Criminalité à Minneapolis : ils avaient voté le démantèlement de la police… ils appellent à l’aide !

Juin 2020, la mort de George Floyd inspire les manifestants : il faut punir la police et  sabrer dans les budgets (« Defund the police »).

Dans le cadre des mouvements des Black Lives Matters et des Antifas il y a trois mois, le conseil municipal de Minneapolis, la plus grande ville de l’état du Minnesota, avait voté le « définancement » de la police.

Au mois de juin : Lisa Bender, qui préside le conseil municipal de Minneapolis ne veut pas seulement dissoudre le département – elle veut un « avenir sans police ».

« Je pense que l’idée d’avoir un avenir sans police est très ambitieuse », a-t-elle déclaré à l’animateur de CNN Christopher Cuomo, interloqué devant cette idée utopique (capture d’écran, source)

En septembre : maintenant que la ville est  frappée par une vague de criminalité, on demande à  la police de s’investir !

Cet été, le conseil a voté pour supprimer plus d’un million de dollars du budget de la police.

La décision a été prise à la suite des manifestations après la mort de George Floyd dans le cadre d’une intervention de la police dans la ville cet été, qui s’est par la suite révélée être due à une overdose et non à des allégations de violence policière.

Vague de crimes violents 

Le résultat du nouveau département de la sécurité communautaire de la ville a été une augmentation des crimes violents tels que les voies de fait, les vols et les meurtres. Déjà en août, la ville avait eu plus de meurtres que pendant toute l’année 2019.

Aujourd’hui, de plus en plus d’habitants de la ville se demandent où sont les policiers lorsqu’ils ont besoin d’aide et pourquoi les appels au numéro d’urgence 911 restent sans réponse.

Lors d’une réunion avec le chef de la police Medaria Arradondo mardi, plusieurs membres qui avaient précédemment exprimé leur soutien au démantèlement de la police, ont demandé que la situation soit résolue.

L’une des chefs de file du mouvement qui a conduit à la décision de donner moins d’argent à la police est la présidente du conseil Lisa Bender. Elle vient de se plaindre que le fait de pouvoir appeler la police dans une situation d’urgence était «un privilège».

Elle accuse la police de ne pas avoir délibérément arrêté des personnes qui commettent des crimes. Dans le même temps, de plus en plus de ses collègues demandent à la police d’agir et demandent des ressources accrues.

Courant 2020, une centaine de policiers ont pris congé ou ont quitté leur poste.

Minneapolis : un policier  reçoit un couvercle de poubelle en pleine tête pendant une manifestation il y a deux semaines.

L’officier de police a immédiatement chuté à terre après avoir reçu l’objet en métal dans la pleine tête sous les cris des manifestants.

Le policier, blessé, a été immédiatement évacué. D’autres policiers ont immédiatement entouré leur collègue tombé à terre pour éviter qu’il ne reçoive d’autres projectiles.

Les incidents qui ont débuté il y a deux semaines en début de soirée dans la ville de Minneapolis font suite à des rumeurs selon lesquelles des policiers auraient tué un homme quelques heures auparavant au cours d’un contrôle.

Une vidéo a toutefois prouvé que les policiers n’avaient jamais ouvert le feu sur l’individu qui s’est lui-même tiré une balle au moment où ces derniers tentaient de l’appréhender. L’homme  poursuivi était suspecté d’avoir commis un homicide plus tôt dans la journée.

Le mouvement pour «définancer la police» aux Etats-Unis.

Dans le contexte américain, le « définancement » tient du  geste punitif, d’un traitement de choc infligé à la hâte à des corps policiers.

Dans le cadre du mouvement Black Lives matter le mouvement « Defund the police » – ou « définancer la police » – a déjà incité une douzaine de villes américaines à sabrer dans les budgets de la police pour réallouer des fonds à des programmes sociaux.

On ne parle pas de n’importe quelles villes : New York, Seattle, San Francisco et Los Angeles font partie du lot. Depuis la mort de George Floyd, c’est  au total 1,4 milliard US qui a été transféré vers des organismes sociaux.

Presse :

https://nypost.com/2020/09/16/minneapolis-city-council-alarmed-by-crime-surge-after-defunding-police/

With violent crime on the rise in Mpls., City Council asks …

Minneapolis City Council members press police chief for …
Source locale-Minneapolis Star Tribune-15 sept. 2020

Minneapolis violent crime climbs as officers leave force
International-Southernminn.com-15 sept. 2020

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12 Commentaires

  1. Aux USA les Noirs vivent avec les Blancs depuis combien? 4 siècles ? et ils ne sont pas encore parvenus à vivre ensemble ? alors il faut en conclure que c’est impossible. La solution c’est que chacun vive comme il le veut chez soi, les Noirs dans des Etats noirs, les Blancs dans des Etats blancs, chacun selon les critères de sa communauté. Mieux encore ce serait la remigration vers l’Afrique comme le préconise Kemi Seba car l’Afrique est le continent de l’avenir.

  2. Les habitants se demandent où est la police ? La bonne blague ! Qu’ils assument leur choix ! Et paient les pots cassés .

  3. Qui crache en l’air doit s’attendre à ce que ça lui retombe sur le nez. Cette grosse connasse veut démanteler la police puis hurle contre elle quand les malfaiteurs font ce qu’ils veulent. Ce genre de poufiasse ne sert, en plus, pas la cause des femmes, parce qu’avec des gourdes pareilles, on s’étonne qu’on se méfie des femmes au pouvoir.

  4. « Dieu se rit des neuneus gauchistes qui déplorent les conséquences dont ils sont la cause avec leurs idées connes »

    Eh oui, « l’idée d’avoir un avenir sans police était très ambitieuse ». Sans doute un peu trop, n’est-ce-pas?

    Et voilà comment avoir braillé comme un âne « Defund the police », on se retrouve à supplier « Defend the police. Help! Mayday! I want cops! I need them! I love them!  »

    Rien de tel qu’un petit séjour dans le vrai monde, la dure réalité, les faits têtus, pour retrouver ses esprits et un peu de plomb dans la tête (au propre comme au figuré), et redescendre du paradis artificiel gauchiste, du monde merveilleux du Pays des Jouets de Noddy (nom anglais original de Oui-oui).

    ___

    Cette histoire me rappelle une vieille blague communiste :

    En juin 1977, lors de sa visite d’Etat en France, Léonide Illitch Brejnev ne doit en principe pas rencontrer Georges Marchais.
    Telle est du moins la version officielle, car en réalité Brejnev arrive clandestinement vingt-quatre heures avant sa réception par le président de la République et se fait conduire directement et discrètement au domicile du camarade George. Celui-ci, qui n’a pas été prévenu est stupéfait en ouvrant sa porte. Stupéfait et surtout très ennuyé, car son fils, espiègle adolescent, possède un magnifique perroquet qu’il a dressé à répéter: « À bas Brejnev! À bas Brejnev! À bas Brejnev! »

    Tout en installant Léonide Illitch dans son salon, Marchais donne discrètement à sa compagne (Liliane) consigne d’enfermer le perroquet dans le réfrigérateur. Les deux secrétaires généraux passent une excellente soirée à discuter de cette bonne farce eurocommuniste et d’autres sujets du même tabac. Vers minuit, ravis l’un de l’autre, Brejnev et Marchais s’apprêtent à se séparer, quand Léonide Illitch fait remarquer qu’il a très soif et se dirige sans plus de façons vers la cuisine et le frigo pour se servir.

    Georges Marchais devient soudainement blême, tente de retenir Brejnev, et lui dit de ne surtout pas se déranger. Peine perdue: ce n’est pas à un vieux singe que l’on apprend à faire des grimaces, et Brejnev comprend qu’il essaye de lui cacher quelque chose. Marchais, tremblant, lui explique pour le perroquet mais Léonide Illitch se met à rire aux éclats, et, donnant de grandes claques dans le dos de son compère, lui dit que lui aussi a des enfants et même des petits-enfants, et qu’il faut bien les laisser s’amuser. Puis il ouvre la porte du réfrigérateur, et le perroquet gelé et à moitié mort en profite pour sortir la liberté en criant à tue-tête « Vive Brejnev! Vive Brejnev! Vive Brejnev!»

    Léonide Illitch se tourne vers Georges Marchais et dit:

    – Tu vois, camarade Georges, rien de tel que petit séjour Sibérie…

  5. Récemet j’ai lu un fait divers, une grognasse qui se soule avec deux racailles, les invite chez elle puis leur demande de partir, ils refusent, elle appelle son ex ( blanc) à la rescousse, il arrive, il se fait tabasser et gravement blesser…Au procès elle se donne même pas la peine de venir.
    Ben c’est pareil me direz-vous, QU’ILS CREVENT!
    Et puis quoi c’est pas dangereux d’ailleurs CNN affirme sans rire que le covid va se répandre durant les meetings de Trump mais PAS lors des émeutes ( y’a pas d’autre motà BLM.
    HA HA! moi je RIS.

    https://www.aubedigitale.com/regardez-cnn-affirme-serieusement-que-le-covid-se-repandra-lors-des-rassemblements-de-trump-mais-pas-lors-des-protestations-de-blm/

  6. Plus cons tu meurs ,comment peuvent ils croire que on peut se passer de police ,il y en a ici qui pensent pareil bande de sans cervelles,c’est déjà pas évident avec la police souvent débordée alors sans ….

  7. Encore une grosse connasse qui vient chialer auprès des flics pour qu’ils fassent leurs job , elle l’a voulue le définancement des forces de l’ordre , quel assume ses actes cette conne. Qui sème le vent récolte la tempête!

  8. Tous ces bobos-bisounours-nutella-gauchiasseux vivent dans un autre monde que celui du pays réel, tout comme nos parisiens du quartier du Marais…
    Les gens normaux exigent de l’ordre pour garantir leur sécurité et leur liberté !
    Allo, messieurs les politicards : quel parti politique français osera inscrire le retour de l’ordre et de la peine de mort dans son programme ? + la suppression de toutes les aberrations qui tuent notre pays : regroupement familial, la France et les allocs pour tous, le code la nationalité, l’AME, l’invasion par des millions d’ennemis de notre civilisation, le voile, l’égorgement halal non traçable financé par les consommateurs etc.. etc…
    Merci de nous prévenir, j’adhèrerai immédiatement à votre parti !

  9. Ils ne veulent plus de police, ils veulent un état sans police, OK, Qu’ils se démerdent maintenant, bande de connards. ils vont vite voir si les blacks sont les frères des blancs. Etre abruti à ce point là, c’est incurable.

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