Hourra !!! Le scandale commence à éclater !!!
La société bidon, SurgiSphere avec sa base de données planétaire blabla, avait publié un article préalable à celui du Lancet (un coup de sonde histoire de voir si l’arnaque pouvait marcher ?).
L’article avait été publié dans une revue médicale prestigieuse elle aussi, le New England Journal of Medicine (NEJM).
Or, le scandale du Lancet a mis le NEJM dans une situation intenable, parce qu’une fois l’escroquerie Surgisphere révélée, l’article publié dans le NEJM a lui aussi été analysé : bidon lui aussi. Le NEJM s’est donc retrouvé incriminé lui aussi pour sa participation à une escroquerie scientifique massive. Vraisemblablement, ce journal a dû comprendre que sa crédibilité était sa ressource principal; il a par conséquent fait machine arrière.
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2020822
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Le NEJM vient donc de publier un « Expression of Concern », (c’est-à-dire une sorte de mise en garde à l’intention des lecteurs) pour l’article rédigé pas la « bande d’escrocs ». [ Expression of Concern peut se traduire par « Nous faisons part d’un souci concernant une publication ».]
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…Recently, substantive concerns have been raised about the quality of the information in that database. We have asked the authors to provide evidence that the data are reliable. In the interim and for the benefit of our readers, we are publishing this Expression of Concern about the reliability of their conclusions.
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…Récemment, des soucis tout à fait légitimes se sont fait jour quant à la qualité de l’information de cette base de données [la base de données de Surgisphere]. Nous avons demandé aux auteurs de fournir des preuves concrètes que leurs données sont fiables. En attendant leur réponse, et pour le bien de nos lecteurs, nous publions ce « Faire-part d’un Souci » concernant la fiabilité de leurs conclusions.
(Manière policée de dire aux lecteurs : attention, cet article est bidonné.)
Pourquoi est-ce une victoire ?
1/ parce que le NEJM confirme qu’il a bien, lui aussi désormais, une présomption d’escroquerie concernant Surgisphere.
2/ parce que cette décision de briser l’omerta renforce la pression qui pèse déjà sur le Lancet.
Il faut savoir que le rédacteur en chef du Lancet est un idéologue jusqu’auboutiste, il ne lâchera rien, jusqu’à sa propre destruction, et c’est tant mieux. Il avait déjà donné la mesure de sa perversité lors de la guerre de Gaza en 2014, faisant du Lancet une tribune pro-palestinienne, alors que son journal devrait se cantonner à la recherche scientifique médicale. (voir en fin d’article) Il avait, suite à la controverse suscitée, légitimé cette dérive par son credo : « La politique et la médecine vont de pair, ils marchent main dans la main ». Ce qui explique beaucoup de choses, comme par exemple, le choix d’aller jusqu’à truquer la science pour faire avancer son propre agenda politique.
https://www.telegraph.co.uk/news/health/news/11112930/Lancet-hijacked-in-anti-Israel-campaign.html
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Et, dans la foulée, le Lancet reconnaît enfin l’escroquerie de son article…
C’est en effet au tour du Lancet d’émettre un « Expression of Concern ».
https://www.thelancet.com/lancet/article/s0140673620312903
[Néanmoins, contrairement au NEJM, le Lancet est beaucoup plus vicieux, il annonce que la bande d’escrocs a commissionné une entité indépendante pour auditer ses données et que les résultats seront bientôt disponibles. A quoi peut-on s’attendre, sérieusement, de la part de panier de crabes ?]
En tout cas, de toutes les informations de la journée d’hier, la plus importante est aussi la plus courte : le Lancet jette l’éponge. Il reconnaît l’escroquerie de l’étude anti-hydroxychloroquine.
Dans ce milieu de la publication scientifique, on ne le dit pas brut de décoffrage : « il y a eu fraude », « ce sont des escrocs »,on dit plutôt qu’on émet une « Expression of Concern », mais c’est en définitive bonnet blanc, blanc bonnet.
Lancet enrolé dans une campagne anti-israëlienne.
Par Jake Wallis Simons, 22 Sep 2014
Depuis près de 200 ans, elle est considérée comme une revue médicale très respectée.
Mais selon des personnalités du monde médical britannique, le Lancet est détourné pour mener une campagne inlassable contre Israël, et utilisé comme plateforme par des auteurs supposément conspirationnistes.
En août, il a publié une « lettre ouverte pour le peuple de Gaza » controversée qui condamnait Israël dans les termes les plus forts, mais ne faisait étonnamment pas mention des atrocités du Hamas.
Les cinq principaux auteurs de la lettre ont clairement indiqué qu’ils n’avaient « aucun conflit d’intérêt ». Cependant, ils ont tous fait campagne avec véhémence pour la cause palestinienne pendant de nombreuses années.
En outre, une cache de courriels ouvertement disponible dans les groupes Google montre que deux des auteurs, le Dr Paola Manduca et le Dr Swee Ang, ont des sympathies pour les opinions de David Duke, un suprémaciste blanc et ancien grand sorcier du Ku Klux Klan.
[…]
Les militants israéliens ont porté cette information à l’attention du Lancet dans une lettre envoyée le 1er septembre. Toutefois, le journal a refusé de publier une réponse et n’a pas retiré la lettre ouverte de son site web – par lequel il a recueilli 20 000 signatures en faveur de la lettre.
« C’est totalement hors sujet. C’est une campagne de diffamation », a déclaré le rédacteur en chef du Lancet, le Dr Richard Horton, au Daily Telegraph. « Je ne vois honnêtement pas le rapport entre tout cela et la lettre sur Gaza. Je n’ai pas l’intention de retirer la lettre, et je ne le ferais pas même si les accusations s’avéraient fondées ».
Le Dr Horton, qui s’est exprimé par le passé lors de rassemblements organisés par la coalition « Stop The War » a nié que la réputation du journal serait ternie en donnant une tribune à des personnes qui semblent avoir de telles opinions, et a déclaré que le Lancet n’a pas l’intention d’enquêter sur ces allégations.
Selon ses détracteurs, l’épisode actuel n’est que le dernier exemple du parti-pris contre Israël que les rédacteurs du Lancet ont promu.
« Pendant de nombreuses années, le Lancet a constamment utilisé sa réputation pour attaquer Israël », déclare le professeur David Katz, expert en infection et immunité à l’University College London.
« The Lancet est censé être une revue médicale politiquement neutre. Le fait qu’ils aient donné une tribune à des antisémites avérés et qu’ils ne l’aient pas retirée, même lorsqu’ils sont confrontés aux preuves, est consternant.
« Ils ont laissé leur haine d’Israël les aveugler sur les normes de la science médicale et la poursuite de la raison. »
NGO Monitor, un chien de garde israélien, souligne qu’au cours des 15 dernières années, la revue a formé un certain nombre de partenariats avec des groupes palestiniens, notamment la Lancet-Palestinian Health Alliance, Medical Aid for Palestinians et le Gaza Community Mental Health Programme.
En revanche, il n’y a pas eu de collaborations comparables avec des groupes israéliens.
Le professeur Katz et un certain nombre d’autres personnalités du monde médical ont écrit au médiateur médical pour enregistrer leurs plaintes.
Le 29 août, le professeur Sir Mark Pepys, directeur de l’unité de découverte de médicaments Wolfson à l’UCL, a écrit : « Le fait que les auteurs de Menduca et al n’aient pas divulgué leurs extraordinaires conflits d’intérêts… sont les erreurs les plus graves, les moins professionnelles et les plus contraires à l’éthique.
« L’effort transparent pour dissimuler cette diatribe politique partisane vicieuse et substantiellement mensongère comme un appel humanitaire innocent n’a sa place dans aucune publication sérieuse, encore moins dans une revue médicale professionnelle, et déshonorerait même la plus basse des presses de caniveau. »
Il accuse personnellement le Dr Horton, le rédacteur en chef du Lancet : « Le comportement de Horton dans cette affaire est conforme à son utilisation de longue date et tout à fait inappropriée du Lancet comme véhicule de ses propres opinions politiques extrêmes« , dit-il. « Il a grandement nui à l’ancienne haute réputation du journal ».
En réponse, le Dr Horton a déclaré « Comment pouvez-vous séparer la politique et la santé ? Les deux vont de pair« .
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Donc le bateau flambe et les rats essaient de sauver leur peau. Mais au passage ne nous leurrons pas, désormais la presse scientifique est tout aussi pourrie que le reste et si cet article honteux a été publié c’est très certainement parce que les éditeurs de ces journaux ont dû être copieusement « arrosés ». Eh oui, même la science est un domaine ou règne désormais la pourriture (et je sais d quoi je parle)
Il v être difficile de nous faire croire maintenant que toute cette salade n’a pas été montée contre Raoult et son traitement pour éviter de soigner des gens avec un traitement qui ne coute que 3 francs 6 sous et ne rapporte rien à Big Pharma. Mais pour ça Macron, Véran et leur conseil scientifique de pourritures, tous corrompus jusqu’à la moelle, ont laissé mourir des gens, ils n’en ont donc rien a foutre si des français, dont des médecins et des soignants sont morts à cause d’eux!! S’ils avaient encore une once d’honneur ils démissionneraient, mais ils n’en feront rien et viendront encore s’autoféliciter et nous expliquer que maintenant c’est à nous de faire des efforts pour payer les conséquence de leur cupidité assassine. Bandes de saloperies!!
Je suis à la fois satisfait et plus que jamais dégouté de voir à quel point les institutions mondiales sont infestées de crevards.
Les rats commencent à s’accuser, et certain vont quitter le navire qui prend l’eau.
Bonjour Pikachu,
Excellent article une fois de plus.
Veran le porte flingue de macron doit démissionner de lui-même ou macron doit le virer.
Mais comme ce n’est pas l’honneur et l’honnêteté qui les étouffent, je suis pessimiste.
Ce sont des Assassins en col blanc, bien propre sur eux.
On serait au Japon, j’imagine qu’il aurait fait Seppuku.
Encore faudrait il que ces pourris aient une micro notion de ce qu’est « l’Honneur » ils n’ont même pas une conscience alors l’honneur c’est quelque chose qui leur est totalement inconnu
Le Lancet a finalement jete l’éponge, après le NEJM et reconnu la fraude :
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS0140-6736(20)31290-3/fulltext
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Important scientific questions have been raised about data reported in the paper by Mandeep Mehra et al—Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis1
—published in The Lancet on May 22, 2020. […] we are issuing an Expression of Concern to alert readers to the fact that serious scientific questions have been brought to our attention.
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La vérité triomphe finalement et incidemment il en ressort qu’Oliver Véran doit dégager. Oliver Véran a agi comme un jeune chien fou : il a sauté sans réfléchir sur une étude qu’il n’a même pas lue, ni lui, ni son entourage et qu’il a brandi comme justifiant une décision sanitaire majeure impliquant la santé des Français.
Maintenant que le Lancet s’est rétracté, le décret Véran doit être révoqué et Véran doit prendre la porte.
Vous ne pensez pas qu’il y a une main « anonyme » derrière?
Comme Blackrock par exemple ?
Blackrock qui possède Gilead,
Blackrock qui possède la maison d’édition Elsevier, qui elle-même possède le Lancet ?
Blackrock qui s’affiche comme sponsor de Macron : https://www.youtube.com/watch?v=8WpTePxV0Q0 ?
Non, ce n’est un « chien fou » qui gambade dans la prairie en toute insouciance. Comme le reste de cette mafia au pouvoir, Véran n’a agi ni par légèreté ni par naïveté. Il savait parfaitement ce qu’il faisait. Absence totale de scrupules, cynisme total et bien sûr mépris absolu de l’intérêt général : le cocktail qui tue la France et les Français.