Dieu adressé à l’intention de toute l’humanité. Le Coran et la loi divine qui en découle (la Shar’iah) est donc au-dessus des lois humaines et règle la vie des croyants. L’islam est un et indivisible et par nature englobant de toutes les activités humaines. L’islam forme ainsi un système moral, politique, juridique et social total, voire totalitaire. Tout musulman doit chercher la perfection de sa pratique et s’il peut y avoir plusieurs pratiques, il ne saurait donc y avoir plusieurs islams, d’islam modéré ou politique.

Islam religion de paix et d’amour, paradoxe ou intox ?

Intox nous disent bien sûr en chœur les musulmans et leurs représentants adoubés par le pouvoir politique républicain, imams en tête. L’islam serait un humanisme comme le prouverait selon ces professionnels de la taqiya (art de la dissimulation islamique) ce verset 32 de la sourate 5 du Coran, que ces menteurs patentés nous resservent en permanence à chaque occasion, et dans lequel Allah proclame en effet de façon superbe : « C’est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes » [1]?

Merveilleux n’est-ce pas ? Prenons cependant la peine de lire le verset suivant utilement ignoré par ces professeurs de soi-disant « tolérance » islamique : « 5.33 La récompense de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment, 5.34. Excepté ceux qui se sont repentis avant de tomber en votre pouvoir : sachez qu’alors, Allah est Pardonneur et Miséricordieux »[1].

Quel singulier humanisme que celui qui prescrit ainsi la mort des adversaires et des non croyants sauf s’ils se soumettent ! Et quel contraste avec les paroles du Christ « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C’est le premier commandement et le plus grand. Et voici le deuxième, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »[1], et avec celles de Paul « Vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien. Si quelqu’un n’obéit pas à ce que nous disons dans cette lettre, signalez-le ; ne le fréquentez pas, pour qu’il soit couvert de confusion ; mais ne le considérez pas comme un ennemi, réprimandez-le plutôt comme un frère »[1]. Le contraste est ici saisissant. Pas d’amour, de frère ni de prochain en islam, pas de réprimande fraternelle, mais plutôt la soumission et sans elle, la mort. Pas d’humanisme ni de Bien au sens où les sociétés occidentales chrétiennes l’entendent, pas de Bien Commun, mais un entre soi, un Bien communautaire qui ne deviendra vraiment universel que lorsque la communauté des croyants aura absorbé l’humanité toute entière, projet ultime de l’islam.

Bien selon l’islam

Faut-il s’inquiéter ? « Aucun danger » nous rassurent bien sûr les docteurs de la loi islamique en tête du cortège des défenseurs de l’islam de France. Toute cette violence constatée chaque jour ne saurait avoir de rapport avec l’islam. Les terroristes ne seraient pas de vrais musulmans mais des imposteurs et les critiques de l’islam des islamophobes. En effet un vrai musulman aurait le devoir (hisbah) de faire le Bien, selon l’ordonnance du bien et l’interdiction du mal (en arabe الأمر بالمعروف والنهي عن المنك  ). Ce devoir peut être individuel (farḍ al-‘ayn) ou collectif (farḍ al-kifāya), dans ce dernier cas par délégation à des autorités compétentes, comme par exemple une police religieuse (en Iran et en Arabie Saoudite) ou encore le Comité pour la Promotion de la Vertu et la Prévention du Vice (hay’a) en Arabie Saoudite. Réjouissons-nous donc : l’islam apporte la paix, tout musulman ayant le devoir de bien agir et d’obliger les autres, et le devoir de combattre le mal et de l’interdire.

Ces devoirs constituant un élément fondamental de l’islam et un des programmes du Coran, il n’y aurait donc pas lieu de s’inquiéter. Les musulmans investis de la lourde responsabilité de répandre le Bien sur la terre forment en effet dans le texte coranique, une sorte de peuple élu, l’oumma, la communauté des croyants, considérée comme la partie la plus noble et la plus élevée de l’humanité. Allah, déclare dans le Coran : Sourate 3 verset 110 « Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes. Vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers. » et Sourate 3 verset 104 « Que soit issue de vous une communauté qui appelle au bien, ordonne le convenable, et interdit le blâmable.» 3

 

En pratique, cette ordonnance islamique doit s’appliquer graduellement par étapes, la première consistant à montrer le bien ou le mal d’une action par la parole et conseiller tout d’abord avec gentillesse de faire le bien ou d’abandonner le mal. En cas d’échec, le musulman doit interdire avec fermeté, tout acte répréhensible. Au cas où aucune de ces deux méthodes ne se serait avérée efficace, toutes les mesures possibles et légales pour combattre le mal doivent être prises. Au cas où les conseils et la critique seraient restés sans résultat, et qu’il n’y aurait pas d’autres solutions, le musulman a l’obligation de recourir à la répression pour faire respecter des règles religieuses et à marginaliser les coupables en les mettant au ban de la société, voire leur déclarer la guerre sainte et les mettre à mort.

Bien agir pour un musulman ne signifie donc pas la même chose que pour un Occidental : il doit uniquement appliquer et faire appliquer la loi divine issue de la parole incréée d’Allah, nécessairement bonne, par tous les moyens, le dernier étant la violence qui est ici acceptée comme moyen légitime. L’objectif est de soumettre le monde à la tutelle de l’islam, obtenir la paix universelle, une pax islamica, un monde dans lequel la guerre sainte ne serait plus nécessaire ni possible une fois convertie l’humanité toute entière.

 

Point de liberté ni d’amour du prochain en islam, dont le projet rédempteur est d’abord terrestre. Si le christianisme donne à l’homme la liberté de ne pas croire et de se damner pendant sa vie terrestre, le musulman est sommé de croire, et est investi de la mission de conduire tous les incroyants vers les lumières de l’islam fût-ce par la violence. Ceux-ci n’obtiendront la « paix et l’amour » d’Allah qu’une fois convertis.

Cet islam conquérant qui veut imposer sa vision du Bien sur terre, et qui ne tolère pas les non musulmans au sens où nous l’entendons en Occident, ne peut donc en aucune façon être une religion de paix et d’amour, une religion du Bien, au sens occidental et chrétien. C’est une religion de guerre et de haine, un totalitarisme, au même titre que le Nazisme ou le Communisme, idéologies qui professaient de la même manière vouloir faire le Bien sur terre, quels qu’en soient les moyens. Et si le fameux « qui veut la fin veut les moyens » de Trotsky implique qu’on puisse faire le mal pour obtenir le Bien 4, l’islam est encore plus extrême, car il considère comme Bien en soi de faire le jihad et la guerre sainte, d’égorger et de soumettre. Ceci explique pourquoi les djihadistes exposent les corps martyrisés de leurs victimes, comme autant de trophées et de preuves de leur application parfaite des textes de la « religion de paix et d’amour », alors que les communistes et les nazis, qui baignaient malgré tout dans la culture judéo-chrétienne, sachant qu’ils faisaient le mal, le cachaient (les nazis ont détruit leurs abominables camps pour tenter d’effacer leurs crimes). Cette inversion de valeur, que l’on pourrait qualifier de satanique d’un point de vue chrétien, fait de l’islam un corps véritablement étranger aux sociétés occidentales.

Le « Bien » de l’islam, péril mortel

L’islam, dernier totalitarisme, ne saurait modérer son projet de civilisation et de conquête. Il ne cessera son action avant d’avoir achevé son œuvre de « paix » universelle. C’est pourquoi nos civilisations occidentales, confrontées à une vague migratoire sans précédent et à un réveil de l’islam depuis un siècle, qui débuta avec la chute de l’Empire Ottoman en 1920, font face à un péril mortel. Conséquence de la vague migratoire, la question de l’islam occupe aujourd’hui une place centrale dans la société française et dans le débat politique contemporain. Avec 10 à 15% de musulmans en France, cette religion est aujourd’hui devenue la deuxième après le catholicisme, et la croissance rapide du nombre de musulmans immigrés et convertis, entraîne des demandes de transformation et de mutation politiques et sociales de plus en plus visibles. Au point que l’on songe aujourd’hui par la nouvelle loi sur le séparatisme à modifier la loi de 1905, sans d’ailleurs citer une seule fois le mot islam, alors que cette religion est la cause principale de la transformation proposée.

Opposé au relativisme républicain, et concurrent de l’universalisme chrétien, l’islam dont la conception du Bien nous est étrangère, est clairement incompatible avec nos sociétés qu’il pénètre progressivement et insidieusement, utilisant notre laïcité tolérante comme cheval de Troie. Il répond malheureusement aussi à une demande d’absolu dans les sociétés occidentales aujourd’hui fortement déchristianisées et coupées de leurs racines par le relativisme érigé en absolu de gouvernements dits républicains. Sans interdiction de l’islam et du Coran, sans reflux des populations islamisées, il est donc fort probable que l’Occident en pleine perdition spirituelle et morale, aveuglé par l’idéologie du Vivre Ensemble, ne se fasse complètement absorber, submerger et refonder par l’offensive islamique en cours. Comme autrefois en 1940 pendant la « drôle de guerre » ou en 1938 à Munich, force est de constater en effet que notre société émasculée par la bien-pensance, qui n’ose pas nommer l’ennemi, est incapable de prendre ces mesures pourtant nécessaires que tous nos dirigeants politiques au pouvoir ou même dans l’opposition jugent trop radicales. Jusqu’à Marine le Pen, qui a déclaré en Septembre 2016 « l’islam compatible avec la République », puis en février 2019 qu’elle « ne combattait pas l’islam car c’est une religion », parlant même « d’islam des lumières », atteinte comme les autres d’un aveuglement laïciste et relativiste très républicain, elle qui n’a visiblement jamais lu une seule ligne du Coran !

On fera donc bien de méditer ces paroles visionnaires de Charles Maurras, écrites au moment de l’inauguration de la mosquée de Paris en 1926 5« la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu’un me disait hier : — Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ? J’aperçois, de-ci de-là, tel sourire supérieur. J’entends, je lis telles déclarations sur l’égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager trop loin d’ici par des haut-parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère. Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse ». 

Par Emmanuel Crenne – Conseiller Régional d’Occitanie – Non Inscrit


Inauguration de la grande mosquée de Paris – 13 Juillet 1926, tapis rouge déroulé par la République devant l’islam conquérant

 

  1.  Traduction du Coran établie par le Cheikh Boubakeur, alors recteur de la Grande Mosquée de Paris, publiée en deux tomes augmentés chez Fayard en 1979
  2. 2 Deuxième lettre de Saint Paul apôtre aux Thessaloniciens 13-15

3 .Traduction par Hamidullah
4. « Le moyen ne peut être justifié que par la fin. Mais la fin a besoin aussi de justification. Du point de vue du marxisme, qui exprime les intérêts historiques du

prolétariat, la fin est justifiée si elle mène à l’accroissement du pouvoir de l’homme sur la nature et à l’abolition du pouvoir de l’homme sur l’homme » – Leur morale et la notre (1938), Leon Trotsky (trad. victor serge).

5. Dans la rubrique « La Politique » du quotidien L’Action Française, 13 juillet 1926

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20 Commentaires

  1. S c’était la religion du bien ça se saurait! C’est une religion qui prône l’esprit de conquêtes et de conversions! Je mets volontairement ces deux derniers mots au pluriel! J’ai travaillé avec un individu qui nous traitaient de chiens d’infidèles! Et pourtant, c’était , soi-disant, un modéré On s’est plaint auprès de la hiérarchie ; aucune réaction : pas de vagues, pas de vagues!

    • . . . et si par hasard une croix avec JC sur une chaîne sur un cou de Français
      est apparente sur un lieu public en et de France … c’est le Djihad à tous les coups !

  2. Si le monde occidental avait le courage de s’élever contre l’islam et de renvoyer tous ces croyants de l’absurde dans leurs pays d’origine sans espèces sonnantes et trébuchantes ils pourraient s’égorger entre eux et nous permettent de vivre enfin en paix une bonne fois pour toute !

  3. L’Islam n’est qu’une pâle copié-collé des religions judéo-chrétienne .Ce n’est que 600 ans après la vie de Jésus qu’un soi-disant Mahomet aurait eu des révélation de l’archange Gabriel depuis l’au-delà (première récupe chrétienne).De nombreux prophètes tentèrent leur chance avant Mahomet sans résultat .La raison pour laquelle le coran est incréé afin d’éviter toute revendication .Ce sont les proches de Mohamed qui mettent à l’écrit le texte sacré transmis jusqu’alors par oral . Malheureusement pour

  4. Dire que l’islam n’a rien à voir avec l’islamisme est aussi absurde que de dire que les nazis n’ont rien a voir avec le nazisme

    Dieu qu’il faut être CON pour prétendre le contraire !

  5. Mais oui ! La ‘religion’ du ‘bien égorger’ l’infidèle, c’est à dire nous ! C’est ce que commande le livre fondateur de cette secte non ?

  6. Religion. De relier ! Couper des têtes et lapider, en voilà une drôle de manière de … relier !

  7. L’islam est une religion et une idéologie du mensonge, tout dans l’islam est mensonge, tromperie, escroquerie, vol, fourberie, malhonnêteté, manipulation, menace, etc… c’est d’ailleurs ce qui permet à l’islam de survivre car l’islam est incapable de produire quoi que ce soit, même pas son pain quotidien qui est produit par le mécréant prit pour un imbécile. L’activité principale du musulman est la pratique de sa religion, en réalité de la propagande à outrance où on lui explique que c’est lui le meilleur et qu’il va sauver le monde par sa foi. Voilà comment, une religion politique se transforme en un véritable fléau pour le monde, elle repose sur une croyance absurde et inconsistante qui est élevée comme une science alors que ça n’est rien que du vide cosmique malfaisant.

  8. le tapis rouge déroulé pour Baphomet et Mahomet à l’occasion de l’inauguration
    de la grande mosquée-islamo-maçonnique de Paris
    ou/et de la grande Loge islamo-maçonnique de Paris
    et ou Mahométans-Baphométans pourront aller prier
    5 fois par jour 7/7 et 24/24 jour et nuit non-stop !

  9. Arêtons-donc de parler de religion. C’est rien d’autre qu’une idéologie politique, un ersatz de religion comme le nazisme ou le communisme.

  10. Ouais bah Ali Rabeh le maire de Trappes l’applique à la sourate et au hadith près
    la Loi coranique qu’est la Charia républicaine de l’Islam de France à Trappes
    résultat plus une seule boucherie traditionnelle ou on peut trouver de la viande porcine
    que du halal dans les cantines scolaires, des boucheries et des Kebabs Halal
    des mosquées en veux-tu en voilà, écoles coraniques et lycées islamiques
    des bars à chicha qui en fait et dans les faits ne sont que des tripots
    qui servent d’arrières-salles pour toxicos et dealers
    et même que les bars-tabac PMU-FDJ sont Halal puisque squattés 24/24 et 7/7
    par la communauté turco-arabo-afro-maghrébine musulmane

  11. Voilà un thème qui déchaine les passions ! Il faut raison garder. Si des sauvages utilisent le Coran à des fins meurtrières, il reste quand même des gens qui vivent leur religion de manière tout à fait respectable. Ceux qui, comme moi, ont étudié le Coran, savent que le Coran est un livre qui tend vers la sagesse, la tolérance, etc … Ce n’est pas l’Islam qui est en cause mais l’utilisation que font certains de ses préceptes à d’autres fins que celles prônées par le Coran. La Bible, en son temps, a été utilisée à des fins politiques et pas de la plus belle des manières. Il y a toujours des brebis galeuses dans toutes les religions qui cherchent le pouvoir et la gloire personnelle en déviant le concept initial. Les radicaux sont toujours néfastes à la compréhension d’une religion. Nous ne pouvons faire l’amalgame des gens qui croient en leur religion et en suivent ses directives et ceux qui l’utilise pour tout détruire. Aujourd’hui, le Coran n’est guère suivi que par les anciens : les jeunes « musulmans » se saoulent, fument, ne respectent en rien de se qui est enseigné dans le Coran. Alors faut-il bannir tous les croyants, ou faut-il reprendre l’éducation et le droit chemin de l’enseignement préconisé ? En tout état de cause, le choix d’une religion ne peut se faire avant la majorité de l’être. Imposer sa religion revient déjà à dire que l’on est radical.

    • Vous ne pouvez pas comparer la Bible et le Coran, la Bible ce sont des récits, le Coran est un texte prescriptif que tout musulman doit appliquer , et notamment les innombrables versets de haine appelant à tuer les non musulmans.

    • Sugarhawk, j’ai modestement parcouru le coran, mon intelligence limitée ne m’a pas permis d’en comprendre l’entière signification.
      Il est fréquemment cité dans ce texte qu’Allah est omniscient et omnipotent, c’est lui qui a créé l’univers, il est même dit que la moindre chute de la feuille d’un arbre ne peut échapper à la connaissance d’Allah.
      J’admet que la croyance religieuse permette une certaine émancipation de la réalité des choses, mais pas à ce point d’exagération.
      Il existe dans l’islam et pour de multiples raisons une outrance que les occidentaux ne peuvent admettre, tous ceux qui débattent où prennent position sur cette religion en s’affranchissant de cette réalité, ne s’expriment qu’en leur seul nom.
      Non l’islam et les musulmans ne pourront jamais par leur simple parole se faire accepter autrement que dans la stricte tolérance des pays qui les hébergent.
      Il est à vital à mon avis, que les musulmans qui souhaitent vivre et s’épanouir pleinement au travers de leur culte, ne le fassent que dans les nations qui s’accommodent de l’islam comme prédominent à toute loi.

  12. La grande mosquée de Paris est financée par l’État français à travers la loi du 19 août 1920 (Journal officiel du 21 août 1920) qui accorde une subvention de 500 000 francs La Grande Mosquée est bâtie sur l’emplacement de l’ancien Hôpital de la Pitié ..Elle est inaugurée le 16 juillet 1926, en présence du président Gaston Doumergue (du parti radical, protestant et franc maçon)et du sultan du Maroc Moulay Youssef. Doumergue célèbre alors l’amitié franco-musulmane scellée dans le sang sur les champs de bataille européens et affirme que la République protège toutes les croyances. par arrêté du 9 décembre 1983. L’édifice reçoit également le label « Patrimoine du XXe siècle ». ..
    En 1994, Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur chargé des cultes, accorde à la grande mosquée de Paris l’autorisation de labelliser le halal….

  13. J’hésite entre une histoire venue directement de chez Marius et Olive et une blague Belge.
    Religion du bien…?… pour affûter le couteau sacrificiel.

  14. Et devinez qui a permis cette félonie ? les socialopes qui étaient aux pouvoirs en 1926 ! En 1939 qui était aux manettes de la France avant l’entrée en guerre ? toujours les socialopes , qui depuis a amplifier l’immigration légale et clandestine depuis 1980 ? les socialopes , et c’est toujours les socialopes aidés par la fausse droite qui continue la destruction de la Patrie , et il y a toujours des veaux tant qui continuent de voter pour la fausse droite en France il y a 30% de français lucides , et 70% de veaux qui vont à l’abattoir !

  15. Non l’islam; n’est pas la tolérance, l’amour et la paix, c’est même exactement le contraire. a savoir la guerre, l’intolérance et la haine de tout ce qui n’est pas musulman. C’est la religion du diable, son cancer qui se propage dans notre pays parce que nos dirigeants sont lâche, veules,avides de fric, corrompus, vendus et soumis et qu’ils se foutent de leur peuples comme de leur première layette.
    Cette secte nauséabonde et meurtrière devrait être éradiqué totalement de notre pays, son livre interdit, et ces mosquées rasées ce qui implique des hommes courageux et conscient de leurs fonctions, ce qui n’est pas le cas.

  16. l’islam c’est comme le cancer, si vous ne l’éradiquez pas tout de suite tôt ou tard il vous anéantit. N’espérez pas une quelconque « humanité » au fil des ans, il fait profil bas pendant des années et se profile partout mais quand on s’en aperçoit il est trop tard…On ne transige pas avec le cancer islamique on l’élimine , point barre !!

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