Photo : animal en bronze du Lorestan datant du VIIIe siècle avant J.-C.
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Musée national d’Iran et ses collections d’objets persans, soi-disant « au cœur de l’art islamique » alors que Mahomet n’était pas né ni ses arrières grand-mères !
Le soi-disant « art islamique » est une imposture : on superpose l’islam sur un patrimoine culturel existant à des fins de propagande.
Les conquérants de l’islam sont des prédateurs. Là où l’islam passe, la culture existante trépasse, volée, absorbée par l’envahisseur.
La méthode ? Le vol. Celui de la mémoire, de l’histoire, de la culture d’autres peuples, à travers l’appropriation pure et simple des objets.
L’envahisseur qui avale la culture de celui qui est dominé, c’est le stade ultime et logique de tout processus d’islamisation.
Un exemple (photo d’illustration) valant mieux qu’un grand discours, voici la présentation du Musée national d’Iran par Air France, telle que l’autorisent les barbes islamiques au pouvoir.
Le musée a été réalisé par… un Français ( !) avant la révolution islamique et il présente des collections anciennes, bien antérieures à la peste verte qui a envahi la Perse.
Sa nouvelle adresse est « Avenue Khomeiny »…
Voici comment Air France présente le musée : on y parle d’objets archéologiques persans, admirables, datant des Ve et IVe siècles avant J.-C.
Le soi-disant « art islamique » annoncé est une imposture :
Une étape phare pour comprendre l’histoire de ce pays complexe et découvrir l’une des plus riches collections d’art persan au monde.
Ne manquez sous aucun prétexte le Musée national (ou Musée archéologique) inauguré en 1937, qui abrite des merveilles allant de l’antiquité perse à la dynastie sassanide. Le bâtiment le plus ancien a été imaginé par André Godard – architecte français responsable des services archéologiques d’Iran jusqu’en 1960 et qui a laissé une forte empreinte dans le pays. Sont exposés ici des trésors remontant aux Ve et IVe siècles avant J.-C. et mis au jour, entre autres, à Suse et Persépolis.
Vous pouvez admirer des animaux en bronze du Lorestan datant du VIIIe siècle avant J.-C., de magnifiques vases néolithiques issus de fouilles dans les cités antiques. Parmi les plus belles pièces à voir, citons encore le chapiteau de pierre en forme de lion ailé, celui représentant une tête humaine, la copie du Code de Hammurabi, dont l’original se situe au Louvre, ainsi qu’une frise en carreaux émaillés de l’Apadana, en provenance de Persépolis. Pour vous aider à comprendre l’origine des pièces exposées, vous pourrez vous informer sur les quelques panneaux explicatifs en anglais.
Le phénomène de vampirisation d’un art par l’islam.
Photo ci-dessus : « Les arts de l’islam s’exposent à l’IMA ». Ici une flasque en céramique d’Iznik en Turquie .
Photo du site pro musulman Saphirnews https://www.saphirnews.com/Les-arts-de-l-islam-s-exposent-a-l-IMA_a11151.html
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Céramiques d’Iznik
En vérité, la grandeur et l’inventivité de cet art profane traditionnel ont disparu : à la fin, toute fantaisie étant proscrite par l’islam, il ne fallait produire que de simples carreaux pour la mosquée !
Par décret du Sultan, en 1585, Iznik aura l’obligation de consacrer toute sa production de faïences au Palais, ce sera l’une des raisons du déclin de cet art. La dernière grande commande impériale se fera pour la Mosquée Bleue (1609-1617). Plus de 2000 carreaux de revêtement. En 1648, il ne reste plus que 9 ateliers alors qu’on en dénombrait 300 au début du siècle.
À partir du début du XVIIe siècle, la céramique d’Iznik va connaître un lent déclin de son inventivité et de sa qualité de fabrication. En 1719, les derniers fours d’Iznik seront définitivement abandonnés. Les productions de la ville de Kütahya vont alors prendre le relais tout au long du XVIIIe siècle.
Avec la guerre d’indépendance et les pogroms nationalistes du XXe siècle, la grande majorité des maitres potiers restants, qui étaient soient arméniens soient grecs, fuient la région et une grande partie du savoir-faire disparait. Dans les années 1950 on trouve aussi de la céramique d’Iznik rouge de très faible qualité. Cette production est plus proche de la poterie mais reprend les motifs sur des émaux crème et ocre.
Filon touristique et arnaque pour gogos.
Depuis les années 1980 et avec le retour de la notoriété d’Iznik en Turquie, beaucoup de faïences originaires de Kütaya sont seulement peintes et signées à Iznik.
Djihad culturel.
L’art est utilisé par les musulmans pour accréditer l’idée d’une « nation musulmane », d’une « Oumma ».
Aujourd’hui le terme est largement repris par des mouvements politico-religieux panislamiques. Pour l’historien Georges Corm,
« cet attachement viscéral à la notion très imaginaire de Oumma et de civilisation ou de valeurs musulmanes ou arabo-musulmanes ne fait que traduire une réaction psychologique de compensation à l’état de déchéance dans lequel sont plusieurs sociétés qui ont pour religion principale l’islam. ».
Une exposition récente, se tenant au Maroc, fait l’apologie de l’art islamique, relayée par un article du 25 octobre (Libération).
Cette exposition nous interpelle à plus d’un titre :
-la propagande pour l’islam saute aux yeux dans les présentations aux médias
-on y évoque les « antiquités, les tapis, les bijoux et les articles de maroquinerie » : des objets profanes captés, issus de l’artisanat !
-la France (et ses généreux contribuables car l’exposition bénéficie à n’en pas douter d’importants moyens financiers) est partie prenante dans cette opération idéologique : on nous explique que l’exposition est montée « en partenariat avec l’Institut du monde arabe, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports et la Fondation nationale des musées ».
Merci aux Français pour leur financement : les jeunes publics africains vont pouvoir découvrir la grandeur de l’islam.
-l’utilisation de l’art aux fins de propagation de l’islam y est revendiquée
– Trésors de l’Islam « en Afrique » : pour l’islam, pas de frontières nationales : gloire à l’ « Oumma » !
Les jeunes publics accepteront d’autant plus facilement l’idée d’Oumma (= nation muslumane) qu’on leur aura fait croire à l’existence d’un « art islamique ».
Découvrons ci-dessous les formules dithyrambiques (surlignées) utilisées pour qualifier ce soi-disant « art islamique » et l’immense chance des élèves de voir cette exposition.
Les “Trésors de l’islam en Afrique” exposés à Rabat, du 17 octobre 2019 au 25 janvier 2020.
Merci l’Institut du monde arabe de Jack Lang pour sa contribution au rayonnement de l’islam !
La Fondation de l’Académie du Royaume du Maroc montre la grandeur de l’art islamique en Afrique
Des élèves de deux établissements scolaires à Rabat ont pu apprécier, mercredi, la grandeur de l’art islamique, et ce lors d’une visite pédagogique à l’exposition « Trésors de l’Islam en Afrique : De Tombouctou à Zanzibar », initiée par la Fondation de l’Académie du Royaume du Maroc pour la coopération culturelle.
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Les élèves des lycées collégiaux « Abou Houraira » et « Al-Joulane », qui ont visité les trois sites de l’exposition, à savoir les galeries Bab Rouah et El Bab El-Kébir des Oudayas et le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain, ont découvert l’histoire de l’Afrique depuis le Moyen Age, s’ouvrant par la même occasion sur les moyens de propagation de l’islam, des rituels, des pratiques religieuses et des arts islamiques dans l’Afrique subsaharienne.
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Cette visite s’inscrit dans le cadre du programme des visites pédagogiques établi par la Fondation de l’Académie du Royaume du Maroc pour la coopération culturelle au profit des élèves des collèges publics de la région de Rabat-Salé-Kénitra, qui s’étale jusqu’au 25 janvier 2020, a déclaré à la MAP l’encadrant à l’Académie du Royaume, Abdenacer Messnaoui. Dans ce sens, M. Mesnaoui a fait savoir qu’une quarantaine d’élèves bénéficieront, chaque mercredi, de cette visite des trois sites de l’exposition, soulignant que la Fondation vise ainsi à initier les élèves à l’art islamique et aux moyens de propagation de l’islam en Afrique.
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Pour sa part, la directrice du collège Al-Joulane, Hayat Tahiri, a affirmé à la MAP que cette visite s’assigne pour objectif d’aiguiser le sens artistique chez les élèves et de leur permettre de s’ouvrir sur la richesse et la diversité des arts islamiques.
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La responsable a salué l’initiative de la Fondation de l’Académie du Royaume du Maroc pour la coopération culturelle, se réjouissant du fait que les élèves ont découvert, à travers cette exposition, les liens historiques liant le Maroc au continent africain et les moyens d’expansion de l’islam dans ce continent à partir du Royaume.
De leur côté, les élèves se sont dits heureux d’avoir eu la chance d’effectuer cette visite pédagogique qui leur a permis de connaître de près l’art islamique et l’histoire de l’islam et des musulmans dans les pays de l’Afrique subsaharienne, exprimant leur grande appréciation des œuvres artistiques exposées, notamment les antiquités, les tapis, les bijoux et les articles de maroquinerie.
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L’exposition « Trésors de l’islam en Afrique: de Tombouctou à Zanzibar », organisée du 17 octobre 2019 au 25 janvier 2020 par la Fondation de l’Académie du Royaume du Maroc pour la coopération culturelle, en partenariat avec l’Institut du monde arabe, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports et la Fondation nationale des musées, regroupe 250 œuvres d’art patrimoniales et contemporaines, issues de collections publiques et privées du Maroc, d’Afrique et d’Europe.
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Cette manifestation artistique porte sur trois régions géographiques, à savoir l’Afrique de l’ouest, la Corne de l’Afrique, la haute vallée du Nil, l’aire Swahilie et le Soudan subsaharien.
L’exposition met en exergue 13 siècles d’Histoire, à travers un voyage dans le temps alliant l’art, l’archéologie, l’architecture et l’ethnographie dont témoignent de grandes œuvres d’artistes contemporains qui reflètent comment l’islam a été et continue d’être exprimé dans ces contrées africaines.
Le terme « art islamique » est abusif.
La question de l’appellation de ce domaine a, depuis le début de son étude, été difficile ; d’aucuns ont cherché à le qualifier de manière ethnique et raciale (« art arabe », « art persan », « art turc », « art sarrasin » — surtout dans son appellation anglophone saracenic —, « art mauresque »…), d’autres, pour en mettre en avant l’unité, ont utilisé des adjectifs religieux (« art mahométan », puis « art musulman »), impropres puisqu’une grande partie de la production est profane. Le terme d’islam, dans son acception culturelle et non religieuse, a été préféré au cours de la deuxième moitié du xxe siècle. Mais la question de l’unité d’un tel art reste épineuse, et est mise en doute, par exemple par Oleg Grabar dans son ouvrage La formation de l’art islamique.
Avec l’islamisation de la France, notre patrimoine culturel un jour islamisé lui aussi ?
L’histoire nous apprend que le processus de vampirisation des arts existants localement par l’islam pourrait un jour s’appliquer en France. Qui sait, dans cent ans, peut-être qu’un nouveau Tariq Ramadan osera prétendre que le Pont du Gard, les Châteaux de la Loire ou le Mont Saint Michel sont des joyaux de l’ « Art islamique » !
[Le Tariq Ramadan contemporain affirme sans vergogne que les Arabes ont tout inventé sur Terre, jusqu’à la galanterie française, dans un débat avec A. Finkelkraut !].
En conclusion, le magnifique texte reproduit ci-dessous évoque l’imposture de cette notion d’ « arts islamiques ».
Il avait été publié à l’occasion de l’exposition sur les soi-disant « Arts de l’Islam » au Louvre en 2012.
Lire la magnifique conclusion du texte ci-dessous sur la laïcité : il est abusif de mélanger l’islam avec autre chose (les arts, la politique…). Ce que continue malheureusement à faire la France aujourd’hui dans le cadre de sa politique culturelle, avec par exemple cette exposition au Maroc citée plus haut ou les scandaleuses opérations de propagande pour l’islam, qui ont lieu régulièrement à l’Institut du monde arabe à Paris avec nos impôts.
https://blog.mondediplo.net/2013-08-01-Arts-de-l-islam-au-Louvre-de-la-confusion-a-la
« Arts de l’Islam » au Louvre : de la confusion à la manipulation
par Raphaël Farhad Fayaz Pour, 1er août 2013
Le Monde diplomatique« Arts de l’Islam » au Louvre : de la confusion à la manipulation
Depuis septembre 2012, le musée du Louvre a étendu sa section intitulée « Les arts de l’islam », qui date, à l’origine, du XIXe siècle. Cette dernière extension a été financée, au moins en partie, par la fondation Alwaleed Bin Talal, du nom du prince et homme d’affaires saoudien du même nom. L’extension offre un trésor d’objets d’art, d’outils divers, y compris à usage scientifique, mais aussi des présentations, notamment sonores, d’œuvres littéraires.
L’origine de ces objets est très variée, du Maghreb ou de l’Espagne jusqu’à l’Inde en passant par la Turquie et l’Iran. Pour quiconque s’intéresse à l’art et la culture de cette immense aire géographique, l’ensemble de ces objets constitue un trésor de connaissance. Le musée fait le choix de présenter cette diversité de provenances sous le signe de l’islam. Effectivement, l’islam représente un point commun à tous ces pays, pendant au moins une certaine partie de leurs histoires respectives. Mais pourquoi ce choix ? Pourquoi ne pas proposer ces objets en fonction des aires géographiques et des pays d’origine auxquels ils appartiennent ? Pourquoi représenter une civilisation, quelle qu’elle soit, sous le nom de la religion prédominante ? Pourquoi représenter une diversité de civilisations si anciennes, comme celle de l’Inde, même pour une partie de leur histoire, sous la coupe d’une religion ?
Voilà quelques questions qui se posent lorsqu’on s’intéresse aux pays à forte population de confession musulmane, souvent avec un regard marqué par la confusion. Ce sont des questions sur notre connaissance de ces parties du monde, des questions bien actuelles. La représentation que fait le Louvre de l’histoire met en évidence la vision que nous pourrions avoir de l’islam, celle que des musulmans pourraient avoir de leur propre religion et, enfin, les manipulations qui en sont faites par certains musulmans, en résumant toute l’identité des peuples concernés à l’islam — le leur, bien sûr.
L’influence de l’islam sur l’art dans les pays à majorité musulmane, par exemple en matière d’architecture, est incontestable, au même titre que celle du christianisme en Europe sur la peinture.
Mais parle-t-on pour autant des « arts du christianisme » ?
Pourquoi parler dans les publications du Louvre de « l’objet islamique », en traitant des objets exposés ? Est-ce qu’un astrolabe peut être considéré comme un « objet islamique », comme c’est le cas au Louvre ? Que dirait-on si, [aujourd’hui], au Caire ou à Istanbul, on présentait les œuvres de Léonard de Vinci, de Victor Hugo, d’Isaac Newton ou de William Shakespeare comme les « arts du christianisme » ou du « judéo-christianisme », ou une porcelaine de Sèvres comme un « objet chrétien » ?
Par ailleurs, la conception de l’exposition est sans fondements sur le plan de l’histoire politique des régions concernées. En résumé, sauf pour le cas particulier de l’Espagne, à partir de l’époque où l’islam est arrivé dans ces pays, tous les objets qui en sont originaires sont qualifiés d’« arts de l’Islam », et ce, jusqu’à des époques assez récentes. C’est le cas d’un nombre très important d’objets, par exemple ceux datant du XVIIe siècle en Iran, alors qu’à cette époque, sous les Safavides, rien ne liait politiquement l’Iran à d’autres pays musulmans — ce qui aurait pu être vrai au IXe siècle, lorsque le califat des Abbassides régnait sur l’Iran et d’autres pays convertis à l’islam. Autrement dit, avec cette vision du monde, on se situe dans une appropriation totale de l’histoire de tous les pays en question, avec tout leur patrimoine culturel, sans limites dans le temps, à partir de l’arrivée de l’islam sur leur terre. Ainsi, le Louvre pourrait présenter, dans quelques années, les œuvres du cinéaste égyptien Youssef Chahine ou de l’Iranien Abbas Kiarostami comme relevant des « arts de l’islam ».
Les exemples suivants permettraient d’illustrer davantage les confusions, et parfois les manipulations. Avant l’arrivée de l’islam en Perse, peu après sa naissance au VIIe siècle, il y avait sur l’immense territoire perse des arts, des langues et des religions, par exemple le zoroastrisme, dont l’influence est tout simplement effacée à partir du moment où l’on vient apposer sur tout ce que l’on voit un qualificatif aussi caricatural que celui d’« arts de l’islam ».
Là où l’on est au-delà du bon sens même, c’est lorsqu’on voit au Louvre des objets façonnés en Iran au VIIe siècle qualifiés déjà d’objets islamiques. De même, l’architecture en Iran avant l’islam était raffinée, comme en Espagne ou en Inde, et ces différentes architectures, à différentes époques, ont été influencées par les religions ; mais les mosquées en Iran, en Inde ou en Espagne n’ont pas été construites à l’identique, car, à chaque fois, l’islam a rencontré une culture et un patrimoine différents.
Enfin, on ne peut qu’être particulièrement frappé par la présentation du Shâh Nâmeh de Ferdowsi, l’œuvre épique du poète iranien, de la région Khorassân, qui, au Xe siècle, a recréé des histoires mythologiques ayant leur source dans l’époque anté-islamique de l’Iran. Le contexte de la création du Shâh Nâmeh, sous les Ghaznavides, est celui de la confrontation de la langue persane avec la langue arabe qui s’impose depuis l’arrivée de l’islam sur le territoire perse. Comme le prédisait avec assurance Ferdowsi lui-même, sa « parole » (soxan) a contribué à la continuité d’une langue. C’est ainsi d’ailleurs que les persanophones la considèrent plus de mille ans après. Qualifier l’œuvre de Ferdowsi d’« art de l’islam » est tout simplement dénué de sens.
Est-ce que, depuis le XIXe siècle, le regard que le musée porte et permet de porter sur les civilisations influencées par l’islam a évolué ? D’où vient cette conception de l’islam qui consiste à superposer la religion et l’Etat, la religion et la culture, et à présenter la religion comme l’identifiant premier ? Qu’apporte-t-on aux personnes désireuses de mieux connaître les pays concernés, ou de connaître tout fait de civilisation relevant de ces immenses territoires, si ce n’est de la confusion, celle entre une religion et des cultures diverses ?
Cela est assez révélateur de deux choses. La première est le rapport complexe de l’Occident avec l’islam, et en particulier celui qu’entretient la France avec cette religion ; la seconde, d’une tout autre dimension, est le rapport intrinsèque qu’entretiennent des musulmans de différents pays avec leur religion. La France cherche-t-elle à rattraper quelque chose par rapport à sa propre histoire, notamment concernant ses liens avec les pays du Maghreb et les pays arabes de manière générale, ou encore ses rapports avec ses propres musulmans, en montrant une espèce de reconnaissance à l’égard de l’islam ? Le Louvre, symbole de la France, cherche-t-il à faire plaisir aux musulmans en présentant de la sorte un mélange de choses précieuses dont la genèse ne saurait pourtant être reliée à une religion ?
La tendance qui consiste à faire confondre une identité culturelle avec une identité religieuse, alors que la première est bien plus complexe que la seconde, est une tendance dangereuse qui rappelle les mouvements fanatiques récents. La République islamique d’Iran, par exemple, parle d’« Iran islamique », reniant implicitement l’histoire du pays, celle d’avant l’islam, et balayant d’un revers de la main la diversité de sa population et ses minorités.
Au cours des dernières décennies, des pays comme l’Arabie saoudite, en reniant toutes les identités culturelles au nom de la soi-disant religion commune, ont été à l’origine, d’une manière ou d’une autre, de tentatives d’exportation de leur vision du monde par des mouvements fanatiques.
Le musulman d’Iran, celui du Liban, du Maroc ou de l’Indonésie n’ont pas les mêmes patrimoines et identités culturelles, et guère les mêmes perceptions de l’islam. Malgré les traits communs, il y a des choses plus anciennes, dans la nature humaine comme dans l’histoire de toute civilisation, qui sont bien antérieures aux religions. Cela relève tout simplement de la géographie, des modes de vie, de l’histoire, de ce que l’on appellera la culture, dont la diversité est souvent à l’image de celle des langues humaines. Vouloir réduire toute cette complexité anthropologique pour faire accepter que la religion puisse être à l’origine de l’art ne peut relever que d’une vision trop étroite de l’être humain, ou d’une grande supercherie.
La vision proposée par le Louvre correspond à une relecture de l’histoire dans la négation de celle des pays et des peuples concernés. Il est sûrement vrai qu’un certain nombre de musulmans voient toute leur culture à travers leur religion ; il en a été de même, à travers l’histoire, pour bon nombre de chrétiens ou de Juifs.
En France, on ne mélange pas la religion avec autre chose, en particulier avec la politique. Cela s’appelle la laïcité. Mais on a tendance parfois à concevoir ce mélange pour d’autres pays ! La France ne pourrait-elle pas voir les choses autrement en ce qui concerne les pays à majorité musulmane ?
VOIR AUSSI ARTICLE RR https://resistancerepublicaine.com/2018/04/28/le-louvre-se-met-en-quatre-pour-accueillir-et-faire-connaitre-lislam-chroniques-15/
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Ces merdes n’ont rien inventé, rien créé ni rien imaginé. Tout ce qu’ils présentent comme leur œuvre a été volé à d’autre au cours des tristement célèbres razzias. Et les imbéciles (dixit Édouard) qui parlent de » l’art islamique persan » sont au minimum des incultes stupides voire des salauds qui valident les pillages des assassins mahométans.
Ce n’est pas de l’art islamique, juste des expositions de butins issus des vols au cours des siècles de razzias bien islamiques, elles.
Quelle grossière supercherie, en effet !
superbe article !!
j’ ai fait comme Ramonaaaa
un rêve merveilleux
la grande Mosquée de paris devenait un couvent pour réunir et abriter les Petite Soeurs de l’ Agneau
vous en avez surement rencontré de ces gentilles filles, toutes vetues de bleu et qui viennent porter un peu de réconfort a ceux qui souffrent en solitaires….vieillards, sans parents ni famille….
petit fripon !!! 😆
Une de leur plus belle appropriation : à Constantinople, Sainte Sophie (le Sagesse personnifiée,c’est-à-dire le symbole d’une antinomie totale avec l’Islam..
« Quelques minarets à y ajouter et hop ! c’est à nous ! »
A quand Notre-Dame ? tout peut arriver en ces temps de fin de civilisation.
Ce qui m’a toujours choqué en matière d’appropriation des bien des autres par les arabes :
Le mont du temple, issu du judaïsme, sur lequel se situait le premier Temple de Jérusalem d’origine construit au Xème siècle av.JC, puis détruit, reconstruit ….
Et par dessus, les arabes ont construit par la suite une mosquée, s’appropriant le lieu …. prouvant ainsi le vol manifeste de cet endroit dont l’origine est incontestable.
Ce lieu qui ne leur appartenait pas devint le leur, comme pour beaucoup d’autres endroits « volés ». Acte témoignant de leur imposture.
Il en est de même pour d’autres disciplines de l’esprit, des Arts, des sciences, abstraites ou appliquées.
Jusqu’à leur religion. Le Coran n’étant qu’un « crassussage » (vulgaire copiage dans le jargon des. matheux) et une ré-appropriation monstrueuse de nombreux thèmes et même de personnages, de la Bible .
C’est encore plus flagrant pour les mathématiques. Que de fausses assertions à ce sujet propagées par les musulmans eux-mêmes mais également (ce qui me met en rage), par bon nombre de thuriféraires occidentaux, jusque par le biais d’ouvrages de vulgarisation (beaucoup de « lèche » à cet égard, également dans certains livres estampillés par l’Education Nationale). .
Tout d’abord les fameux « chiffres arabes », qui n’ont rien d’arabe quant à leur invention. Laquelle est due aux Hindous. De même que la trouvaille (géniale) du Zéro. Les arabes se sont même approprié des découvertes en maths faites de nombreux siècles avant que Mahomet ne monte sur sa première chamelle, en recopiant les Grecs antiques
Ils n’ont fait que reprendre des inventions et découvertes antérieures et les retransmettre.Et encore ! non pas par des « purs » arabes, mais essentiellement par les Persans ou les Andalous,sans oublier les Juifs (eh oui !
Un anecdote à ce sujet : un de mes amis, expert économiste, se trouvant en Arabie à l’occasion d’une mission pour le compte de la Banque Mondiale. discutait avec un « intellectuel » arabe à propos des inventions des arabes (je précise qu’il y a de cela près de quarante années, ce qui fait qu’un tel échange ne pourrait plus avoir lieu de nos jours; vous allez comprendre pourquoi)
Mon ami avançait que les arabes n’avaient jamais rien inventé, ce qui provoquait chez son interlocuteur des dénégations outragées.
Passe à ce moment un avion à réaction en approche d’atterrissage au dessus d’eux et mon ami dit : » vous voyez, cet avion ; c’est nous les occidentaux qui l’avons créé. Vous n’auriez jamais été capables de l’avoir fait avant nous. Vous n’avez jamais rien créé de tel ».
Réponse du Bédouin : » Allah est grand qui a créé les « blancs » qui inventent des avions pour nous les Arabes »!
Fermons le ban.
: »
Pour terminer (ce qui n’a rien à voir avec ce qui précède) ; un grand merci à Machin-Chose que m’a fait bien rigoler aces son allusion de la petite chatte de Aïcha.
stravailant pour
Bonjour,
Il y a une dizaine d’années, l’inventeur en France de la « science arabo-islamique » (sic) , Ahmed Djebbar, se faisait régulièrement chahuter dans ses conférences par des Iraniens, des Kurdes etc qui voyaient leurs peuples annexer, dans leurs découvertes, par cet escroc …
Il n’y a pas pas d’art islamique ,
M. ibn Khaldoun a dit au 14ème siècle : » partout où s’installe les Arabes (musulmans) , le désert apparaît . » ,
les musulmans ont seulement copié les constructions antérieures ( constructions romaines et byzantines . ) ( avec comme main d’oeuvre les gréco-latins vaincus et devenus dhimmis .)
DISTRACTION : » Partout où s’installent les Arabes ( musulmans à , … «
Iznik……………….Tamere-lan………..
« Les élèves des lycées collégiaux « Abou Houraira »
quel plaisir de voir qu on a donné le nom d’ une de mes « Sahaba » préféré a ce collège
Abous Houraira aimait tellement les chats ( comme moi) qu il a été surnommé « Abou Houreira » ce qui signifie « Père des chatons »
et d’ ailleurs c’est lui qui offrira a son ami Mouhamad, la petite chatte -non! pas celle de Aïcha- mais Mouazza, qui le suivait partout et a qui il voua une affection remarquable
vous connaissez surement l’ épisode ou, pour ne pas réveiller Mouazza , endormie sur sa manche, il découpera ladite manche pour ne pas réveiller sa bestiole
« Vouloir réduire toute cette complexité anthropologique pour faire accepter que la religion puisse être à l’origine de l’art ne peut relever que d’une vision trop étroite de l’être humain, ou d’une grande supercherie. »
L’auteur de ces lignes, en léger désaccord avec la phrase de l’article ci-dessus voudrait tout de même mentionner que J.S. Bach a rendu un grand service à Dieu, et ce fut un grand musicien, un véritable artiste. Ce n’est qu’un exemple : Le Bernin, Michel-Ange, Merisi (le Caravage), les architectes, sculpteurs qui n’ont pas signé leurs oeuvres, ainsi que bien d’autres qu’il serait impossible de nommer ici ont sublimé leur art par la religion !
Il suffit de visionner les trésors des édifices religieux, incluant ND de Paris, + ceux qui furent volés il y a quelques jours à Oloron Ste Marie (pour ne citer qu’eux) et comprendre que sans religion, la qualité artistique de notre patrimoine ne serait pas ce qu’elle prétend être.
Par contre, félicitations pour cet article superbement documenté.
il n’y a pas d’art islamique, il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais!
l’art de l’islam c’est détruire et voler point barre. l’islam n’a jamais rien créé, rien inventé, rien produit de bon, l’islam s’est juste approprié le travail, la création et les inventions des pays conquis ou traversés par les marchants de la route de la soie. l’islam est nocif, nuisible et destructeur mais en aucun ca créateur ou découvreur, les seuls « savants » que les musulmans ont eut ont étés formés par les juifs et ont fini sur les bûchers des imams….
en résumé l’islam est la pire saloperie que l’homme ait inventé pour se détruire moralement, artistiquement, physiquement et intellectuellement
Complètement d’accord avec vous tous.
L’islam n’a fait que créer des fainéants, des crétins, des voleurs, des violeurs, des menteurs, des assassins ….Le peu d’art et de science que certains collabos leurs attribuent n’est que le fruit de leurs rapines.
Excellent article sur la culture qui ne peut être que l’apologie d’une seule espèce animale vivante : l’Homme. Ils se sont appropriés la musique sous le vocable de musique arabo-persane !
En France dans l’art islamique porté au nu par l’institut du monde arabe dirigé par Jacques Lang pour 9000 euros par mois hors frais ce que préfère ce bon monsieur langue de pute c’est la cantine ou il régale ses copains plutôt que les deux ou trois vases made in china en exposition.
https://www.capital.fr/entreprises-marches/institut-du-monde-arabe-les-incroyables-gaspillages-du-president-jack-lang-1197297
En islam la culture c’est comme la confiture, moins tu en as plus tu l’étales mais j’ai aussi entendu dire que la culture c’est comme un parachute quand tu n’en as pas tu t’écrases alors qu’ils la ferment car à part leur coran écrit pas un poète cinglé comme disaient les intellos de l’époque quid de grandes œuvres littéraires, de grand films, de grandes réalisation architecturales (à part leurs moquées de merde construites pas Bouygues grâce à nos ingénieurs comme celle de Casablanca).
Quand on commence sa carrière par une imposture c’est difficile de la poursuivre autrement tant que le voile n’aura pas été définitivement retiré.
Odon LA FONTAINE » l’Islam dévoilé »
Quand un prof d’histoire-géo affirme à ses élèves de 6ème que des « musulmans sont très forts pour avoir inventé la cartographie » il ne faut pas s’étonner de l’inculture de nos enfants nourrie par des mensonges éhontés de ceux censés transmettre leurs savoirs.
Un petit tour sur Internet nous apprend que la cartographie a été découverte par les Chinois et, en parallèle par, sauf erreur, les Macédoniens, et ce bien avant l’apparition de l’islam.
Vous ne le saviez pas? Il parait qu’ils ont même aplati la terre – (à coups de marteau?).