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Mais il est très bien vu qu’Omar Sy incarne Knock…
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Voilà notre talentueux -et naïf- Timothée de Fombelle, écrivain français de littérature de jeunesse à succès qui a passé des années à se documenter sur l’histoire de l’esclavage et s’est lancé dans une saga, l’histoire d’une jeune esclave noire, Alma…
« 1786. Le jour où son petit frère disparaît, Alma part sur ses traces, loin de sa famille et de la vallée d’Afrique qui les protégeait du reste du monde. Au même moment, dans le port de Lisbonne, Joseph Mars se glisse clandestinement à bord d’un navire de traite, La Douce Amélie. Il est à la recherche d’un immense trésor. Dans le tourbillon de l’Atlantique, entre l’Afrique, l’Europe et les Caraïbes, leurs quêtes et leurs destins les mènent irrésistiblement l’un vers l’autre ».
Bien mal lui en a pris ! Au moins pour les éditions américaine et anglaise… où le politiquement correct est encore plus prégnant et exigeant qu’en France. Une question « d’appropriation culturelle ». Comprenne qui pourra. Le jargon socio-gaucho, à éviter par principe, c’est l’équivalent de l’écriture inclusive dans le langage.
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Le dernier roman de l’écrivain français Timothée de Fombelle, racontant le destin d’une jeune Africaine noire au temps de l’esclavage, sera censuré aux Etats-Unis et en Angleterre au nom de l’«appropriation culturelle».
Dans un contexte de mobilisations internationales contre le racisme et les «violences policières», un écrivain blanc peut-il encore raconter le destin d’une jeune Africaine noire au temps de l’esclavage ? Pour Walker Books, l’éditeur anglais du célèbre écrivain et dramaturge français Timothée de Fombelle, la réponse est claire : au nom de l’«appropriation culturelle», c’est non !
Reconnu internationalement depuis une quinzaine d’années pour ses romans jeunesse tels que Tobie Lolness, Vango ou encore Le livre de Perle, le dernier ouvrage de Timothée de Fombelle, Alma, premier tome d’une ambitieuse saga prévue sur trois volumes, ne sera en effet publiée ni aux Etats-Unis ni en Angleterre, d’après un article publié le 24 juin dans l’hebdomadaire Le Point.
Qu’un homme blanc puisse endosser le rôle d’une petite fille noire, qu’un écrivain puisse raconter l’histoire de la traite négrière du point de vue des esclaves même si cette histoire n’est évidemment pas la sienne, c’est pour moi la définition même de la littérature…
«Sujet passionnant, mais trop délicat», estime Walker Books
Walker Books, informé que l’écrivain français travaille sur le sujet de la traite négrière depuis des années, l’avait déjà alerté : «Sujet passionnant, mais trop délicat : quand on est Blanc, donc du côté de ceux qui ont exploité les Noirs, on ne peut pas décemment s’approprier l’histoire de l’esclavage», explique l’éditeur dans une interview au Point.
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Ils vont très vite dans la déconstruction culturelle et civilisationnelle… Quant à reconstruire… c’est autre chose ! Ce n’est plus de la folie, c’est de la rage. Une vraie maladie, il va falloir trouver très vite le vaccin, ils sont en train de fiche en l’air, carrément, des millénaires de civilisation, de raffinement, d’attention à l’autre, d’oubli de soi, d’intérêt général… Et les sots comme l’éditeur Walker Brooks qui cautionnent et justifient les autodafés sont plus que coupables. Vous pouvez toujours leur parler du racisme musulman, de la traite négrière arabo-musulmane, de l’esclavage des Noirs en Mauritanie, en 2020, peu leur chaut.
Ils ont décidé de se payer les Blancs, de les humilier, de les exploiter, de leur interdire tout lien avec eux… Bon ce sont toujours les Blancs qui bossent pour nourrir leurs envahisseurs étrangers et l’Afrique, mais il semble que cela soit normal aux yeux de nos assassins en puissance.
Le plus intéressant dans l’histoire c’est qu’ils oublient que ce sont des Blancs qui se sont battus pour l’abolition de l’esclavage et l’ont aboli, on attend toujours la même résolution dans les pays musulmans où on continue d’emprisonner, d’exploiter, de violer, de vendre… notamment des esclaves sexuelles aux nababs d’Arabie saoudite.
Mais il y a mieux. C’est une Blanche, abolitionniste, Hariett Beecher Stowe, qui a écrit La Case de l’Oncle Tom… Qui n’a pas pris fait et cause pour les esclaves des plantations américaines en lisant ce livre, à 10 Ans ?
Quant à Timothée de Fombelle, il est acquis depuis toujours à la lutte contre l’esclavage, il a passé des années à enquêter pour faire de son roman une oeuvre historique pour lutter contre l’esclavage…
Pourquoi vous être intéressé à ce sujet ?
J’ai habité à Abidjan en famille, et mes parents nous ont un jour emmenés découvrir en voiture le chapelet de forts qui jalonnent la côte ouest de l’Afrique. Un voyage de quinze jours qui m’a beaucoup marqué. Ces forteresses étaient le point de jonction entre les caravanes qui arrivaient de l’intérieur et les organisateurs blancs qui examinaient là la « marchandise » avant de l’embarquer. J’avais treize ans, et ces forteresses désertes, à l’époque complètement abandonnées par la mémoire collective, m’ont donné la conscience presque physique de toutes les vies qui avaient transité par là. J’avais le sentiment que ces gens en étaient partis la veille, c’était très réel, très concret, et le nombre de forts est tel le long de la côte qu’on réalise combien la traite était organisée de manière quasiment industrielle… Ce fut un véritable choc. Pourtant, dans le collège franco-ivoirien où j’étais élève, on ne parlait pas du tout de l’esclavage. Aujourd’hui encore, c’est un sujet très vite expédié dans les programmes scolaires.
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Clair, simple et net. Il est interdit aux Blancs de parler de l’histoire des Noirs…
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Entendu. Pourquoi pas, mais alors nous on vous interdit de parler de notre histoire, de notre conquête des Amériques, de la Reconquista, des Croisades, de Poitiers, Vienne et Lépante... On vous interdit de vous grimer en blanc, de vous faire défriser et éclaircir la peau, de copier la mode française et notre mode de vie, notre cinéma et notre théâtre, nos chanteurs et nos architectes… On vous interdit de demander l’aumône aux pays de Blancs. On vous interdit d’envoyer vos ressortissants noirs -et racisés- chez les Blancs et d’y importer vos dialectes…
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Moi je peux vivre sans les noirs mais les noirs ne peuvent pas vivre sans moi et le peu de pognon que j’ai alors amis noirs la négritude devrait pur faire réfléchir à un retour définitif vers la terre de vos ancêtres les juifs ont leur ALYA les noirs devrait aussi avoir le leur !! et tiens pendant qu’on y est les arabes aussi ! Pour bien te marier marie toi dans ta rue !!
Au passage, Jean Messiha donne une baffe intellectuelle nationaliste au chroniqueur inféodé chargé de couler le Patriote. Tel est baffé qui croyait piéger (bourdiniste va !). Ecoutez bien ça se passe à la fin de la vidéo qui est très courte.
Jean MESSIHA@JeanMessiha
Sur la vandalisation de la statue de #Colbert :
« Le changement de peuple provoqué par une immigration massive et permanente entraîne un changement de roman national.
Depuis 40 ans on interdit à la France d’être la France.
Elle est en train de devenir autre chose »
@franceinfo TV
:::: https://twitter.com/JeanMessiha/status/1276176211874648066
J’ai brûlé tous mes romans « fleuve noir » , on ne sait jamais.
merci hoplite! MORT DE RIRE!!!
Le monde, sera un monde heureux obligatoirement car non plus d’idées noires !
en belgique
le pere du joueur de foot company, un belgo congolais exige que la famille royale et l’etat belge fassent des excuses aux congolais pour la colonisation
Il a fait arreter 4 belges en RDC parce qu’ils le critiquaient sur face de bouk
Ca devient de la folie
Je ne sais plus qui écrivait : « le communisme a déjà été remplacé… par l’antiracisme’ (JF Revel ?)
En fait, c’est plus fort qu’elle, la gauche (américaine ou française) a besoin de son totalitarisme quotidien à base de tabous, de prohibition, de mise au goulag des récalcitrants…
Vous oubliez, Christine, les « robinsonnades » et l’exploitation du « bon sauvage » par l’homme blanc.
Je dénonce le racisme systémique, le « white privilege » et l’appropriation culturelle de Vendredi ou des Lilliputiens
A mort Gulliver et Robinson Crusoé !
M’interdire tout lien avec les noir, moi ça me va, mais dans ces condition ils faut couper les robinets et fini les allocs généreuses, fini la CMU, fini les emplois, fini, fini, fini, et retour en Afrique. Comme ça vous n’aurez plus de contact avec les méchants blancs.
J’ai vu autre chose dans la même veine, qui révèle que le blanc en Occident, en Europe et le Français autochtone Historique n’auront plus droit à la parole. (je vais rechercher « cette autre censure » ; on ajoute à ce muselage en règle approuvé par le gouvernement qui ne met pas le holà mais y contribue, la destruction de tout ce que les intellectuels et artistes français ont produit, créé et on voit bien que l’on glisse dans l’effacement total de ce qui a fait la France et les Français ; de leur roman historique.
A observer et lister tous ceux qui cautionnent ce crime.
Voici une petite dernière :
– Le géant américain du numérique Google a déclaré qu’il avait l’intention de rémunérer des éditeurs de presse partenaires «pour un contenu de haute qualité», a fait savoir l’AFP.
:::: https://sptnkne.ws/CNXT
En période de désemploi et de de quête de popularité, d’envie de péter dans la soie, les requins vont être foule à se présenter au guichet Google.
Ce ne sera plus l’époque des fakes news et leur chasse mais bien l’ère de la « forge des opinions par la désinformation ».
Y aura-t-il encore quelques vrais journalistes sérieux et compétents indépendants. Serons-nous prêts à fiancer leur travail en payant leur production ? Ce sera la condition pour que survive la véritable information.
Le cousin de Goût-gueule : Microsoft
– Microsoft : Données de santé des Français aux mains de Microsoft: «C’est extrêmement grave»
:::: https://sptnkne.ws/CNB7
25.06.2020
La guerre contre le coronavirus pourrait en cacher d’autres. La décision de confier le stockage des données privées sur la santé des Français au Cloud de Microsoft pourrait s’avérer dangereuse. Frédéric Pierucci, une figure majeure de l’affaire Alstom, décrypte les tenants et aboutissants de cette décision pour le Désordre mondial.
La plupart des pays sortent du confinement à leur rythme, une mesure qui aura un impact sur leur santé économique et leur compétitivité. Ils tentent de doper leur économie de toutes les manières possibles, y compris en trahissant leurs principes de libre marché en choisissant des sociétés privées pour des investissements en échange d’une participation gouvernementale.
VIDEO : Paris a-t-il livré aux Américains les données de santé des Français ?
:::: https://www.youtube.com/watch?v=Z2liOnwTBPY
Les États-Unis, le Canada et la France ont tous évoqué cette idée lors de la crise. Est-ce que les gouvernements vont en profiter pour aller au-delà de ce que leurs citoyens, jusqu’ici, trouvaient acceptable? Entrons-nous, lors de cette période post-Covid-19, dans une ère de guerre économique intense entre les pays, par biais de leurs sociétés privées? Dans ce contexte, certains gouvernements ont-ils déjà pris des mesures à l’encontre de la sécurité ou des droits de leurs citoyens?
Frédéric Pierucci est un ancien cadre dirigeant d’Alstom et auteur du livre Le piège américain: L’otage de la plus grande entreprise de déstabilisation économique témoigne (Éd. JC Lattès). Il explique le nouveau projet français de Health Data Hub:
«L’État français avait décidé de collecter toutes les données des Français et de les centraliser sur ce qui s’appelle le Health Data Hub. L’idée était de créer un outil pour permettre de faire des recherches sur les maladies. Le projet est louable en soi-même. La France est l’un des seuls pays qui collectent de manière massive toutes les données de santé.»
Également fondateur et PDG d’Ikarian, un cabinet de conseil en conformité stratégique et opérationnelle, Frédéric Pierucci développe le risque inhérent à ce projet:
…./….
Rien à rajouter c’est très clair !
Merci Christine 👏👍