Gonflés, les musulmans, de demander encore plus de mosquées après les attentats ! Par Olivia Blanche

projet-de-mosquee-eyyub-sultan-a-strasbourg-definespace-architects-(dr)Lu dans Métro la semaine dernière un article signé Eric Miguet : « L’absence de grande mosquée favorise-t-elle la radicalisation ? Marseille : « Deux semaines après les attentats commis à Paris, la communauté musulmane de Marseille veut être entendue sur l’une de ses principales revendications : la création d’une grande mosquée. « Nous avons besoin d’un lieu de culte digne de ce nom, explique Moussa Koité, secrétaire général de la mosquée Bilal, située à côté de la gare Saint-Charles. Pour éviter notamment que certains tombent dans les bras de prêcheurs non reconnus qui les pousseraient à mener une guerre qui n’est pas la leur (1)». Une radicalisation « souterraine » poursuit Moussa Koité, favorisée par « les pays » qui ont les moyens de mener des activités terroristes. « Ca ne concerne qu’une minorité de jeunes, bien sûr, relativise-t-il, mais la dérive de quelques-uns s’est tristement illustrée ces derniers jours. Une grande mosquée digne de ce nom permettrait de contrôler, de s’unir contre les dérives ». Mais, s’agissant d’union, les Marseillais de confession musulmane sont encore loin de l’objectif. Censées se rassembler autour de ce projet, les différentes communautés de Marseille ne sont jamais parvenues à s’entendre…. Surtout sur la question du financement. « Il faut qu’il soit moins opaque, que des entreprises françaises puissent nous aider à la bâtir », glisse Moussa Koité. Difficile, avec la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat.
Lundi, le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, qui a avait posé en 2010 la première pierre de la grande mosquée sur un terrain municipal, a reconnu son impuissance. « Il faut que l’Etat aborde ce sujet de front, conseille le secrétaire général de la mosquée Bilal. En 2005, le gouvernement avait acté la création d’une fondation pour financer les mosquées, sans suite, rappelle Moussa Koité. Aujourd’hui, où en sommes-nous ? Et quel constat faisons-nous de l’islam en France ? », interroge-t-il.
Fin de citation.
Si Moussa Koita lisait RR il saurait le constat que nous faisons de l’islam en France… Mais ce qui est choquant c’est que les attentats servent de revendications aux musulmans pour demander toujours plus alors que n’importe quelle confession, à leur place, ferait profil bas. Le couvert des bonnes intentions ne trompe personne.

Olivia Blanche

(1) Note de Christine Tasin

On est passés de moins de 10 mosquées en 1985 à près de 2500. Le résultat est simple, limpide et mathématique. Plus il y a de mosquées, plus il y a de halal, plus il y a de voilées et d’emburkinées, plus il y a de barbus, plus il y a de salafistes, plus il y a de musulmans en prison, plus il y a de djihadistes… C’est exactement le contraire qu’il faut faire : fermer tous les lieux d’endoctrinement, écoles coraniques, mosquées…

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10 Commentaires

  1. bonjour christine
    au gré de mes decouvertes litteraires tardives (j ai plu de 50 ans)

    • merci Raoul je confisque pour publication demain, nous avons déjà rappelé une partie de l’article de Maurras il y a peu, ce texte plus long est fort i ntéressant également

  2. Les mosquées radicales devraient être fermer et démanteler, quant aux imams qui prêchent en arabe doivent être expulser de France, les prêches doivent se faire uniquement en français sinon c’est direct la fermeture et l’expulsion immédiate, il n’y a pas d’autres solutions sinon ce sera une confrontation avec tout que ce que ça va impliquer comme dégâts.

  3. Marre d’entendre toute la journée des mots comme islam,mosquée,intégration,musulmans,padamalgame,voile,halal,
    ramadan etc…….On est en France ou au bled ????
    J’en ai marre

  4. on croit rêver quand on entend des choses pareilles… ce seront toujours eux les victimes, il faudra toujours leur donner plus, et ça continuera à aller en empirant…

  5. Les detenteurs actuels de tous les pouvoirs en France anticipent les échéances électorales futures et privilégient les individus(il ne s’agit pas de citoyens mais de voix)qui apprécient leurs largesses diverses et variées sans demande de contrepartie(si ce n’est une reconnaissance électorale pour maintenir la pérennité de la présence de personnes non désireuses d’adhérer aux valeurs Républicaines).
    Tout cela au fil du temps va impliquer une rupture du pacte Républicain et risque d’aboutir à des confrontations .

    • Oui, des confrontations, à tout le moins. Il est étonnant de pouvoir faire un parallèle inquiétant entre la France d’aujourd’hui et celle des années quarante. On assiste en effet à un spectacle désolant qui donne de voir un pays scindé en deux camps : l’un qui, au nom de grands principes universels, collabore sans vergogne avec une occupation de plus en plus exigeante et l’autre, plus parcellaire et clandestine, qui fait sauter, hier des ponts et des lignes de chemin de fer et demain, des mosquées? Vides pour les deux ou trois premières, et pleines pour les suivantes? Car il faut être honnête jusqu’au bout : la France manque cruellement d’esprit solidaire et corporatiste à l’appui duquel bien des problèmes pourraient se solutionner dans un vrai climat d’ensemble, à la condition que chacun puisse entrer en accord avec son voisin pour dire que l’intérêt général prime l’intérêt particulier. Mais comment y parvenir si mon voisin, par atavisme autant que par tradition, fait passer le coran avant le code civil et s’obstine à attendre que ce soit moi qui, lassé, décide de déménager? Alors oui, de sérieuses confrontations à venir s’annoncent d’elles-mêmes tant le climat ambiant s’oriente à la discorde, mais de surcroît je vois émerger, de ci de là, parsemés sur tout le territoire, des mouvements plus radicaux, à l’image de ces maquisards organisés à partir de peu de moyens, mais porteurs d’un message aussi ponctuel que violent, message qui au final s’adressera moins aux musulmans de tous poils qu’à cette France collaborationniste qui, il n’y a pas si longtemps, fusillait ceux qui cherchaient à la défendre.

    • Je serais presque tenter de dire qu’il s’agit du syndrome de François, le héros veule du bouquin de Michel Houellebecq : « Soumission » où l’islam est désormais le seul moyen d’apaiser les tensions entre les « communautés » notamment celle de  » l’islamo-racaille » qui sévit…Porte d’Italie….Vous me suivez ???
      Ainsi, les islamo septiques, islamo vigilants , islamophobes de tout poil, deviennent des empêcheurs de tourner en rond (dans le sens des aiguilles de la montre de « Big Brother » , justement,) et sont présentés comme les fauteurs de troubles à « l’ordre » qui se met lentement en place…Celui d’une soumission à une charria « light » en attendant pire.

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