Jules César (100-44 BC), lorsqu’il conquit un territoire que les historiens du XIXe siècle appelèrent Gaule, Gallia faisait partie d’un vaste ensemble celte allant de l’Atlantique à Budapest. Le conquérant aurait décrit ces fameux ancêtres comme un peuple débonnaire, pacifique «mais lorsqu’il se met en colère, ils sont terrifiants».
«Si l’islam n’est pas politique, il n’est rien»
Ayatollah Khomeïni
Aujourd’hui nous sommes confrontés à un mal insidieux, souterrain qui sort la tête, se précise. Aujourd’hui un ordre de conquête semble avoir été donné (1). Ce mal ? l’islam et l’islamisation de la France.
Islam veut dire Soumission, islamisation, soumission totale tant religieuse que temporelle car il s’agit d’un système politico-juridique.
Les notions de Liberté, Égalité, Fraternité appliquées à l’homme et à la femme, chères à nos «valeurs républicaines», sont aléatoires et discriminantes dans la communauté musulmane principalement pour la femme.
Mais les adeptes de l’islam disposent-ils d’une liberté de pensée, d’action, de pleine conscience pouvant s’exprimer sans encourir de lourdes sanctions ? Non. S’ils veulent quitter la Oumma (la communauté musulmane) et son carcan, ils sont accusés d’apostasie au risque de la peine de mort. Alexis de Tocqueville (1805-1859, philosophe) affirmait déjà : «Mohamed a placé dans le Coran, non seulement des doctrines religieuses mais également des maximes politiques et des lois criminelles». Il fut rejoint par Ernest Renan (1823-1892, historien, philologue, philosophe) : «l’islam constitue les plus grandes chaînes mises aux pieds de l’humanité». Ces deux réflexions illustrent la condition de sujétion, d’esclavage mental, psychique et moral à laquelle les musulmans sont soumis.
Les responsables ? Les Révélations de la Mecque et de Médine, les exégèses du Coran, les hadiths et la Sira du «prophète», les interprétations des imans… forgeant des mentalités rétrogrades et limitées. Nicolas de Condorcet (1743-1794, mathématicien) observe que : «la religion de Mahomet condamne à un esclavage éternel et à une incurable stupidité toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire». Cependant, il faut différencier les enseignements coraniques et l’homme qui, né au sein de cette idéologie mortifère, est formaté à considérer que seul, «son dieu est le plus grand», conditionnement traduit par l’«Allahu Akhabar» .
Un peu d’histoire… Son initiateur, Muhammad Ibn Abdallah (Mohamed) ne serait pas selon des exégètes, «le modèle que vénèrent aujourd’hui les musulmans». En effet, Anne-Marie Delcambre (2) nous précise que seules les sources que nous possédons sont celles de biographes musulmans qui relatent avec moult détails sa naissance miraculeuse et son enfance remplie de prodiges, schéma construit par les califes abbassides au IXe siècle, deux siècles après sa mort.
En réalité, Muhammad a connu une extrême pauvreté. Orphelin, il travaille de bonne heure comme chamelier afin d’alléger les charges de son oncle qui l’a recueilli. Il entre au service d’une riche veuve, Khadidja, qui fréquente les chrétiens du Yémen. Elle fait fortune dans le commerce caravanier et épouse Muhammad. De cette union, naissent des garçons et des filles mais les garçons meurent tous en bas âge. Muhammad est traité de «queue coupée», d’impuissant (abtar). Il prend alors l’habitude d’aller méditer dans une grotte sur le mont Hira où il aurait entendu la voix de l’ange Gabriel lui ordonnant de prêcher. Nous sommes en 610 après J.-C.
Il est la risée de tous. Pour ses pairs, son message ressemble fort aux histoires des juifs et des chrétiens. En 622 après J.C., il quitte la Mecque et se réfugie à Yathrib, la future Médine. Il n’y est pas mieux accueilli. Il décide de se venger et s’adonne aux razzias des caravanes mecquoises. C’est la première action politico-religieuse de conquête par les armes, lui qui avait échoué par la parole. En 628 après J.-C. (an IX), il prend la Mecque et impose une conversion aux Mecquois animistes qui adoraient la Kaaba, réceptacle des esprits.
Ainsi, naît l’islam.
À la mort de Muhammad en 632, les rivalités de clans renaissent avec une grande violence. Ses successeurs, les califes, pères de ses différentes épouses sont pour la plupart assassinés (le père d’Aïcha et d’Hafsa), Uthman, Ali (gendre de Mahomet, époux de Fatima). Belle religion de paix et d’amour… Indeed…
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Puis les califes Omeyyades s’imposent (661-750). L’initiateur Mu’awiyya choisit Damas comme capitale politique et devient gouverneur de la province byzantine. Il en apprécie la douceur de vivre, la magnificence artistique. Rupture avec l’islam des origines car pour la première fois, les arabes musulmans rencontrent la pensée chrétienne avec des théologiens comme Saint Jean Damascène. La «théologie» musulmane (kalam) s’élabore, malheureusement elle prend un aspect défensif et apologétique contre les juifs et les chrétiens.
Ce qui importe chez les Omeyyades c’est la noblesse et la fierté arabe, notions plus importantes que la conversion à l’islam loin d’être obligatoire.
Guidés par l’opportunisme, ils entreprennent des conquêtes pour le butin et non par idéologie religieuse. Les razzias obéissent à des vengeances de clans : assassinat de Hussein, fils d’Ali par le calife Yazid (fils de Mu’awiyya) à Kerkéba (Irak), sans compter de nombreux massacres. Les musulmans non arabes se révoltent et les Omeyyades sont éliminés. Un seul échappe à la tuerie et s’enfuit en Espagne où ses descendants créent l’émirat puis le califat de Cordoue.
Durant ces deux premières périodes historiques (632-750), une conquête fulgurante est initiée sur un territoire allant des rives de l’Atlantique aux confins de la Chine.
Comment cela fut-il possible de la part de conquérants illettrés, incultes et sanguinaires ? Grâce à des cavaliers hors pair, habitués au rude climat du désert, galvanisés par les victoires que leur apportent butin et territoires où, en invoquant Allah, ils sont victorieux. La raison de ces conquêtes éclair ? Des populations autochtones qui ne savent plus se défendre, amollies par un contexte de paix relative, ne pouvant imaginer l’arrivée de barbares. Jouissant d’un niveau de vie appréciable, dans des régions fertiles (Syrie, Turquie, Perse, Afrique du Nord, Espagne…), leur intellect et leur culture les ayant déconnectées des dangers qui s’annonçaient. Ce qui nous arrive aujourd’hui en Occident dont l’élément déclencheur est l’invasion migratoire et la poussée insidieuse de l’islam.
«Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre»
Karl Marx 1818-1883
Poursuivons cette histoire… La seconde rupture avec l’islam arabe des origines est la période abbasside (VIIIe-XIIIe siècles) avec Bagdad pour capitale. Les califes se déclarent sunnites, proposant aux nouveaux croyants, la Sunna, imitation d’un modèle parfait, à savoir un Mahomet «détribalisé». Ainsi naît un personnage légendaire, auréolé de merveilleux afin d’en faire une référence «universelle».
C’est l’Empire abbasside qui favorise «l’âge d’or» de l’islam classique en s’imposant sur les territoires conquis. En revanche, ce sont les intellectuels, les artistes, les artisans des civilisations antérieures -dominées par la conquête- qui grâce à leur savoir, leur technologie et leur raffinement constituèrent le creuset d’une période exceptionnelle amplifiée par les échanges commerciaux (Méditerranée – mer Noire – mer Caspienne jusqu’aux confins de la Chine par la route de la Soie). La langue arabe et l’islam, sont les éléments fédérateurs de cette nouvelle civilisation. Vous avez dit islam et langue arabe ?
À partir du XIe siècle, le califat se trouve sous la coupe de diverses dynasties militaires comme les Bouyyides d’origine persane et les Turcomans venant d’Asie centrale qui servent dans l’armée comme esclaves mercenaires et finissent par prendre le pouvoir. Vous avez dit Turcomans ? (3)
Le XIIIe siècle, avec le sac de Bagdad par les Mongols, est dramatique pour ce califat. L’évolution intellectuelle, scientifique, artistique qui a prévalu sous les Abbassides est stoppée nette. Les musulmans ne demandent plus à Allah de «progresser chaque jour par la science mais de les protéger ainsi que leur religion qui est leur ciment».
Cependant, des foyers survivent, en Inde, en Asie Centrale, au Maghreb et dans Al-Andalous. Mais en 1492 la reconquête de Grenade est un nouveau traumatisme dont les musulmans ne se remettront jamais, encore de nos jours… Syndrome de l’Alsace-Lorraine ?
C’est principalement grâce aux rois catholiques (Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon), aux Grands d’Espagne aidés de quelques aristocrates européens qu’à la fin du XVe siècle les musulmans sont boutés hors d’Europe. Il aura fallu attendre huit siècles… Pour la petite histoire…, un Te Deum sera chanté dans toute la Chrétienté.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Les pays européens ne sont-ils pas soumis ?
La Oumma (la communauté musulmane, les Frères musulmans en tête) se réjouissent. Ils considèrent qu’ils ont déjà conquis l’Europe qui est devenue le Dar El-Islam (la maison de l’islam) par l’occupation du sol, l’implantation des mosquées et le ventre des femmes. Au sens littéral du terme, il n’y a pas de guerre à mener pour le Dar El Harb, (la maison à conquérir), puisque les dirigeants politiques et religieux occidentaux et bien entendu français, acceptent joyeusement la soumission au nom d’un soit-disant humanisme, d’une intégration, d’un heureux «vivre-ensemble».
En 1993, lors d’une interview à Anne Sinclair, le roi du Maroc, Hassan II, avait bien précisé qu’on ne pouvait demander à un Marocain de saluer et d’adopter un drapeau étranger ; c’était renier sa patrie, apostasier sa religion.
En 1907, dans une lettre adressée à René Bazin de l’Académie Française, le Père Charles de Foucauld (1858-1916) avait déjà affirmé avec une certaine prémonition «comment demander à faire partie d’un peuple étranger qu’on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Le changement de nationalité implique vraiment une sorte d’apostasie, un renoncement à la foi du Medhi »… (le sauveur de l’islam).
Des hommes et des femmes d’origine maghrébine comme Zineb Al Ghazoui, Hamad Abdessamad, Zohra Nedaa-Amal, Lucien Samir Oulahbib… nous mettent en garde contre les préceptes coraniques. Ils ont le courage de dire que «si nous n’arrêtons pas de réimprimer ces livres terroristes qui se cachent derrière les hadiths, la Sira, les exégèses du Coran nous sommes en train de fournir les munitions inépuisables du terrorisme»….
… Un petit rappel de la sourate 8 verset 59 : «au nom d’Allah le Tout miséricordieux, le Très miséricordieux,que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher de les rattraper à n’importe quel moment au nom du djihad qui est sacré et éternel !».
Boualem Sansal, romancier algérien déplore que la France ne comprenne pas ce à quoi elle est confrontée. « Elle se croit frappée par des terroristes, des jeunes fichés S ou non alors qu’elle subit une guérilla qui peu à peu prend son élan pour un jour atteindre les dimensions d’une guerre totale…. L’islamisme est un état souverain, un état qui n’a pas de territoire propre, de frontières, de capitale, de citoyens mais des fidèles unis dans la Oumma. Ils sont sans liens hiérarchiques entre eux et agissent chacun selon ses moyens et les circonstances, en solitaire ou avec des proches, parents, amis, voisins et des volontaires venus de loin… Ils veulent appliquer la charia aux chrétiens, aux juifs, aux athées, aux apostats et aux blasphémateurs car leur dieu doit dominer le monde» (4)
«Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n’est plus terrible qu’un peuple qui n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion»
Voltaire
C’est ce qui se passe aujourd’hui en Europe rejoignant la réflexion de Voltaire mise en exergue. Les faits divers de nos journaux en révèlent ses aspects… Mustapha Kémal (1881-1938), le père de la Turquie moderne, dévoile la réalité «de l’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral (pédophile) est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies».
Le Coran se traduit par «récitation» et «reproduirait» à la lettre les paroles d’Allah l’incréé. Je conseille à chacun d’en lire les récitations primaires et assez incohérentes. Nous sommes loin des textes de Saint Augustin ou de Saint Thomas d’Aquin. Mais le Coran est destiné à toute l’humanité. Je dis bien l’humanité entière car la terre lui appartient. Il est hors de question de la partager. Les musulmans ont l’obligation de la conquérir au prix de leur vie.
Au lieu de pactiser et d’embrasser le «saint Coran» qui contient plusieurs centaines de sourates appelant à tuer les Juifs et les Chrétiens, ne faudrait-il pas mieux donner aux adeptes de l’islam, vivant en France, un accès à une vraie liberté en leur permettant d’étudier d’autres religions ? À eux de faire leur choix. Vous avez dit une religion de paix et d’amour ? Et la taqîya ? Le mensonge et la dissimulation permis par le Coran qui mettent à mal tout dialogue honnête et constructif. Que peut-on attendre de la part de dissimulateurs ?
Des ouvrages de première importance pourraient leur ouvrir les yeux et que les lecteurs de Résistance républicaine et Riposte laïque connaissent en ce qui concerne les deux premiers (5) :
. L’islam mis à nu par les siens de Maurice Saliba, magnifiques témoignages d’auteurs arabophones dont certains étaient Frères musulmans ou wahhabites et qui
dénoncent avec un grand courage les abominations commises au nom de textes fondateurs de l’islam. Le constat est accablant.
. Les assassins obéissent au Coran de Christine Tasin et René d’Armor, véritable mine d’arguments et d’exemples pour comprendre et faire comprendre que l’islam est une idéologie mortifère.
. le troisième : Interroger l’islam, mille et une questions à poser aux musulmans de l’abbé Guy Pagès car «la religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit sur les hommes avec un esprit destructeur» (Charles de Montesquieu 1689-1755, penseur politique, philosophe, écrivain) et «Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet» (François-René de Chateaubriand 1768-1848, écrivain et homme politique).
Ne faut-il pas interdire en France la construction de mosquées ? Elles sont de plus en plus nombreuses et permises par des maires dont le but est souvent de se faire élire ou réélire, attitude de soumis. Le livre de Joachim Véliocas «Ces maires qui courtisent l’islam» dresse un constat effrayant sur la trahison de certains élus.
Gustave Flaubert (1821-1880, écrivain), a osé cette formule : «Au nom de l’humanité, je demande à ce que l’on détruise la Mecque. Ce serait le moyen de démoraliser le fanatisme». Aurait-il raison ?
Peut-on reprocher au Père Charles de Foucault (1858-1916) sa redoutable clairvoyance ? : «Vous ne pourrez vous maintenir en Afrique qu’en détruisant les mosquées». Le magnifique film traitant des sept moines de Tibhirine «Des hommes et des dieux» met en exergue le destin qui vraisemblablement nous attend.
Il faut montrer aux musulmans la réalité de l’esclavage dans lequel ils s’enferment. Le grand prédicateur devant l’éternel, Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704), a eu cette phrase terrible :«l’islam, cette religion monstrueuse».
Comment pallier les méfaits de ce cancer ? Tout d’abord par l’instruction mais nous faisons le contraire en abaissant le niveau des établissements publics qui faisait la réputation de l’Éducation Nationale (6). Félonie par excellence, en pleine Covid-19, Emmanuel Macron a autorisé le 30 avril 2020, un décret donnant le feu vert à l’apprentissage de la langue arabe en cours élémentaire sur des textes du Coran en faisant venir des imams tunisiens (rémunérés par le contribuable français). Si cela n’est pas -en même temps- une islamisation insidieuse et à tout va ?
Il faut revenir au niveau des années 1950-1960 : appliquer notre esprit cartésien, éradiquer la politique de l’excuse et la culpabilisation de notre histoire et de nos grands hommes. Aussi, laissons le mot de la fin au général de Gaulle : «si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problèmes. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est qu’elle est porteuse de désordre. Il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses moeurs».
Ite Missa est, la messe est dite.
«Heureux celui qui a pu comprendre les causes secrètes des choses» Virgile, 70 avant J.-C.-19 après J.-C., écrivain, poète)… et des événements. Nous vivons une période grave et devons être vigilants pour ne pas retourner à la barbarie.
ASSIS, DEBOUT, COUCHÉ et MUSELÉ, QU’ES-TU DEVENU FIER GAULOIS ?
Marie d’Arcange
(1) Après une période de déstabilisation (2012 à 2020) avec les attentats de Toulouse (Mohamed Mérah), Paris (Charly Hebdo, Bataclan…), Nice réalisés sur une grande échelle sans parler des particuliers, du père Hamel, des policiers… on remarque que depuis 2020, c’est une guérilla ouverte qui en réalité est une guerre de conquête avec des milliers d’armes qui attendent d’être utilisées.
(2) Anne-Marie Delcambre (L’islam : Histoire des origines et Histoire califale – L’islam des interdits – Mohamed, la parole d’Allah)
(3) Ancêtres des Turcs qui envahirent progressivement le Moyen-Orient et s’emparèrent de Constantinople en 1453.
(4) Interview de Boualem Sansal à Anne Rosencher le 18/10/20 – l’Express.
(5) L’islam mis à nu par les siens de Maurice Saliba Éditions Riposte Laïque 2019 ;
Les assassins obéissent au Coran de Christine Tasin et René d’Armor, Éditions Résistance républicaine, 2013 ; Interroger l’islam, mille et une questions à poser aux musulmans de l’Abbé Guy Pagès quatrième édition revue et augmentée, Éditions DMM 2018.
(6) À travers le français, langue riche et rigoureuse, apprenons aux jeunes musulmans notre savoir qui a fait nos grands hommes, sans oublier les femmes depuis des siècles. L’ouvrage de Jean-Pierre Obin «Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école» révèle le déclin de l’instruction publique.
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Merci Marie d’Arcange pour cette claire synthèse sur le mal le plus redoutable qui nous menace sans cesse !
Les gaulois ont bel et bien disparu : il reste de tristes hères qui déambulent masqués et fixent, hagards, leur portable, dans un état constant d’hypnotisme…
En fait notre monde est devenu ? Triste…
L’islam est incompatible avec toute démocratie quelle quelle soit !Il n’y a rien de fondateur dans l’islam ,tous les versets ne parlent que de régles a appliquer et de directives prédominantes sur tout car le seul livre que vous avez le droit de lire c’est le coran!pas un seul mot d’amour il n’est question que de soumission et une fois soumis comment soumettre les mécréants et toute la planète !
Merci pour ce travail de rappels historiques, très pertinents. Il faudrait les avoir en tête, je me contenterai de les sauvegarder, pour référence. L’adage de Marx s’applique si bien, par exemple, à ce « professeur » qui dénonce Eric Zemmour à ses élèves ; tous ces gauchistes ignorants qui malheureusement ont la main sur l’éducation, la « justice », méritent d’être rattrapés par l’histoire, qu’ils ne veulent plus voir.
Puisse une majorité de nos concitoyens ouvrir les yeux …
Je ne suis pas d’accord avec Marine quand elle dit que l’islam est compatible avec la France, elle essaye de récupérer des voix mais en même temps elle se décrédibilise complètement.
Pendant ce temps le plan de Davos se met en place.
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Vaccins et passeport sanitaire.
Bienvenue en URSS 2