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C’est l’arroseur arrosé… et ce n’est que le début de la fin pour tous ces traîtres à leur pays, à leur histoire, à leurs compatriotes et même à leur couleur de peau. Car ce qui arrive à la De Cock va arriver, inévitablement, à tous les porteurs de valises…
Comme c’est arrivé aux Pieds-Noirs massacrés par leurs voisins avec qui ils fêtaient Pâques et l’Aïd, dans la même cour, depuis des années.
Comme c’est arrivé au Liban.
Comme c’est arrivé dans le prémonitoire Camp des Saints
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Cela ne nous fait pas plaisir en soi, parce que ça veut dire que « les autres », les suprémacistes musulmans et Noirs avancent à grands pas et n’ont plus vraiment besoin des De Cock, des Taché, des Brossat…
Mais comme, pour l’heure, on ne peut rien faire d’autre que compter les points, on savoure.
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Si vous avez manqué nos articles sur la dégénérée, voici le plus récent qui vous ouvrira les yeux sur la donzelle et ses semblables.
Qui envoie la De Cock en Martinique former des enseignants à coups de « shitstorm » ?
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Encore un « shitstorm »(c’est son premier mot quand elle découvre la polémique), la bécasse aime le globish et tout particulièrement ce mot. En bonne gauchiasse, elle préfère résumer en un mot à la mode une situation plutôt que de débattre…
Récit sur F de souche copié-collé ci-dessous
Elle est carrément appelée « indigéniste », ben oui, on l’avait oublié lors de nos derniers articles, elle écrit sur Politis qui a lancé il y a une quinzaine d’années le mouvement haineux des « Indigènes de la République » mené par la Bouteldja, celle qui prétend que le racisme anti-blanc n’existe pas et que un jour ou l’autre tous les Français, porteurs de valise ou pas « y passeront »… Menaces de mort que la justice n’a jamais poursuivies.
Et elle a beau s’excuser platement, se mettre à genoux devant des accusateurs non blancs, pas de cadeaux :
Invisibilisation.
Comme beaucoup d’intellectuelLEs blancHEs, Laurence de Cock est habituée à occuper tous les terrains.
la position hégémonique qu’elle occupe,
Malaise du voyage exotique ?
Culpabilité coloniale latente ?
Incapacité à se détendre pendant des vacances ?
La révélation de l’antériorité de l’enquête publiée par ZIST (par ailleurs bien plus complète et intéressante!) met en évidence une série de mécanismes de l’invisibilisation des paroles non-blanches.
La mécanique de l’invisibilisation découle notamment de la stratégie d’occupation hégémonique de l’espace médiatique par les blancHEs.
C’est une chose de profiter de son pouvoir pour porter une parole rare et critique dans des espaces hostiles ou difficiles d’accès. C’en est une autre que d’en profiter pour s’exprimer toujours avec la même autorité sur n’importe quel sujet, en conservant sa posture et sa légitimité d’intellectuelLE, même lorsqu’on ne connaît rien (ou presque) au sujet sur lequel on s’exprime.
Curieusement, les intellectuelLEs blancHEs s’avèrent toujours « meilleurEs spécialistes » que les autres.
intervention blanche néocoloniale.
Ça dépote….
Les accusations
Scandaleux plagiat de @laurencedecock1 et @politis. Scandaleux. Dans le genre appropriation et invisabilisation ça se pose là. https://www.politis.fr/articles/2020/02/les-plaies-sucrees-de-la-martinique-coloniale-41384/ …
Les plaies sucrées de la Martinique coloniale
Même s’il ne reste plus qu’une seule usine sur l’île, au capital largement public, le sucre de canne continue d’incarner l’histoire d’un peuple issu de l’esclavage et de l’exploitation.
politis.fr
Nous sommes flattés. Laurence de Cock a trouvé notre série d’articles, Le Sucre, passionante. Résultat, elle a choisi de se l’approprier. Nous aimons moins. Explication du pillage. https://www.zist.co/2020/02/20/le-pillage/ …
Le Pillage – ZIST
Nous sommes flattés. Laurence de Cock a trouvé notre série d’articles, Le Sucre, passionante. Résultat, elle a choisi de se l’approprier. Nous aimons moins. Explication du pillage.
zist.co
Invisibilisation. Comment ça marche ? Revenons au contexte de production de l’article publié dans Politis. Comme beaucoup d’intellectuelLEs blancHEs, Laurence de Cock est habituée à occuper tous les terrains. Ainsi, elle en vient à s’exprimer sur tous les sujets avec le confort, la légitimité et les certitudes conférées par la position hégémonique qu’elle occupe, qu’elle le veuille ou non. Débarquant en vacances en Martinique, elle décide pour des raisons qui lui appartiennent (à moins qu’il ne s’agisse d’une commande) de profiter de l’occasion pour publier dans un canard de gauche quelques considérations bien senties sur la situation socio-politique martiniquaise, en gardant l’angle historique qui est le sien. Bien entendu, s’il ne s’était agi que d’une note d’un carnet de voyage personnel, les réactions n’auraient pas été les mêmes. Publier dans un journal d’audience nationale confère à tout écrit un statut particulier. Malaise du voyage exotique ? Culpabilité coloniale latente ? Incapacité à se détendre pendant des vacances ? volonté de se distinguer du flot des touristes par la mise en scène d’un voyage intelligent ? Pourquoi avoir choisi ce sujet-là précisément ? Peut-être qu’en débarquant, à la recherche d’un sujet un peu chaud et susceptible de titiller les esprits métropolitains a-t-elle rencontré quelqu’un qui lui a parlé de cette histoire… peut-être que c’était un lecteur ou une lectrice des articles de Zaka Toto…
La révélation de l’antériorité de l’enquête publiée par ZIST (par ailleurs bien plus complète et intéressante!) met en évidence une série de mécanismes de l’invisibilisation des paroles non-blanches. Il n’y a rien de nouveau ici, et ce sont des choses qui ont été largement discutées depuis des décennies. Mais cette affaire du jour est un cas d’école. La mécanique de l’invisibilisation découle notamment de la stratégie d’occupation hégémonique de l’espace médiatique par les blancHEs. C’est une chose de profiter de son pouvoir pour porter une parole rare et critique dans des espaces hostiles ou difficiles d’accès. C’en est une autre que d’en profiter pour s’exprimer toujours avec la même autorité sur n’importe quel sujet, en conservant sa posture et sa légitimité d’intellectuelLE, même lorsqu’on ne connaît rien (ou presque) au sujet sur lequel on s’exprime. Cette boulimie suractive ne fait que renforcer l’hégémonie culturelle blanche alors même qu’elle se pose en critique de cette hégémonie. Curieusement, les intellectuelLEs blancHEs s’avèrent toujours « meilleurEs spécialistes » que les autres. Ne parlons même pas des personnes qui n’ont que leur légitimité de classe (populaire) à monnayer ou leur statut minoritaire : les autres les parlent toujours mieux. On l’a vu en études de genre à l’université où soudain des mecs hétéros blancs se découvrent une fibre féministe d’autant plus vibrante qu’elle ne remet rien en cause des traditionnels rapports de force inégalitaires dont ils bénéficient par ailleurs. Bénéfice matériel et symbolique, on gagne à tous les coups. Mais quand on critique l’hégémonie, un des enjeux lorsqu’on a du pouvoir est de savoir aussi l’utiliser pour « faire de la place aux autres », y compris au prix de la perte de ses privilèges. Autrement dit, dans le cas qui nous préoccupe, utiliser l’accès à Politis pour rendre visible ce qui existe déjà avant et sans l’intervention blanche néocoloniale.
(….) De l’autre Côté
La ligne de défense
Laurence De Cock@laurencedecock11) Bon, gros shitstorm sur twitter : accusation de plagiat pour le dernier article de @Politis_fr. Comme le sujet est sensible, qq précisions : l’idée de l’article, je l’ai en allant visiter le site et discuter avec son http://dir.com (facile à vérifier), le 12 février.
2) Puis ne sachant pas trop quel axe, je parle avec des collègues en voiture de la question du succès des thèses suprémacistes noires à la Martinique, gros sujets de préoccupation pour les enseignants. Là, on me raconte l’épisode Semi Keba. je le trouve hyper révélateur
Laurence De Cock@laurencedecock13) je rentre et je cherche, je compile la doc, sur le sucre, sur le galion, sur Semi Keba dans tout ça. Le premier article que je vois est celui-ci : https://la1ere.francetvinfo.fr/martinique/poids-mots-choc-du-symbole-manifestation-kemi-seba-genipa-592993.html …
Le poids des mots et le choc du symbole de la manifestation de Kémi Séba à Génipa – Martinique la…
Animation inhabituelle au centre commercial Génipa vendredi 25 mai 2018. Emmenées par l’activiste Kémi Séba, plusieurs dizaines de personnes sont entrées dans
la1ere.francetvinfo.fr
4) il y a toutes les idées et la critique principale dedans. Ensuite je lis la doc sur le Galion que m’a envoyée une dame rencontrée sur place. J’en retrace l’histoire, en particulier l’industrialisation. Je lis aussi, parmi d’autres le blog de l’auteur en question
Laurence De Cock@laurencedecock15) je me souviens que de celui précis sur Semi keba, je ne vois pas du tout que c’est une série sur le sucre. Il parait qu’il me l’a dit avant sur twitter, je n’ai strictement rien vu. je ne lis quasiment pas les réponses aux tweets.
6) Je rédige l’article sur la base de toutes les lectures, rapidement évidemment c’est le jeu. Je ne cite aucun des blogs ou articles lus rapidement on ne le fait jamais. Rétrospectivement celui-ci j’aurais dû en effet, parce que c’est le plus fouillé. Pour ça, en effet désolée.
Laurence De Cock@laurencedecock17) Hier soir j’ai écrit longuement à l’auteur en expliquant tout ça, m’excusant, précisant que je demandais à Politis l’ajout d’une note, qui est ajoutée aujourd’hui.
8) comme tous les articles (courts)de vulgarisation, on compile mille choses, on ne cite pas tout, surtout dans la presse. Là j’aurais dû faire plus attention compte tenu du caractère brûlant du sujet. Je me suis sincèrement excusée auprès de l’auteur mais ne peux faire plus.
Laurence De Cock@laurencedecock19) Donc pas de plagiat, mais une invisibilisation oui, qui évidemment m’interroge aussi, travaillant et militant sur ces questions-là. Tout cela a été écrit à l’auteur par texto (refus de me parler), des excuses plates et sincères parce que l’invisibilisation est impardonnable.
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Elle n’avait qu’à pas se prendre pour plus noire que noire . Ces gens qui adoptent de coutumes par une espèce de mimétisme, qui s’identifient carrément aux populations étrangères , devraient garder leur sang froid car ils manquent totalement de discernement ou se mentent à eux mêmes. En tout cas il ne faut pas confondre fantasmes et réalité Là dessus je suis d’accord avec ceux des antillais qui critiquent l’initiative de de Cock ,qui, dans l’histoire est pathétique de vouloir tellement plaire aux noirs de façon démagogique et opportuniste.Il ne faut pas négliger cette élément fondamental qui est à l’origine de son déplacement quelque peu médiatisé. Cette initiative avait pour but principal de peaufiner son image et sa com auprès de la diversité pour aller dans le sens de ceux qui renient de façon nihiliste la France et les principaux concernés l’ont bien ressenti. .
Pour ce qui est des extrémistes raciaux antillais ou autres Africains , il faut qu’ils arrêtent de fumer la moquette.
Je vais en étonner plus d’un mais j’aime beaucoup les musiques, les arts et certains plats des Antilles et d’Afrique sans oublier la Réunion y compris les pays du Maghreb du moyen orient etc . Je suis féru de musique dites noires dont j’apprécie les rythmes variés que ce soit dans le contemporain comme dans l’histoire . Mais je ne m’identifie pas une minute aux personnes qui en sont les auteurs ou les interprètes. Il y a quelque chose qui me plait dans tout ça qui ne regarde pas les gens qui se croit détenteurs de cette culture .
Quand on diffuse ou que l’on rend publique une œuvre , elle ne vous appartient plus , et surtout elle n’appartient pas à la race qui s’en croit détentrice. Moi je revendique d’aimer ce que les noirs racistes anti blanc qui se croient autorisés à l’être, honnissent par dessus tout, c’est à dire ce que l’on appelle l’exotisme et l’art qui s’est développé autour de cela . Si certains fustigent le côté art colonial, moi je vois autour de ce qui n’avait rien à voir avec la réalité, mais sortait de l’imagination fertile des artistes de cette époque, ,une façon de faire un pas vers l’autre, en améliorant singulièrement la perception de l’occidental envers les populations concernées et esthétiquement parlant c’était magnifique . Les collaborations ou l’inspiration des uns vers les autre de cultures différentes ne reniant pas pour cela leur racines , donnent les résultats les meilleurs que ce soit pour la vue , l’oreille et la tête . N’est ce pas le but principal et non pas l’affirmation d’une appartenance à une ethnie quelconque et même si cela a sa place dans le panel proposé cela ne doit pas être le leitmotiv comme on peu le constater avec le rap car le rabâchage servant une idéologie devient de la propagande ce qui va l’encontre et est le contraire même de l’œuvre artistique .
L’art métissé je ne connais pas, si c’est Noah dans « Saga africa » moi je veux bien, mais c’est tout, sauf de l’art . Pour moi la de Cock est à l’image de cette pantalonnade métissée , en reniant ses origines et le roman national elle est dans la médiocrité , c’est celle ci affichée qui donne des ailes aux plus extrémistes qui se disent que dans ces conditions tout est permis!!
Il n’y a pas de sujet sur Guignol au salon de l’agriculture ?
Comment Guignol se fout de la gueule des agriculteurs en faisant des phrases dont il ne pense pas un traitre mot.
en globish de cock donne DE BITE c’est dans l’air du temps on dirait 😉
Bonjour,
Rigolo en effet …
Les partisans des minorités sont destinés à se bouffer entre eux : on ne construit pas une politique en se fractionnant sans cesse en minorités geignardes.
Minorités contradictoires quant aux principes selon lesquels elles entendent se fonder …